Invité
est en ligne
Invité
Heure : 11 h
Lieu : plage de Bangkok
Contexte : Bizutage ma petite Briony a besoin de compagnie
Participants : Thorn J. Forster et Briony N. Silver
Thaïlande, Thaïlande, Thaïlande, je n’avais pas cessé d’entendre ce mot ces derniers temps, c’était dingue le nombre d’étudiant d’Harvard qui avait choisi ce bout de terre asiatique pour venir passer des vacances.
Le plus improbable encore avait été pour moi le fait d’assister un mariage, celui d’Andy, Andy avait réussi quand même, il avait finalement stabilisé sa relation avec Apple et le mariage avait duré, loin du brouhaha et du vacarme de la veille, je m’éveillais difficilement de cette courte nuit.
Mais vacances ou pas, j’étais censé me lever tôt, je jetai un coup d’œil à ma chambre d’hôtel plutôt impeccable et heureusement, tous les autres devaient surement en train de dormir.
Pour une fois, je pense que tout le monde aurait été d’accord sur le fait que les mariés semblaient les plus heureux du monde.
Il ne restait plus beaucoup de temps avant la fin du Spring Break et le retour à la monotonie américaine. Je n’avais pas complètement profité de la plage, vraiment, j’avais plus été visité les villes et faire des bêtises à droite à gauche.
Et puisque nous avions du temps à perdre, je me dirigeais naturellement vers l’extérieur, le soleil chaud et l’air sec vinrent frapper mon visage, protégeant mes yeux de l’agression lumineuse en les fermant, je me mis à tâtonner dans ma poche à la recherche de lunette de soleil.
La Thaïlande était vraiment un drôle de pays, en tous les cas Andy et Apple n’oublieraient jamais leur mariage, de toute façon qui pouvait oublier son mariage ?
Décider de se marier dans un pays où les gens adorent manger des tarentules frites dans de l’huile, loin de nos pommes-de-terre, mais également pays de la chirurgie esthétique et des Lady boy, c’est sûr qu’en dehors de son paysage fabuleux, la Thaïlande avait ses propres caractéristiques.
Les rues étaient quand même bondées de monde, il y avait pas mal de marcher aux alentours, j’adorais prendre des photos avec des locaux, je n’étais vraiment pas net dans ma tête.
Je n’avais qu’un but aujourd’hui, profiter de ces derniers moments passés ici, dieu sait quand est-ce que je pourrais revenir dans ce pays.
Je descendais le tas de sable qui menait à l'eau, j'avais sorti envie de profiter paisiblement du paysage, mon short rouge, mon T-shirt noir et mes lunettes de soleil me donnaient réellement le look du parfait touriste.
Et touriste était bien ce que j'étais.
Lorsque plus loin sur des rochers, je distinguais une silhouette, je m'approchais sans réellement d'idée particulière, une fois plus proche quelque chose me dit que je connaissais cette personne.
Quelques mètres plus loin encore, je reconnus un visage triste avec des larmes sur le visage, jetant un regard gêné sur les vagues et le bruit sourd de la mer.
Maintenant j'en étais sûr cette fille venait d'Harvard, son prénom devait être ... Briony, enfin je le pensais.
Mon côté gentleman et serviteur des demoiselles ne me laissait pas insensible, je m'approchais de ma camarade d'université.
-Salut ! Je fis mine de rien. Toi, je suis sûr que tu as besoin de compagnie !
Pour toute réponse une vague réussie à me toucher, et je me mis à pousser un cri de surprise tellement l'eau était fraiche.
-Ne te moque pas de mon cri. dis-je en lui tirant la langue avant de rigoler.
Le plus improbable encore avait été pour moi le fait d’assister un mariage, celui d’Andy, Andy avait réussi quand même, il avait finalement stabilisé sa relation avec Apple et le mariage avait duré, loin du brouhaha et du vacarme de la veille, je m’éveillais difficilement de cette courte nuit.
Mais vacances ou pas, j’étais censé me lever tôt, je jetai un coup d’œil à ma chambre d’hôtel plutôt impeccable et heureusement, tous les autres devaient surement en train de dormir.
Pour une fois, je pense que tout le monde aurait été d’accord sur le fait que les mariés semblaient les plus heureux du monde.
Il ne restait plus beaucoup de temps avant la fin du Spring Break et le retour à la monotonie américaine. Je n’avais pas complètement profité de la plage, vraiment, j’avais plus été visité les villes et faire des bêtises à droite à gauche.
Et puisque nous avions du temps à perdre, je me dirigeais naturellement vers l’extérieur, le soleil chaud et l’air sec vinrent frapper mon visage, protégeant mes yeux de l’agression lumineuse en les fermant, je me mis à tâtonner dans ma poche à la recherche de lunette de soleil.
La Thaïlande était vraiment un drôle de pays, en tous les cas Andy et Apple n’oublieraient jamais leur mariage, de toute façon qui pouvait oublier son mariage ?
Décider de se marier dans un pays où les gens adorent manger des tarentules frites dans de l’huile, loin de nos pommes-de-terre, mais également pays de la chirurgie esthétique et des Lady boy, c’est sûr qu’en dehors de son paysage fabuleux, la Thaïlande avait ses propres caractéristiques.
Les rues étaient quand même bondées de monde, il y avait pas mal de marcher aux alentours, j’adorais prendre des photos avec des locaux, je n’étais vraiment pas net dans ma tête.
Je n’avais qu’un but aujourd’hui, profiter de ces derniers moments passés ici, dieu sait quand est-ce que je pourrais revenir dans ce pays.
Je descendais le tas de sable qui menait à l'eau, j'avais sorti envie de profiter paisiblement du paysage, mon short rouge, mon T-shirt noir et mes lunettes de soleil me donnaient réellement le look du parfait touriste.
Et touriste était bien ce que j'étais.
Lorsque plus loin sur des rochers, je distinguais une silhouette, je m'approchais sans réellement d'idée particulière, une fois plus proche quelque chose me dit que je connaissais cette personne.
Quelques mètres plus loin encore, je reconnus un visage triste avec des larmes sur le visage, jetant un regard gêné sur les vagues et le bruit sourd de la mer.
Maintenant j'en étais sûr cette fille venait d'Harvard, son prénom devait être ... Briony, enfin je le pensais.
Mon côté gentleman et serviteur des demoiselles ne me laissait pas insensible, je m'approchais de ma camarade d'université.
-Salut ! Je fis mine de rien. Toi, je suis sûr que tu as besoin de compagnie !
Pour toute réponse une vague réussie à me toucher, et je me mis à pousser un cri de surprise tellement l'eau était fraiche.
-Ne te moque pas de mon cri. dis-je en lui tirant la langue avant de rigoler.
(Invité)