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Leah M. Richards fiche; finiche. C'est le 18 décembre 1993 à Springfield, que la famille Richards m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Leah Maddlyn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidée de poursuive des études à Harvard en Psychologie, je suis maintenant en première année. Et pour terminer, je fais partie des students. |
Études Leah est venue à Harvard pour ces études de psychologie. Passionnée par la psychanalyse, détestant Freud et pratiquement tous ces concepts. Elle aura voulu passée en neurologie, mais n'ayant pas de courage pour la biologie, elle a laissé Sacks pour Yung. Elle a été inscrite à Harvard, poussée par ses grands-parents notamment, mais elle-même en rêvait. Elle est souvent plongée dans ses cours et dans ses livres. Derrière son air d'enfant sage, il y a cette fille déconneuse, qu'elle cache très souvent. Elle aime boire et fumer. Son paquet d'herbes est sous ses sous-vêtements dans le tiroir de gauche. Passionnée aussi de musique, elle joue du piano et de la guitare. Sa vie à Harvard se résume en quelques conneries discrètes, quelques tasses de café, des gâteaux à la framboise et beaucoup d’étude. | Caractère Caractère, la petite Leah se débrouille plutôt bien. Ayant une intelligence plus élevée que la moyenne, elle n’a pas de mal pour ses études. Sa réputation a du mal, tout le monde la prend pour une concurrente et coincée. Pourtant, elle ne l’est pas. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, quand quelqu’un la cherche, celui-ci la trouve. Détestant les populaires, ceux qui se prennent de haut. Elle déteste tout plat ayant de la viande, végétarienne et ça pour un long moment. Elle est gourmande, n’adorant que les framboises. Elle est tombée une seule fois amoureuse, mais pourtant, elle ne croit pas au réel amour, celui qui nous rend heureux. C’est aussi une battante, quand elle veut quelque chose, Leah l’a. Elle dit ce qu'elle pense, parle trop quand elle est stressé et ronge facilement l'ongle de son pouce droit, ou gauche quelques fois. |
« Pas besoin de gril : l'enfer, c'est les Autres. »
de Jean-Paul Sartre
de Jean-Paul Sartre
« Je ne sais pas réellement ce que je fais ici. Je déteste cette école, ce n’est pas possible. Et c’est quoi cet uniforme ? Maman, je fais quoi là ? Devant ce labyrinthe de bâtiments ! Ils n’ont même pas tondu l’herbe, regarde ! Donne-moi le café ! Si Harvard est aussi bien réputé, j’espère aussi que c’est pour son café. J’ai l’air de quoi, comme ça ? Dis-moi, je n’ai pas l’air bête, si ? » Elle ria de moi, café dans la main droite. Ma mère était toujours comme ça, je parlais souvent de trop, quand j’étais stressée. Je rongeais l’ongle de mon pouce, une habitude. Je regardais tout autour de moi. J’étais perdue, perdue dans ces bâtiments, ne sachant pas si j’étais à la hauteur. J’observais les étudiants se balader avant la reprise des cours. Je ne connaissais personne ici, tant mieux d’un côté, mais de l’autre non. Je cherchais le plan de Harvard dans mon sac, en essayant de ne pas renverser mon café pur. « Leah Maddlyn Richards, tu n’as pas l’air ridicule loin de là. Tu es assez intelligente pour prendre la première place de cette pute. Regarde là-bas, je suis sûre que c’est cette fille qui est la surdouée de tout Harvard. On peut toujours l’étouffer avec un sachet plastique et on la brûle avec ce café dégueulasse. Tu fous quoi ici ? » Elle jeta le gobelet à moitié remplie dans la poubelle avec un air de dégout. J’étais surprise de ce qu’elle disait et gênée. Ma mère n’a jamais été très discrète quand elle parlait. Vous voyez, cette personne parlant à la bibliothèque ? Vous n’entendez qu'elle et la seule chose à laquelle vous pensez c’est « comment » la torturer, vous imaginez une scène atroce comme dans un vrai film d’horreur. Mais vous ne faites rien, pleurant sur votre cours à étudier pour le lendemain. Et bien, voici ma mère. « Maman, crie pas comme ça, à force on va te croire tueuse en série. Et puis parle correctement, on est quand même à Harvard ! La meilleure école du monde » Elle fit signe de se taire, puis chuchotant « Non, le café est mauvais et les donuts ont une sale tronche ! Regarde ça. Mais bon, le vendeur est sexy donc ça va. Heureusement que je t’ai fais un garde-manger dans une des caisses, tout à la framboise, comme tu aimes » Je me retournais pour l’observer, buvant mon café en même temps. C’est vrai, il était mignon celui-là, mais être condamné à vendre du café et des pâtisseries à des élèves énervés, chiants et dégoutants, c’est un peu le début d’une mort longue et atroce. « Oui bon maman, ça va, c’est vrai. Maintenant, tu continues à le regarder ou tu viens m’aider à trouver, là, où je vais habiter sans toi ! Note, que ça me fera des vacances. » Je riais, tournant la carte dans tous les sens. Oui, le café était bon pour moi, non pour ma mère. Mais ce n’est pas grave. « Et papa, il vient quand ici ? Avec son boulot là, et ses réunions, j’en ai un peu marre. Sa fille rentre à Harvard ! Et il s’en fout. » J’observais la carte, Harvard était tellement grand, j’avais déjà repéré la bibliothèque. Puis ma chambre, je souris. Maintenant, il fallait que je trouve où était-ce réellement. Ma mère m’arracha la carte des mains. « Tu es méchante, moi qui voulais t’avoir jusqu’à mes trente ans en te surnommant mon bébé, chaque jour. Et ton père, je n’en sais rien. Sur le chemin du retour, je l’appellerais. Promis. » Elle fronça les sourcils. « Leah, ta vie est en danger ici, tu vas te perdre. Elle est où cette prison où tu vas dormir et étudier sans moi ? » Je pointais du doigt, souriant. J’étais excité, tellement de commencer mes études ici, ce que je voulais faire depuis toujours. Psychologie. « Prison, mais non… Trouvons ma chambre maintenant ! Et tu portes aussi les cartons, ok ? » Les quelques cartons nous entouraient. Il fallait tourner à gauche puis à droite et les résidences étaient là. Je plaçais mon gobelet vide sur l’un des cartons les plus légers. Je voulais garder le souvenir de mon premier café ici ! « Harvard me voilà... ! »
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - erikoinen. ↬ ÂGE - seize petites années ↬ PAYS/RÉGIONS - Belgique. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - / ↬ TES IMPRESSIONS - Le design est adorable, la mise en page aussi. ↬ CRÉDIT(S) - tumblr et moi même. ↬ AVATAR - ici. ↬ SCÉNARIO OU PI? - Inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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