YEONA WOO ► kim ah young

yeona woo

— c’est peut-être encore un peu trouble, là-bas, l’horizon qui, quelques fois, a cette difficulté de se dessiner. et là, le syndrome de la page blanche, l’écrivaine à l’imaginaire merveilleux qui soudainement s’éteint. l’enfant qui s’élance dans l’inconnu, à ne guère appartenir à qui que ce soit, à quoi que ce soit, à s’aveugler des interdits qu’elle s’impose, et là, la tête pleines de souvenirs, elle s’ é g a r e (( en elle-même )).

a n t h é e - déesse des fleurs

y e o n a, le prénom de la pureté, à évoquer l’esprit frivole, presque à l’idyllique princesse, à celle qui parle aux animaux, en espérant secrètement une réponse ; y e o n a, bohème, celle qui s’harmonise avec la nature ; douée d’imagination, farfelue demoiselle, le coeur sur la main, l’amour aux bouts des lèvres ; romantique, à l’âme si sensible. yeona woo, le timbre tendre au creux de la voix, y e o n a, merveilleuse et enjôleuse. au caractère fort qui surprend quand on la pense si frêle ; à ne guère se rendre compte quand on repense quelques fois à ses cheveux à la senteur délicieuse d’automne.

y e o n a c’est comme la poésie au bout des doigts lorsqu’elle compose ses bouquets ; et c’est l’amour de la botanique qu’elle partage aux autres ; la parfaite fille d’à côté ; aux traits de poupée ; quand c’est la tristesse qui l’obsède ; à aimer la pluie qui s’abat sur la ville comme sur son coeur. et elle, c’est parfois à la mélancolie de l’enfant ; les lippes toujours étirées , la joie ; la définition de l’enfant des champs, à courir seule, à travers les épis de blé ; et on la dit trop rêveuse ; parfois la cancre quand elle est douée de mots ; quand c’est le toucher dont elle a besoin pour se sentir en vie.

yeona, l’adn généreux, elle aussi, la beauté délicate, le désir dans la voix, la fleur qui s’apparente à l’aînée, à l’hiver qu’elle brave lorsqu’elle demeure le reflet du printemps, qui s’offre de par sa bonté, l’enfant que l’on craint lorsque l’orage gronde, mais qui se love dans les bras de sa fantaisie.

pseudo alice
âge 2+2
nationalité fromage de chèvre
forum connu par... le petit lapin blanc
ILH, j'en pense quoi ? j'ai quatre bébés encore ici
autres comptes ? @Theo Yun @Jo Hee Seo @Hana Birks @Orion Moon
avatar utilisé kim ah young
crédits images solsken (avatar)
nombre de mots par rp tout dépend
type personnage inventé et en collaboration avec @Nara Woo

code métier
city center + fleuriste et professeure de botanique à harvard :

Code:: @"Yeona Woo" » <i>(fleuriste et professeure de botanique à harvard)</i>

code bottin

Code:: » <span class="pris">kim ah young</span> » @"Yeona Woo"

(Invité)

10/08/2012

Un jour, une histoire

s é o u l
enfant ailleurs - l’enfant aimée, et peut-être étrange ; comme on la pensait si différente, à jamais réellement s’intégrer ; cadette d’une famille qui aime (( on la pense si douce)) cadette qui s’intéresse si vite à la nature ; celle à qui l’on refuse une école parce que la môme est ailleurs, la terre pour elle n’a guère de sens ; quand la gamine s’apparente aux astres ; c’est rejetée qu’elle subit l’école, les autres qui rejettent l’imaginaire loufoque ;; et la gamine que l’on dit trop stupide ;; c'est une école prestigieuse que l'on lui refuse (( i n u t i l e )) ; presque vue comme la cancre, pourtant si douée ;; et c'est une rencontre qui change, c'est l'amitié qui amène vers les rêves qu'on ne veut exaucer.

p a r i s
c'est cette école qui conduit à son épanouissement ;; c'est presque une histoire d'amour platonique ;; à ces deux filles qui partagent le charme français (( h a r u )) ;; c'est l'école qui accepte l'enfant de la lune, à réaliser les songes à s'en cogner le crâne ;; et les fleurs, soudaines pensées, qui fleurissent sur l'épiderme ;; c'est la vie parisienne qui parfois offre la mélancolie, aux désirs de retrouver la terre natale, et parfois à celle d'être ailleurs, de découvrir de nouveaux horizons ;; le diplôme en mains, c’est le drame qui s’annonce, c’est l’aînée qui brutalement s’effondre.

b o s t o n
et là, c’est comme les ténèbres qui s’amassent, quand brutalement le rideau tombe, et là-bas, l’ange qui s'endort, dans l’éternelle candeur. à la burlesque tragédie, aux larmes creusant le visage si doux, à la douceur assassinée de la tristesse, quand l’ange devient pantin de ses sombres songes. (( n a r a)) cauchemardesques nuits, aux insomnies, à y sentir les éternelles tachycardies, la cadette qui devient l’échappatoire, à fouler les pieds de boston pour exaucer les vœux de paix.

a n t h é e
à la fleuriste aux songes pleins la tête ;; y e o n a fille des fleurs à la beauté semblable au printemps ;; délicieuse écrivaine qui médite sur les mots ;; les proses qu’elle étale sur le papier ;; et le syndrome de la page blanche qu’elle tente de guérir ; on lui propose un rôle ;; (( animer les ateliers des plumes )) parce qu’offrir le savoir aide l’esprit à s’harmoniser avec les métaphores et autres odes aux plantes ;; c’est la librairie du coin qui l’épanouie, quand c’est les autres qui l’inspirent (( e l l e )) ;; la petite-fille qui s’exprime, grande artiste, aux similitudes avec l’aînée.

et la petite boutique du coin de la rue, en plein milieu de la ville, quand la parfaite fille d’à côté charme de ces odeurs de roses, quand les lys capturent l’attention, à s’y arrêter des heures durant lesquelles l’esprit s’évapore en elle.
et les lippes d’a n t h é e qui vous guide au pays des merveilles, l a a l i c e qui s’exprime dans ses compositions féériques.

(Invité)