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« Lâche moi, j'ai dis ! » fit-elle sur un ton sévère. Faisant la sourde oreille, Edenshaw la maintenait toujours par le poignet tandis que Luhànn peinait à le suivre, courant à demi malgré les haut talons sur lesquelles elle se trouvait. « Eden', tu me fais mal, arrête ! ». Puis soudain, sur un ton plus amusé et ironique, Luhànn lâcha « Tu sais, si tu voulais m'emmener dans un endroit plus tranquille, il suffisait de me le demander gentiment au lieu d'orchestrer une telle sortie de scène.. ». Luhànn rit doucement. Bien sûr qu'elle s'amusait à le titiller et le faire sortir de ses gonds. La provocation était de mise, c'était certain. Malgré tout ça, Eden' emprisonnait toujours son poignet et Luhànn n'avait aucun échappatoire. Il déboulèrent enfin sur la piste de dance. Bon nombre de couples dansaient, riaient, bavardaient malgré le trop plein de musique.
Surprise d'atterrir dans un tel endroit car persuadée qu'Eden l'emmène dans un endroit plus apte à un règlement de compte, Luhànn balaya la salle du regard où les étudiants s’éclataient. « La piste de dance ? C'est une blague ? Crois-tu véritablement que je n'ai que ça à faire que de danser avec toi ? J'ai une réputation à entretenir, permet moi de te le rappeler. » insinuait-elle qu'être davantage vu avec ce jeune homme pourrait mette en péril sa réputation ? Certainement. Luhànn ne mâchait pas ses mots et en prenait même un plaisir malsain avec son ex petit ami. D'un geste vif et brusque, Luhànn se détacha d'Eden et massa son poignet endoloris. « N'as-tu jamais appris les bonnes manières ? Laisse tomber. Question idiote, réponse idiote. »Une nouvelle musique débuta. Ade admira les changements de couleurs qui allaient en accord avec la chanson. C'était une musique douce et romantique et l'endroit prit une teinte rose et violette. La situation arrivait presque à son paroxysme : en effet après la scène qu'ils avaient donné dans le coin détente précédemment, les voilà ainsi partager une danse dans un endroit dédiée à l'amour.
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Allait-elle continuer d'hurler, de gesticuler et de tenter de se débattre longtemps ? Il le craignait. Attentif comme il l'était, il savait tout sur Luhànn malgré le fait qu'ils n'étaient à présent plus ensemble, autant ses qualités que ses défauts ; autant ce qu'elle aimait que ce qu'elle n'aimait pas. Visiblement, se donner en spectacle ne la dérangeait pas vu le nombre incalculable de fois qu'elle l'avait fait. Plus de temps ils passaient ensemble, plus elle l'exaspérait. Certes, ils n'avaient pas eu que des bas ... Mais pour l'enfer qu'elle l'avait fait vivre, il était plus que ravi de pouvoir la chauffer ce soir là. Tentant tant bien que mal d'ignorer celle qui avait rendu sa vie un véritable cauchemar durant quelques semaines, il ne put s'empêcher de sourire à l'une de ses répliques :

- Tu sais, si tu voulais m'emmener dans un endroit plus tranquille, il suffisait de me le demander gentiment au lieu d'orchestrer une telle sortie de scène.

S'il y avait bien une chose qu'il avait toujours aimé, chez elle, c'était cet humour. Tournant lentement de la tête en sa direction, il hissa un de ses sourcils, geste destiné à lui attribuer un air légèrement coquin. Puis, le jeune homme répondit, un sourire malicieux aux lèvres :

- On sait tous deux que ça aurait été moins drôle de cette manière là. Qui plus est, nous savons tous deux à quel point tu adores te donner en spectacle ... C'était vraiment un cadeau, que je te faisais là.

S'ils avaient toujours eu quelque chose en commun, c'était les réflexions qu'ils faisaient : ensemble, ils s'étaient toujours cherchés de la sorte. Séparés ? Ils s'en lançaient encore plus, et, bien qu'elles étaient de plus en plus aiguisées, elles conservaient tout de même une part de ... complicité. Certes, leur histoire était terminée. Mais au moins, elle avait existé.
Une fois arrivés dans un coin sombre de la salle où l'éclairage à teinte bleutée les illuminaient faiblement, il ne put s'empêcher de s'esclaffer à la remarque de Luhànn.

- Une réputation à entretenir ? Avec qui ? Tout le monde sait que tu es sans foi ni loi, ces nouvelles ne datent pas d'hier ! Tu es vraiment exceptionnelle toi : même dans la plus étrange des situations, tu arrives quand même à tout ramener vers toi ! Si c'en est pas un de bel exemple d'égocentrisme, ça !

Puis, se disant qu'il ne devrait pas aller trop loin, il rajouta plus doucement :

- C'est bon, détends-toi, repose ces muscles crispés sur ton visage : tu n'as pas envie d'avoir des rides plus tard, si ? Personne ne peut nous voir ici, ne t'inquiète pas ... Ta "réputation", aussi ... spéciale qu'elle soit est à l'abri des regards. Le pire qui pourrait se passer c'est que les gens croient qu'on soit en train de recoller les morceaux de notre idylle fraccassée, et encore, je pense que tout le monde a compris que c'était impossible.

C'est alors qu'elle se détacha de son emprise, plutôt brusquement. L'air amusé, il ajouta :

- Oh, oh, mademoiselle se fâche ... J'ai peur.

Oui, le Dunster prenait un malin plaisir à causer de l'embarras à son ex petite-amie et non, il ne le regrettait pas. De toutes manières, il ne pouvait rien lui faire de mal : c'était une femme forte, et les femmes fortes n'étaient jamais prêtes à se laisser abattre. Massant son poignet, la jeune femme en face de lui demandait s'il n'avait jamais appris les règles d'étiquette avant de rajouter une réflexion à sa sauce.

- Parce que tu sais poser des questions intelligentes, toi, maintenant ? Tiens, c'est nouveau. Je me demande quelles autres mises à jour la nouvelle Luhànn a reçu avec son cerveau : de plus gros seins ? Un coeur ? Non ... Une âme peut être ? Ce serait trop beau.

Leur "conversation" (euphémisme de bataille) fut finalement interrompue par une musique des plus douces, des plus romantiques. Immédiatement, la salle autour d'eux prit une couleur différente, se colorant de rose et de violet afin de symboliser ... L'amour. Ironique, étant donné la situation dans laquelle ils se trouvaient. Mais ce n'était pas la cerise sur le gâteau, non : la chanson qui passait était celle qu'ils avaient adoré ensemble. C'était "leur" chanson, du moins, avant leur rupture. Un instant, ses sentiments d'animosité envers la brune dispararurent dans leur quasi-totalité, laissant place aux souvenirs les plus heureux. Puis, ils revinrent avec plus d'impact qu'auparavant. Restant debout, bêtement, dans un coin sombre de la salle, Edenshaw demanda finalement à son ex :

- Tu te rappelles encore de cette chanson ou ta mémoire sélective s'en est déjà débarassée ?
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« Une réputation à entretenir ? Avec qui ? Tout le monde sait que tu es sans foi ni loi, ces nouvelles ne datent pas d'hier ! Tu es vraiment exceptionnelle toi : même dans la plus étrange des situations, tu arrives quand même à tout ramener vers toi ! Si c'en est pas un de bel exemple d'égocentrisme, ça ! » Luhànn répondit sur le même ton « Oh, mais c'est que tu me ferais presque pleurer. ». Le jeune homme répliqua une nouvelle fois, le don adoucis toutefois.
« C'est bon, détends-toi, repose ces muscles crispés sur ton visage : tu n'as pas envie d'avoir des rides plus tard, si ? Personne ne peut nous voir ici, ne t'inquiète pas ... Ta "réputation", aussi ... spéciale qu'elle soit est à l'abri des regards. Le pire qui pourrait se passer c'est que les gens croient qu'on soit en train de recoller les morceaux de notre idylle fraccassée, et encore, je pense que tout le monde a compris que c'était impossible. »
Lorsque Luhànn se détacha de l'emprise du jeune homme, elle eut droit à un « Oh, oh, mademoiselle se fâche ... J'ai peur. » Elle répliqua par un regard noir. Edenshaw jouait au même jeu que Luhànn et c'était ça qui avait toujours eu tendance à l'énerver. Le jeune homme ne la connaissait que trop et le savait pertinemment. Pourtant, malgré une relation chaotique, les deux jeunes gens avaient connus des moments heureux dans leur couple. Lorsque Luhànn s'amusa une nouvelle fois à le titiller, celui rétorqua « Parce que tu sais poser des questions intelligentes, toi, maintenant ? Tiens, c'est nouveau. Je me demande quelles autres mises à jour la nouvelle Luhànn a reçu avec son cerveau : de plus gros seins ? Un coeur ? Non ... Une âme peut être ? Ce serait trop beau. ». « Rien du tout véritablement, la Luhànn originale est bien trop parfaite pour pouvoir être améliorée d'une quelconque manière. Quoi que, petite modification tout de même : elle a réussi à trouver un mec un peu plus à sa hauteur. »
Bien que visiblement, leur relation fut un véritable échec, Luhànn avait garder quelques bons souvenirs. Entre autre, leur fameuse chanson. Cette chanson sur laquelle ils avaient passés tant de moments : ils s'étaient rencontrés pour la première fois sur cette chanson. Lorsque cette dernière retentit, le visage de Luhànn s'adoucit. « Tu te rappelles encore de cette chanson ou ta mémoire sélective s'en est déjà débarassée ». Son attention alla vers son ex petit-ami. La remarque ironique de son camarade n'eut aucun effet sur elle, et au lieu d'être à nouveau sur la défensive, elle baissa la tête. Quelques secondes après, elle la releva vers ce dernier et finit par dire, d'une voix étrangement calme et lente. « Non non, bien sûr que je m'en souviens encore. ». Un sourire amusé flotta légèrement sur ses lèvres. Elle tendit soudainement sa main vers le jeune homme, oubliant la douleur que lui causait encore son poignet. « Tu n'oserais tout de même pas me refuser cette danse, après la manière dont tu m'as traînée ici ? » fit-elle sur son ton habituelle d'ironie. Toutefois, on pouvait déceler un brin de charme. Que voulez-vous ? Luhànn restait la jeune femme séductrice à souhait qu'elle a toujours été. Et malgré les tensions entre Eden et elle, la Cabot ne pouvait s'empêcher de continuer la carte de séduction. Luhànn s'approcha à pas lents, ses talons résonnant sur le parquet sur-brillant de la piste de dance. Elle fut alors proche de lui et posa sa main délicatement sur son épaule. Ade plongea alors son regard bleu électrisant dans celui de son ex petit-ami et sourit en coin, se mordant la lèvre inférieur en même temps. « Que dirais-tu d'une dernière danse ? » finit-elle en parlant d'une voix charmeuse et chuchotant presque.
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- Oh, mais c'est que tu me ferais presque pleurer.

Il sourit. C'était qu'elle était vraiment drôle à voir, lorsqu'il s'y mettait. Lorsque Luhànn ouvrait la bouche, il n'y avait que deux manières de prendre ses propos : soit tel une insulte infligée par la plus dangereuse des armes, soit tel une farce à prendre à la légère. Malheureusement, elle n'aimait pas les gens qui voyaient dans son petit jeu, tout simplement parce que c'était à ce moment là qu'il cessait d'être drôle : à quoi bon passer du temps à trouver une chose bien frappante à dire à un individu lorsque celui-ci reste de marbre en y faisant face ? C'était une perte de temps ! Et Edenshaw lui faisait perdre son temps, ce qui la frustrait davantage. Il la connaissait par coeur, lisant ses émotions tel un livre ouvert ... Regrettait-il la fin de leur idylle ? Un peu. Au point de s'excuser et de recommencer à zéro ? Absolument pas. Néanmoins, le regard noir de Luhànn calma son élan un instant. À chaque fois que celui-ci s'était posé sur lui, les choses s'étaient toujours mal terminées. Très mal terminées. Néanmoins, il se resaissit rapidement : ils n'étaient, après tout, plus en couple. Quoi que Luhànn puisse dire ou faire ne pouvait plus l'affecter, à présent. Écoutant avec nonchalance et reflexion les mots aiguisés de la demoiselle, il ne put s'empêcher de ricaner froidement à la dernière phrase :

- Je vois décidemment que la "perfection" a toujours quelques défauts : par exemple, un manque d'humilité ? Je suis content que tu aies pu trouver un caniche qui te convienne, bien que je doute qu'il n'y aurait ne serait-ce qu'un homme sur ce campus assez sot pour pouvoir te désirer ... C'est bien beau de parler de hauteur quand on est minuscule.

S'il avait anticipé l'arrivée de leur chanson, il n'avait pas anticipé les émotions qu'elle éveillerait en lui : nostalgie, regret, chagrin, culpabilité ... Lorsqu'il y pensait, lui était celui à avoir traité Luhànn comme le pire des objets : il s'était servi d'elle - inconsciemment à un certain degrès, certes, mais tout de même - avant de l'avoir humiliée devant ses amis et la société dans laquelle elle vivait en l'ayant plaquée telle un poids encombrant. Lui qui se voulait galant s'était comporté en ordure avec elle ... Ses mots à son égard étaient donc plus que justifiés. Mais comment pouvait-il justifier le fait que Luhànn le mettait hors de lui et avait toujours réussi à le rendre fou ? Comment pouvait-il expliquer - et surtout, admettre - le fait qu'elle avait été l'une des seules personnes capables de le faire oublier ses devoirs et son sens moral un instant par son égoísme et son comportement irrascible ? Il ne le pouvait pas. Lorsque l'on y pensait bien, Luhànn et Edenshaw n'avaient pas été fait pour s'entendre, encore moins pour être ensemble. C'était sans doute cela qui les avait tout de même poussé à tenter leur chance ensemble, malgré leurs différences : cet espoir que tout était possible, mêlé à l'excitation et à la crainte qu'un imprévu ne vienne tout gâcher ... Et en tant que couple, ils étaient loin d'ennuyer l'autre. Journées passées à "expérimenter" au lit, sorties romantiques à la plage ou dans la forêt, soirées arrosées assistées ensemble ...

Mais Luhànn ne l'attaquait plus.

À dire vrai, elle semblait elle aussi soudainement prise au dépourvu par cette innatendue vague de nostalgie et de sentiments longtemps enfouis, tant et si bien que sa dernière remarque désobligeante envers elle semblait lui avoir rebondi dessus. Son bouclier était tombé, et c'était assez, bien assez, pour lui faire ôter le sien. Silencieux, il demeura un instant debout, un air solonel au visage, avant d'attraper avec douceur et légerté la main de celle qu'il venait de trainer de force dans ce coin sombre. Souriant à son tour, il lui décréta :

- J'accepte ... Mais uniquement à condition que l'on se promette qu'aucun de nous deux ne se mettra à chialer que l'autre lui manque. Marché conclu ?

Il regretterait sans doute un jour ces paroles, mais sur le coup, n'y avait pas prêté attention, puis, ils suivirent le rythme de la musique, leurs pas aussi rapides que précis. Ils étaient dans leur domaine. C'était comme au bon vieux temps, l'époque qu'il adorait plus que tout.

- Rien ne garantit qu'il s'agit de notre dernière danse, s'aventura-t-il finalement, S'il le faut, dans 365 jours pile, on sera à nouveau ici, en train de gesticuler sur cette même mélodie ... Seul l'avenir sait ce qu'il nous réserve, Luhànn. Mais bon, tu devrais le savoir à présent, vu le nombre de fois que je te l'ai répétée, cette phrase.
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