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GIULIA LENA WOOD
date de naissance
(20.06.1989) - je vois le jour dans les coups de 9H30 du matin
lieu de naissance
Boston (Born in the USA)
nom
WOOD, comme mon père (parents divorcés)
prénom(s)
Giulia et Lena (prénoms de ses aïeux)
nationalité(s)
américaine
origine(s)
origine américaine ainsi qu'israélienne de par son père et russe, polonaise, autrichienne, allemande et tchèque, de par sa mère.
orientation sexuelle
hétérosexuelle : je ne jure que par les hommes
statut amoureux
célibataire (cœur vide, depuis la perte de l'amour de ma vie)
statut social
aisé (merci papa)
travail
médecin légiste au massachussetts general hospital
— Pourquoi vouloir rejoindre ce groupe ? Selon toi, pourquoi y corresponds-tu ?
La routine est devenue mon credo. Cela n’a pas toujours été ainsi, mais elle s’est installée avec le temps, doucement, pour me contenter. Savoir ce que je vais faire, de quoi ma vie est rythmée, me permet d’avoir une certaine sécurité. C’est suite à la perte de l’homme que j’aime et après avoir visité tout ce que nous devions faire ensemble que je me suis sentie perdue, sans ne plus savoir quoi faire, ayant cette sensation d’avoir mon cœur vide. J’ai réalisé tout ce que nous devions entreprendre ensemble au travers de mes voyages et comme il n’est plus présent, j’ai commencé à tourner en rond. J’ai failli sombrer dans la folie jusqu’à ce que je me reprenne et me dise qu’une vie chez-moi, avec le rythme « métro, boulot, dodo » allait m’aider. C’est ce que j’ai fait et aujourd’hui, bien que je me sente vide, je parviens à survivre.
La routine est devenue mon credo. Cela n’a pas toujours été ainsi, mais elle s’est installée avec le temps, doucement, pour me contenter. Savoir ce que je vais faire, de quoi ma vie est rythmée, me permet d’avoir une certaine sécurité. C’est suite à la perte de l’homme que j’aime et après avoir visité tout ce que nous devions faire ensemble que je me suis sentie perdue, sans ne plus savoir quoi faire, ayant cette sensation d’avoir mon cœur vide. J’ai réalisé tout ce que nous devions entreprendre ensemble au travers de mes voyages et comme il n’est plus présent, j’ai commencé à tourner en rond. J’ai failli sombrer dans la folie jusqu’à ce que je me reprenne et me dise qu’une vie chez-moi, avec le rythme « métro, boulot, dodo » allait m’aider. C’est ce que j’ai fait et aujourd’hui, bien que je me sente vide, je parviens à survivre.
Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes.
Caractère : Indépendante + Franche + Obstinée + Travailleuse + Ambitieuse + Sociable + Solitaire + Silencieuse + Lunaire + Généreuse + Sens de l'éthique + Douce + Tranquille + Réfléchie + Aimable + Enfantine (Souvent dans ma manière d’être : je mange des confiseries, sucettes, bonbons au caramel, etc.) + Sceptique + Consciencieuse + Courageuse + Joueuse (Pari entre ami(e)s, dans le genre : « je te parie que... pari tenu ! » Avec un gain à la fin ; biscuits ou autre dans ce style, pour celui qui gagne.) + Mature + Brisée + Déterminée (À découvrir la vérité dans le cadre de sa vie professionnelle surtout.) + Très intelligente + Instinctive.
Caractère : Indépendante + Franche + Obstinée + Travailleuse + Ambitieuse + Sociable + Solitaire + Silencieuse + Lunaire + Généreuse + Sens de l'éthique + Douce + Tranquille + Réfléchie + Aimable + Enfantine (Souvent dans ma manière d’être : je mange des confiseries, sucettes, bonbons au caramel, etc.) + Sceptique + Consciencieuse + Courageuse + Joueuse (Pari entre ami(e)s, dans le genre : « je te parie que... pari tenu ! » Avec un gain à la fin ; biscuits ou autre dans ce style, pour celui qui gagne.) + Mature + Brisée + Déterminée (À découvrir la vérité dans le cadre de sa vie professionnelle surtout.) + Très intelligente + Instinctive.
Anecdotes :
(+) C’est au sein d’un foyer déséquilibré que j’évolue, en m’essayant de grandir sans faire le moindre pli, m’évertuant à être transparente. Mon père, je ne le vois que les week-ends, quand il daigne me prendre et ne pas annuler. Ma mère, c’est un véritable naufrage puisqu’elle passe sa vie ivre ou encore droguer. À l’âge de sept ans, je commence à réaliser qu’il faille que je me débrouille seule, que je m’occupe de moi. Durant les premières années de ma vie, je ne suis pas des mieux nourris, étant donné que ma mère ne le fait que lorsqu’elle y pense ou lorsque je termine de pousser des cris et pleurer. Rien ne va, mais je vis ainsi, ne m’imaginant pas que chez d’autres, l’existence est beaucoup plus belle.
(+) À mes douze ans, je chute dans les escaliers. Ce n’est pas la première fois que Térésa s’en prend à moi, mais c’est la chute de trop. Ma cheville prend un angle inimaginable et je hurle, à cause de la douleur. C’est une voisine qui passe couramment me voir qui m'entend, au travers de la porte et elle me sauve, puisqu’elle appelle une ambulance et que je suis amenée à l’hôpital. Lorsque je m’y trouve, on m’interroge quant à ma chute et avec l’appuie de cette dernière, qui m’intime dans son regard de parler, je me lance et raconte ce qui m’est arrivé. À la suite de cet entretien, mon père fait son apparition. Le grand homme d’affaires Thomas Wood daigne se montrer et après une longue conversation avec le médecin s’occupant de moi, il termine de me rejoindre afin de m’expliquer ce qu’il va advenir de moi…
(+) Déménagement et soins ainsi qu'une rééducation, après une opération. Car ma chute a été terrible pour ma cheville et que jamais plus je ne pourrais vivre comme auparavant. Courir est proscrit, mais je pourrais marcher en claudiquant légèrement, durant les beaux jours. « Cela se verra à peine », avait prononcé le praticien afin de me donner du baume au cœur, mais cela n’a pas fonctionné. Avoir un handicap est difficile à avaler et à l’époque, je n’y parviens pas. Tom s’essaye à être gentil et prévenant, sauf qu’il ne sait pas comment s’y prendre. Nos échanges sont gênants, nos étreintes également. Je me sens seule, mais au moins, je ne suis plus battue ou encore pousser afin de dévaler des escaliers.
(+) Une thérapie m’a été prescrite. Je ne le voulais pas, mais on m’a fait comprendre que je n’avais pas le choix. Que dire ? Tout, apparemment alors j’ai vidé mon sac. Des gifles, elle adorait m’en donner, Térésa. Lorsqu’elle avait un coup dans le nez ou alors, après avoir sniffé sa drogue. Toutefois, ce n’était pas réellement le plus dur à endurer. Ce sont les insultes et l’humiliation qui me faisait le plus mal. J’en avais le cœur brisé, je me sentais comme une incapable, puis je m’imaginais aussi être tous ses mots vulgaires dont elle m’affublait. En somme, je ne devais pas vivre, je n’avais rien à faire là, dans ses « pattes », je devais disparaître. Ça n’a pas été évident de le dire, de me confier et encore moins de le dire à Tom.
(+) Je n’ai jamais eu de don afin de me faire des amis, mais durant l’année de mes quinze ans, alors que j’ai changé d’établissement scolaire, je rencontre Rachel qui me prend sous son aile. Avenante, souriante, le cœur sur la main, elle m’aide à ne pas me perdre puis elle me donne de fabuleux conseils, par rapport aux enseignants, mais aussi aux autres personnes de la classe puisqu’elle se rend bien compte que je souffre de ma timidité. Heureusement, elle ne l’est pas et elle m’aide à m’ouvrir, à m’épanouir puis rapidement et avec les semaines qui s’écoulent, nous devenons de bonnes amies. Je termine par me rendre chez elle, rencontre ses parents, puis son frère, qui a sept années de plus que nous et qui étudie à l’université d’Harvard. Dès que je le vois, mon cœur s’emballe et je comprends que je craque pour lui. Seulement, je ne suis pas sûre de moi et puis je suis bien trop jeune pour lui : c’est évident.
(+) À mes dix-huit ans, Rachel désire que nous sortions afin de fêter l’événement, seulement, je me sens mal à l’aise. Je suis trop maquillée, vêtue d’une robe qui me semble bien trop courte et je porte une paire de chaussures à plateau, à cause de mon problème au pied. Ne pouvant pas marcher avec des escarpins, ma meilleure amie m’assure qu’ainsi, je me sentirais davantage femme, mais je me sens surtout comme sur des échasses. Peu sûr de mes pas, je décide de rester assise alors qu’elle passe la soirée à danser, à user la piste de danse et c’est dans les coups d’une heure du matin que son frère apparaît, Rachel étant légèrement bourrée. Je me rappelle qu’il m’a rejoint afin de s’asseoir près de moi et nous avons discuté. Il m’a dit me trouver belle, Owen, puis a replacé une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Un courant électrique nous a alors parcourus.
(+) Lorsque nous sommes rentrés, après avoir obligé Rachel a quitté la piste, j’ai passé la nuit chez ma meilleure amie et dès lors qu’elle est entrée dans la voiture, elle s’est effondrée pour s’endormir et ronfler. Cela m’a amusé, m’a fait rire, comme Owen et nous avons échangé de nombreux regards, via le biais du rétroviseur. Une fois à l’intérieur, Rachel déposée sur son lit, nous nous sommes retrouvés dans la cuisine de la demeure familiale et Owen s’est retrouvé derrière moi, alors que je cherchais de l’eau dans le frigo. En fermant la porte, je me suis rendue compte de sa présence et après un court instant de silence, nos visages se sont rapprochés et nous nous sommes embrassés.
(+) Une idylle cachée, c’est ce que nous avons vécu. D’après Owen l’adage : « Vivons heureux, vivons cachés », était ce qui nous conviendrait le mieux, à cause de notre différence d’âge et je l’ai cru, étant éperdument amoureuse. Notre relation à distance n’était pas des plus faciles, des plus évidentes, mais nous communiquions en permanence. Je craignais qu’il me trompe, qu’il voit d’autres femmes, mais ce n’a jamais été le cas. L’aurais-je préféré lorsque j’ai appris la vérité à son sujet ? Encore aujourd’hui, je suis indécise. Je me rappelle notre dispute lorsque j’ai appris qu’il était couramment sous l’effet de la coke, puisque cela m’a remémoré de difficiles souvenirs en rapport avec Térésa. Il m’a expliqué que c’était nécessaire à Harvard, que c’était bien trop dur et que tout le monde le faisait, là-bas. Qu’il en avait besoin rapport à son mémoire, ses études en histoire de l’art et j’ai terminé de le croire. Jamais je n’aurais dû le faire. J’aurais dû immédiatement lui venir en aide, mais ce n’a pas été le cas.
(+) Je refusais de le voir s’il était drogué. Nous avions mis ce système en place et je pensais que cela m’allait, jusqu’au soir où, me trouvant dans la cuisine de leur résidence familiale, je l’ai aperçu tandis qu’il s’apprêtait à passer la porte. Lui demandant des explications, il a admis qu’il devait énormément d’argent à son dealer et qu’il se devait d’aller le voir afin de régler le problème. Il m’a promis de revenir et ça a été le cas, après deux heures à douter, à avoir peur qu’il lui arrive quoi que ce soit. Mais il est rentré, a passé cette même porte et nous sommes montés à sa chambre, en catimini, afin que l’on s’endorme ensemble, dans les bras de l’autre. Seulement, quelque chose clochait, je le ressentais, mais j’ai préféré ignoré.
(+) Une lettre. C’est tout ce qu’il m’a laissé. Ses mots, je les connais par cœur. Je pourrais les réciter à la virgule près, aux pauses que je devrais faire après celles-ci, site devais la réciter. Il m’a demandé pardon pour cet acte lâche qu’il a commis. Il ne pouvait payer celui à qui il devait une énorme somme et a préféré mettre fin à ses jours, afin que l’on ne risque rien, ses proches et moi-même. C’est pour cette raison qu’il souhaitait réellement cacher notre relation. Après m’avoir expliqué le pourquoi il a commencé, son incapacité à arrêter, il m’a ensuite demandé de lui promettre tout ce que nous nous sommes dits. Pour lui, je me devais de visiter l’Europe et chacun des musées que nous avions cités. Je me devais aussi de profiter des endroits les plus romantiques en songeant à lui à mes côtés. Il avait pris soin d’établir une liste, afin que je coche ce que je faisais, pour la terminer. Mais surtout, il m’a demandé de vivre pour nous et notre amour.
(+) Durant les années qui ont suivi, j’ai réalisé tout ce qu’il souhaitait durant les vacances, celle de l’université. Je ne me suis jamais rendue aux événements qui avaient lieu avec cette dernière puisque je me devais de faire tout pour lui, pour Owen. Seulement, il y a une chose qui a changé, rapport à son suicide. Au lieu de devenir médecin généraliste, j’ai pris la décision d’être médecin légiste, pour apprécier la compagnie des morts, plutôt que de celle des vivants. Ce n’était pas prévu, mais il n’y avait rien d’écrit à ce sujet dans sa lettre, alors, je m'y suis spécialisé. Aujourd’hui, je travaille au Massachusetts general hospital et je me rends très souvent dans les musées de Boston et des environs, puisqu’il m’a fait aimer l’art et qu’au travers des tableaux, je me sens comme en lien avec l’homme que j’aimerais jusque dans l’éternité.
(+) C’est au sein d’un foyer déséquilibré que j’évolue, en m’essayant de grandir sans faire le moindre pli, m’évertuant à être transparente. Mon père, je ne le vois que les week-ends, quand il daigne me prendre et ne pas annuler. Ma mère, c’est un véritable naufrage puisqu’elle passe sa vie ivre ou encore droguer. À l’âge de sept ans, je commence à réaliser qu’il faille que je me débrouille seule, que je m’occupe de moi. Durant les premières années de ma vie, je ne suis pas des mieux nourris, étant donné que ma mère ne le fait que lorsqu’elle y pense ou lorsque je termine de pousser des cris et pleurer. Rien ne va, mais je vis ainsi, ne m’imaginant pas que chez d’autres, l’existence est beaucoup plus belle.
(+) À mes douze ans, je chute dans les escaliers. Ce n’est pas la première fois que Térésa s’en prend à moi, mais c’est la chute de trop. Ma cheville prend un angle inimaginable et je hurle, à cause de la douleur. C’est une voisine qui passe couramment me voir qui m'entend, au travers de la porte et elle me sauve, puisqu’elle appelle une ambulance et que je suis amenée à l’hôpital. Lorsque je m’y trouve, on m’interroge quant à ma chute et avec l’appuie de cette dernière, qui m’intime dans son regard de parler, je me lance et raconte ce qui m’est arrivé. À la suite de cet entretien, mon père fait son apparition. Le grand homme d’affaires Thomas Wood daigne se montrer et après une longue conversation avec le médecin s’occupant de moi, il termine de me rejoindre afin de m’expliquer ce qu’il va advenir de moi…
(+) Déménagement et soins ainsi qu'une rééducation, après une opération. Car ma chute a été terrible pour ma cheville et que jamais plus je ne pourrais vivre comme auparavant. Courir est proscrit, mais je pourrais marcher en claudiquant légèrement, durant les beaux jours. « Cela se verra à peine », avait prononcé le praticien afin de me donner du baume au cœur, mais cela n’a pas fonctionné. Avoir un handicap est difficile à avaler et à l’époque, je n’y parviens pas. Tom s’essaye à être gentil et prévenant, sauf qu’il ne sait pas comment s’y prendre. Nos échanges sont gênants, nos étreintes également. Je me sens seule, mais au moins, je ne suis plus battue ou encore pousser afin de dévaler des escaliers.
(+) Une thérapie m’a été prescrite. Je ne le voulais pas, mais on m’a fait comprendre que je n’avais pas le choix. Que dire ? Tout, apparemment alors j’ai vidé mon sac. Des gifles, elle adorait m’en donner, Térésa. Lorsqu’elle avait un coup dans le nez ou alors, après avoir sniffé sa drogue. Toutefois, ce n’était pas réellement le plus dur à endurer. Ce sont les insultes et l’humiliation qui me faisait le plus mal. J’en avais le cœur brisé, je me sentais comme une incapable, puis je m’imaginais aussi être tous ses mots vulgaires dont elle m’affublait. En somme, je ne devais pas vivre, je n’avais rien à faire là, dans ses « pattes », je devais disparaître. Ça n’a pas été évident de le dire, de me confier et encore moins de le dire à Tom.
(+) Je n’ai jamais eu de don afin de me faire des amis, mais durant l’année de mes quinze ans, alors que j’ai changé d’établissement scolaire, je rencontre Rachel qui me prend sous son aile. Avenante, souriante, le cœur sur la main, elle m’aide à ne pas me perdre puis elle me donne de fabuleux conseils, par rapport aux enseignants, mais aussi aux autres personnes de la classe puisqu’elle se rend bien compte que je souffre de ma timidité. Heureusement, elle ne l’est pas et elle m’aide à m’ouvrir, à m’épanouir puis rapidement et avec les semaines qui s’écoulent, nous devenons de bonnes amies. Je termine par me rendre chez elle, rencontre ses parents, puis son frère, qui a sept années de plus que nous et qui étudie à l’université d’Harvard. Dès que je le vois, mon cœur s’emballe et je comprends que je craque pour lui. Seulement, je ne suis pas sûre de moi et puis je suis bien trop jeune pour lui : c’est évident.
(+) À mes dix-huit ans, Rachel désire que nous sortions afin de fêter l’événement, seulement, je me sens mal à l’aise. Je suis trop maquillée, vêtue d’une robe qui me semble bien trop courte et je porte une paire de chaussures à plateau, à cause de mon problème au pied. Ne pouvant pas marcher avec des escarpins, ma meilleure amie m’assure qu’ainsi, je me sentirais davantage femme, mais je me sens surtout comme sur des échasses. Peu sûr de mes pas, je décide de rester assise alors qu’elle passe la soirée à danser, à user la piste de danse et c’est dans les coups d’une heure du matin que son frère apparaît, Rachel étant légèrement bourrée. Je me rappelle qu’il m’a rejoint afin de s’asseoir près de moi et nous avons discuté. Il m’a dit me trouver belle, Owen, puis a replacé une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Un courant électrique nous a alors parcourus.
(+) Lorsque nous sommes rentrés, après avoir obligé Rachel a quitté la piste, j’ai passé la nuit chez ma meilleure amie et dès lors qu’elle est entrée dans la voiture, elle s’est effondrée pour s’endormir et ronfler. Cela m’a amusé, m’a fait rire, comme Owen et nous avons échangé de nombreux regards, via le biais du rétroviseur. Une fois à l’intérieur, Rachel déposée sur son lit, nous nous sommes retrouvés dans la cuisine de la demeure familiale et Owen s’est retrouvé derrière moi, alors que je cherchais de l’eau dans le frigo. En fermant la porte, je me suis rendue compte de sa présence et après un court instant de silence, nos visages se sont rapprochés et nous nous sommes embrassés.
(+) Une idylle cachée, c’est ce que nous avons vécu. D’après Owen l’adage : « Vivons heureux, vivons cachés », était ce qui nous conviendrait le mieux, à cause de notre différence d’âge et je l’ai cru, étant éperdument amoureuse. Notre relation à distance n’était pas des plus faciles, des plus évidentes, mais nous communiquions en permanence. Je craignais qu’il me trompe, qu’il voit d’autres femmes, mais ce n’a jamais été le cas. L’aurais-je préféré lorsque j’ai appris la vérité à son sujet ? Encore aujourd’hui, je suis indécise. Je me rappelle notre dispute lorsque j’ai appris qu’il était couramment sous l’effet de la coke, puisque cela m’a remémoré de difficiles souvenirs en rapport avec Térésa. Il m’a expliqué que c’était nécessaire à Harvard, que c’était bien trop dur et que tout le monde le faisait, là-bas. Qu’il en avait besoin rapport à son mémoire, ses études en histoire de l’art et j’ai terminé de le croire. Jamais je n’aurais dû le faire. J’aurais dû immédiatement lui venir en aide, mais ce n’a pas été le cas.
(+) Je refusais de le voir s’il était drogué. Nous avions mis ce système en place et je pensais que cela m’allait, jusqu’au soir où, me trouvant dans la cuisine de leur résidence familiale, je l’ai aperçu tandis qu’il s’apprêtait à passer la porte. Lui demandant des explications, il a admis qu’il devait énormément d’argent à son dealer et qu’il se devait d’aller le voir afin de régler le problème. Il m’a promis de revenir et ça a été le cas, après deux heures à douter, à avoir peur qu’il lui arrive quoi que ce soit. Mais il est rentré, a passé cette même porte et nous sommes montés à sa chambre, en catimini, afin que l’on s’endorme ensemble, dans les bras de l’autre. Seulement, quelque chose clochait, je le ressentais, mais j’ai préféré ignoré.
(+) Une lettre. C’est tout ce qu’il m’a laissé. Ses mots, je les connais par cœur. Je pourrais les réciter à la virgule près, aux pauses que je devrais faire après celles-ci, site devais la réciter. Il m’a demandé pardon pour cet acte lâche qu’il a commis. Il ne pouvait payer celui à qui il devait une énorme somme et a préféré mettre fin à ses jours, afin que l’on ne risque rien, ses proches et moi-même. C’est pour cette raison qu’il souhaitait réellement cacher notre relation. Après m’avoir expliqué le pourquoi il a commencé, son incapacité à arrêter, il m’a ensuite demandé de lui promettre tout ce que nous nous sommes dits. Pour lui, je me devais de visiter l’Europe et chacun des musées que nous avions cités. Je me devais aussi de profiter des endroits les plus romantiques en songeant à lui à mes côtés. Il avait pris soin d’établir une liste, afin que je coche ce que je faisais, pour la terminer. Mais surtout, il m’a demandé de vivre pour nous et notre amour.
(+) Durant les années qui ont suivi, j’ai réalisé tout ce qu’il souhaitait durant les vacances, celle de l’université. Je ne me suis jamais rendue aux événements qui avaient lieu avec cette dernière puisque je me devais de faire tout pour lui, pour Owen. Seulement, il y a une chose qui a changé, rapport à son suicide. Au lieu de devenir médecin généraliste, j’ai pris la décision d’être médecin légiste, pour apprécier la compagnie des morts, plutôt que de celle des vivants. Ce n’était pas prévu, mais il n’y avait rien d’écrit à ce sujet dans sa lettre, alors, je m'y suis spécialisé. Aujourd’hui, je travaille au Massachusetts general hospital et je me rends très souvent dans les musées de Boston et des environs, puisqu’il m’a fait aimer l’art et qu’au travers des tableaux, je me sens comme en lien avec l’homme que j’aimerais jusque dans l’éternité.
pseudo brown-eyed angel
âge 30 très bientôt
nationalité française
forum connu par... mon frère, toujours
ILH, j'en pense quoi ?
autres comptes ? @Gresham O. Ewart @Gabriella B. Mitchell @G. Emerson York @Grace-Ann Beckett
avatar utilisé Gal Gadot
crédits images STARFIRE (avatar) - mcu-icons.tumblr.com + tumgir.com (icons)
nombre de mots par rp cela dépend de mes partenaires, je m'adapte
type personnage inventé
code métier
massachussetts general hospital + médecin légiste : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
âge 30 très bientôt
nationalité française
forum connu par... mon frère, toujours
ILH, j'en pense quoi ?
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@"Giulia Lena Wood" » <i>(médecin légiste)</i>
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