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(TW) You don't know how much I need you • Albus

Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) You don't know how much I need you • Albus MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) You don't know how much I need you • Albus Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
(TW) You don't know how much I need you • Albus Tumblr_p41wb1oQve1wi07bro4_540(TW) You don't know how much I need you • Albus 3256461080_1_62_89NaEksl

Mardi 1er Décembre.

L’angoisse pulsait dans mon corps. Mon cœur cognait trop fort dans ma poitrine. Ma respiration s’emballait sans que je ne parvienne à la contrôler. Mes prunelles se promenaient partout autour de moi tandis que je marchais dans les rues de Boston. Le nez enfoncé dans mon écharpe, le bonnet visé sur ma tête, je marchais d’un pas hâtif dans l’espoir de rester invisible au sein de la masse de gens et avec l’envie de disparaître de cette foule qui circulait incessamment. Je ne me sentais plus en sécurité dehors. Je ne me sentais plus en sécurité nul part en fait. Rob, le chef de la Mafia Italienne, savait exactement où je me trouvais. Il savait que j’étais à Boston puisqu’il m’envoyait les clients ici. J’avais passé un pacte avec l’homme : mon cul à son service contre la libération d’Elie, la sœur de Laurys. Et j’honorais ma parole. Tout avait commencé vendredi dernier avec le tout premier client. Ce premier client qui m’avait filmer pour prouver à Rob que j’étais présent. Ce premier client qui m’avait laissé une marque sur la droite de mon cou. Une marque qui ne s’était toujours pas effacée. Une marque que je ne pouvais jamais m’empêcher de regarder lorsque mes prunelles se posaient sur mon reflet. Une marque qui risquait de ne jamais disparaître parce que je devais savoir à qui j’étais. Rob n’allait pas s’arrêter là. D’autres clients allaient venir et je savais qu’il veillerait à ce que j’honore ma part du contrat. Alors, ouais, là, dans les rues de Boston, j’étais mort de trouille à l’idée qu’on m’observe pour lui. Je voulais oublier tout ça. Je voulais effacer ce que ce client de vendredi dernier m’avait fait. Alors, j’avais contacté Albus pour savoir s’il était disponible pour me voir. J’avais besoin de lui. J’avais besoin de me retrouver dans cette chambre d’hôtel avec lui. Notre chambre d’hôtel habituelle que je rejoignais ce soir après avoir soufflé à Lukas que je retournais au Lord Hobo pour organiser mon planning et pour boire un verre avec des collègues. Excuse minable qui passait parfaitement. Balayant une nouvelle fois la rue du regard pour être certain que personne n’allait m’attaquer, je pénétrais dans l’hôtel au sein duquel je risquais de passer quelques heures. Je me présentais à l’accueil obtenant la clé de la chambre et je m’y précipitais. J’arrivais le premier. C’était bien la première fois qu’une telle chose arrivait. Généralement, Albus était le premier sur les lieux et je me plaisais à arriver plus ou moins en retard pour l’embêter. Ce soir, j’étais le premier et je refermais la porte de la chambre derrière moi.

Mon regard balayait l’endroit et je sentais tous mes muscles se tendre. Peut-être que ce n’était pas une bonne idée… Je n’avais rien à faire là. Il ne fallait pas que je sois là. Mon cœur cognait de plus en plus fort au point de m’en faire mal. Ma respiration s’emballait tellement que je me dirigeais sur le lit pour m’asseoir au bord de celui-ci. La tête dans mes mains, je tentais de me contrôler et d’effacer tout ce qui me revenait. Putain, rien que d’être ici me poussait à trembler. Une chambre d’hôtel… Je revenais quelques jours plus tôt. Ce fameux vendredi soir où j’avais officiellement signé un contrat avec le diable. Ce vendredi soir où, pendant des heures, un étranger avait abusé de moi avant de me marquer avec un couteau pour montrer où était ma place et à qui j’appartenais. Ce vendredi soir où les liens avaient fait tellement de mal à mes poignets et où mon corps avait subi sans plaisir. Ce vendredi soir où ma vie était devenu un Enfer. Incontrôlables, les sanglots montaient en moi et je m’en voulais. Je m’en voulais d’être aussi faible. Aussi minable. Il fallait que je me reprenne avant qu’Albus n’arrive. Il fallait que je sache agir comme d’habitude. Alors, je retirais mes vêtements les déposant sur le fauteuil de la chambre avant de me diriger dans la salle de bain pour me glisser sous le jet d’eau chaude. De longues minutes à me détendre et à reprendre le dessus sur l’horreur qui s’amusait à jouer en moi. De longues minutes à me recomposer. Je finissais par sortir de la douche accrochant une serviette autour de ma taille. Mes prunelles allaient se poser sur le miroir et sur cette marque dans mon cou lorsque le bruit de la porte attira mon attention. Je me précipitais dans l’entrée de la salle de bain sachant que mon couteau se trouvait accroché à mon pantalon dans la chambre. Je n’avais pas le temps d’y aller. La porte se refermait sous mes yeux et mes prunelles rencontraient celles d’Albus. Je me détendais. Ce n’était pas un danger. Je n’étais pas en danger. Je soufflais un « B’soir Albus » avec un léger sourire. Restant planté dans l’entrée de la salle de bain, j’hésitais quelques instants sur ce que je devais faire. Ma langue glissa sur mes lèvres et je finissais par bouger pour m’enfoncer un peu plus dans la chambre. Je n’avais pas pris le temps de me sécher, la serviette toujours nouée autour de ma taille. Les gouttes d’eau glissaient le long de ma peau et je me dirigeais vers le bar en questionnant « Tu veux boire quelque chose ? » Attrapant deux verres, je commençais à m’en servir un sans attendre de réponse. Et, me saisissant de mon verre, je me retournais pour faire face à l’homme avant de lancer sans la moindre hésitation « Je veux que tu me possèdes… » C’était dit. C’était lâché. Ça faisait des mois que je connaissais Albus. Des mois qu’on passait à s’allumer sans jamais aller trop loin, sans jamais franchir la vraie limite du corps à corps. Mais, ce soir, je n’hésitais pas et je soufflais ces mots. Ce soir, j’avais besoin que ça arrive. J’avais besoin d’un client comme Albus en qui j’avais confiance. J’avais besoin d’un client qui saurait effacer ce que j’avais subi vendredi dernier.

@Albus Jasinski
(Neal T. Hood-Spritz)
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Lien aussi indéfectible qu’étrange, je te pensais envolé vers des cieux plus cléments après nos enfers. Je n’en avais rien montré, feignant l’indifférence comme j’en avais l’habitude, me réjouissant secrètement que tu sois heureux, que tu arrêtes. Bien qu’égoïstement, j’aurais préféré te garder encore un peu. Appliquer de mes phalanges cette emprise malsaine. Encore un peu. Encore et toujours. Le temps s’était suspendu entre nous, depuis cette affaire. T’envolant vers des amours, enterrant les miens au passage sous un soleil aride et oriental. Il ne restait désormais plus rien d’Elle. Si ce n’est une empreinte désormais invisible. Le quotidien se rappelle à moi. Et aujourd’hui est ma reprise. La plupart de mes collègues sont rassurés de me voir revenir, nombre d’affaires furent restées en suspens à défaut de compétences déployées dans les morgues de Boston. Dire qu’ils sont heureux serait un mensonge. Après tout, personne ne m’apprécie vraiment, mais on reconnaît mon professionnalisme. Je suis particulièrement agacé. Particulièrement colérique. Bien que froid et immuable en apparence. Personne n’ose réellement me déranger dans la glace de mes sous-sols. Et c’est bien mieux ainsi. Je me laisse absorbé par la précision du travail, par la technique exigeante dont je dois pouvoir faire preuve après avoir passé un mois à soigner des plaies béantes avec les moyens du bord. Ici tout est en contraste avec ce que j’ai pu vivre là-bas. Et pour autant, je suis adepte des deux extrêmes, me retrouvant en chacun d’eux. Quoi qu’il advienne, cela m’aide à oublier, à noyer le flot de mes pensées incessantes et de me concentrer sur mes gestes. Ainsi que sur des destins bien plus sordides.

J’avais été surpris lorsque tu avais demandé à me revoir. Me confiant quelques détails au passage. C’était compliqué avec Lui. Depuis l’enlèvement, un quotidien qui peinait à reprendre sa place depuis. Ou bien étaient-ce tes vices qui te hantaient plus que de raison ? Après tout, nous étions animés des mêmes noirceurs. J’aurais aimé te dire non. T’envoyer balader une bonne fois pour toutes, mais notre lien était comme je l’ai dit aussi étrange qu’indéfectible. Je poursuis ma journée, me rendant compte que j’accumule un retard. Ce que je déteste. Mais la reprise est la reprise et je ne néglige jamais mon travail. Je prends tout de même soin de t’avertir par un message, que tu ne sembles pas voir. Enfin, je regagne mes habits de jour. Costume trois pièces de grande marque et allure impeccable, comme à mon habitude. Je prends le volant de ma berline pour me conduire à notre endroit habituel, celui qui est à notre grande surprise, est devenu une sorte de… routine. Saluant d’un vif et rapide mouvement de tête l’hôte d’accueil, je me rends à l’étage, numéro habituel. Mes pas s’appliquent au velours du tapis, rendant ma démarche furtive, alors que mes mains s’appliquent à la poignée. Une douce tiédeur baigne dans l’endroit. Des odeurs savonnées. Comme un mal qu’on ne parvient pas à laver. Je me doute que ce n’est pas par pur plaisir que tu m’as appelé aujourd’hui. « Bonsoir Neal. » dis-je en enlevant ma veste, prenant soin de déboutonner et remonter mes manches pour laisser transparaître mes avant-bras. Tu te sers un verre. « Laisse. » dis-je avant d’aller me servir à mon tour. Quelques gorgées d’alcool ne seront pas de refus. Ta seconde phrase récolte ma surprise alors que des flammes bien plus malsaines viennent naître dans mon bas-ventre. Tu as toujours été trop effronté. « Comme ça, maintenant ? » Je fais quelques pas en approche. Laissant mes phalanges reposer sur le nœud de ta serviette, ne laissant pas mes prunelles quitter les tiennes. Un mal te ronge. Différent cette fois. Ma paume s’applique à ton ventre, remontant sur ton torse, puis tes épaules, serrant enfin ta carotide entre mon pouce et le reste de mes doigts appliqués à ta nuque. « Qui veux tu oublier ? » D’un mouvement, je t’oblige à lever le menton avant de laisser mes lèvres se poser sur les tiennes. « Tu es un achat un peu trop exigeant. » Après tout, c’est moi qui donne les ordres, n’est-ce pas ? Et moi aussi. Je veux oublier. Alors mon étreinte se relâche pour que ma silhouette vienne de nouveau à côté de ma veste. Dans la poche intérieure, je récupère un petit sachet, contenant une poudre blanche familière. A l’aide d’une carte, je viens délimiter trois rails. « J’accepte de te posséder si tu te soumets. » D’un geste précis, je viens inhaler un premier jet de poudre, sentant mes sens en alerte, la drogue qui vient me noyer, une bascule consentie vers les enfers, acceptes-tu de laisser le mal nous entrelacer ?

@Neal T. Hood
(Invité)
Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
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Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

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◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

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Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

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Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Me retrouver dans une chambre d’hôtel aussi rapidement était une mauvaise idée. Je le savais à présent que je me trouvais ici seul. Je subissais la crise d’angoisse sans parvenir à la gérer. Même les médicaments ne m’aidaient plus. Ils ne m’aideraient pas à ça. Je le savais. Alors, je finissais par retirer mes vêtements pour me glisser sous la douche. Enfermé dans la cabine, je restais de longues minutes sous le jet d’eau chaude avec l’espoir d’effacer cette crise d’angoisse. Je désirais l’envoyer valser au loin. Je voulais qu’elle disparaisse avant l’arrivée d’Albus. Et ça fonctionnait. Lentement. Mon cœur ralentissait au fil des minutes passées sous ce jet. Ma respiration était de nouveau saisissable. Je cessais de trembler. Je n’étais pas rassuré de me trouver dans une chambre d’hôtel, mais j’allais pouvoir gérer. De toute façon, si je voulais voir Albus, je n’avais pas d’autres choix. L’homme et moi nous étions toujours retrouvé dans cet hôtel… Dans cette chambre. Ce n’était jamais arrivé chez moi. Ce n’était jamais arrivé chez lui. Pour tout vous avouer, je ne savais même pas où l’homme vivait. C’était peut-être mieux comme ça. Conscient que l’horloge continuait sa course, je sortais de la douche nouant une serviette autour de ma taille. Avant même d’avoir eu le temps de me sécher ou de me rhabiller, Albus se trouvait là. Face à moi. Dans cette chambre. Je le saluais d’un léger sourire tandis que le bonsoir Neal venait glisser dans la pièce. Ça avait quelque chose de rassurant. Sa voix. Son aura. Sa présence. Tout m’aidait à me calmer. Il n’était pas un étranger. Il n’allait pas me faire de mal. Je l’observais retirer sa veste et remonter ses manches pour laisser voir ses avants-bras. Je le détaillais quelques minutes appréciant cette vue que je n’avais pas eu depuis trop longtemps. Je me perdais dans ma tête à repenser à tous ces instants que nous avions partager. Des instants où je m’étais toujours senti en sécurité. Des instants où l’atmosphère était souvent chaude, mais jamais réellement satisfaite. Secouant la tête pour éviter de me perdre dans des images du passé, je me dirigeais vers le bar cherchant à savoir s’il voulait boire quelque chose. Je me servais un verre sans attendre de réponse. De toute manière, Albus se débrouillait et je m’éloignais du bar mon verre à la main. Dos à l’homme, j’hésitais quelques secondes cherchant comment formuler la chose. Les mots se jouaient et se rejouaient à l’intérieur de ma tête en quête de la parfaite formulation. Finalement, je me tournais face à Albus laissant l’envie tomber sans le moindre préambule. Je ne cherchais pas à me perdre dans mille et un mot pour faire savoir ce que je voulais. Non, je ne voulais pas me perdre à tourner autour du pot. Je savais ce que je voulais. Je savais ce dont j’avais besoin et je le faisais savoir. Je voulais qu’Albus me possède ce soir pour la première fois après tous ces mois à se fréquenter sans jamais oser réellement consommer. Qu’allait-il se passer si on se lançait dans cette danse ? Est-ce qu’on arrêterait de se voir ? Est-ce qu’une addiction verrait le jour à tel point qu’on ne serait plus capable de ne pas se voir ? Je n’en savais rien. Je m’en fichais sur le moment. J’avais ce besoin à réaliser. J’avais cette envie à combler. Les questions seraient pour plus tard.

Ma demande semblait surprendre l’homme. Il était vrai qu’elle tombait de nulle part, surtout après toutes ces semaines sans se voir. Encore plus en sachant que j’avais un copain officiel à présent. Albus me questionnait et j’acquiesçais doucement ne faisant plus confiance à ma voix pour lui apporter une réponse. Il ne disait pas non. Néanmoins, ce n’était pas encore un oui. L’incertitude planait jusqu’à ce qu’il s’approche de moi. Comme un gamin un peu trop effrayé, comme un enfant qui avait été trop marqué par vendredi dernier, je reculais d’un pas sans savoir me contenir. Ce n’était que de l’instinct impossible à gérer. Ce n’était qu’une réaction que je ne savais pas réfréner. Si je ne menais pas la danse, je reculais pour m’éloigner du possible piège qui ferait mal. Je reculais sans être foutu d’aller bien loin sinon j’allais m’effondrer sur le lit et m’offrir un peu plus. Je restais immobile alors qu’Albus se rapprochait toujours plus. Prédateur effrayant sans l’être réellement. Je le connaissais. Je pouvais avoir confiance. Les doigts de l’homme se posaient sur le nœud de ma serviette et je sentais mon souffle m’échapper. Il ne me touchait pas encore et j’étais déjà en train de perdre pied. L’angoisse remontait. Soudainement, sa paume se posait sur mon ventre et je sursautais sans pouvoir m’en empêcher. Contact étranger depuis si longtemps. Contact effrayant maintenant. Ses prunelles dans les miennes ne parvenaient pas à me donner confiance. Sa paume remontait sur moi et je fermais les yeux mordant ma lèvre pour me tenir immobile. Mes poings se serraient et je prenais sur moi pour ne pas hurler ou me dégager du contact. J’étais tellement tendu que je ne parvenais même pas à apprécier les frissons que l’homme savait pourtant faire naître sur moi. Il venait serrer ma carotide entre son pouce et le reste de ses doigts appliqués à ma nuque. Je sifflais sous la vague de douleur inattendue. Avait-il touché cette marque dans mon cou ? Je n’avais aucun moyen de le vérifier. Je n’osais pas bouger pour voir si sa peau recouvrait la marque. Lorsqu’Albus me demanda qui je voulais oublier, j’ouvrais les yeux marmonnant un « Personne » parce que je ne voulais pas parler de ça. Je ne voulais pas lui faire savoir ce qui s’était passé. Je ne voulais pas qu’il découvre le mal qu’on avait su me faire. De toute façon, ce n’était pas juste une personne que je voulais oublier. Je voulais effacer son passage ouais, mais je savais qu’il y en aurait d’autres derrière. Je voulais juste oublier l’Enfer de mon existence. Albus m’obligeait à lever le menton et je suivais sans résister. Ses lèvres se posaient sur les miennes et mon corps semblait se détendre un peu plus. Ça je ne l’avais pas eu vendredi. Ça, ça me prouvait qu’il ne me ferait pas de mal. Je pouvais me calmer. Tout irait bien. Lorsqu’il fit une remarque à propos de mon exigence, je ne pus m’empêcher de sourire. Son étreinte m’abandonnait tandis qu’il allait vers sa veste afin de récupérer le sachet contenant la poudre blanche. Je l’observais faire trois rails sans rien dire. La condition tombait. Il acceptait de me posséder si je me soumettais. Je mordillais ma lèvre incertain quand à ce que je devais faire. Je l’observais inhaler le premier jet de poudre et je m’asseyais sur le bord du lit. Est-ce que j’étais capable de me soumettre ? Depuis vendredi dernier, c’était moi qui dominait. Tout le temps. J’étais incapable de retrouver cette place de soumis que j’aimais tant. J’étais incapable d’offrir le contrôle aux autres. Pourtant, c’était bien pour ça que j’avais contacté Albus. Je voulais lui laisser le contrôle. Posant mon regard sur l’homme, je soufflais « J’me suis toujours soumis Albus… » juste pour lui rappeler le comportement que j’avais eu avec lui depuis qu’on se connaissait. J’avais beau le provoquer régulièrement, je me montrais toujours obéissant. Baissant les yeux sur le sol, je tordais mes mains entre elle avant de rajouter « Je suis prêt à me soumettre… » Enfin, je croyais être prêt. En serais-je réellement capable sans dérailler ? Sans le repousser ? Ça c’était d’autres questions.

@Albus Jasinski
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Incandescent, libre, tu avais semé les doutes, enterré les démons pour poursuivre ta vie. Tu as voulu croire que pour les personnes comme toi et moi, le bonheur était peut-être permis. Mais on ne peut pas repousser ses ténèbres éternellement. Quoi qu’on y fasse, quelque part résonne l’ennui et alors de nouveau leur appel émerge alors qu’on les croyait endormis. La réalité est je pense qu’on en sort jamais vraiment. Alors autant les apprivoiser, apprendre à exister avec. Parce que vivre, c’est autre chose. C’est sans doute pour ces raisons que je ne me suis pas inquiété outre mesure de ta demande. Vouloir me revoir, vouloir reprendre cette pratique que tu avais pourtant promis d’abandonner. Moi, je suis égoïste et si les ténèbres de nouveau te gagnent, je ne demande qu’à t’y rencontrer. Je n’en reste pas moins intrigué, curieux de savoir ce que tu as derrière la tête. Besoin d’un traitement? Besoin d’une épaule sur laquelle t’épancher? Finalement, nous avions connu pas mal de choses, sauf cette ultime proximité qu’aujourd’hui tu viens de demander. Pourquoi ? Tu es trop mystérieux pour me l’avouer. Le paradoxe me gagne, partagé entre une envie malsaine d’assouvir ta demande et une maîtrise plus distante qui voudrait nous préserver de ce feu, de ce mystère qu’on a jamais levé. Les choses seront différentes ensuite. Sans doute.

J’endors mes sens, j’endors le doute. Parsemant la poudre blanche et stupéfiante sur la vitrine lisse du comptoir de bar improvisé dans cette chambre. Sans attendre, je viens en inspirer les vices. Exigeant que tu te damnes à ton tour. Mais quelque chose m’agace. Tu as frémi à mes caresses, tu semblais en proie au rejet, comme subissant une perfide torture. Jusqu’ici, tu en demandais toujours plus, du feu tu te consumais. Tu jouais avec. Et aujourd’hui, tu as peur. Tu es brisé. Je sens une rage froide gagner mes entrailles. Heureusement, la cocaïne fait son effet et vient réchauffer les veines, mettre les sens en alerte, accélérer la mécanique du myocarde. Tu viens t’asseoir sur le bord du lit, tordant tes doigts juvéniles par réflexe. Mal à l’aise. Mais ne lâchant rien. Je me rapproche. Loup solitaire. Mais surtout redoutable. De ma poigne, je viens t’abattre, t'allonger sur le lit. Te dominant, je viens évoluer au-dessous de ton corps, genoux fléchis sans vraiment te toucher. D’ici, je peux mieux contempler tes enfers. De là, tu observeras mieux mes vices. « Arrête de mentir. » Je déteste qu’on me prenne pour un idiot et je n’ai pas de temps à perdre. Je n’en ai plus. « Qu’est-ce que tu veux vraiment ? » Pourquoi m’as-tu fait venir ? Et pourquoi moi ? La vie n’est pas clémente, tu dois apprendre à l’accepter telle qu’elle est , aussi malsaine que tordue, aussi blessante que parfois douce. Mais ça ne dure jamais, tu devrais le savoir. Rien ne dure éternellement.
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Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) You don't know how much I need you • Albus MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) You don't know how much I need you • Albus Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
L’arrivée d’Albus avait changé la donne. C’était comme si je me retrouvais dans un jeu que je connaissais trop bien. Une partie au sein de laquelle je ne risquais rien. Personne n’allait me blesser. Personne n’allait me forcer. Pourtant, même si l’atmosphère sécurisante s’instaurait, je n’étais pas foutu de me contrôler. Je n’étais pas fichu de réfréner les instincts enfouis qui se révélaient après vendredi dernier. Lorsqu’Albus s’approchait de moi, je reculais comme si je n’étais qu’un gosse qui se retrouvait face à un monstre effrayant. Un gamin qui risquait de se faire dévorer tout cru par l’horreur et la douleur. Je reculais jusqu’à ce que je ne sois plus en mesure de le faire et, là, je subissais. Je frémissais lorsque sa main se posait sur ma peau et ce n’était pas ces frémissement que j’adorais. Ces frémissements d’envie qu’Albus savait si bien provoquer. Ces frémissements qui m’avaient toujours donné envie de plus et qui m’avaient poussé à lui dire oui à tout. À réclamer encore et toujours plus. Gosse jamais satisfait. Gamin qui voulait encore se brûler. Mais, ce soir, ces frémissements faisaient mal. Je les détestais tant ils me donnaient envie de fuir. La confiance semblait s’être effacée tandis que l’angoisse remontait. La main d’Albus sur moi me poussait à serrer les poings pour me contrôler. Je serrais les poings pour ne pas partir en courant loin de ce toucher qui autrefois m’embrasait si délicieusement… Qui aujourd’hui m’embrasait si douloureusement. La question tombait : qui est-ce que je voulais oublier. Si seulement Albus savait. Si seulement il savait qu’on m’avait fichu en l’air. Est-ce que ça l’intéresserait ? Est-ce qu’il ferait quelque chose pour m’aider ? Je n’en savais rien. Je n’osais pas lui en parler. Alors, je me contentais de répondre du tac au tac prétendant ne vouloir oublier personne. C’était Albus face à moi. Il ne pourrait rien faire pour m’aider à sortir de l’Enfer. Je suivais sagement le mouvement qu’il m’imposa pour relever ma tête et je me laissais aller. Quelques secondes. Les lèvres de l’homme sur les miennes apaisaient un peu la douleur de mon être. Ça faisait du bien. J’en venais même à sourire lorsqu’il soufflait une remarque. Cependant, avant même que je ne puisse réellement me détendre, la condition tombait. Cette condition qui remettait toute ma soirée en cause. Étais-je prêt à me soumettre ? En règle générale, la réponse positive tombait dans les secondes suivant l’interrogation. J’étais toujours prêt à me soumettre parce que j’adorais cette position. J’adorais faire perdre la tête et laisser le contrôle. Ouais, j’aimais tellement ça. Surtout avec Albus. Néanmoins, après ce qu’il s’était passé, après avoir été contraint de me soumettre, étais-je prêt à le faire de nouveau ? La question cognait à l’intérieur de mon esprit tandis que je me laissais tomber sur le bord du lit. C’était la condition pour qu’Albus me possède ce soir. Je devais me soumettre. Il le demandait clairement. J’aurai aimé lui répondre du tac au tac que je me soumettais. Mais, je ne savais plus le faire. Gosse effrayé. Gamin perdu. Je finissais par offrir une réponse soufflant que je l’avais toujours fait. Et, les yeux baissés, tordant mes mains entre elles, je disais que j’étais prêt à le faire. Même si au fond de moi j’en étais incertain.

Incertain au point de sentir la tension revenir. Incertain au point de jouer avec mes mains comme si je n’étais qu’un enfant qu’on était en train de fâcher. Incertain au point de sursauter lorsque j’entendais Albus bouger. Relevant les yeux, je remarquais qu’il se rapprochait de moi. Toute mon attention se focalisait sur lui. Je cessais de jouer avec mes doigts. Je le regardais. Lui. Juste lui. Soudainement, il m’allongeait sur ce lit poussant ma respiration à s’emballer sans que je ne sache la contrôler. Ce n’était pas le désir qui parlait. Ce n’était que l’angoisse qui pulsait. L’homme venait me dominer sans réellement me toucher. C’était déjà beaucoup trop pour moi. Mon cœur me faisait tellement mal que j’avais envie de me laisser aller à sangloter. Ma respiration était beaucoup trop rapide à tel point que je me demandais si je n’allais pas finir par tomber dans les pommes à haleter ainsi. Bordel, je sentais mon être tendu… Et je n’étais pas tendu de la bonne manière. Non… Là, je n’étais pas tendu dans l’attente impatiente de la suite. Je n’étais pas tendu sous un désir fou un peu trop fort. Là, j’étais tendu parce que j’étais trop effrayé. J’étais tendu parce que la fuite cognait dans ma tête. Mon attention se reportait sur Albus lorsqu’il me demanda de cesser de lui mentir et je soufflais « Je… » sans pouvoir continuer ma phrase. Je n’avais pas le temps de lui dire qu je ne mentais pas. Je n’avais même pas le temps de lui dire que je n’étais pas obligé de lui en parler parce que je n’étais pas là pour ça. Je n’avais pas le temps parce qu’il venait poser cette question qui me stoppait dans mes mots. Ce que je voulais vraiment ? Mes prunelles se fermaient un instant. Je voulais disparaître. Je voulais tuer Rob. Je voulais être libre de nouveau. Je voulais oublier. Je désirais tellement de choses si inaccessibles. Alors, ce soir, je le voulais lui. Albus. Je voulais qu’il me possède parce que j’avais besoin qu’il efface le passage de mon premier client. J’avais besoin qu’il m’aide à oublier cet étranger qui avait su me heurter. J’avais besoin qu’il m’aide à me laisser toucher de nouveau parce que ça personne d’autre ne pouvait le faire. Albus était d’ailleurs le premier que je laissais me dominer comme ça de nouveau sans bouger. Bien évidemment, je n’étais pas rassuré. Mais, je ne bougeais pas de ma place. Je ne cherchais pas à m’enfuir ou à trouver des excuses pour tout arrêter. Et ça c’était inédit. Alors, je voulais qu’il aille plus loin. Qu’on aille plus loin. Peut-être qu’il parviendrait à me guérir de cet Enfer qui cramait ma peau. Rouvrant les yeux, je plantais mon regard dans le sien et je susurrais « Je veux que tu me possèdes… » La demande était réitérée. Sincère. Vraie. Je voulais qu’Albus me fasse sien ce soir. Pour la première fois. Pour la dernière fois ? Est-ce qu’il m’oublierait après ce soir ? Je n’en savais rien. J’avais peur que ce soit le cas. J’avais peur que tout s’arrête après ce soir. Mais, je ne voulais pas reculer. Je voulais qu’il me possède et je le demandais une nouvelle fois. Me redressant sur mes coudes, je rapprochais mon visage de celui de mon ancien client – de mon futur amant ? – pour ajouter « C’est ça que je veux vraiment Albus… Que tu me fasses tien ce soir… » Oui c’est ce que je voulais. Et pitié, qu’il ne me dise pas non. Qu’il ne me refuse pas ça. Pas alors que j’avais tant besoin de lui pour me sauver.

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Je ne comprends pas vraiment. Ta demande. Ce que tu cherches à exorciser ce soir entre mes bras. Pourtant chaque rapprochement que j’exerce, chaque caresse que j’applique à ta peau malmenée et juvénile s’avère être un supplice. Je te sens brisé, cassé pour de bon. Et tout médecin que je sois, je ne suis pas certain de pouvoir te réparer cette fois. Pourquoi c’est vers moi que tu as couru ? J’imagine qu’il n’y a pas que moi. A commencer par ce petit-ami pour lequel, tu as voulu tout arrêter. Mais je suis un client, je ne suis pas là vraiment pour te poser des questions. La drogue faisant son effet, je sens mes sens s’accélérer, et la raison s’adoucir doucement. Je suis prêt à beaucoup de choses moi aussi pour oublier. Mes orbes te détaillent, guettent tes réactions. Tous les deux à présent sur le lit. Je ne sentais pas sûr de toi sur ce coup et c’est pour cette raison que je viens te demander ce que tu veux vraiment. Suspendu à tes lèvres, j’accueille la réponse. Mes sourcils se froncent et ma voix âpre résonne. « Je ne vais pas te forcer. Si t’es pas en mesure de bosser, ce n’est pas la peine. » Muraille que j’érige entre toi et moi, parce que nos relations sont avant tout professionnelles, n’est-ce pas ? C’est ce qu’on s’obstine à penser en tout cas. Même si pour une fois, c’est toi qui m’avais convoqué, alors que pouvait-on réellement dire de tout ça ? « Allonge-toi. » Que je conclus finalement. Partagé entre l’impatience et mon envie de t’aider à ma façon. Autoritaire, comme toujours, je viens m’incliner sur ta peau, laissant mes lèvres de nouveau parcourir les tiennes, d’une pression douce, presque tendre. Pas vraiment dans nos habitudes. Mes phalanges te parcourent comme si tu étais une chose précieuse et fragile, et en quelque sorte, je ne m’égare pas dans les zones trop sensibles, me contentant simplement de l’arrière de ton dos, de tes épaules, comme une étreinte tendre et solide. Contre moi, l’adversité peut bien faiblir, je tiens, toujours. « Touche-moi Neal. » que j’intime d’une voix suave et profonde. Prends le contrôle, si cela peut t’aider, si cela peur permettre à la flamme de renaître, au désir de s’imposer sur la peur. Je suis prêt à m’incliner pour mieux te posséder, si cela peut t’aider à traverser les enfers, enterrer les démons même d’une façon éphémère. Désire-moi, embrase-moi, et laisse mon monde une nouvelle fois te rencontrer.
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Neal T. Hood-Spritz

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Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

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Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) You don't know how much I need you • Albus Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
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Neal T. Hood-Spritz
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Qu’il me fasse sien ce soir… La folle demande était réitérée à haute voix dans cette chambre d’hôtel qui me donnait la frousse. Elle tombait comme une parole un peu trop vraie. Je voulais qu’il me fasse sien ce soir. Follement. Réellement. Stupidement aussi peut-être. Qu’adviendrait-il après ce soir ? Qu’est-ce qu’on deviendrait Albus et moi ? Étions-nous déjà quelque chose ? Je me plaisais à croire que oui nous étions quelque chose. J’avais toujours répondu présent lorsqu’Albus me contactait et ce n’était pas pour être pleinement satisfait puisque les barrières n’avaient jamais été franchies. Je venais dès qu’il m’appelait parce que j’appréciais sa présence…. Parce que j’étais peut-être un peu trop épris de ce que l’homme dégageait. Et lui alors ? Pourquoi est-ce qu’il me contactait ? Ressentait-il cette attraction ? Cette addiction ? Ce besoin ? Je ne le saurais sans doute jamais. Tout ce que je savais était que nous nous retrouvions souvent dans une chambre d’hôtel pour jouer avec les limites… Pour se chauffer… Pour discuter parfois… Mais, jamais… Ô grand jamais nous avions été plus loin. Alors, que se passerait-il ce soir si nous croquions le fruit défendu ? Tant de choses étaient possibles et je ne savais pas comment cette histoire allait tourner. De toute manière, Albus avait plus de cartes en main que j’en avais. Il était le maître de cette partie de façon incontestée quand bien même je me plaisais parfois à tenter de reprendre la main. Maître indétrônable… Qu’adviendrait-il de nous Albus ? Est-ce que l’addiction serait renforcée ? Est-ce que des sentiments s’inviteraient ? Est-ce que la lassitude débarquerait ? Après ce soir, si nous franchissions les barrières jamais franchies, il était possible que nos chemins se séparent pour toujours. Ou peut-être que nos chemins allaient un peu plus s’entrelacer… Je n’en savais rien. Et, même si c’était effrayant, je voulais qu’il me fasse sien ce soir. J’avais besoin qu’il me fasse sien. Maître de notre histoire qui savait me faire flancher sans me faire fuir.

Albus soufflait des mots que je n’aimais pas. Des propos qui n’avaient pas leur place parce que, bordel, je n’étais pas en train de travailler là. Considérait-il que je bossais ? Mordillant ma lèvre, j’hésitais quelques instants avant de souffler « J’suis toujours capable de bosser… » d’une voix trop sûre. Je voulais que l’homme sache que je n’étais jamais à terre pour ça. J’étais toujours capable d’honorer mon travail même lorsque ma tête partait en vrille et que je n’avais qu’envie de fuir. Plantant mon regard dans celui d’Albus, je rajoutais « Mais je… J’bosse pas ce soir… » Gamin incertain qui laissait les mots s’échapper de ses lèvres. L’homme tentait d’ériger une muraille et je ne comprenais pas pourquoi. Cherchait-il à se protéger de quelque chose ? Je ne voulais pas de ce mur moi. Pas ce soir. Je l’avais contacté et il était venu. Prêt à répondre à ma demande peut-être. L’homme me demandait de me rallonger et je m’y pliais sagement. Je me laissais retomber sur le lit sous le corps dominant d’Albus. Je lui laissais les pleins pouvoirs. Les lèvres d’Albus s’emparaient des miennes donnant vie à une pression inhabituelle. L’homme se montrait tendre. Il m’offrait un baiser doux… Presque trop doux. Et je ne savais pas comment prendre ça. Je ne l’avais pas appelé pour ça. Je l’avais contacté pour que ce soit comme avant. Pourtant, sous ce baiser et ces doigts qui glissaient sur mon corps, je sentais la pression me quitter. Je sentais la tension s’effacer. Je me sentais capable de me laisser aller au toucher d’autrui sans avoir la trouille qu’on me fasse du mal, sans me sentir brûlé au dernier degré. Était-ce là les prémisses d’un changement dans notre relation ? Albus s’éloignait et je gémissais de frustration. Gamin qui ne savait pas se contenir. Je ne voulais pas qu’il cesse de m’embrasser. Ça faisait du bien. Ça me détendait me poussant à oublier ce client qui m’avait heurté si vivement. Ce client qui n’était que le premier de ma descente aux Enfer. La voix d’Albus lançait l’invitation. Est-ce que j’avais bien entendu ? J’avais le champs libre pour le toucher au moins quelques minutes ? Au moins le temps d’effacer l’autre. Au moins le temps de rallumer le brasier. Et honnêtement ce n’était peut-être pas une bonne idée Albus… Me laisser le champs libre… Me pousser à agir… Je voulais reprendre le dessus, dominer. Je désirais contrôler pour être sûr de ne pas me retrouver à terre. Un sourire amusé glissait sur mes lèvres. Gosse qui voulait jouer. Je me redressais pour capturer de nouveau les lèvres de l’homme. Un baiser langoureux… Un baiser tendre… Un baiser amoureux ? Allez savoir. Mes mains glissaient sur le corps d’Albus se faufilant sous sa chemise pour caresser son dos. Poussé par l’adrénaline de l'angoisse et par l’envie de contrôler, je ne savais pas comment exactement mais je renversais les positions. Je me retrouvais au-dessus d’Albus et c’était la première fois que ça arrivait. Non ? C’était comme ça que tout se passait depuis le client. Je devais dominer. Contrôler. Mais, c’était pour ça que j’avais contacté Albus. Le dominant qui saurait me remettre à ma place… Ou peut-être pas finalement. Me penchant sur Albus, je m’emparais de ses lèvres tandis que mes doigts s’activaient à défaire les boutons de la chemise m’empêchant de sentir sa peau contre la mienne. Le brasier s’allumait… Mais, il n’était pas correct… Ce n’était pas ainsi que les choses devaient se passer. Ce n’était pas pour ça que je l’avais contacté. C’était lui le maître du jeu normalement… C’était lui qui détenait les reines. C’était lui qui devait me faire sien et me pousser à frémir de délice. Ce n'était pas moi qui devait contrôler. Non...

@Albus Jasinski
(Neal T. Hood-Spritz)
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Gamin trop effronté. Trop balbutiant. Trop brisé. C’est la cruelle ambivalence que je nourris à ton égard Neal. Comme une envie de te briser, de te contrôler mais de te protéger à la fois. Gamin perdu. Vicié de ses troubles. T’es aussi faible, que je peux être fort. Et Le Roi aura toujours besoin d’un serviteur pour porter sa couronne. J’en ai détruit des âmes, crois-moi. J’en ai dévasté. Tout un cimetière. Habile, cruel. Et avec toi dangereusement humain parfois. Je m’interroge. Je t’interroge sur les raisons de ta venue à moi. « Ah oui et alors tu fais quoi ? » Provocation, flamme froide dans mes prunelles. Si tu ne travailles pas, que viens-tu chercher ? Sans doute quelque chose que chez moi, tu ne sauras pas trouver. Te faire mal encore un peu plus. Entre mes bras. Mes lèvres viennent cueillir les tiennes avec plus de douceur, tendre emprise. Te sentant brisé, apeuré encore, je te propose de venir me trouver. Te laisser l’illusion du contrôle, car ne t’égare pas, je le garde parfaitement. Jeune homme trop supplicié de ses désirs, de son feu. Quitte à s’y brûler. Un mince sourire s’égare à mes lèvres lorsque tu passes à l’attaque. Te retrouvant plein d’entrain comme autrefois, cherchant simplement à te mettre à l’aise, faire monter doucement la pression. Oublier. Tes phalanges venant explorer mon torse et mon dos, tes lèvres qui viennent me chercher encore. Mes doigts viennent passer sur ta taille, remontant à tes épaules, débarrassant le tissu de ton torse, te poussant à te positionner à califourchon sur ma personne. Loup dangereux, loup soumis éphémère comme pour mieux regagner de sa prise. Mes jointures se perdent dans ta chevelure, la tirant doucement en arrière. « Déshabille-toi. » Offre-toi. Viens offrir tes remparts en sacrifice. Puisque tu ne travailles pas. Je vais prendre bien plus de ta personne. Exiger bien plus qu’une transaction. Gamin perdu, abandonné entre mes griffes impérieuses.

@Neal T. Hood
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Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) You don't know how much I need you • Albus MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) You don't know how much I need you • Albus 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

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Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
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Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
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Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Non, ce soir, je ne travaillais pas. Je n’étais pas en train d’offrir mon corps sur le trottoir à toutes ces personnes désireuses de plonger pour une nuit. Je n’étais pas en train d’arpenter les rues comme j’avais pu le faire si régulièrement au cours des dernières années. Je n’étais pas non plus en train de répondre à une demande formulée par Albus. En générale, lorsque je devais travailler, Albus me contactait. C’était lui qui me faisait savoir qu’il me voulait à tel endroit et à telle heure. Lorsque je bossais, c’était l’homme qui donnait les ordres auxquels je me pliais sans faire d’histoire. Gosse dominé. Gamin empli de désir. Mais ce soir, tout était différent. Ce soir, les règles avaient changé. Ce soir, j’avais lancé l’invitation. Je ne pouvais pas parler d’ordre puisque jamais je ne me risquerais à donner un ordre à mon client particulier. Ce n’était qu’une réelle invitation qui était tombée et à laquelle Albus avait répondu oui. Ça aurait pu ressembler à un rencard dans le fond. Est-ce que c’en était un ? Je ne voulais pas chercher à fouiller. Je ne voulais pas prendre le risque de me perdre dans des milliers de questions auxquelles je n’avais pas de réponse. De toute manière, si aux yeux d’Albus, je bossais, cela signifiait qu’il ne considérait pas ce soir comme un rencard ou comme une invitation. Pourtant, mon regard plongé dans le sien, mon corps contre le sien, je lui soufflais que je ne travaillais pas. Ouais, je ne voulais pas qu’il prenne cette soirée comme telle. C’était plus. Tellement plus. Et je refusais de me retrouver derrière ce mur qu’Albus construisait entre nous comme pour me foutre dans une case. Trop loin de lui. Trop loin d’un nous un peu plus conséquent. Comme une provocation, l’homme me demandait ce que je faisais et je mordillais nerveusement ma lèvre. Je ne savais pas quoi répondre. Je ne voulais pas prendre le risque de le voir fuir et j’étais persuadé que si le mot rencard glissait entre mes lèvres, il me laisserait. Alors, baissant les yeux, je soufflais « Je profite… » Ouais c’était ça. Je profitais de cette soirée et de sa présence. Je profitais de son pouvoir à m’allumer et de sa capacité à m’apaiser. Je profitais en espérant qu’il soit capable de me pousser à me soumettre à nouveau sans avoir la trouille de souffrir. D’ailleurs, je me soumettais acceptant de me rallonger sur ce lit qui risquait d’être le témoin d’un acte inédit entre nous. Ses lèvres trouvaient les miennes m’offrant un baiser inhabituel qui faisait tellement de bien. La tension s’effaçait. La pression me quittait. Je me laissais aller pensant même que je pourrais le laisser me posséder. Un gémissement de frustration passa la barrière de mes lèvres lorsqu’il s’éloigna de moi.

L’invitation tombait. De façon un peu trop inattendue, Albus me permettait de le toucher comme je le voulais. C’était un peu comme ça que ça sonnait dans ma tête. C’était comme si j’avais les rênes en main et que je pouvais choisir de notre futur au sein de cette chambre d’hôtel. Albus me laissait le pouvoir pour tenter de rallumer ce brasier qui s’était éteint au cours des derniers jours à cause de la douleur provoquée par un autre. Cet homme qui se fichait de moi. Cet homme qui avait pris du plaisir à me faire mal et à me marquer. Cet homme qui avait pris son pied à me forcer. Me forcer au point que je n’osais plus rallumer le brasier d’un gamin dominé. J’avais peur de souffrir. J’étais effrayé à l’idée d’ouvrir une porte pour me laisser détruire. Brisé. Lancé à terre. Abandonné. Seul. J’avais la trouille de me soumettre et de subir des coups. Albus m’offrait ce champs libre et j’étais un gamin effrayé. Ce n’était pas ce que je cherchais en le contactant. Si j’avais envie de dominer, je pouvais toujours le faire avec mon copain ou avec Laurys. Il me suffisait de les attacher et je pouvais plonger dans un plaisir et dans une domination. Ce soir, je voulais retrouver ma place. Je désirais redevenir ce gamin dominé qui adorait se laissait faire, qui n’en avait jamais assez et qui, surtout, n’avait pas peur. Je voulais redevenir Neal, l’assoiffé de plaisir, le désireux de domination. Mais, Albus avait su allumer quelque chose en moi. Un défi. Un désir. Une envie. J’y plongeais pleinement. Me redressant, mes lèvres venaient capturer celles d’Albus tandis que mes mains glissaient le long de son dos. Poussé par cette adrénaline qui cognait depuis quelques jours, poussé par cette envie de contrôle autorisé, je renversais les positions me retrouvant au-dessus d’Albus. Ça ne sonnait pas très bien. Ce n’était pas ma place. Je voulais tant qu’il me remette à ma place. Mais, je me laissais entraîner par les flammes. Je me penchais sur l’homme pour m’emparer de ses lèvres. Mes doigts défaisaient les boutons de sa chemise pour sentir sa peau sous mes doigts. Le brasier s’allumait. Lentement. Réellement. Les doigts d’Albus glissaient sur moi. Ils passaient de ma taille à mes épaules virant la chemise que j’avais renfilé à la va-vite quelques minutes plus tôt. Il me poussait à me positionner à califourchon sur lui alors que ses doigts glissaient dans mes cheveux. Il les tirait doucement en arrière et je mordillais ma lèvre aimant un peu trop ce contact. L’ordre tombait. Facile à accomplir. Je ne portais plus grand-chose. Alors, bougeant doucement, je tirais sur le nœud de la serviette autour de ma taille pour retirer le tissu et le balancer au loin. Et j’étais là. Nu. Offert. Allumé. Désireux. Dominant. Mes lèvres s’emparaient de celles d’Albus une nouvelle fois. Juste un baiser rapide avant de glisser à son oreille où je susurrais un « Possèdes-moi Albus… » presque suppliant. Mes lèvres reprenaient leur course parcourant le cou de l’homme que je mordillais. Elles glissaient le long de ce torse qui m’étais accessible tandis que mes mains s’activaient à défaire la ceinture de mon client si spécial.

@Albus Jasinski
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Je ne veux pas savoir tes blessures, je ne veux pas connaître tes béances, mais je les devine. Écorchures invisibles qui viennent marquer ce qu’il y a plus profond de l’être. Te laissant une liberté illusoire, le plaisir de dominer mes remparts. Animal qui ne connaît que trop ses instincts, faussement soumis sous ton emprise. Je ne sais pas ce que tu cherches vraiment avec moi. Mais j’imagine qu’une partie de moi vient te réparer, que ma force vient sans doute te rassurer. Mince rictus qui éclaire mes traits froids sous tes aveux. Que tu profites, je ne vais pas te le reprocher. Tant de fois après tout, j’ai tout simplement profité de toi. « Fais-toi plaisir. » Corps offert, regard qui accompagne les gestes juvéniles et qui viennent débarrasser les tissus superficiels. Désormais offert, ton corps est exposé, de celui que j’ai eu l’habitude maintes fois de contempler. Nos lèvres se scellent dans une étreinte plus douce, plus tendre que celles habituelles. Est-ce par simple orgueil que je souhaite que le désir te consume à nouveau ? Et non plus la peur. « Tu ne donnes que ce que tu veux. » Conseil prononcé d’entre mes lèvres slaves. Peu importe à quel point tu peux donner ton corps, c’est le reste qui importe. Crois-en les paroles de l’expert. Maintes fois, je me suis perdu entre des draps sans jamais offrir ce qui m’animait au plus profond. Désir éphémère, carnassier contenté de sa proie. Tes phalanges viennent s’attaquer à mes propres vêtements, le souffle s’accélère imperceptiblement alors que le corps se dévoile à son tour. Corps frêle qui vient surplomber le plus puissant, le spectacle peut prêter à sourire, mais je sais parfaitement qui domine au fond. Ton visage s’approche du mien, et instinctivement mes griffes viennent lorgner de leur douce étreinte la blancheur de ta nuque. Orbes faméliques qui rencontrent les perdus. Brillance malsaine qui vient hanter de sa lueur mes sombres prunelles. D’un mouvement lent mais fort, je retourne ton corps contre le matelas, désormais débarrassé également de tout vêtement, je te domine enfin. Ventre reposant contre les draps, mon corps vient se poser sur le tien, joue de mouvements des hanches d’une étreinte que tu désires, sans y succomber pour autant. Des mois, presque des années que nous jouons de la sorte. Alors pourquoi briser ce rituel malsain ? Proprement masochiste. « Pourquoi moi ? » Voix qui vient également caresser ton oreille. Tu as le choix. Tu en as des tas. Alors la question se pose. Pourquoi moi ? Et pourquoi aujourd’hui ?

@Neal T. Hood
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