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RON WARNER ► na jae min

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ron warner

24.06.2002
somewhere in south korea ; nuit froide, la perte de l’accent de busan, brutes, les larmes du gamin coréen, à s’obliger de perdre les mélodies du pays d’asie, se complaire dans les normes américaines, à se perdre soi-même, nouveau lui.
w.ron
ou sûrement han seo jun, il oublie rapidement le nom qui glissait si aisément sur les lèvres (autrefois).
américaine
et cacher les racines coréennes quand elles bavent sur son visage (encre de corée).
coréennes
qu’on jette si vite dans l’oubli.
unknown
on s’en fiche un peu, quand on a dix-huit ans, des histoires à l’eau de rose et des conneries de l’amour (c’est juste une réaction chimique anormale).
célibataire
juge
première année.
sans bourse
aisé
c’est l’argent de papa qui fait le bonheur, à croquer dans le diamant et le goût acre des billets.
sans job


adams house - au goût de se réinventer, à l’espoir d’être quelqu’un (un jour sûrement, être les deux enfants à la fois, sans aucune distinction). jouer avec lui-même, découvrir les rêves qu’il a plein la tête, s’en foutre de l’avis des autres (c’est sûrement ce qui le définit le mieux). à faire rêver, il devient son propre (cauchemar). dérangé, quitte à lui coller cette étiquette, juge de son propre destin, il sera son art, à devenir sa muse, l’enfant juste deviendra son monde (fou).
simple, basique, une évidence. enfant de new-york, se doit d’être dans l’une des plus prestigieuses des universités du pays. être l’enfant d’une famille aussi réputée que la famille warner offre la possibilité d’être l’un des jeunes hommes qu’harvard aura bercé. alors, c’est les sats qu’il travaille, d’arrache pied (parfois à s’y cramer le crâne). encore un peu plus sérieux, il s’avance, se tient prêt, c’est l’image courageuse qui l’aide à obtenir l’entretien. aujourd’hui, le voilà à harvard, prêt à vivre sa première année.



a little boy - l’humain au bout des lèvres, presque à l’incapacité d’agir, la méchanceté qui manque (pourtant parfois le venin qu’il crache subtilement). astro boy - (perfique un peu, le môme, s’oblige à être l’inconscient, se permet les astres). la richesse qui orne les broderies du gamin, embrasse les perles rares, à épouser les regards curieux, enrichi le désespoir des autres, se permet d’être le rêve, quand le cauchemar nourrit le monstre qui sommeille (parfois, c’est difficiles, les terreurs nocturnes à observer seojun planer au dessus lui, infecté l’épiderme des larmes d’autrefois - virus qui se barre pas).

c’est les beaux traits, les fines peintures de son visage qui persistent dans l’esprit (il plaît, il attire, et lui se rejette, s’éloigne, disparaît, traverse le spectre de lui-même). la fossette adorable (y mettre une claque ou déposer un baiser, y’a mille choses à y faire, tantôt l’admirer dans l’ombre, tantôt l’ardent désir).
seo jun - c’est là qu’on admire l’encre de corée, les traits fins (on murmure l’adorable, on se permet les fantasmes sur le visage aguicheur).
ron - c’est la personne qui subtilement change, laisse place à une autre identité (il se reconnaît plus, n’a jamais réellement su qui il était).

adorable - il l’est, entretenir l’image du gamin heureux (on vole presque les fausses illusions des films de mauvaise qualité). à coup de sourire (les canines de sorties, on l’assimile à la malice d’un félin). il se soigne, souvent, son propre remède, entretient le mensonge dans les yeux des autres, on le connaît si peu lorsqu’on pense le connaître si bien. charmant, charmeur, il envoûte (hypnotise, vous êtes dans ses filets).
l’enfant prodige (il doit l’être, c’est une obligation), le warner, quand il oublie être han. l’accent de busan qu’il fout en l’air, c’est l’amérique sur le coin des lèvres, il oublie, trop souvent (c’est conscient).

l’humain, bordel ce qu’il fait du bien. c’est sa présence qui apaise (quand il est pas foutu de s’aider lui-même). à trop vouloir prendre le chaos des autres (quand c’est le sien qui le bouffe, y’en reste pas une seule bouchée).
phœnix - il renaît pas de ses cendres, il est les cendres, celles qu’on souffle, dans l’espoir d’un autre autrefois (ou d’un autre maintenant). are you gonna die today ? (monster in his head). il a du mal, le môme, à se supporter, quand c’est les autres qu’il pousse vers le mieux.

trop compliqué, il s’évade sur le bout des doigts, glissent subtilement sur la harpe ((lui) c’est l'instrument des dieux). poétique de musique, poète des muses, elles s’affolent, s’envolent, l’entourent et l’admirent (elles lui font l’amour, de mots et de maux). ron, enfant perdu, s’autorise la volonté des dieux, retranscrit le don des misères et dans l’écho, il sait qu’il est magique, possède le pouvoir divin d’être enfin quelqu’un.

gamin normal (quelques fois) - se crame la rétine sur the witcher, devient cendrillon de minuit, à devenir l'accro des images, c'est la technologie qui l'envoûte, à guérir les terreurs nocturnes dont il est victime (sa propre terreur nocturne).
on l'aime, dans le secret, et lui, contient les démons (aime à s'en faire mal). à l'apprécier, l'adorer (presque l'icône de ce qui n'existe plus).

awaken.


pseudo alice aka femme d'aster
âge 22 yo
nationalité coquillettes au fromage
forum connu par... mon cadeau de mes un an ici RON WARNER ► na jae min 1365124802
ILH, j'en pense quoi ? bwarf (c'est pour ça que je reviens)
autres comptes ? @Jo Hee Seo @Theo Yun @Hana Birks @Orion Moon
avatar utilisé na jae min
crédits images a-child-ish (avatar)
nombre de mots par rp ça dépend
type personnage pré-lien de @Calliopé L. S.-Warner
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juge ;; harvard kennedy school of government ;; première année :
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Un jour, une histoire



13th october, 2008, busan, sk.
l’encre de corée tâche l’épiderme, c’est les effrois de la nuit, les cris à terrifier la nuit elle-même, à sa dose d’horreur. il se remémore, le môme qui oublie, les rues fraîches, à venir croquer sa peau. il s’ennuie, le môme amnésique (c’est volontaire, à jamais vouloir entacher le renouveau), le monstre qui s’éveille, à venir le bouffer dans une terreur nocturne. il s’enferme, dans les regards qui jugent (et lui, il veut corriger l’injustice, voyez les airs de justicier).
never ever.
jamais être le fantôme d’autrefois, des doigts tremblant traverser l’aspect blanchâtre de l’enfant pleurnicheur, c’est comme vivre mort, ouvrir les yeux quand la vision se ferme à ce qu’il se passe là devant (le futur sur lequel il crache sans arrêt, à camoufler l’horreur sous le sourire d’ange).
lullaby.
c’est croire qu’on peut bercer l’enfant, noyé dans ses larmes, il s’étouffe (y’a un échappatoire ?) - on chante pour lui, les mélodies qui envoûtent (et elles l’enfoncent). il crève, là, de faim, de soif, les pieds de la couleur du velours, très certainement (le grand enfant le suit, les sourcils froncés, putain c’est quoi cette comédie ?). c’est flou, après, le néant, presque le chaos, on compte plus les heures, c’est un douloureux (le temps est lâche).

hard time.
on l’enlève, on compte l’histoire perfide (les clichés qui commencent à se rayer, les conneries du genre théâtre de mélancolie, à la noix on ira chialer sur le désespoir des gamins). c’est grisant, la musique de mauvais goût, fait le vœu de se taire, coud ses lèvres, et le pire c’est l’étincelle arrogante, dans les iris, c’est là que l’histoire se raconte le mieux.
stranger.
dans l’orphelinat, c’est le gamin à la bouille adorable (on le prend pour le démon, paraître si gentil alors que le regard est terrifiant). il reflète la vie qu’il a vécu, là-dehors, les parents faussement dans l’amour, qui parlent trop pour savoir agir (ils l’ont abandonné, c’était sûrement la meilleure décision).
illusion.
vite, il s’envole ailleurs. on change son nom (on efface les origines coréennes, on lui retire l’essence de son accent). ron, warner, n’a jamais connu la beauté de son pays, n’a jamais été élevé comme enfant perdu, la rue il n’a jamais côtoyé (parfois il marche pieds nu, là-bas, la nuit, comme pour se pousser à se souvenir).

busan…
c’est la sueur, le front moite, la respiration hachée, et on observe l’heure : toujours 1:00. i won’t let you go, busan… et le petit garçon aux merveilles, on sait plus réellement où il est passé, ce monde. s’y accroche, à en saigner parfois, retrouver l’essence du malheur (à se demander quelle vie il aurait eu si la corée ne l’avait jamais quitté si subitement).
fly away.
a tenté, de s’échapper, de la fausse réalité. à toujours revenir au point de départ. le faux père à tendre la main, et l’idiot à s’y jeter à corps perdu. courir là, les cheveux du ciel qui s’envole dans la brise, le sourire comme échappatoire (frivole, le gamin, tente par tous les moyens de s’échapper).
you are…
ron warner, han seo jun qui s’efface (ça fait presque mal, de pousser l’autre au bord du précipice). là, dans le puits des souvenirs, c’est lui que l’on meurt sous une autre identité (l’étouffer avec un autre, devenir cet autre, sûrement oublier la rue baptisée de l’encre de corée).

i just wanna be with you.
with the little boy… à se souvenir des nuits d’ivresse des astres, les pas qui mènent nul part, et là le sourire droit, à se tenir auprès d’une famille qui n’est pas la sienne (just a joke). grandir sous les airs de quelqu’un d’autre, les terreurs nocturnes qui éveillent, l’enfant qui pleure qui le surplombe (jamais savoir le prendre dans ses bras, le réconfort qui s’évanouit, le cœur lourd).

you’re my last hopе, my answer
you’re the missing last piеce
you know what
you’re the reason for my existence, the beginning and the end
the most important piece

han seojun to ron warner, ron warner to han seojun.

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DU LOVE
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Re-Bienvenue avec la gueule d'ange, amuses toi bien :heaart:
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"Red hair and a hand-me-down robe? You must be a Weasley." Richard

Je t'aime déjà, tu le sais mais t'es beau comme ça ! RON WARNER ► na jae min 2438915920
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rreeeeeee bébé chat RON WARNER ► na jae min 2511619667
on se réserve un (des) liens of course négatifs n'est-ce pas RON WARNER ► na jae min 166564858
welcome back RON WARNER ► na jae min 1365124802
ily RON WARNER ► na jae min 1f339
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Re-Bienvenue avec ce nouveau bébé RON WARNER ► na jae min 73120010
Bon courage pour ta fiche RON WARNER ► na jae min 1365124802
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Re-Bienvenue :heaart:
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j'aI HURLE

mon amour pour ta personne dépasse l'entendement
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@Suhee Hwang : t belle
jtm
du love
j'veux un lien avec suhee RON WARNER ► na jae min 550846730

@Charlotte Sherwood : merciii, on va se retrouver un lien toi et moi RON WARNER ► na jae min 1365124802

@Calliopé L. S.-Warner : tata RON WARNER ► na jae min 3997999705
jtm aussi
patiente encore un peu

@Yeon-Min Lee : UN LIEN C'EST GENRE OBLIGE DAMN
ily :heaart:
wait for me

@Caelum Moon & @Jeremiah H.-Williams : merci à vous deux :heaart:

@Aster Kang : on en parle de mon amour pour toi ?
stp prend mon coeur
jtm
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