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the in-between (libre)

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T'es encore un peu abasourdie de la découverte que tu viens de faire. T'as jamais été en psychiatrie, mais ce genre de boîtes, tu les reconnais facilement. Tu sais que lorsqu'il y a de la benzodiazépine, c'est que ça traite des troubles qui viennent du tronc cérébral, du mental un peu déréglé selon la composition de base et là, c'était une dose fortement concentrée. Et Jessie, il est autant sous le choc que toi quand il voit le flacon. « Ce mec était un putain de caméléon, il s'est fondu dans la masse. Il allait souvent voir une meuf..Gabriella j'crois qu'elle s'appelle. J'sais pas s'il l'a levée ou quoi, mais il sortait souvent en rencard. Tu crois qu'elle savait qu'il était barge ? Qu'elle a eu le moindre soupçon à son sujet ? » Tu secoues la tête, tu soupires. Parce qu'il a bien dupé tout le monde, ce grand malade. Il était là lors des recherches que les flics avaient organisées, il faisait comme s'il se souciait de nous tous en façade, alors qu'il était le marionnettiste de cette sombre tragédie.

Tu le laisses fouiller dans ce qui semblait être sa pharmacie, alors que tu fouinais ailleurs, à la recherche de tu ne savais quoi. La présence de quelqu'un qui savait, peut-être, qui était Keith. Rien. Pas de cheveux cassés laissés sur un peigne ou une brosse, pas d'effluve d'un parfum féminin abandonné dans un placard. Keith était la personnification de la folie en solitaire. Tu suis finalement Jessie dans la pièce d'en face. Tout est carré, trop rangé, comme dans une pièce témoin. Il s'attaque aux tables de chevets quand toi, tu ouvres les placards en bois massif. Des chemises, des vestons, des cravates, ordonnés minutieusement, par couleurs. C'est limite flippant. Aucune photo de famille ne se trouve encadrée dans la pièce. Tu découvres une mallette ancienne, et avant que tu ne la tires, l'écho de la voix de ton colocataire t'arrête.

Neuf mois, c'est largement suffisant pour élaborer un plan aussi fou que celui-ci, et le pire, c'est qu'il avait fini par improviser. « Ce mec était dangereux, et ils l'ont laissé dehors ? » T'es choquée, malgré toi. Mais t'avais besoin de savoir. T'avais le devoir d'apprendre ces choses pour ceux qui ont partagé ton enfer. Tu leur diras sûrement plus tard, tu pourras pas garder tout ça pour toi. Tu serres les dents, et tu reposes finalement les yeux sur cette mallette qui t'intrigues tant. Une pile de documents se trouvent à l'intérieur. Des comptes-rendus qui datent d'une bonne vingtaine d'années, qui évoquent les troubles de Keith. Et tu tombes des nues. Le profil du parfait tueur en série, et t'as croisé sa route. Tu tends les feuilles à Jessie silencieusement, avant de sortir comme une balle de la pièce, du manoir, même, à la recherche d'air. T'as la gerbe, tu te sens vraiment mal.
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Plus on fouillait et plus la folie apparaissait. Celle d'un malade qui avait décidé de son destin et de celui de Boston. Parce que toucher les plus talentueux c'était aussi toucher leurs amis, leur famille, ceux qui tenaient à eux et ceux qui les connaissaient à peine.
Tout le monde ne pouvait pas tout savoir mais ses médecins, ceux qui lui avaient tout prescrit auraient dû prévenir je sais pas qui. Il n'aurait pas dû rester dehors.

"Je pense qu'il cachait bien son jeu. Donc je crois que cette ... Gabriella ... ne se doutait de rien. Peut-être a-t-elle eu des doutes, mais probablement pas assez pour se sentir menacée."

Elle avait ouvert une genre de mallette. Elle était un peu vintage. Et je voyais dans le regard de Lana qui me tendait des papiers qu'elle était sur le point de craquer. Je pris les documents, et elle sortit en trombe de la pièce. Qu'est-ce que c'est que ça ? Après lecture de quelques lignes, je me rendis compte que c'était de vieux compte rendu. Ce Keith était diagnostiqué depuis quasiment son enfance. C'est dégueulasse. Et une violente nausée m'envahit. "Lana ? La-na ?!" hurlais-je entre les murs assombris par l'obscurité du manoir. Il faisait froid. Pas froid au sens propre du terme, non, mais l'atmosphère était lourde, pesante. Elle devait être dehors. De toute façon, si elle n'était pas dehors, moi, j'avais besoin de sortir.

J'avais juste besoin de sortir de cette maison quelques instants. Ma coloc était dehors. "Ca me dégoute" avais-je presque murmuré. Et de ma poche je sortis ce qui me restait. Une clope ? Un joint ? Un briquet. J'avais besoin de m'aérer la tête. "A ou B ?" demandais-je à Lana sans dire quelles étaient les options derrières ses lettres.
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Tu plains cette femme, cette Gabriella. Parce qu'au fond, elle aussi a été dupée par l'homme aux multiples facettes. L'homme bien sous tous rapports était doublé d'un psychopathe derrière les portes de son manoir. Tu la plains, mais tu n'iras jamais lui dévoiler le ressentiment que tu as à l'égard de cet homme qui avait su la séduire. Tu imagines sans doute qu'elle vit son propre enfer depuis. T'as sans doute cet espoir, en vérité. « J'pense qu'elle a été surprise d'apprendre la vraie nature de ce mec dans les journaux, et que le fait qu'il ait été abattu n'a pas été le choc le plus violent. » T'en sais rien, et t'as pas envie de savoir.

Malgré toi, en sortant de cet endroit maudit, t'as ton regard qui s'embuent de larmes, celles que tu ravalais en présence de Jessie. Tu voulais être forte, te montrer plus solide que tu ne l'es vraiment. T'as du mal, encore, à dévoiler tes failles les plus profondes. Pleurer, c'est montrer que t'es fissurée de partout, et tu veux pas montrer cette image de toi, pas une fois de plus. Tu l'as assez montrée face à tes amis, face à des inconnus dans ce qui se trouve être à quelques mètres sous tes pieds. T'as qu'une envie, c'est d'hurler au coeur de la nuit, mais ça aussi, tu te retiens. Parce que t'es pas sensée être entrée là-dedans, parce qu'il est tard, et parce qu'au fond, t'as même pas la force de faire ça. Même mort, il réussit encore à te flinguer, cet enfoiré. Tout ce que t'as la force de faire, c'est attraper une grosse pierre qui se trouve non loin de toi et de viser sa putain de colonne en marbre à la con. T'as lancé de toutes tes forces, de toute ta rage et de tout ton dégoût.

Jessie sort finalement des lieux à son tour et t'as même pas cherché à essuyer les vestiges de ta douleur sur la peau de tes joues. « Ses médecins auraient pu éviter tout ça et ils ont rien foutu.. Ils ont même pas cherché à communiquer son profil psychiatrique aux flics alors que..ça semble logique putain. » Tu passes une main dans ta crinière blonde, t'en tremble encore. « Le plus fort des deux. » que tu réponds en soupirant. Tu regrettes de ne pas avoir un peu d'alcool sur toi. « Tu crois qu'il a de l'alcool planqué quelque part dans son palace, le macchabé ? » T'es prête à tout, là, pour calmer ta crise. Même à entrer à nouveau pour trouver ton Graal.
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"Ok chef !" avais-je signé, va pour le joint alors. Je sortis mon précieux hors de l'emballage dans lequel je l'avais rangé. C'est pas la Californie ni l'Ontario ici, on doit cacher ce genre de bien. Je l'amène sur mes lèvres, le coince et l'allume. J'en tire une taff. Lana me regardait, me parlait.

"Ils devraient être radiés. Ses médecins je veux dire." avais-je ajouté en expirant. Il faisait froid et la fumée en était d'autant plus blanche et plus épaisse que d'habitude.

Est-ce qu'il avait de l'alcool ? Oui, probablement, je pense qu'à ce stade, plus rien ne pourrais m'étonner.
Je lui tendis le léger cône entre mes doigts.
"Je t'en prie !" Mon sourire était sincère et pas trop prononcé. Je sais, je le sens : Lana n'est pas bien. Pas aussi bien qu'elle ne souhaiterait le prétendre. Les traces de larmes sur ses joues la trahissent.

Je ne suis pas un ami, je suis humain. Je vois ce que la plupart des gens ne veulent pas voir. Je sens ce que la plupart des gens ne peuvent pas sentir. J'entends ce que les gens n'osent pas dire. Et Lana, même si elle voulait paraître forte, elle avait besoin d'un ami. Je dis pas que je suis le meilleur ami qu'il soit sur cette planète mais au moins, je suis quelqu'un qui peut comprendre bien plus que ce qu'on pourrait le penser.
Le dos à la maison, les yeux fermé et dirigés vers le sol, j'ajoutai : "Ne t'en fais pas, personne ne viendra de chercher pour te demander de l'argent pour avoir abimer la colonne."
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T'avais la haine envers ceux qui auraient dû faire leur boulot et qui n'ont rien fait. Tu te dis qu'un mec comme ça, on ne le laisse pas sans surveillance dans la nature, qu'un suivi plus régulier et plus strict serait le minimum, mais faut croire qu'il a peut-être aussi dupé ses médecins, pour n'avoir aucun suivi depuis près de neuf mois. Tu comprends pas. Tu bouillonnes intérieurement, et toutes ces autres choses qui te mettent dans tous tes états, ça ne t'aide pas à garder le contrôle sur tes addictions, tu les sens revenir de plus belles, si bien que tu as besoin d'un truc à effet psychotropes. Même léger, c'est mieux que rien. Mieux que ce que tu faisais avant de partir. Tu fais les cents pas, tu ne dis plus rien, jusqu'au moment où Jessie te tend le joint. Tu feins un sourire avant de tirer dessus, de laisser la fumée brûler l'œsophage, encrasser un peu plus tes poumons. « Merci.. » soufflais-tu en laissant l'épaisse brume blanche s'échapper dans les airs.

T'avais la sensation d'avoir perdu pieds un peu plus qu'en arrivant. Parfois, on recherche des réponses pour aller mieux, et toi, t'as l'impression que tu t'es enfoncée un peu plus dans ton trou en apprenant ces choses ce soir. Alors t'as explosé la colonne comme l'homme t'a explosé le mental. Avec force, en te délectant de voir l'impact conséquent, à l'image de ta rage. Tu soupires dans un léger rire malgré tout. « Ils peuvent toujours allez s'faire mettre. » Tu tires encore sur le joint, avant de le rendre de nouveau à son propriétaire. « J'vais vider le bar et on s'tire ? » T'avais plus envie de rester là. T'avais pas envie de continuer de sentir la présence malaisante de ton bourreau. Parce que tu le sens, ça te glace le sang et tu ne dis rien.
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Elle accepta ma proposition. Il faisait toujours froid. J'aurais du prendre une veste plus chaude. La nuit commençait à s'approfondir, il faisait noir maintenant et nous étions éclairés par les deux lampadaires en face du manoir. Elle prit deux taffes avant de me proposer d'aller vider le bar.

"Je t'accompagne ! A deux, on a 4 bras, et qui veut dire 4 bras, veut dire plus de bouteille !" Bon d'accord, j'avais mon sac mais en même temps, j'allais pas laisser mon vélo ici pour rentrer ! Faut que je le porte jusqu'à la maison ! Et puis pour être honnête, je voulais pas trop laisser Lana toute seule dans la maison de ce taré. Pas que ça m'inspire pas confiance mais je veux juste pas qu'elle soit toute seule à ce moment là.

On entre alors et se dirige vers le salon. Il y avait une grande télé, un piano à queue et deux canapés d'angle non loin de la cheminée. à notre droite, un grand bar. Les bouteilles étaient presque présentées derrière, sur des étagères en verre, illuminées par des lumières blanches, bleues et jaunes en fonction de l'alcool exposé. Je me dirige alors dans la cuisine, on ne sait jamais, il pourrait y avoir quelque chose. J'ouvre le frigo et trouve deux bouteilles enveloppées d'aluminium doré. Ca a pas l'air américain mais en tout cas, ça a l'air d'être un truc à boire. Au pire je prends et on verra bien plus tard.

Je prends les deux bouteilles par le col et les emmène dans le salon en les posant sur le bar.

"Regarde ce que j'ai trouvé ! Du ... Champagne !" avais-je lançé en lisant l'étiquette
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La nuit s'assombrit et le froid se veut de plus en plus mordant, si bien qu'un frisson vient parcourir ton corps entier, donnant vie à un mouvement disgracieux et à un juron de ta part. Tu détestes ce genre de frissons, qui te rappellent que t'as un toit sur la tête depuis quelques jours et que tu serais sans doute mieux au fond de ton lit qu'ici et que tu entrainerais personne dans l'illégalité avec toi comme t'es en train de le faire. Mais il te suit, avec un entrain que tu ne comprends pas. Mais après tout il a raison, à quatre bras, vous aurez plus d'alcool à planquer dans votre chambre. Tu regardais son sac à dos et tu te dis que tu peux facilement planquer trois ou quatre belles bouteilles bien larges, et tu ris doucement. « J'ai ma bagnole garée un peu plus loin, on peut tout vider si on veut. » Au moins, cette soirée ne sera pas vaine, tu pourras te souler gratuitement pour les fêtes de fin d'année.

De retour dans ce foutu manoir qui te donne la chair de poule, encore plus quand tu sens la présence de Keith dans ton dos alors que tu sais l'endroit vide depuis près de deux mois maintenant. Tu glisses ta main sur ta nuque pour contrer la sensation désagréable que tu ressens et tu avances dans le grand salon, tu ouvres les placards que tu trouves sur ton passage. Tu ne fais pas attention à ce qui t'entoure, tu veux juste que Keith te laisse tranquille, qu'il arrête de te hanter comme il est en train de le faire. Tu marmonnes des trucs à son attention en claquant certaines portes vides des élixirs que tu recherches frénétiquement. Tu tombes finalement sur un bar ancien, qui enferme de nombreux trésors. « Tu buvais pas d'la merde, Linbergh.. » sifflais-tu entre tes dents quand la voix de Jessie revenait vers toi, fier de ses trouvailles. « Champagne millésimé.. il avait des goûts de luxe. » dis-tu en levant tes deux bouteilles de Kavalan King Car. T'as presque deux milles dollars dans les mains. Tu les poses avec délicatesse sur la table non loin de toi et tu cherches encore ce qui peut bien se trouver là.
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"C'est clair !" avais-je ajouté. Je n'en avais jamais bu. Trop cher même les plus petites bouteilles et les moins cher était toujours trop cher pour nous. En même temps, habiter à New York, c'était forcément synonyme de payer une fortune pour avoir un toit sur la tête. Alors maman avait choisi le toit.
Elle se mit à fouiller derrière le bar. La tête presque dans placard.

Elle semblait si concentrée que je m'écartai un peu. Les canapés étaient grands mais étaient-ils confortables ? En m'asseyant dessus, je compris que la réponse était positive. Devant moi, une grande télé digne d'un projecteur pour les matchs de baseball, une cheminée juste dessous, ce qui à mon sens n'est pas forcément logique mais soit. A ma droite le bar où était caché Lana et à ma gauche une petite table avec une bouteille en forme de poire, remplie d'un liquide couleur ambre.

"Euh Lana ? ... Tu sais ce que c'est du 62 Year Old Dalmore ?" avais-je demandé toujours en lisant l'étiquette. Bah quoi ? Moi j'amène les diluants quand je suis invité donc je n'ai pas besoin de me casser la tête dans un rayon immense de bouteille d'alcool. Mais pour être honnête, je n'ai jamais rien vu de tel, la bouteille avait une forme vraiment très particulière que je n'avais vraiment jamais vu auparavant. Elle était ouverte, mais on aurait dit que rien n'avait été consommé. Lana se cogna la tête après mes quelques mots. Je repose donc la bouteille et me lève. "Lana ça va ?" lançais-je un peu inquiet.
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T'étais pas là pour te foutre une tonne de fric dans les poches en revendant des bouteilles dans une vente aux enchères, mais plus tu regardais les bouteilles qui faisaient partie de sa collection, plus tu te posais la question. T'avais déjà sorti deux bouteilles à près de mille dollars chacune, tu le savais parce que t'avais regardé ça sur internet une fois, pour te faire plaisir et t'avais abandonné l'idée en voyant le prix. Tu t'étais rabattue sur ce bon vieux Jameson habituel. Et t'avais un tas de trésors sous tes yeux, mais le nom que Jessie t'annonçait te fit te redresser vivement, si bien que ton crâne heurte le placard. « Aïe, la putain de sa mère la morte. Attends, t'as dis quoi, là ? Dalmore 62 ans d'âge ? » demandes-tu finalement, en sortant la tête de son antre, la main qui frotte l'endroit de la collision avec le bois. « Ouais, c'est rien, t'inquiètes. » Pas de sang, c'est que tout va bien. Il faudra que tu fasses des recherches en rentrant à la Currier au sujet du prix de cette bouteille, tu sens que ça peut être beau. « Tu embarques, mais on y touche pas pour le moment. Du 62 ans d'âge, c'est précieux. »
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Visiblement, c'est la bouteille qui coûtait cher. Une forme de jackpot liquéfié. "OK chef !" Dis-je, mains en l'air, avant de reprendre la bouteille. Je m'avance vers le comptoir, dépose délicatement l'objet dessus. "Tu as trouvé quelque chose ?" demandais-je par dessus le marbre du bar. Il était froid. Un peu comme toute la maison. Elle remonta quelques bouteilles trouvées.
"Cet endroit me fiche la chair de poule, je sais pas pourquoi, ça te dit si on se casse ?"
Un acquiescement de ma coloc, je n'en attendais pas moins. Nous primes les différentes bouteilles dans nos bras, elle pris le whisky, et le champagne et moi ses petites bouteilles dans mon sac. En sortant, elle se dirigea vers une voiture. Sa voiture. "Je te mets tout dans ton coffre, je prends juste mes clés et mon téléphone au cas où tu déciderais de faire un tour, j'ai mon vélo juste là bas" ajoutai-je en montrant du doigts le bout de métal argenté et doré. Quelle petite joueuse. Ceci dit et à bien y réfléchir, elle était venu là probablement dans un but précis alors que je m'étais laissé aveugler, guider doucement vers cet endroit lugubre, comme une guêpe est attirée par la bière.
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