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yukhei wu
08 juillet 2004
shanghai, china
wu
yukhei
chinese
chinese
hetero
in love
poor boy
starbuck's server
— et il appartient pas, aux rêves d’autrui et aux fantasmes partagés autour d’un café. yukhei, enfant des plaies vivantes - s’en est presque irritant. il n’appartient pas aux combles où l’on admire les étoiles, à rencontrer au hasard les autres, au détour d’une rue. il marque, de son sourire, les boissons fraîches et les glaçons qui se teintent contre le plastique. gobelet humide qu’il transmet, l’éclipse sur les lèvres. mais il n’appartient pas aux autres, yukhei, enfant de ses bizarreries, l’étrange dans l’attraction. il vous attire, et lui se permet d’exister à travers lui, quand le reste ne lui importe que peu.
p l a y l i s t chewing gum - NCT DREAM ••90’s love - NCT U ••dream lantern - RADWIMPS ••ghosting - TXT ••wishlist - TXT ••hello - CHEN ••that's okay - D.O ••red flavor - RED VELVET ••red - THE ROSE ••make a wish - NCT U ••she’s a baby - ZICO ••i loved you - DAY6 ••we young - NCT DREAM
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t h e c h a r a c t e r sweetness •• 95%charisma •• 98%naive •• 85%lovely •• 90%cheeky •• 79%innocent •• 87%graceful •• 92%reject and love •• 99%
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a l i t t l e b i t o f h i m
nommé comme la douceur, à l’aurore qui est naît, dans les iris d’ébène. l'œuvre d’art, rose sans épine, on l’admire, celui à l’innocence marquée sur les traits de son visage. peint le sol à chacun de ses pas, y laisse sa marque. les incisives qui caressent les lèvres, bout de chairs douloureuses - on y croit à cette naïveté, cet enfant qui ne sait pas ce qu’est la réalité aux yeux de ceux qui ne savent pas éviter son regard. la tempête aux airs de prince, à dévaster le royaume des autres, il instaure le sien, se fait maître de ce qu’il ne désire pas. effronté, le môme, à être appelé tempête par ceux qu’il dévaste, d’un sourire, à envoûter, d’une parole à blesser - et peut-être à s’y blesser, que la rose soit épine. on succombe, à son rire, son digne des dieux, aux anges qui tombent amoureux de son faciès pur. caractérisé par l’innocence qu’il n’a pas, presque perturbé par les monstres sous le lit, à traverser les pièces, l’ombre désespérément attachée à ses chevilles - il traîne ses souvenirs. et lui, il aime et rejette, à l’infini, à s’y tenter - avide de peine, le besoin oppressant de savoir ressentir. quête désespérée de savoir s'adapter au monde qui l’oublie, le rejette. actions ponctuée de son indécision constante, gamin trop occupé à savoir se faire aimer du monde, plutôt qu’à l’aimer lui-même. essai, tentation dévouée, à savoir se faire humain, quand il n’est qu’esprit qui ère, dans l'insouciance et l’enfance dévastée.
butterfly's story... 01. c’est les salines qui creusent les sillons, le visage taciturne d’un géniteur. l’odeur âcre d’un mauvais alcool - mauvaise qualité, et la musique qui vibre dans les tympans d’un môme muet de peine. fumée crachée dans l’air, ça fait écho à la piètre vie qu’il mène. à cacher les ecchymoses sur sa peau, l’épiderme brutalisé, les coups qui s’abattent, à répétition. rire effroyable, il se moque, le géniteur, du môme qui ose plus pleurer, à encaisser les gifles02. il l’entend, piégé dans sa prison - placard qui parfois la nuit lui donne encore des frissons. terreur nocturne éveillé, à se rappeler des supplices - et des suppliques. les coups qui s'abattent sans remords, à avoir fait naître l’erreur dans une famille aimante pour les autres. ne jamais effleurer le visage, précieuse pièce maîtresse du mensonge qui s'alourdit. pesante, l’ambiance, comme un cauchemar éveillé, et ce garçon, il vît les rêves des autres, d’aspect idyllique, et il vît la réalité que l’on prévient03. se plaint, le tissu qui cache bien des murmures, le corps qui s'essaie à avouer la peine. et la figure maternelle, qui berce le gamin à l’épaisse chevelure d’ébène, aux yeux trop faibles pour se tenir éveillé quand vient l’obscurité. la voix dont il se souvient, des poèmes que l’on se transmet, dans le creux de l’oreille, comme un nom de code. échappatoire auquel il désire tenir, à croire que tout n’est qu’un plan, à savoir endurer la peine et l(auto) destruction pour savoir mieux s’échapper des griffes du grand méchant loup. aux dents si grandes pour mieux le dévorer, aux yeux immenses pour savoir le guetter - et à l’odeur répugnante pour qu’il s’effondre dans un sommeil persistant04. et ce fût trop, l’espèce de conte sans fées. la magie naïve qui s’estompe, le pays qu’il aime tant qui s’arrache à lui. on m’a retiré une vie. balbutie quelques mots qu’il comprend pas lui-même, à s’enfuir du grand méchant loup, géniteur destiné à se plonger dans sa solitude. et en réalité, il n’en a jamais su autrement. il a peur, le gamin abandonné, figure maternelle qui l’embrasse sur le front, et parfois, il se permet de parler à la lune, mais elle, elle n’a jamais eu à confronter ces problèmes05. famille qui sait, elle, les cauchemars en vie, qui s’abattent sur la vie misérable. leur offre une chance de s’enfuir, là où rien ne pourrait les atteindre - plus jamais l’odeur effroyable du méchant bourreau. l’épée de damoclès retirée, figure maternelle qui soupire, glisse entre ses lèvres des mots dont il se souvient encore : nous sommes libres.. boston, ville mère d’une vie nouvelle, d’une petite maison comme refuge, délabrée quelques fois. dans l’attention, reconstruire les vies dévastées par la tempête. et muet durant des mois, l’anglais qui trahit ses terreurs, c’est yukhei, qui devient ce qui ne s’est jamais épanoui.
☽
what about now ?
le garçon, florissant, rose en quête d’un renouveau. à fêter ça dans l’amour inconditionnel d’une mère. gamin de six ans aux souvenirs qui s’estompent, et qui parfois la nuit s’éveillent. aux terreurs nocturnes, la sueur, humide sur son front, à presque crier au secours, quand autour de lui, il n’y a que les débris de la nuit. l’adolescent, dont l’anglais glisse si aisément entre ses lèvres, désormais, traumatisme qui s’efface - s’oublie quelques fois, dans les souvenirs de shanghai. yukhei, enfant lumineux, au sourire conquérant d’une mère en déboire affectif, supplie parfois, de revoir l’étreinte chaleureuse de l’amour. il ne sait plus, le môme, où s’arrête l’affection, et où s’arrête le rejet, quand c’est le monde qui semble l’avoir délaissé dans les mains du crépuscule. figure maternelle qui s’y tue, au travail, la maison qui pourrait s’effondrer sur leur tête, et lui, il sait être un bon fils, à trouver un emploi à tout juste seize ans - dans la légalité, savoir se construire, dans une vie qui lui appartient. et parfois souffrir des cicatrices qu’on aperçoit encore, le tissu qui sait étouffer les souffrances lointaines. et le jeune garçon, au lycée, se crée une bande d’amis, à savoir compter sur ceux qui lui ressemblent - et peut-être pas tant que ça finalement. au soutien, sûrement au souffle de vie qu’ils sont, et à l’amour qu’il rencontre - et l’indécis, s’y égare, parfois, fait les mauvais choix. yukhei, enfant de sa vie, marionnettiste de ses rêves, et des pas qu’il grave dans les esprits.
pseudo femme d'amé aka alice
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forum connu par... ma bff, hell yeah
ILH, j'en pense quoi ?
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type personnage inventé et pré-lien de ma merveilleuse @Sunhi Han
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