Invité
est en ligne
Invité
Heure : vers 3h du matin.
Lieu : Hôtel InterContinental
Contexte : Dans la chambre de Noah
Participants : Noah Bushnell-Harrison & Coco Harper D.-Archibald
« Faire l'amour : j'aime bien mieux faire que dire. Dire sans faire, il n'est rien pire. »
A ce monde de merde qui touche à sa fin . Tu descends ton verre à la même vitesse que tu es descendu de l'avion. Rien à foutre que ce soit des gosses de riches qui payent pour toi quand tu peux admirer un pareil paysage. La Thaïlande. Pays si loin de chez toi, enfin loin de ta culpabilité. Tu voudrais tout découvrir, tout fuir, te vider l'esprit. Cependant, bien trop rapidement à ton gout tu dois rejoindre l'hôtel : la fatigue appuie sur tes épaules comme le plus lourd des fardeaux. Pourtant, une fois arrivé dans cette grande chambre austère, entre les draps froids... Le sommeille ne vient pas. Rien ne vient, tout est vide. Son sac est ouvert devant le placard et tu regardes le plafond. La fatigue a beau être là, tu ne peux t'endormir sans elle. Sans Coco. Depuis que vous avez passés une nuit ensemble tu es obsédé par elle. Tu as besoin d'être près d'elle. Cela te ronge de l'intérieur, te réduit à être dépend... Tu soupires en sortant des draps. " - A ce monde de merde qui touche à sa fin " . La brûlure de l'alcool éloigne la fatigue alors que tu regardes par la fenêtre la ville qui s'étend. C'est magnifique, un orage fait doucement vibrer l'air donnant une atmosphère particulière à la ville. Tout semble si fragile vu d'ici. Tu poses ton verre en passant une main dans tes cheveux. Même avec une telle vue, tes pensée sont tournées seulement vers Coco. Tu sais qu'elle est là, quelque part dans cet hôtel qui suintent le luxe, la richesse, la pourriture en général. La chambre si spacieuse te fait ressentir ton manque de façon plus puissante encore... Soudain, un coup se fait entendre à ta porte. Tu hésites un instant de te rhabiller mais tu abandonnes l'idée avant même de jeter un regard à ta valise. Rapidement tu ouvres la porte, préparant mentalement ton sarcasme habituel pour envoyer baladé le connard qui t'a dérangé alors que tu pensais à elle... Mais non. Rien ne sors car devant, c'est elle qui se trouve sur ton seuil. Tu la regard en boxer n'osant ni y croire ni bouger. " - Heu... Tu.. ? Ca va ? " . Son regard semble affolé, et rapidement tu l'attires dans tes bras fermant la porte. Tes lèvres hésitent avant d'aller doucement caresser les siennes tendrement. Tu la serres dans tes bras, cherchant à la rassuré, qu'importe la peur qu'elle peut ressentir. " - Il se passe quoi ? "
(Invité)