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SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine

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Sanae Malù Rothschild

naissance
16/09/1996, Londres, Angleterre
nom et prénom (s)
Sanae Malù Rothschild
nationalité(s)
Anglaise
origine(s)
des harmonies joliment ( ANGLAISES ) sur ton âme; pas de fioriture sous les traits de la jeunesse. Un père aux origines allemandes, une mère américaine, aux origines canadiennes et brésiliennes. L’Angleterre, ton seul pays d’origine.
-c'est toujours ce qu'on te dit !
orientation sexuelle
Deux filles, amoureuses, qui se... Non. T'as jamais été attirée par les filles et t'as jamais eut de problèmes avec ça. T'aimes les hommes, ceux avec des dos puissants, des mâchoires carrées, les yeux couleurs troublemaker.  
statut amoureux
Stand by des émotions et des sentiments, l'amour dis-tu ? Tout le monde en rêvent et pourtant si peu de personnes arrivent à être combler. Tu es un volcan qui aime faire vivre l’enfer. Ton dernier amour a fait de la taule. Cœur absent. Vide de sens. Le prince charmant, tu n'y croit plus. Coeur noir paralysée, incapable d’oublier. Célibataire, qui a une malchance avec les hommes depuis ta rupture amoureuse, ils te voient simplement comme la bonne copine. Relation tumultueuse, relation passionnel jusqu’à qu’il ne décide de tout foutre en l’air. Il ne te pardonnera jamais, tu le sait que trop bien. Il avait besoin d’adrénaline dans sa vie et t’as pas pu le suivre dans son périple. Il a fallu faire un choix.
études
Tu as choisi les études de marketing, un peu pour suivre le mouvement et pour ne pas décevoir le paternel. Mais petite, tu voulais juste rêver de princes et princesses aux côtés de ta jumelle. Juste a exister en suspens dans le labyrinthe de la vie que tu a hériter. On a dit de toi que tu aurait pu être mannequin, d’ailleurs la mode n’a plus aucun secret pour toi. C’est ton dada. Tu as ce rêve de crée ta propre ligne de vêtements.
bourse
Non pas besoin
statut social
Plutôt très très très aisée, Tu n'as jamais eu a te plaindre. Tu peux même sentir le doux parfum de ce pouvoir. L'argent ça tue. L'argent te donne des ailes. Tu peux céder aux moindres caprices : ça s'appelle avoir les moyens. Daddy donne et donne encore. Remplir ton compte en banque Check. Mais ce n'est pas trop dur la vie, hein ? Touché - couler.
job étudiant
mannequin & styliste à ton compte.


— L’élitisme. Héritière du fort. C’est un privilège d’intégrer la PH. De par le statut de ton paternel, cette maison c’est ton paraître. Le jaune, couleur des dominants du monde. C’est un devoir de famille. Née dans ce monde, tu te dois d’être à la hauteur de toutes les sacrifices que cela implique. Malgré tous les obstacles sur ton chemin, tu te bat comme une lionne jusqu’au bout et n’essaie de rien laisser paraître. Un nom à honorer, une image à dorer et à sauvegarder. C'est une puissance exemplaire qui ne serait pas se passer de toi. Brune incendiaire, prête à tout pour obtenir ce que tu désire, telle une fusée, une comète que rien ne pourra stopper. C’est ton havre de paix, faire partir des meilleurs car tu représente la glorificience.
| I T G I R L | Avant de pouvoir intégrer Harvard, tu savais quel chemin prendre et surtout quoi faire. Tu as fait toutes les démarches nécessaires pour y entrer. « Postuler » dans le jargon universitaire, tu peux te vanter d’avoir des notes fabuleuses : 1600 au SATs. Brillante, tu l’es cela ne fait aucun doute. Ton dossier était solide et parfaitement correcte, comme a ton effigie. Creative dans l’âme, tu a toujours mit passion et créativité dans tout ce que tu a pu faire. Exigence - Réussite - tu a toujours été la meilleure des meilleures. L'entretien fut assez long - non parce qu'il était ennuyant, mais avant tout par ton excellence. Tu sais parler, les gens boivent tes paroles comme le pur des délices. Et, tu sais ce que tu veux. Intégrer Harvard fait parti de ton ADN, avec en binôme ta jumelle tu ne peux qu’exceller parmi les meilleurs.


douceur candeur.
douleur saveur.
c’est ton cœur,
qui désire avec trop d’ardeur.



D O U C E — Sanae, la fleur, fragile et belle. Délicate dans tes gestes, douce et parfaite symbiose nageant dans une magie. L’amertume sur la langue, la rage dans les yeux et pourtant qui apporte l’espoir. c’est la douceur d'un matin d'hiver, l'émerveillement d'un conte de fées, toujours un sourire pour remercier, toujours un mot lancé pour réconforter, une main pour apaiser. Un cœur ambulant. Un charme à l’anglaise. Tes lèvres fredonnent une mélodie délicate, satinée, à l’oreille des âmes erratiques, des coeurs insidieux, des chairs écharpées. C’est l’innocence au bout des lèvres, les étincelles dans les yeux, le rire enfantin. Tu t’émerveille d'un tout, d'un rien. C’est la douceur dans la voix, la simplicité, le naturel. Tu es d'une douceur, incomparable. Indescriptible. Cela a toujours été ainsi, avec toi. C'est plus fort, que toi... L'air serein, prône, sur les fins traits, de ton visage, pâle. Blafard. Tu portes, constamment, ce masque de l'indifférence. Eternellement, ce masque, de la déférence. Tu le porte, sur ton être, ta frêle silhouette, tel un bouclier de protection. Parce que, dans le fond, tu crains, de le montrer. De le divulguer, au monde entier, tout en prenant le risque énorme, de te brûler tes ailes fragiles et délicates. Parce que, pour toi, cela résonne, comme une marque de faiblesse... Alors, tu restes de marbre. Aussi droite, qu'un piquet. Aussi raide, qu'une planche de bois, quoi qu'il advienne. Quoi qu'il se passe... Tu restes, aussi belle, aussi froide, tel un pâle matin de printemps, qui frissonne, encore, sous un hiver de glace. Un hiver tenace. Y a que Danae, qui sait ce qui se trame, dans les fins fond, de ton boudoir. Dans les fins fond, de ton âme perdue, esseulée. Damnée. Et, quelques personnes proches, qui peuvent être dignes de ta confiance..M A T E R N E L —Tu as ce côté maternel qui contrebalance totalement avec la femme-enfant que tu peux être, parfois, surtout lorsque tu t’autorises à lâcher prise. D I P L O M A T I Q U E — Pour toi, il est, totalement, évident, que la diplomatie, s'impose. Que la bonne justice, règne en maître, sur cette vie terrestre, bien cruelle. Bien trop sombre, pénible, et amère, qui ne fait, que broyer les plus faibles, sur son chemin... Tu préfères méditer. Bien réfléchir, avant d'agir. Quitte a persuader, engager, les pourparlers. Hisser, le drapeau blanc. Entériner, sur le moment, la hache de guerre, plutôt, que de la confronter. Tu te sais, sans nul doute, que, tu n'es, point, douée, pour ce genre de choses. User, de la force. De la violence, est un point de divergence, dont tu redoutes, follement. Hardiment. En revanche, s'il on abuse, de trop, de par ta bonté. Ton indulgence. Qu'on trahit ta confiance. Ta bien aisance. Qu'on te vole, te dérobe, dans la foulée, ton innocence, ta plussoyance, alors, tu n'hésites plus... Tu décides d'ignorer, d'écarter, cette personne, de mauvaise augure. Sombre présage, qui inaugure, ta toile, étoilée. Ternie, par les ombres, de ce triste passé. Tu sors les griffes. Tu serres les poings, alors, que tes dents, grincent, dans un semblant d'amertume. Et, l'air renfrogner. Ta grise mine, arborerait, ta connivence. La rancune, fait place, à la mélancolie. A la douleur. Au ténèbres, qui t'engloutissent. Se dérobant sous tes pas. Derrière ton tracé, où se mêlent, les démons, tapis dans l'ombre. Sortant de leur triste rochers. C A P R I C I E U S E — t'aimes avoir le dernier mot, tu voudras toujours prouver par a + b que tu as raison même quand tu as tort. T’aimes avoir les choses quand tu le veux, tu ne t'en caches pas, tu sais que ça peut faire chier mais tu t'en fiches, n'est-ce pas naturel de souhaiter des choses et de tout faire pour les avoir ? F R A G I L E —fragile à l’état brut, funambule dans ta bulle, l’oiseau fragile. L’oiseau blessé. L’ange déchu. La fragilité à l’état pur, sous tes airs purs. Tu es divine, on te devine. D I A B L O T I N E — lueur maligne dans tes iris. Tu joues avec le diable, mi ange mi démon. Tu moques un peu la vie. C’est si bon parfois de jouer avec le feu. L O Y A L E —Sanae, tu n’as jamais trahi, jamais trompé. Soleil fidèle possédant une lumière qui ne faiblit pas. C’est peut-être un défaut, à force d'être si marqué. Cette fidélité qui t’empêche de retirer le filtre sur tes amitiés. ça courra à ta perte, lui disait l'astre étoilé.A M B I T I E U S E— Pour toi, c'est un élément clef, qui t'es important. Capital, pour te sentir à l'aise. Bien dans ta peau. Peut-être, parce que tu aimes ce que tu fais. Ce que tu créées. Parce que tu t'es toujours connu, comme cela : motivée, confiante. Tu as toujours réussit, ce que tu entreprenais. Quelque soit le doute, la difficulté, de la situation. La branche que tu prends, le succès, tu connais. Tu apprécies cela, d'ailleurs! Tu rêves d’une vie de créatrice de mode, réussir avec les meilleurs. Tu as cette lueur dans tes yeux qui prouvent aux autres que tu en veux plus, toujours plus et que tu es prête à tout pour obtenir ce que tu désires. D A N G E R E U S E— « Qui s’y frotte, s’y pique » est sûrement une expression inventée pour te définir. Tu peux te montrer très imaginative lorsque tu dois faire comprendre que l’on ne doit pas s’en prendre à toi ou à tes proches, c’est dangereux pour les autres. D R O L E— car faire rire les gens c’est comme une seconde nature, que tu as toujours une blague pour amuser la galerie. Un humour décalé. C’est fou comme ton sens de l’humour est marrant et avec ce petit air très sarcastique c’est foudrement épique. T Ê T U E—comme une mule. c'est terrible de savoir ses torts et pourtant d'être incapable de les assumer et de les avouer. F R A N C H E— Tu es d'une franchise incomparable. Peut-être, est-ce, pour cette raison, que cela, te cause, certains tours. Qu'ils soient bons ou mauvais, d'ailleurs... Tu sais, que, tu dois, parfois, te lier la langue, afin de t'éviter, quelques tourments. Parce que, tu te sais, parfaitement, que, parfois, les mots, peuvent être de nature, bien profonde. Bien trop cruelle, et pesante. Bien trop blessante. Tu as, déjà, essayer, à maintes reprises, de te contenir. De garder, tout cela, dans le fin fond de ta mémoire. De ton esprit esseulé. Parfois, même, brisé. Tu tentes, vainement, de les chasser. De les envoyer valser, dans les méandres, de l'oubli. T’as aucun filtre, aucune retenue. T’es vraie avec le monde, vraie avec les autres. Tu aimerais, pouvoir, te changer, cet attrait. Réussir, à te démêler, de ces situations maladroites, étroites. Etourdissantes, qui te mettent, souvent, dans l'embarras. Tu voudrais, te demeurait, à jamais, au silence. En particulier, quand, cela fait souffrir, les gens de ton entourage, tes proches. Tu te maudis, dans ces moments-là. Ces instants fugaces. Tu aimerais, souhaiterais, pouvoir, te gifler. Te remettre sur le droit chemin, alors, que la raison, te fuit, sans contritions. Mais, rien y fait... Tu dis et révéleras, toujours, la vérité - la vérité, et rien qu'elle. Parce que, dans le fond, c'est tout ce que, tu peux, véritablement, contrôler. Parce que, c'est tout ce que tu peux offrir, dans ces moments passagers. Parce que, pour toi. Ta frêle silhouette, tu ne peux supporter, qu'on te mentent. Quand bien même, cela peut être, pour te protéger, contre vents et marrés...N A T U R E L si Sanae joue la poupée de cristal devant les parents, dans l'espoir d'éveiller en eux un soupçon de fierté, la délicate rose est d'un naturel vibrant lors des nuits étoilées. Charme unique, cette réalité déroutante. simplicité fascinante, avec ta manière bien à toi de croquer dans ta pizza, inconsciente des dégâts. Toujours fidèle à la lune des astres. S É D U C T R I C E— tu ne l'étais pas à la base, mais plus tu prends de l'âge et plus t'en joue. les battements de tes cils, les mains que tu passes dans tes cheveux dorés, t'aime les faire craquer. P R O T E C T R I C E— Peu de personnes peuvent prétendre faire partie des gens pour qui tu serais prête à tuer. S’attaquer aux gens que tu aimes et protège est l’une des meilleurs façons pour finir à l’hôpital, ou pire… J A L O U S E— Tu as cette fâcheuse manie, d'être jalouse. Aussi bien en amour, qu'en amitié... Tu es du genre, à trop vouloir t'attacher, aux autres. A leur êtres loyale, fidèle, qui plus est. Mais, si tu as bien des qualités, celui-ci, est vite, rattrapée, par ta maladie verte. Petite bête, que tu cherches, sans arrêts, pour toi, tu tiens à garder l'exclusivité. Tu dirais, point, que, tu désires, être le centre d'intérêt, de tous ceux et celles, qui croisent ta route. Non, tu as horreur, de ce genre de choses, à dire vrai. Quand l'on ne te porte pas toute l'attention ou que l'on commence à s'éloigner, la jalousie se gratte peu à peu en surface afin de faire une jolie petite crise. Des verres brisés, il y en aura eu. Durant ton enfance, tu n’as pas manqué d’attention, mais tu restes tout de même jalouse et parfois l’impression d’être mise sur le côté. Tu ne peux accepter, l'absence d'abandon. Si ce n'est, qu'elle emplit ton horizon... Eternel chamboulement, cruelle conception. Tu as, pourtant, tout fait, pour écouter la voix de la sagesse, de la raison. Abysse infernale, désillusions néfastes, d'où perle l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Rien n'y a fait, cependant, quand le sépulcre, était tout ce qui te restait. Que la mélancolie, t'avais envelopper, de son manteau de fumée. Que, tu avais, tout fait. Tout tenter, pour prendre tes distances. Digérer, avaler, ce voluptueux poison - poison du serpent, qui coulent, inlassablement, dans tes veines, quelque chose te ramenait, toujours, à la raison.R A N C U N I É R E— Tu pardonnes difficilement et tu oublies encore bien moins aisément. La personne qui te tourne le dos dans une trahison se veut soit sous terre ou en train de vivre un véritable enfer par le miracle d'être vivant. C Ô M E hors de ton système solaire, trop mauvais, graine qui a pousser du mauvais côté, pour que tu prétendes à son univers. Il a cet aura insaisissable sur toi, la rend muette, silencieuse comme fée clochette. Sanae ne peut plus le regarder, hors de ta vue, le doute t’envahît, un peu - trop tard. La planète pluton si différente trace ta propre ellipse autour de lui, d’un soleil qui pourrait extraire toute ta lumière. M É F I A N T Etu te méfies de l’eau qui dort, méfiance envers tout, contre tout, pour te protéger. Comme si accorder un morceau de ton âme allait te détruire, comme si avancer d'un pas dans la confiance, allait brûler tes ailes de l'espérance. C A P T I V A N T E— Du charme, tu en détiens, tu le sais. Le regard dans l’âme, sirène des fonds marins, la voix enchanteresse. Tu attires le regard, c’est un fait. Tu as un truc qui laisse pas indifférent à bien des égards. S E N S I B L E—tu ne montres très rarement tes failles, mais on arrive aisément à déceler ta sensibilité. hypersensible au cœur sauvage.Thanks Côme il a réussi à faire de toi, cette fleur délicate qui peut se montrer trop à fleur de peau.
I N D É C I S E — tu n’as pas toujours confiance en toi, même parfois on peut dire « pas du tout» malgré ton fort tempérament, tu peux manquer d’assurance, c’est encore quelque chose que ton ex t’as volé, en te brisant le cœur il a emporter cette partie de toi, peut-être à tout jamais.  P A S S I O N N É E—tu es celle qui vit sa passion a 1000 pour cent, tu ressent les émotions tellement fort et tu l’es exprime dans n’importe quel forme d’art. C U R I E U S E— Tu n'aimes pas les secrets. Tu as droit aux tiens, mais les autres, ce n'est pas la même histoire. Tu veux tout savoir et généralement: maintenant. Autant dire que si l'on te fait une surprise, ça te tue de l'intérieur de devoir attendre le jour J pour le découvrir. H A U T A I N E— Tu as un statut et tu sais non-seulement le faire respecter, mais l'embrasse à bras ouverts. Tu regardes les autres de haut, avec cette prestance qui émane de ta personne, causée par cette confiance dans tes gestes, ton comportement, en toi, tout simplement. Tu n’as cependant pas pris encore la grosse tête. I N T E L L I G E N T E— Tu te dois bien d'avoir un cerveau pour accompagner la beauté que tu es, mais tu es plus que cela. Tu apprécies même de lire des romans ou regarder des films de thriller psychologique. Tu es bien plus maligne que ce que l'on pourrait croire, loin d'être qu'une poupée de chiffon. I M P U L S I V E— Excédant de colère, tu ne peux te retenir bien trop longtemps. Il n’y a que Danae, ta jumelle qui arrive à canaliser ta rage. Il en faut peu pour que tu démarres au quart de tour. N A Ï V E— Tu as, cependant, ce trait. Cet attrait, de simple. De naïveté, en toi. En effet, tu peux l’être. Surtout, au sein, d’un groupe que tu peux ne pas connaître, voir le bon en chacun d’eux. En amitié. Peut-être, as-tu, peur, de ne, point, être à la hauteur, des êtres, qui te sont chers. Peut-être, vis-tu, inconditionnellement, dans leurs ombres. Sans nul doute, es-tu, effrayée, à l'idée même, que tu ne leur suffis plus guère... Il te suffit, qu'on t'implante, une idée sombre, et saugrenue, dans ton esprit,et voilà, que tu doutes, de toi. De ton histoire. De tout... Cela te vaut bien, quelques vilains tours. Quelques vilains tourments, même, qui rôdent, sans détours, à la lisière, de ton inconscient. Cet aspect de ta personnalité, ta jumelle essaie de le corriger pour te montrer la facette des gens. É N E R G I Q U E— t'es dynamique, pleine d'énergie autant que de vie. Besoin de bouger, de vibrer aussi. Une vraie pile sur deux pattes. Consommatrice de café, tu sembles avoir besoin de peu de sommeil pour te recharger et tu es toujours prête à démarrer sur un nouveau projet, une nouvelle tâche, une nouvelle idée. Tu sembles infatigable, au grand désarroi de certains, sans doute. C R É A T I V E— Tu as l'air d'être née, sous une bonne et belle étoile, faut croire. Quelque soit le domaine - que ce soit de l'art, de toute sorte. Petite, tu as pu passer du piano à l’équitation, de la danse classique, du dessin, des créations de robes. Des petits plats mijoter, préparer avec amour, pour sa famille. Tout te sourit! Tu n'éprouves aucune difficulté, complexité, à obtenir ce que tu souhaites. On pourrait te donner, n'importe quelle tâche à faire, c'était comme si c'était fait! Déjà, réaliser! Il Te suffit, juste, de claquer des doigts. De secouer ta petite baguette magique, et voilà, que tout est ordonné. Bien soigner, bien organiser. Tu es une petite prodige, et tu aimes cela. Tu es douée et pleine d’imagination. Cerveau en ébullition, prête à faire tout exploser. T’es un putain de feu d’artifice, et c’est pas comme si tu allais changer maintenant n’est-ce pas ? G É N E R E U S E Sanae a le cœur sur la main, toujours prête à aider les autres. Toujours présente pour aider tes proches et ton prochain de manière générale. Ton cœur se nourrit à chaque fois que tu effectue une bonne action.



| P R É L U D E |  « disastrous obsession which remains your fascination »

most of the beautiful chooses,  
i havé seen are mirages,
i am fully aware that
i live in an imaginary world
i close my eyes on hell
and all of his faces
all dreamers can become architect
on the worksite of paradise,


suffocating summer heat.
campaign in fury.
souls crack, when walls burst.
Brilliant soul, blooming in darkness.
nobody knows. no one will know,
in the red night, what has become of humans.
only the mower, perhaps, will guess. and when the sirens burst,
we will come to see what the fire has left. we will look for the bodies, we will go for the paradox,


things get out of hand
it misses
you're a draft
under emotion
you stole all the stars
to put them in your soul.


buried dream, repressed desire; the right
to speak refused,
for fear of a shine from
this star far too torn.
inside her the anger of not doing what pleases her.



distrust of everything,
against everything,
for everything.
as if to grant a piece of his innocence,
as if to take a step forward in confidence,
would burn his wings of hope.
never open up, never offer yourself!
it's too dangerous to be human.



but if curiosity tastes like humanity,
there is still this poison in relationships,
this viral tendency to want to know everything.
to know everything,
as if to control this future
which completely escapes him.




- ( d e s ) a s t r e s  l u n a i r e s

ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;
ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,
qui d'une main distraite et légère caresse
avant de s'endormir le contour de ses seins,

sur le dos satiné des molles avalanches,
mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,
et promène ses yeux sur les visions blanches
qui montent dans l'azur comme des floraisons.

quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
elle laisse filer une larme furtive,
un poète pieux, ennemi du sommeil,

dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
aux reflets irisés comme un fragment d'opale,
et la met dans son coeur loin des yeux du soleil.



                                                                                           
Baudelaire.

sous le ciel de ton épiderme




a beautiful sisterhood. Sanae est extremement proche de sa jumelle, Danae, que tu considères comme ta moitié. Vous êtes difficilement séparables, et très complices. D'ailleurs, vous vivez ensemble dans un loft avec Ottis, le meilleur ami de Dan. Être séparé de ta moitié aurait été inconcevable, mais c’était une évidence. Grandissant dans une fraterie, depuis l’accident de ta jumelle et aussi l’épisode Côme, Reyes est très protecteur, voir peut être trop. C’est un comportement que tu peux essaye de comprendre, malgré que parfois il se mêle un peu de tout et n’importe quoi. Pour Génesis, c’est une autre histoire. Sanae rêvait pas seulement de licorne, mais aussi de lui. De ce goût qu’il pouvait avoir pour l’aventure, rêvant d’être un peu comme lui. Une amourette qui est vite passer aux oubliettes. La solitude tu ne connais point, souvent entouré de toute ta tribu. Une pile électrique cette Sanae. Allant en permanence vers autrui. Un putain de rayon de soleil, rayonnante du haut de ton mètre à peine atteint, présentant l’assurance propre aux enfants, portés par leur curiosité. mais doublé d’une forte tête en ce qui te concerne. Accompagné de ta jumelle Danae, vous virevoltez avec le sourire et cela fait des étincelles. Ta jumelle était ta moitié, ton âme sœur. you can't choose her destiny, but follow like a good girl.Tu as tout de la jeune fille de bonne famille : gracieuse, éloquente et avide d’un contrôle qui t’échappe. Ta famille c’est ton tout ; ta jumelle ta lumière, tes frères, ton père le patriarche que tu adores et ta mère si douce et si parfaite. Être un enfant n'était pas chose évidente, mais tu étais choyée. En effet, tu étais une petite fille comblée d'amour. Tu ne manques de rien, avec cette putain de cuillère dans la bouche. Sanae a toujours été consciente du statut privilégiée et ce que cela voulait dire d’être une Rothschild. Certes, tu en jouais un certain moment et ça énervait parfois les autres. from the sky. Et, a l'âge de huit ans, tu fais une rencontre qui changea ta vie : un gosse. Il habitait un peu plus loin de chez toi, un gosse un peu plus âgé, dont les yeux profonds et une grande gueule t'avait attirée. Il n’était pas vraiment comme toi,pas du même rang social. Peu importe, il était très gentil. Vous vous êtes éclipser au même moment, comme si c'était écrit. A inventer des jeux. Tu adorais te balader avec lui. Ton paternel te laissait jouer avec tant que ton grand frère gardait un œil sur toi. Parfois, tu t'autorisais à t'asseoir sur un banc et regarder les autres enfants jouer, ensemble. Glisser sur les toboggans colorés, se balancer jusqu'à toucher le soleil, et caresser les nuages duveteux, sur les balançoires. Une fois, tu avais voulu tester. Etre comme tous ces enfants, insouciants et innocents, et tu ne t'étais fait prier plus longtemps, pour venir t'installer, confortablement, sur une des balançoires. Voulant t'envoler vers les cieux, bougeant rapidement les jambes, pour aller toujours plus haut. Lui, il restait toujours à proximité de ta personne - un vrai prince charmant. Peut-être, était-ce pourquoi, lorsque, tu chutais lourdement, sur le sol, il avait accouru, sortant un carré de tissu de sa poche, pour venir l'appliquer sur ton genou, d'où perlait l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Tu laissais s'échapper larmes de douleur, de tes orbes caramélisées, et il s'enquit de ton état. Ton grand frère avait vu cette scène de loin, admiratif de son héroïsme. Tu séchais rapidement tes larmes de crocodiles, en lui exprimant ta gratitude, dans un mignon petit rictus « C'est ce qu'on fait aux princesse. Un bisou et on se sent beaucoup mieux. » Tu l'observais, désormais, avec un regard intrigué. Voir, comme si tu venais de croiser un revenant, cependant que vous vous releviez, doucement. Tu te mis dont, à rougir, tel un pivoine, et t'approchais de lui, te hissant sur tes pieds, pour atteindre sa joue, où tu y déposais tes lèvres, doucement. Il fut surpris comme tous ceux qui se trouvaient près de toi. Peu importe le regard des autres, vous aviez connu plus beau, plus fort et plus intense encore que cela : un coup de foudre. Great people never understand anything alone, and it is tiring for children to always and always give them explanations. Fashion victim, la mode c’est ton bébé. Les mains avec de jolies créations, des fringues assorties et haute couture. Tu es une passionnée dans tout, en particulier le dessin. Tu veux crée de tes mains, des vêtements et tout le monde le voient que tu as un talent. Le père Rothschild admire ton talent, sauf qu’il a toujours dit que malgré les talents de leurs enfants, qu’ils feraient tous sans exception de grandes études pour intégrer l’entreprise familiale. Et aucun ne discute là dessus. Sanae a accepté. we break you once, to laugh on the river of truth. la rétine désinvolte sabre le réel, il y a, comme un puit abyssal derrière ton âme et les paysages s’écoulent dans ce vide léthargique, parce que douleur, la silencieuse rhétorique, s’est instillée à travers le coeur, chassant l’émois. Tu continue à voir Côme, un garçon qui chamboule ton cœur. C’est surtout un mec qui commence à faire pleins de bêtises. Le gosse qu'on pouvait voir passer avant, les mains dans les poches, la capuche sur le crâne. Tout le monde savait qu’il filait d’un mauvais coton. C’était inadmissible pour ta famille, surtout ta moitié Danae qui ne pouvait pas accepter ça. Ils ont vu qu’il avait perdu toute ton innocence, qu’il n’était plus le même depuis le décès de sa mère, mais personne ne dit rien, ils le regardent passé et murmure dans son dos. Et Sanae, tu es une belle jeune femme encore plus intempérante, encore plus volcanique. satan's doll. Hurting your skin, slashing with stinging words, the more the breaths clash, the hearts scratch and crack, the more it rips when it stings your heart to infinite happiness. Exist in deep pain, and the feeling of having it on your own. Le démon. Ça sentait partout le bitume brûlé par le soleil plombant du voisinage. Côme fréquentait des personnes aussi malodorantes que ce taudis. Il était parti vivre ailleurs, y avait les latinos qui se mêlaient au bordel aussi, habitant quelques rues plus loin, venus profiter de la frénésie de l'artère principale. Ton ventre vrillait devant le badboy alors qu'il te souriait, content d’être devenu une autre personne. Le deuil de sa mère l’a fait devenir un autre gars. Un brigand, un sale petit voleur, un putain de gosse de merde. Tes frères exigeant que tu restes loin de lui. Ta sœur aussi. Sauf que t'écoutais pas. Pas encore. Pour toi, ce n’était qu’une passade, sauf que pour lui c’était tout sauf ça. Une amourette de jeune fille naïve, mais tu tombais pas dans le piège de son lit, et c'est peut-être là que t'a fracassé sa vie. Petite tornade qui foutait la merde, l'a traîné dans une bagarre et jouer à l'aguicheuse, sans rien lui donner. T'as dormis dans ses bras toute la nuit, t'étais étrangement bien. Trop bien. Sauf qu'après ce soir où t'es pas rentrée, tes parents décidaient de s'y mettre aussi, te privant de sortie, laissant tes frères surveiller la porte de ta chambre, de la maison. Sauf que tu t'enfuyais par la fenêtre, tu trouvais un moyen d'aller retrouver ton voyou, d'enfourcher sa moto, t'accrocher à sa taille, perdre ta tête sur son épaule et rouler jusqu'où les problèmes n'existaient plus. Mais ce soir-la, il a fait une très grosse connerie, saccager un magasin tête cagoule enfourchant sa moto à toute allure. Il a voler un bijoux pour princesse Sanae.  Lorsque tu découvres ce bijoux, ton sang ne fit qu’un tour. Tu ne peux accepter ce geste, surtout que tu risques en plus d’être impliquer. Un présent que tu lui rends malgré tout l’amour que tu as pour lui. Sans savoir trop pourquoi, Côme te quitte après avoir passer la nuit à tes côtés. Tu cherches encore à comprendre son geste, était-ce qui voulait depuis le début ? Le point de non-retour, le point de bascule. Une dispute éclate, il te dit des horreurs sans nom pour que tu fuis très loin de lui. Toi qui fout le bordel, qui renverse la table, qui casse les verres en gueulant et lui, qui se décide à te maîtriser, à t'encastrer dans le mur. Anéanti que tu était, quelque chose se produit sans que tu le saches. Ta jumelle, Danae a décidé de foutre sa vie en l’air, pour te prouver que ce n’était pas un mec pour toi. Le dénonçant à la police. Elle a garder cette information secrète et même toi tu n’est pas au courant de ce qui s’est passé. Tu as toujours cru que c’était ton père qui l’avait vendu. Tu aurais voulu dire qu’il a été forcé de le faire, mais connaissant ta famille ce n’est pas une très grande surprise. Côme quand à lui te détestes, enfin c’est ce qu’il prétend, pour lui le seul coupable c’est toi. Danae n’a pas pu s’empêcher de s’en mêler, ne supportant pas cette relation malsaine et tout le mal qu’il faisait à Sanae. intravenous illusion,because it's easier than being unhappy. enamored of the imagination,nights under the streetlights to speak with shaded contours,which no longer exist or never existed. Déclaré coupable, la peur et le soulagement. Et ses yeux perdus, son regard que t'arrivais pas à lâcher. Cette envie d'hurler à travers la salle, comme tu l'aimais, comme tu lui en voulais, et que tu t'en voulais encore plus. Comment t'étais désolée. Sauf que y'avait que les sons des menottes contre ses poignets, des ses pas qui quittaient vers la prison, de ton coeur qui se déchirait. De tes larmes qui coulaient en silence dans son dos. Et tu décidais de l'oublier, même si tu pleurais chaque soirs. Et tu décidais de l'oublier, plus personne n’était autoriser à citer son nom. Et tu l'oubliais en allant lui rendre visite en prison, en l'attendant dans la salle de rencontres, avant de flipper et de foutre le camp, ne le laissant qu'avec les rumeurs de la visite d'une belle brune que ses camarades de cellule auraient bien baiser. Et tu l'avais oublié en te souvenant exactement du jours de sa sortie de prison. Et tu l'as oublié, même si tu sais où il habite. Avec l'envie et la peur de le revoir. Car pour Côme il n’y a qu’un coupable de sa condamnation, toi. the call of the angel. Le jour où tout a basculé. Danae a eu un accident. Cela faisait un moment, déjà, que tu patientais, dans le plus grand silence. Tu regardais le sol d'un air vide, totalement absent. Les secondes semblaient durer des heures... Ton pied tapotait nerveusement le carrelage, qui était d'un blanc immaculé. Quelques fois, tu t'autorisais à porter ton attention, sur cette horloge, qui était sagement accolée au mur. Comme si cela allait faire quelque chose... Tu laissais s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une brise, cependant que, tu sentais le regard de cet homme, braquer sur toi - cet homme, que tu ne connaissais guère, mais, qui pourtant, venait de sauver la vie de ta jumelle, car cet accident aurait pu lui coûter la vie. On t’annonce que Danae est hors de danger, mais malheureusement dans le coma. Tu le remerciais, en te levant plus ou moins facilement, grâce à l'appui qu'il t'offrait. C'est ainsi, que vous vous dirigiez vers la chambre de ta sœur. Pleine de colère. Tu t’en veux de pas avoir été là, comme si c’était ta faute. Tu restais, là, durant quelques longues minutes. Tu étais aussi droite qu'un piquet. Aussi raide qu'une planche de bois. Tu tentais de retenir tes larmes. En vain... Tu peinais à reprendre ton souffle hacher. Tu tentais de t'asseoir. De faire un mouvement, mais rien n'y faisait. Tu étais bloquée, paralysée. Tu sentais tes jambes devenir coton. Tu aurais voulue crier, prendre sa place et peut être si c’était nécessaire prendre sa souffrance. Mais rien n'était possible. Plus rien n'avait d'importance, désormais... Tu pouvais très bien te faire kidnapper. On pouvait te vouloir du mal. Te torturer, que ça ne serait rien, en comparaison de ce que tu ressentais. Ta moitié ... tu risques de la perdre, la personne que tu aimais, sans nul doute, le plus, en ce bas monde, dans cette vie terrestre... Le premier jour, il faisait froid, un vieil grisâtre était apparue, se dessinait presque un sourire dans le ciel, en regardant là-haut, tu espérais un signe de sa part. Tous les jours, tu venais lui raconter tes histoires, t’occuper de ta jumelle, personne d’autre ne pouvait la toucher a part toi.

Extrait de ton journal je n’y arrive plus, sans toi, tout devient laid. Sensible, je n'arrive plus à respirer, mais à force tout mon être va finir par brûler. Telle, l'oiseau blessé. L'oiseau fragile. L'oiseau détruit. Je suis la fragilité à l'état brut. La sensibilité sous cette souffrance. L'ange déchu. L'ange déçu. Ailes brûlées. Ailes enflammées. Je me perd. Je m'essouffle. Je tombe dans le vide. J’ai besoin de toi, réveille toi et engueule moi comme tu sais si bien le faire. J’tai piqué ton haut bleue, je suis consciente d’être relou, alors vas-y réveille toi et engueule moi. Parce que de toi a moi, ce monde sans toi est à chier. ✼ journal de Sanae


Shadow and dust Tu laissais retentir le répondeur, une nouvelle fois, contre l'oreille,  et lâcher un soupir las, qui frémissait contre tes lèvres, en faisant retomber le combiné de ton visage, pour le voir tomber lourdement sur ton lit. Tu t'allongeais de nouveau sur le côté. En position du fœtus, et prenait ton visage entre tes mains. Fermant les paupières, sur tes orbes ténébreuses, pour évacuer le trop plein de pensées embrouillées, qui se percutaient dans ton esprit. Tu ne voulais répondre à personne. Cela faisait maintenant des jours, des semaines, des mois, que tu avais décidée de disparaître de la circulation... Introuvable, injoignable... Tu étais là, dans ta couche, depuis de nombreux jours, et tu ne faisais plus le moindre mouvement. Mourir, c'est tout ce que tu souhaitais... Tu voulais uniquement que ça s'arrête. Tu ne voulais plus ressentir cette douleur lancinante, qui te transperçait de ses piques de glaces, à longueur de temps. Qui te perforait le cœur, un peu plus encore, alors que les secondes s'égrenaient, à travers ce sablier, qui marque ton apogée. Ton temps... Un légume vivant. Une poupée de chiffon. Une coquille vide, dénuées de sens, d'expressions. Dénuées du moindre petit sentiment. Ombre et poussière... Voilà ce que tu étais devenue... Tu te laissais sombrer, dans un sommeil sans rêve, lorsque soudainement, tu entendais frapper du poing, contre ta porte d'entrée. Tu te levais difficilement, ne prenant la peine de remettre tes mèches rebelles, derrière l'une de tes oreilles, et dévoilée, avec une certaine surprise et une pointe d'embarrassement, l'entrée à Génesis, autrefois il était ton meilleur ami. Il ne te fallut pas plus de difficultés pour saisir, que ce dernier avait dû courir, à en perdre haleine, pour venir te rejoindre... Sur le coup, tu remarquais son visage rayonnant de bonheur - bonheur qui s'évapora, pourtant sitôt, qu'il aperçut tes prunelles rougies par les larmes, et ton teint blême et fatigué... Le beau brun ne demanda guère à entrer, passait le pas de la porte, sans y avoir été invité, cependant que, tu refermais, délicatement, derrière son étroit passage. Derrière son tortueux tracé. « Mon dieu, c'est quoi cette tête ? » Demanda-t'il, en te toisant avec frustration, sourcils froncés au-dessus de ses grands yeux opaques. « Je... C'est rien. C'est juste, que... Je ne suis pas en forme, c'est tout. » Tu le vis, alors, croisés les bras, sur sa poitrine, secouant son visage de gauche à droite - il te connaissait bien, et il savait que ton nez s'allongeait, comme Pinocchio. Elle va se réveiller ... c’est une question de temps, je te le promets. Fuyant son regard, fuyant son contact. « Y a intérêt, car si je la perds... » Ta voix se brisa dans l'air, laissant ces mots en suspend, dans la pièce, où ils flottaient d'un air menaçant. Tu t'étais, toi-même, surprise, de lui faire part de ta crainte, une peur que tu préférais montrer à personne. Dans le fond, il savait ce que tu ressentais. Il se doutait parfaitement, que tu avais besoin d'aide, pour passer au travers de tes pleurs, étouffer ta douleur. Toute la soirée durant, ainsi que, chaque nuit qui suivirent, il essuyait tes larmes, t’emmenait voir Danae, t’obligeant à relever la tête et a prendre soin de toi. Et, puis le calvaire prend fin. Elle se réveille. Y a beaucoup de chose qu’elle a oublier du à son amnésie, mais ça y est, toi aussi tu peux sortir de l’enfer. Deux long mois, deux mois ou l’enfer était constant et avec lequel c’était très dur a vivre. C’est encore un souvenir que tu préfères oublier. open your eyes, the truth is in front of you, Life is so ironic; It is necessary to have known the sadness in order to savor the happiness, the noise in order to appreciate the silence and the absence in order to take advantage of the presence. Tu saisis, nerveusement, la poignée de porte, et l'ouvrais, finalement. Tu inspirais une grande goulée d'air frais, qui te libérée, aussitôt, de cette ambiance, que tu trouvais, un tant soit peu, animée, étouffante. Trop agitée, oppressante. Festive, écrasante, et dont le chauffage te monter aux tempes. Tu avais oublier ton ex, c’était de l’histoire ancienne. De te jeter à corps perdu, cependant. Tu avais voulu te  démêler, de cette foule insensée. De cette fête, pleine de cotillons, de chandeliers et de décoration colorée et luxuriante, sur la table posée, dont tu ne te sentais à ta place constante. Tu avais fait en sorte de faire plaisir à la famille. Tout le monde étaient là. Tu était heureuse désormais, et chaque fois que tu était près des tiens c’était devenu comme ça. Cet espace, qui donnait sur un grand et majestueux jardin, dont tout le monde jalouserait, sans précédent. Tu t'emmitouflais dans ta grande veste grisâtre, bien que la température, ne te gêner guère plus que cela, et te dirigeais, vers ce fameux balcon où tu t'aventurait avec Danae. Tu découvrais, alors, le jeune garçon, que tu recherchais, activement. S'accoudant, se tenant sur la rampe, de ce gazebo, où tu avais pris l’habitude d’être. Tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Alors, qu'elle peinait à descendre, dans le fin fond de ta trachée, à mesure que, tu redoutais l'instant présent. Mieux aurait fallu que tu fasse demi-tour. Que tu rebrousse chemin. « Dan... faut que je te dise, j’ai reçue une lettre de « tu sais qui » visiblement, elle n’était pas heureuse de cette nouvelle. « l’ouvre pas et brûle la, tu sais bien que ce mec est pas fait pour toi. » Tu acquiesçais, dont, d'un léger signe de tête, pour approuver. Lui faire savoir, que tu venais de saisir son message, à l'instar, que tu tournais les talons. Te préparant à redescendre du gazebo. A retourner à l'intérieur, dans l'atmosphère lourde et chaude. Sanae ne voulait plus souffrir. Mais depuis l’épisode Côme, y a une malchance qui flotte au dessus de ta tête. Tout les mecs te friendzone, pourtant tu as tellement d’amour à donner, quoi que ça c’était avant. Tu doutais de la force de tes émotions, tes sentiments. Et, si Côme revenait que se passerait-il ? Tu aimerais lui faire comprendre l'affront, qu'il avait causé. Lui faire payer pour ce qui s’est passé ? Le faire tomber, alors que tu avais, dors et déjà, précéder à ta chute déferlante. Que tu avais glissé, dans ce trou noir et béant, sous ton regard médusé, impuissant. Alors que le sol s'écrouler, derrière ton tracé, sous tes pas.



L'USINE AUX SOUVENIRS




Née le 16 septembre ça équivaut à être vierge ascendant scorpion, maître même de la nature, qui contrôle un territoire vaste et paisible. crocs acérés, griffes sorties. tu es identique à cette créature divine et pourtant vorace. Menant la danse, gagnant la bataille. Une similarité que tu partages au sein de ta famille. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapter, savourant chaque histoire, chaque image d'un pays tant adoré et tant désiré. une manière de s'évader, de l'ailleurs au lointain, le pays du soleil levant où les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis. — Tu adores prononcer des mots en anglais, dieu que c'est jouissif ! Une langue que tu adores utiliser avec plaisir. C'est goûteux. — passion dessin, le bout des doigts qui finissent gris la faute à la mine de crayon. ton rêve de gamine c'était d'être styliste, t'as toujours voulu travailler dans la mode. t'imaginais pas une seule seconde que tu serais celle qui porte des créations, toi tu voulais être la tête pensante des jolies robes, la reine de l'innovation et de la révolution dans le monde de la mode. Mais pour toi la mode c’est bien plus que ça, c’est un message libérateur pour les femmes. C’est une façon de s’exprimer et de vivre. — Très bonne élève à l'école — Alimente tous les jours les réseaux sociaux, une vidéo par jour pour remplir le blog de mode. Tu la surnommer «True Beauty », ou est regrouper beaucoup d’articles de mode & beauté. Et, tu espères qu’un jour tu pourras ouvrir ta propre de boîte de stylisme et pouvoir créer ta première ligne de vêtement. Tu as même déjà en tête une idée du nom de cette future collection «  SANAE 2.0 » — Sanae adore la neige. — tu ne sait, absolument, pas mentir, et a d'ailleurs horreur, qu'on fasse de même, à ton égard. — Très protectrice, envers tes proches et ton entourage. — déteste qu’on parle de ton passé. — On peut te faire confiance, même sous la torture tu ne diras rien. — Une dingue de shopping (surtout la lingerie sexy) — la lecture — rêve de liberté — Rêve de voyage et de parcourir le mont blanc avec Danae — Chanter tout le temps — Tu es une maniaque de la propreté — Raffole des glaces  à la vanille, avec de la sauce chocolat par-dessus. Du nougat et les litchis  — Déteste les champignons  — adore s’endormir avec le bruit de la pluie. — Lorsque tu es gravement souffrante, tu ne peux t’empêcher de regarder « Singing in the rain » , « Hello Dolly » ou, encore, « Age of Adaline » . Etrangement, ce sont des films, qui t’aide à te sentir mieux  — adore les animaux et serait, tout à fait prête, a les défendre contre la maltraitante — passe les dimanches devant la télé sur la chaîne de la mode — C’est une fan incontestée du chocolat viennois. C'est ta boisson favorite. — Le sport l’aide à évacuer tout le stress du quotidien et des cours aussi de Marketing, qui sont prenant et demande beaucoup de sacrifice — Le doux souvenirs de ces longues nuit d’été à regarder les étoiles avec tes parents — Collectionner les tickets de caisses, comme un symbole du temps qui passe et un rappel de la seule vie qui nous est offertes alors ne vaut mieux pas la gâcher — a un humour décaler qui n’a pas de limite et ton grain de folie fait souvent ton charme — parle 4 langues : l’anglais, l’espagnol, l’allemand et l’italien. — tu marches au karma, t'y crois dur comme fer à cette connerie. à peine une merde t'arrives que tu cries à tout va que c'est la faute à ta malchance, que dans une autre vie tu devais être quelqu'un d'horrible pour que le sort s’abatte su toi de la sorte. — officiellement, tu suis des cours de marketing, mais officieusement tu aspires à être styliste pour une très grande marque. — Ne veut plus tomber love d'un mec, tu l'as été avec Côme et tu ne veux plus vivre un truc pareil. Façon les mecs te friendzone. down on one's luck. — adore le cinéma muet. — Tu es une jeune femme magnifique aux yeux perçant et qui dégage beaucoup de sensualité. — n’a aucun respect pour ceux qui font du mal à ta famille, telle une bitch sans aucune âme et aucune envie de faire d’effort. — tu fais partie de ces personnes qui raffolent de gros hamburgers sauce ketchup delicious. — tu as eu une période très sombre, pendant deux mois, lorsque ta sœur était dans le coma. Tu écoutais en boucle de la musique dépressive ; en boucle la playlist du chanteur « jaymes young » tu te levais en même temps que la lune; cherche à travers les étoiles, cette chose que les hommes appellent -l’espoir. — une spotive née. tu adores le sport, certes, le yoga et le pilote, ça t'aide à évacuer le stress. — Tu a un fort penchant pour la nourriture à n’importe quel moment de la journée. — lorsque Sanae, tu te sens incomprise, tu n’as pas que le dessin qui te permet de te sentir mieux. Le piano. Tu glisse tes doigts sur le piano de la maison familiale, surtout lorsque tu sens ton monde se dresser contre toi. Les doigts glissant sur la froideur de la blancheur, s'immisçant dans une harmonie paisible et calme. caractère apaisé, tourment fracturé, l'évasion parfaite, l'âme en douceur. moment de symbiose, le corps en émoi, le coeur aux abords. la falaise à perte de vue, gouffre en profondeur d'une sérénité recherchée. — ton plat préférée est les abats qui se résume aux entrailles d'un animal. le foie fait parti d'un de tes mets préférés, tu pourrais en manger éternellement sans jamais n'avoir à remettre en question la force que ça t'apporte. mais pourtant, tu n'oublies jamais d'y rajouter quelques ingrédients phares dont toi seul est au courant. Même si tu adores tellement la bouffe que tu pourrais ne faire que ça. — Ta couleur favorite est le rouge. Le joyaux de l’amour, telles les palpitations d'un coeur en émoi, chapardant l'être chéri. couleur éphémère au tintement morose, sifflement au bords des yeux, larmes perlées le long des joues. jamais en faillite, l'abandon n'existe pas. etincelle sur le feu, bataillant pour survivre au vent qui souffle. rouge amour. rouge passion. rouge splendide mêlant fusil et bouton d'or. — tu as ouvert un vlogs ou tu partages de nombreuses choses; comme des photos, vidéos ou tu postes énormément de choses en tout genre. — très branché sur les réseaux sociaux, en particulier Instagram et Snap. — N'est tombé une seule fois amoureuse. Un amour qui s'est consumé - déchiré à travers le temps. Un amour qui ne sera jamais briller. — Te reposer ? Soon Soon Soon. Cela ne fait en aucun doute pas partie de ton vocabulaire. Tu aimerais sillonner le monde, aider les gens, d’autres peuples, rêvant de liberté et d’humanisme dans un univers teinté de cruauté. — Tu chante que sous la douche.  — Une dingue de café - encore une tasse. Encore une. Encore une. Un cycle infini. Tu peux lui transmettre en intraveineuse c'est pareil.  — Les enfants sont très souvent au centre de tes intérêts. Tu affectionne beaucoup d'intérêt à participer à des associations aussi juste soit-elle. — Tu es du genre compréhensive et tente toujours de te mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue . —Dès que tu ouvre la bouche, la beauté à l'état pur. La beauté des dialogues et ton caractère qui tranche dans ce beau monde, qui fait parfois tâche, qui ruine un peu la jolie poupée que tu pourrais être. Ou pas.  


pseudo x_b_a_d_a_s_s_x
âge Vingt sept années au compteur  SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 1508216586
nationalité Belge qui vit en suisse  SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 636082422
forum connu par... J’ai déjà essayé ILH dans le passé et je voulais absolument revenir et jouer une Rothschild  :hysté:
ILH, j'en pense quoi ?  SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 73120010 Je l’aime d’amour
autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé Bruna Marquezine
crédits images @tumblr
nombre de mots par rp 500 a 800 mots, tout dépend du contexte   :bigkiss:
type personnage scénario/pré-lien par @Danae Rothschild SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 185272391

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude - explicatif pour remplir correctement dans ce sujet : marketing
Harvard Business School
Code:
@"Sanae Rothschild" » <i>(4ème année)</i>

code bottin
[code]» BRUNA MARQUEZINE » @Sanae Rothschild
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bienvenue et bon courage pour ta fiche :heaart:
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bienvenue :heaart:
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la dernière petite frangine SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 4046487928 Vic
bienvenue officiellement parmi nous et puis ce choix de célébrité SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2524437717 :heaart:
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ce choix SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 4205929361
bienvenue avec la cousine :heaart:
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canon :loukas: et puis je ne peux qu'approuver ce choix de scénario hanwii SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2096834786
bienvenuuue à toi SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 1001568715
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Bienvenue sur ILH et bon courage pour ta fiche :heaart:
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@Sanae Rothschild - Bienvenue sur ILH ma belle. SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 1f496 Bon courage pour ta fiche. SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 1f496
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
bienvenue SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2109348208
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

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SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2131867078 SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2131867078 SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2131867078
Ça fait tellement plaisir de voir que la jumelle plaît et trouve preneuse. SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2109348208
Bienvenue chez toi et dans cette grande famille. SANAE ROTHSCHILD ► Bruna Marquezine 2096834786
Dès que je peux, je viens vers toi en privé pour qu'on puisse parler de tout ça. :bigkiss:
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