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We make the peace ?
Depuis l’incident à Megève, je n’avais pas eu l’occasion de parler à mon cousin. En faite, j’avais mal pris notre dispute. Ce jours là, j’avais appris qu’il était l’ex de Natalya et si je l’avais su plus tôt, je n’aurais surement rien fait, mais c’était trop tard. Alekseï avait raison sur un point : J’étais un professeur et je ne devais pas avoir ce genre de relation avec une élève. Que voulez-vous, les femmes étaient mon point faible. De plus, il n’y avait pas beaucoup d’écart d’âge avec les étudiants. Ce qui pouvait être déstabilisant.
Finalement, je m’étais raisonné et avais décidé de résoudre ce problème au plus vite. Dans quelques jours je partais au Spring Break et il serait de la partie, c’est pourquoi je ne voulais pas ruiner l’ambiance avec notre querelle. Ça faisait dix minutes que je faisais face à l’hôtel où logeait Alekseï. Je doutais. Est-ce que parler arrangerait les choses ? J’avais bien peur que cela ne suffirait pas à retrouver notre entente, mais il y avait une chance que cela apaise un peu les tensions. Valait mieux un peu que pas du tout. Merde. J’avais beaucoup trop de fierté pour me rabaisser à ce point. Je n’avais pas à m’excuser pour avoir agit comme un homme qui avait envie d’une fille. Je décidais de faire demi-tour. Hélas, le destin en avait décidé autrement. Mon cousin était en train de descendre d’une voiture. Surement celle de son chauffeur. Je ne pouvais plus reculer. Hors de question de passer pour une tapette.
Finalement, je m’étais raisonné et avais décidé de résoudre ce problème au plus vite. Dans quelques jours je partais au Spring Break et il serait de la partie, c’est pourquoi je ne voulais pas ruiner l’ambiance avec notre querelle. Ça faisait dix minutes que je faisais face à l’hôtel où logeait Alekseï. Je doutais. Est-ce que parler arrangerait les choses ? J’avais bien peur que cela ne suffirait pas à retrouver notre entente, mais il y avait une chance que cela apaise un peu les tensions. Valait mieux un peu que pas du tout. Merde. J’avais beaucoup trop de fierté pour me rabaisser à ce point. Je n’avais pas à m’excuser pour avoir agit comme un homme qui avait envie d’une fille. Je décidais de faire demi-tour. Hélas, le destin en avait décidé autrement. Mon cousin était en train de descendre d’une voiture. Surement celle de son chauffeur. Je ne pouvais plus reculer. Hors de question de passer pour une tapette.
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