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LAYLA MATHILDE BOEHRINGER
feat. danika pienaar
but
naissance
11 septembre 1996 à Berlin en Allemagne, quelques minutes avant ta jumelle Maïa.
nom(s) & prénom(s)
rothschild layla mathilde
nationalité(s)
américaine et allemande
origine(s)
américaines, sud-africaines et allemandes
orientation sexuelle
corps attiré par le galbe et l'ossature masculine.
statut amoureux
en couple avec avery langford depuis le summer camp 2021.
études
deuxième année en marketing et journalisme
bourse
non boursière
statut social
riche
job étudiant
aucun.
pfozheimer
Tendance autoritaire et ambitieuse qui te pousse depuis ton enfance à agir et à prendre ton destin en main, sans t’occuper des autres. Intense besoin d’émotions et d’expériences nouvelles, ne te satisfaisant guère d’une existence routinière. Elève modèle. Elève sérieuse. T’as jamais été du genre à échouer. L’échec n’était pas permis. Ni autorisé. Pas si tu désirais être au-dessus des autres au lycée. T’as toujours eu ce potentiel en toi au fond. Un parcours exemplaire. Major de ta promotion. Classée parmi les meilleures élèves. Destinée à régner. Destinée à faire plier autrui à ta volonté. Aura déterminée qui baigne dans la grandeur.
11 septembre 1996 à Berlin en Allemagne, quelques minutes avant ta jumelle Maïa.
nom(s) & prénom(s)
rothschild layla mathilde
nationalité(s)
américaine et allemande
origine(s)
américaines, sud-africaines et allemandes
orientation sexuelle
corps attiré par le galbe et l'ossature masculine.
statut amoureux
en couple avec avery langford depuis le summer camp 2021.
études
deuxième année en marketing et journalisme
bourse
non boursière
statut social
riche
job étudiant
aucun.
pfozheimer
Tendance autoritaire et ambitieuse qui te pousse depuis ton enfance à agir et à prendre ton destin en main, sans t’occuper des autres. Intense besoin d’émotions et d’expériences nouvelles, ne te satisfaisant guère d’une existence routinière. Elève modèle. Elève sérieuse. T’as jamais été du genre à échouer. L’échec n’était pas permis. Ni autorisé. Pas si tu désirais être au-dessus des autres au lycée. T’as toujours eu ce potentiel en toi au fond. Un parcours exemplaire. Major de ta promotion. Classée parmi les meilleures élèves. Destinée à régner. Destinée à faire plier autrui à ta volonté. Aura déterminée qui baigne dans la grandeur.
admission à harvard
Prestigieuse. Renommée. Prodigieuse. Tu n’y avais pas cru au début. Une farce. Une plaisanterie. Et pourtant. La lettre que tu avais tenue entre tes mains était bel et bien une lettre d’admission. Tes efforts, ton travail acharné avaient enfin fini par payer. Harvard, c'était la décision la plus simple. La plus facile. Un destin prestigieux, transcendant. Voilà ce qui t'attendait. Université qui te permettrait de t'ouvrir ses portes vers des études de qualité, vers une distinction tant désirée et convoitée. Présence réconfortante de tes frères, de ta soeur, de tes cousins déjà présents dans l'établissement qui avaient conforté ce voeu d'admission. Décision officielle. Officieusement, la raison était toute autre. Aden en était la raison. Le coeur qui le désirait. Ardemment. Admission qui se passa relativement bien. Un dossier convaincant, tu y avais mis les formes, partageant ton passé peu commun et troublant. Des résultats plutôt satisfaisants, atteignant ainsi la jolie note de 1570.
caractère du personnage
Ambitieuse, rancunière, passionnée, spontanée, farouche, impulsive, menteuse, imprévisible, arrogante, obstinée, émotive, sensible, insouciante, possessive, téméraire, orgueilleuse, sans gêne, loyale, sociable, audacieuse, taquine, dévouée, intrépide, avare, solaire, indépendante, flemmarde, grande gueule.
Un charisme certain, tu cultives le secret, entretenant un mystère autour de ta personne. Peu d’individus peuvent se vanter d’occuper une place de choix dans ton cercle d’amis en qui tu voues une confiance aveugle. Ni influençable, ni malléable, t’es une femme qui veut s’assumer seule, sans rien demander aux autres, fierté et orgueil obligent… Force et détermination qui te font souvent passer pour dure et insensible, mais dissimulent pourtant des doutes, des incertitudes, des peurs et une grande fragilité affective. Sans aucun doute, tu essaies de compenser cela en te persuadant toi-même, en même temps que tu convaincs les autres. Les gens qui te connaissent bien ne s’y trompent pas et savent pertinemment qu’ils trouveront auprès de toi aide, secours et réconfort. Tu demeures sélective et ne peux t’attacher.à des êtres que tu n’estimerais pas. Tu utilises beaucoup d’humour cassant et de sarcasme pour te distraire et prendre de la distance avec des situations ou des personnes qui te mettent mal à l’aise, ou tout simplement pour détendre l’atmosphère dans des situations tendues. Sentimentalement, si tu communiquais mieux, et faisais taire ton orgueil, tout serait beaucoup plus simple.
Femme passionnée, aux impulsions rapides, quelque fois colérique mais souvent déconcertante, tu possèdes une forte personnalité, terriblement complexe. Ton caractère explosif et passionné ainsi que ton émotivité sont bien trop présents pour te laisser le temps de réfléchir, et t’auras ainsi tendance à avoir des paroles blessantes et insolentes, à parler à tort et à travers. Franchise causant des dommages. Dotée d'une forte mémoire affective, t’es relativement rancunière, tu peux des mois, des années durant, garder à l’esprit des faits passés. Ton orgueil est l’un de tes principaux défauts. T’aimes avoir raison, tu n’admets que rarement tes tords. Tu peux paraitre d’un premier abord dédaigneuse, prétentieuse et hautaine, mais en réalité tu es plutôt tourmentée. Obnubilée par l’argent, amoureuse et attirée par tout ce qui a de la valeur. Matérialiste à souhait. Boissons alcoolisées, ton café du matin. Vie bercée par les paradoxes. Lorsque t’es frappée par la solitude, t’auras cette cette fâcheuse tendance à diriger, à commander. Te montrant orgueilleuse, arrogante, voir même opportuniste. Mais lorsque t’es soutenue affectivement, tes faiblesses et ta vulnérabilité se révèlent en plein jour. Animée par un réel esprit de contradiction. Plongée dans ton monde, dans ta bulle, t’as ta propre façon de voir les choses. Comme l’a dit Baltasar Gracian, beauté et folie vont souvent de compagnie. Partout où tu vas, tu laisses dans ton sillage une foule d’amants inconditionnels. Charme, vivacité et féminité te caractérisent. Tu parais "invincible", comme si rien ne pouvait t’ébranler, et pourtant, tu manques clairement de confiance en toi. T’adonnant au péché de chair, constamment dans l’excès, prête à tout. Littéralement.
anecdotes
☆ Poupée aux cheveux d'or, au teint nacré et aux yeux velours, couleur océan. Nymphe aux traits angéliques. Beauté envoutante. Une fascination démesurée. Un visage attirant. Magnétique. Palpitant. ☆ vingt-cinq perles nacrées trônent paisiblement sur l'autel de tes sentiments. Bientôt données en offrande, la liberté semble éphémère et seulement autorisée à certain chanceux, les chaînes brisées dans le brasier des dieux. ☆ Les traits réguliers, le cou assez long et délicat, une silhouette originellement fine et des courbes douces et harmonieuses. Lèvres vermeilles, tes yeux langoureux, d’une profondeur insondable, restent ton arme de séduction absolue.
earth — La famille, ton centre de gravité. Ton noyau. Là où la vie commence et où l’amour ne finit jamais. normalement. cohésion inexistante. chaos émotionnel instauré par tes géniteurs depuis leur rencontre. amour qui faiblit, qui se ternit avec le temps. affection palpable et visible que t’éprouves pour chacune de tes soeurs. attachement inconditionnel. maïa, aurora et hannah. amour irrationnel. incontrôlé. Désirant protéger ces âmes frêles de tes propres mains. Leur montrer le chemin, la voie qu’il fallait emprunter. Persévérance accrue. Bercée dès ta naissance par des valeurs traditionnelles et archaïques. Une famille dessoudée, désunie. un père tyrannique. une mère aimante. des soeurs unies. perfection et excellence étaient de rigueur. boehringer, l’élégance allemande saupoudrée de gênes français et d’une détermination américaine sans faille. signification ignorée. Douce fierté qui s'échappe de tes lippes dès lors qu'il est prononcé. Nom qui captive l'attention des plus curieux. Un nom souvent resté discret, inaccessible. Proximité sacrée avec chacun de ses membres. Gamine effarouchée qui a toujours tenté de persévérer. Rendre fière tes parents. T’as fait de ton mieux pour rendre fier ceux qui t’avaient donné la vie. Gamine intrépide, incapable de trouver sa place au milieu des prouesses de sa soeur jumelle ou de la réussite exemplaire de sa mère - aujourd'hui décédée. Incapable de trouver une explication logique concernant l’utilité de ton existence. N’arrivant pas à leur hauteur. Petite fleur divine qui tarde à éclore et à s’épanouir. Celle qui possède la force mais qui est incapable de s’en servir.
ether — « Bah alors tu me réponds quand je te parle la timide ? Ah mais oui, j’oubliais, t’es muette, on t’a mangé ta langue à ce qu’on dit … Vraiment t’es trop bizarre ma parole ! » Rire sinistre qui résonnait tel un écho perpétuel. Ton quotidien. Un calvaire. Les jours se ressemblaient, se succédaient. Et tu ne pouvais rien y faire. Incapable de lutter. Incapable de sortir un son. Les mots restaient bloquer au fond de ta gorge. Un véritable calvaire, mené en prime par cette pimbêche au doux nom d’Ambre. Ce sourire cynique qui trônait constamment sur son visage. Préférant t’aborder lorsque tu lui tournais le dos. Lorsque tu te retrouvais toute seule. Âgée à peine de six ans et tu étais déjà soumise aux moqueries et aux railleries. Une image d’introvertie et de sauvage qui te collait à la peau. Timidité maladive. Nom du fléau qui t’habite et te poursuit depuis que t’es entrée à l’école. Il t’était impossible de riposter, de réagir. T’en étais juste incapable. Baissant la tête, subissant sans cesse. Présences qui te guettaient. À chaque instant. Chaque moment était un prétexte pour te rabaisser. Te faire comprendre que tu n’avais pas ta place ici. L’envie de lui refaire le portrait te démangeait, à chaque fois. Mais tu prenais sur toi. T’encaissais. Parce qu’après tout, qu’avais-tu à lui répondre ? T’avais aucune arme pour te défendre. Excepté ta bonté et ta magnanimité. T’avais pas envie de rentrer dans son jeu. Ni d’impliquer ta famille s’ils prenaient connaissance d’une altercation dans l’enceinte de l’école. Ne désirant nullement lire de la déception sur leurs visages. Toujours pointée du doigt. Chuchotements et malaises qui naissaient dès que tu foulais un couloir. Écartée, rejetée. Incomprise. Tapie, recluse dans l'ombre. Existence bridée. Fleur satinée qui réclamait seulement un peu de compréhension, un peu d’affection.
air — Âme qui se détériore. Réveils nocturnes. Cauchemars incessants et répétitions. Hallucinations qui te détruisaient. Lentement. Consumée par cette hantise. Traumatisée par ses souvenirs bien trop marquants pour une jeune âme en peine. Revivant sans cesse ces mêmes instants. Ces moments où ils te riaient au nez. Ces moments où ils te pointaient du doigt. Ces moments où ils chuchotaient dans ton dos. Il t’était souvent impossible de dormir. Impossible de penser à autre chose. Illusoire était l’idée de te défaire de leurs emprises malsaines sur ton esprit fragilisé et apeuré. Songes qui te rendaient de plus en plus instable, incontrôlable. Impuissante face à une telle calamité. Cris de détresse qui s’échappaient de tes lippes dès que l’astre lunaire régnait en maître. Tu dépérissais à vue d’oeil. Âme torturée, martyrisée, damnée. Pour le bien de ta santé mentale, tes parents prirent une décision radicale. T’envoyer loin de cet enfer pour rejoindre le paradis français. Retrouver ta famille qui vivait là-bas. Prendre un nouveau départ.
Et c’est à ce moment là que tu l’as rencontré. Aden. Rencontre organisée entre vos deux familles, amies depuis des années. Repas animé entre ta tante et la mère d’Aden. Conversations enflammées dans lesquelles tu n’y prenais pas part. Enfermée dans ta bulle. Dans ton monde. Tout comme lui. Aden se montrait distant, effacé aux premiers abords. Il ne te parlait pas, et tu en faisais de même. Mais il avait éveillé ta curiosité, ton intérêt. Au départ, ce n’était que des regards gênés échangés. Regards qui se sont transformés petit à petit en sourires intimidés. Un langage corporel. Un mode de communication qui n’appartenait qu’à vous. Des échanges de dessins pour transmettre vos pensées, vos émotions. Coquille impénétrable qui s’est fissurée à mesure que vos rencontres se multipliaient. Et sans t’en rendre compte, il t’est devenu indispensable. Un coup de coeur véritable. Désirant qu’il t’appartienne, doux fantasme lors de tes songes. Il est arrivé dans ta vie sans que tu ne l'es demandé. Et pourtant, il ne se passe pas un seul jour désormais sans que tu ne penses à lui. Premier baiser échangé à vos dix ans. Des regards tendres. Des gestes doux. Désir ardent palpable entre vos deux êtres qui s’est intensifié d’année en année. Ton coeur s’était entiché de lui. Amour inconditionnel. Appétit charnel se manifestant à chaque fois que ton regard se posait sur lui. Une attirance dangereuse. Dévastatrice. Jusqu’à ce que vous franchissiez cette fameuse ligne lors de vos quatorze ans. Un moment mémorable. Vos deux âmes unies, fusionnées. Vos deux corps serrés l’un contre l’autre. Dans une parfaite harmonie. Aden, il fait partie de toi. De ton passé. Et de ton avenir. il a changé ta vie, littéralement. Il t'a donné cette raison de vivre. Cette envie de te battre pour toi. Pour ce que t'aimerais être. Pour la femme que t'aimerais devenir. Sans lui, t'en serais clairement pas là, à l'heure actuelle. Ton être est lié à lui. Irrévocablement. Inséparables. Indissociables. Prête à tout pour lui. Même à donner ta vie, ou du moins ce qu'il en reste.
water — Relation émotionnelle et affective avec Aden qui t’a métamorphosé. Les sourcils froncés, tu demeurais au départ dans l’incompréhension. Le regard vide. Terne. Sans expression. La voix qui se noyait dans les méandres. Ne comprenant pas ces réactions démesurées, cette injustice envers toi. Ne comprenant pas toute cette méchanceté, cette agressivité que t’avais subi quotidiennement. Toi qui étais bercée depuis ta naissance par la bienveillance et la tendresse de tes proches. Mais tu ne t’avoua pas vaincue. Défaitiste ? Loin de là. Bien au contraire. L’air frais français te fit un bien fou. Circonstances qui finirent par forger ton mental d’acier et ta volonté. Déterminée à leur prouver ta véritable valeur. À leur montrer ce qui était vraiment Layla Rothschild. Une envie de t’émanciper. Toute ta vie, t’avais été soumise à eux. Obéissante. Humiliée. Plus jamais tu ne laisserais quelqu’un te malmener. Te dicter ta conduite, ta vie. Plus jamais. Ton désir de liberté et d’indépendance prirent rapidement l’ascendant. Désobéissant davantage chaque jour. L’arrogance et l’orgueil devinrent tes nouvelles armes pour t’affirmer. Ayant parfaitement compris qu’il te fallait désormais être supérieure aux autres pour ne plus jamais être traitée de la sorte. Victime d’harcèlement scolaire, tu finis par devenir bourreau, inquisitrice et tortionnaire. Indomptable. Calculatrice, manipulatrice. De nouvelle étiquettes qui s’accumulaient, image de beauté glaciale qui régnait en maitre dans les couloirs du lycée, Aden en prince des ténèbres à tes côtés.
« Tu lui donnes un 14 ? Sérieusement, Lay ? T’es un peu trop gentille là pour le coup » grommelle Cornélia, son visage penché au-dessus de toi, les sourcils froncés. Indignée par la note que tu venais d’attribuer à William. T’esquisses un sourire amusé, ton stylo virevoltant entre tes doigts, prêt à être de nouveau utilisé. Tu relèves la tête, prenant un air songeur avant de te tourner vers ta meilleure amie d’enfance. « Tu restes exigeante Nélia. Il se débrouille plutôt bien au lit. Je vais pas te faire un dessin mais disons qu’il a réussi à me surprendre à certains moments » tu rétorques, un fin sourire barrant tes lèvres. Le regard mystérieux. Elle pousse un long soupir avant de venir se rasseoir à côté de toi. « Si tu le dis, mais pour Julien, je suis catégorique. C’est un 10, je peux pas faire mieux ». Elle hausse les épaules, te prenant le fameux cahier des mains pour y inscrire un beau dix juste en face du prénom. Trente garçons y étaient inscrits. Sur cette fameuse liste. Objet de désir et d’attention pouvant se lire sur toutes les lèvres des lycées. Avides de savoir quelle note ils avaient reçus. Un jeu que t’avais instauré avec elle depuis votre arrivée au lycée. Un stupide pari au début. Désirant savoir laquelle de vous deux possédait le plus de conquêtes. Et puis votre jeu avait fini par prendre une autre tournure. Une tournure beaucoup plus dangereuse. Beaucoup plus dramatique. Trônant fièrement sur un banc, tandis que votre bande de groupies demeuraient assises à quelques mètres plus loin, vous passiez vos journées à corrompre les âmes les plus innocentes à votre cause. Sans aucun état d’âme. Vous n’aviez aucune limite. Et surtout personne pour vous barrer la route. Disons que les personnes gênantes, faisant obstacle ou ayant eu l’intention de vous stopper auparavant, avaient eu droit à un traitement spécial. L’allure provocatrice, fière. Le regard arrogant et effronté. Tu te tenais en haut de la pyramide, de la chaine alimentaire. Telle une impitoyable reine détruisant tout sur son piège. Bien des noms on t’avait donné. Les plus faibles s’agenouillaient devant toi ou fuyaient dès lors que tu étais dans leur champ de vision. Les autres te détestaient. Te haïssaient. T’admiraient. L’un ou l’autre, tu ne t’en préoccupais pas. Ta revanche, tu la tenais. Enfin.
fire — Relation devenue platonique au fil du temps. Il t’apportait affection et présence réconfortante. Mais vous aviez besoin de plus, tellement plus. Des désirs inavoués réalisés avec d’autres proies. Devenant une relation non exclusive avec Aden. Vous octroyant le droit et la possibilité de vous glisser dans d’autres draps. Tant que vous reveniez l’un vers l’autre. Tant que vous restiez les favoris dans vos coeurs déchainés. C’était votre deal. Jusqu’à ce qu’il t’annonce un jour qu’il avait décidé de partir. Loin de toi. Loin de l'Allemagne. Rejoindre les États-Unis. Nouveau challenge. Un tournant dans votre relation. Profitant de tes séjours sur Boston lorsque tu rentrais pour voir ta famille pour passer le voir. Prendre du bon temps. Raviver la flemme. Puis tu rentrais en France retrouver tes amants pour réchauffer ce corps déjà refroidi par les heures passées dans l’avion. Le lycée terminé, ta voie était normalement toute tracée. Choisir une carrière aussi exemplaire que ta soeur. Et pourtant, ton palpitant fut attiré par un autre chemin. Le patinage artistique. Un sport que tu pratiquais depuis que t’étais une gamine. Sport dans lequel tu excellais, une prodige de la glace. Ta place était sous les feux des projecteurs. T’en avais besoin. Alors tu t’es concentrée au maximum sur tes entrainements, visant toujours plus haut. Visant la meilleure place. Être la meilleure de ta catégorie. Remporter tous les prix. Et t’as fini par réussir à te propulser au sommet de ta gloire. Participant avec fierté aux Jeux Olympiques de 2014 à Sotchi, en Russie. Médiatisée, t’étais devenue la favorite en si peu de temps. Ta carrière était lancée.
Londres, 2017
Les compétitions qui s’enchainent. La pression qui s’accumule. Les regards constamment tournés sur toi. Sur tes performances. Aucun répit. Aucun temps mort. Et pourtant, t’en aurais bien besoin. Terriblement besoin. De t’échapper. L’espace d’un instant. L’espace d’un court moment. Te voilà, les yeux rivés sur ton cocktail, perdue dans un bar anglais, situé dans la capitale. Lassée, fatiguée. Perdue dans tes pensées. Jusqu’à ce qu’il vienne s’immiscer dans ta conscience. T’avais tourné légèrement la tête, ne désirant pas tellement donner de l’importance à cet inconnu. Puis tes yeux se sont posés sur lui. Un innocent échange de regard. Et tu ne répondais plus de rien. Complètement transportée dans un autre monde. Evan. Inconnu à la tignasse brune, au visage d’ange et au sourire ravageur. Une rencontre soudaine et violente. Les détails demeurent flous. Mais tu te souviens de ces lèvres capturant les tiennes. Tu te souviens de cette brûlure intense qui s’est imprégnée en toi. De cette passion qui vous a animé. Sensations et désir étaient à leur paroxysme. Tu ne contrôlais plus rien. Seul le contact de ton corps contre le sien maintenait ta lucidité. Demeurant captif et prisonnier de tes étreintes, de tes caresses, de tes baisers. Ce sourire narquois venant s’échouer sur tes lèvres dès lors que vous quittiez les toilettes. Lui qui semblait si innocent, si crédule ne se doutait de rien. Persuadée que t’étais comme toutes les autres. Des poupées malléables qu’on peut salir comme bon leur semble. Pariant sur ton coeur dans un jeu qu’il croyait amusant. Pensant t’embrouiller avec ses belles paroles et ses promesses vides. Tel est pris qui croyait prendre. Filant entre ses doigts sans qu’il ne comprenne dans quel pétrin il venait de se mettre.
Été 2020
« Lay, on doit arrêter… On ne peut plus continuer comme ça… » Phrases que tu ne cesses de tourner en boucle dans ta tête. Un cauchemar. Vision irréelle. Il t’avait quitté. Lâché. Abandonnée. D’un claquement de doigt. Les larmes qui s’écoulent depuis des jours. Tes larmes, fragiles, pudiques, insolentes, belles et trafiquent creusent leur sillage sur ton grain de peau. Se perdant rapidement dans les abysses de l’oubli. Le palpitant morcelé en plusieurs morceaux. Le coeur brisé. Vestiges d’un amour piétiné. Froissé. T’avais balancé ton téléphone. Sur le moment. N’ayant jamais pu penser qu’il oserait te faire ça. Qu’il oserait disparaître de ta vie. Absence qui a laissé un trou béant dans ta poitrine. Un trou qui peine à se refermer. Ses bras qui te réconfortaient quand tu étais en proie au doute. Quand la tristesse et la solitude t’habitaient, Aden était là pour te consoler. Maintenant, tu fais face au néant. Le corps éteint. Séchant les entrainements. Vivant au ralenti. Malheur qui s’accumule. Karma qui s’abat violemment sur ton sort. Chutant mémorablement lors d’une prestation retranscrite à la télévision. N’ayant pas su bien te réceptionner après ton triple lutz. Les pensées éparpillées. Nullement concentrée. Et t’en payais le prix fort. Luxation de genou. Une opération chirurgicale. Un repos forcé. Et une carrière mise en pause. Ton monde s’écroulait sans que tu ne puisses rien contrôler. On te proposa de rentrer sur Boston, retrouver tes proches, revenir aux sources. Aden y étant présent, t’as pas hésité à une seule seconde. T’avais besoin de lui dans ta vie. T’en étais persuadée. Ton dossier accepté à Harvard, le transfert s'est fait automatiquement. Finissant par répondre aux exigences parentales, en acceptant enfin de te lancer dans des études qui forgeraient ta nouvelle vie.
timeline (facultatif)
mois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla iciaesthetic (facultatif)
ici c'est ce que tu veux, des quotes, un moodboard, une playlist bref, feel free.
& irl, ça donne quoi ?
pseudo clem / enyo.
âge 26 ans
nationalité française
forum connu par... la belle marine.
ILH, j'en pense quoi ? une seconde maison.
autres comptes ? @Jade Beauregard @Hera Goldberg @Salomé Courtin-Clarins @Anja Marquis
avatar utilisé danika pienaar
crédits images
draiochta
nombre de mots par rp ça dépend de l'inspiration
type personnage inventé
code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude - explicatif pour remplir correctement dans ce sujet : marketing ; HARVARD BUSINESS SCHOOL ; première année
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@"layla rothschild" » <i>(marketing)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">DANIKA PIENAAR</span> <span class="inv"></span> @"Layla Rothschild"
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