Invité
est en ligne
Invité
to be there for each other: a secret. | @Loyd Higgins
La journée est pluvieuse et le plafond brumeux emplit de nuages gris ne laisse aucune place à l'inspiration – du moins en ce qui te concerne. Lorsque le temps est maussade, il t'est carrément impossible de composer à la maison même avec la meilleure des volontés. C'est une réalité relative à l'enfance et c'est sans aucun doute pour cela que tu préfères sortir dehors afin de travailler en temps pluvieux et automnale. Depuis ton arrivée à Boston, tu avais déjà pris certaines habitudes, élu domicile à certains endroits tels que la luna coffee – un lieu de chaleur mais surtout à l'ambiance cosy et collectif. Assise en tailleur sur l'un des fauteuils, les coudes apposés sur la table en bois, tu tapes avec vigueur sur le clavier de ton ordinateur afin de répondre à un message. Cet e-mail était loin d'être anodin, on peut même dire qu'il était à l'origine d'un bourgeon d'anxiété qui te faisait mal à l'estomac. En effet, en fin de semaine dernière tu avais reçu un mail de la part d'un producteur de musique dont le label avait fait son petit bonhomme de chemin lors de cette dernière décennie. Usine à succès de grands artistes, il avait reçue une démo de la part de l'un de tes professeurs et se disait fort intéresser par ton talent afin de te voir travailler avec un groupe de musique pop rock. Un style à l'opposé du classique, certes mais que tu connaissais plutôt bien puisque que via ton violoncelle tu faisais de la musique sur le même registre. D'un instrument classique, tu étais parvenue à lui donner des ailes de cordes pop, électro. Tu n'en avais parler à personne, pas même à tes frères et sœurs ou tes deux meilleurs amis. Tu avais commencé à taper quelques lignes sur ton message puis tu décides de tout effacer, ne sachant comment répondre, pour ne pas dire être un perdue … Secouant la tête pour remettre de l'ordre dans tes idées, tu enlèves tes lunettes de vue que tu poses sur la table avant de te laisser contre le dossier du fauteuils on ne peut plus confortable. La porte du coffee shop s'ouvre avec cette petite sonnerie coutumière ce qui attire ton regard. La silhouette de Loyd t'arrache un sourire chaleureux alors que tu lui fais signe de te rejoindre.
La journée est pluvieuse et le plafond brumeux emplit de nuages gris ne laisse aucune place à l'inspiration – du moins en ce qui te concerne. Lorsque le temps est maussade, il t'est carrément impossible de composer à la maison même avec la meilleure des volontés. C'est une réalité relative à l'enfance et c'est sans aucun doute pour cela que tu préfères sortir dehors afin de travailler en temps pluvieux et automnale. Depuis ton arrivée à Boston, tu avais déjà pris certaines habitudes, élu domicile à certains endroits tels que la luna coffee – un lieu de chaleur mais surtout à l'ambiance cosy et collectif. Assise en tailleur sur l'un des fauteuils, les coudes apposés sur la table en bois, tu tapes avec vigueur sur le clavier de ton ordinateur afin de répondre à un message. Cet e-mail était loin d'être anodin, on peut même dire qu'il était à l'origine d'un bourgeon d'anxiété qui te faisait mal à l'estomac. En effet, en fin de semaine dernière tu avais reçu un mail de la part d'un producteur de musique dont le label avait fait son petit bonhomme de chemin lors de cette dernière décennie. Usine à succès de grands artistes, il avait reçue une démo de la part de l'un de tes professeurs et se disait fort intéresser par ton talent afin de te voir travailler avec un groupe de musique pop rock. Un style à l'opposé du classique, certes mais que tu connaissais plutôt bien puisque que via ton violoncelle tu faisais de la musique sur le même registre. D'un instrument classique, tu étais parvenue à lui donner des ailes de cordes pop, électro. Tu n'en avais parler à personne, pas même à tes frères et sœurs ou tes deux meilleurs amis. Tu avais commencé à taper quelques lignes sur ton message puis tu décides de tout effacer, ne sachant comment répondre, pour ne pas dire être un perdue … Secouant la tête pour remettre de l'ordre dans tes idées, tu enlèves tes lunettes de vue que tu poses sur la table avant de te laisser contre le dossier du fauteuils on ne peut plus confortable. La porte du coffee shop s'ouvre avec cette petite sonnerie coutumière ce qui attire ton regard. La silhouette de Loyd t'arrache un sourire chaleureux alors que tu lui fais signe de te rejoindre.
(Invité)