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ACIL REAVER
naissance
boston, le 26 juin 1996.
nom et prénom (s)
(reaver) nom plutôt simple et commun pour une famille désordonnée qui a tenté de survivre dans le tourbillon de la vie . c’est un destin tragique et une solitude feinte pour le seul survivant. des échecs, des obstacles et un ramassi de merde sur ses épaules. (acil) un prénom prononcé du bout des lèvres. une saveur légèrement exotique sur la langue. tout en nuance. à la fois tendre et sauvage. il entend parfois sa mère l’appeler dans ses songes les plus doux, même si sa voix n’est plus qu’un écho dans ses pensées. c’est elle qui l’a prénommé ainsi, et cette idée lui réchauffe le coeur. il se dit que c’est un petit morceau d’elle qui reste ancrée dans sa peau.
nationalité(s)
(américaine) bout de papier écorché glissé dans la poche trouée de son jean. gamin qui connait sa chance, alors que d'autres se battent pour l'obtenir. destin assuré sur la terre de la liberté. aucun risque d'être renvoyé.
origine(s)
(norvégienne) teinte nordique qui glisse dans son sang. sa mère venait de ce doux pays avant de marier son père. alors le mioche est un peu des deux. mais n'a jamais demandé la nationalité du pays, il n'y a même jamais foutu un pied et parle encore moins la langue.
orientation sexuelle
(bisexuel) il aime les courbes féminines. leur peau douce contre ses doigts agiles. leurs cheveux qui sentent la fraise contre sa joue. gamin qui pourtant apprécie les corps d'adonis et leurs muscles saillants. pourquoi choisir quand on peut goûter à toutes les saveurs.
statut amoureux
(célibataire)un sourire charmeur toujours accroché aux lèvres, des paroles gourmandes sur le bout de la langue. la caresse de ses mots est comme un souffle chaud sur la peau. acil a dû mal à a i m e r.
études
(BUSINESS,GOUVERNEMENT ET ECONOMIE INTERNATIONAL)
bourse
(oui)
statut social
(modeste) l'argent arrive et repart aussi vite que celui du monopoly.
job étudiant
vendeur de glace au centre commercial.
—insignifiance. innintéressant. acil ne porte même pas un seul regard aux maisons, un haut les coeurs faisant tournoyer son ventre. les ragots, des différentes histoires. le gamin préfère rester inconnu, à longer les murs. à ne laisser aucune trace. ( p e r s o n n e ) la popularité, il y a goûté et ça lui a brulé les ailes, à croire pendant quelques instants que ces gens étaient ses amis alors qu'ils étaient ses ennemis. avec eux il croyait toucher le paradis alors qu'il tombait en enfer. le gamin ne veut plus regoûter à ce destin. et puis les gens ici ne sont pas comme lui. c'est plus les banlieux, ici ça pu le raffiniment, l'histoire, la connaissance et le luxe. alors acil se dit qu'il est aussi bien tout seul . il a tiré des leçons de son expérience passée, de ses années sombre au lycée. ici, il ne compte pas refaire la même erreur. et puis la compétition très peu pour lui.
harvard. rêve de gamin. rêve de toujours. celui de réussir à faire un truc de sa foutu vie. de faire quelque chose de mieux. pas finir comme son père. pas comme le reste de sa famille. l'envie de n'avoir aucun regret. confiance qui s’effrite. malgré ses airs arrogant je m'en foutiste le mioche a peur de la réalité. celle de ne pas être à la hauteur. mais putain il a pas envie de passer le reste de ses années à rester dans la banlieu à se dire c'est ça ma vie? à attendre que quelque chose se passe, alors il décide de donner un coup de pouce au destin, à foutre un coup de pied au cul à la chance; parce que bordel s'il a un ange gardien ce dernier fait un boulot merdique depuis le début alors acil comprend qu'il va falloir qu'il se débrouiller. se débrouiller, deux petits mots qui semblent définir qui le mioche est vraiment. gamin qui dépose son dossier, passe les tests, les entretiens. lettre de motivation à l'appui, bulletin de notes délaissées. repasse son SAT. et de sa plus jolie plume écrit une dissertation. montre sa motivation à travers le choix de ses mots. envie qui dégouline de ses stylos. réflexion intense. argent un peu mis de coté.à stresser, à se dire que c'est la chance de sa vie. un signe. alors acil se lance; à se jeter dans le vide, dans cet inconnu de connaissance.puis il attend. impatience qui lui brûle les veines. les jours passent et trépassent sans nouvel de son dossier. ils ont beaucoup de candidatures qu'il se remémore. à passer pratiquement tous les jours devant l'établissement, sans y entrer à se dire que bientôt il pourra l'effleurer. puis la lettre arrive enfin, celle de la délivrance. et le gamin se jure de rester motivé et de tout donner pour cette unique opportunité. pour lui. parce que le mioche veut pas être un moins que rien, il veut être un plus que tout.
indompté et indomptable. acil c’est un véritable brasier qui détruit tout sur son passage. d’humeur bougonne, toujours grognon à jurer tel un charretier. à utiliser des expressions pas très catholiques. “putain” “bordel” “fait chier” fait parti de son vocabulaire préféré. utilisant des trésors d’imaginations pour insulter les gens. attitude je m’en foutiste à toute épreuve. ses yeux autrefois puit de lumière trahissent son détachement. acil dit toujours ce qu’il pense, sans langue de bois. trouvant la plupart des gens irritants, et débiles. sanguin, à utiliser ses poings plutôt que les mots. parfois à s’exploser les phalanges contre les murs, à balancer des chaises. énerver et énervant. une colère qu’il peine à maitriser. à s’énerver beaucoup trop facilement. acil c’est aussi un putain de battant. une larme tranchante qui ne lâche jamais l’affaire. un conquérant qui se relève toujours malgré les tôlées. il manque parfois de subtilité mais il est bougrement efficace. un survivant qui arrive à obtenir ce qu’il souhaite.
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acil a toujours une cigarette au bout des lèvres, de la fumée dans ses poumons, du goudron dans les veines. une clope pour tous les évènements dès qu’il est stressé, énervé, heureux. un paquet dans ses poches, la peur de parfois être en manque. acil n’a pas vraiment une vie rangée. parfois il est drôlement défoncé. parfois il est complètement bourré. tous les excès il les a fait. juste pour tester. juste parce qu’il voyait papa et maman l’faire. une fois lorsqu’il avait six ans, son père lui avait donné du rhum en pensant que c’était de l’eau. le bidon en feu alors que le mioche en avait beaucoup trop bu. emmené d’urgence à l’hôpital, le diable dans les entrailles. miki en garde pas un bon souvenir, et pourtant ça ne l’empêche pas de boire parfois trop.
l’argent. il ne s’en était jamais inquiété avant. surtout lorsque c’était papa et maman qui gérait le portefeuille familiale. il ne se rendait pas compte de la porté de quelques billets. il ne se demandait jamais combien avait pu coûter les vêtements qui se retrouvaient dans son armoire ou la nourriture dans son assiette. un peu comme un tour de magie. il s’était toujours dit que c’était normal, lui c’était l’enfant, un enfant parfois adulte, qu’il n’avait pas à penser à ce genre de chose. c’était même pas le sien, un peu comme un billet de monopoly dont on ne connaît pas réellement la valeur. et pourtant, maintenant il prend conscience des sacrifices qu’avaient parfois dû faire ses parents. qu’il fallait se serrer la ceinture. que chaque centime disparaissait aussi rapidement qu’il était apparu. qu’être adulte ce n’est pas recevoir du courrier de ses amis, mais des lettres de la banque, de l’état, des impôts. qu’on te demande de donner ton bras, ton torse alors que tu possèdes à peine un ongle. que si tu payes $16 pour une boisson ça intérêt de sortir tout droit de la vessie de jesus. l’argent c’est ce qui semble guider sa vie. qu’il en veut toujours plus, qu’il en a tout simplement besoin. c’est aussi dépendant qu’une drogue, et on peut facilement devenir accro.
toujours un livre à la main, cette échappatoire salvatrice. des millions d’histoires au bout des doigts. bouée de sauvetage dans la tempête de sa vie. acil lit tout ce qui lui passe sous la main. d’hemingway à harlan coben le gamin ne fait pas la fine bouche. source de savoir infinie. son unique moyen de voyager. à côtoyer tous les jours ces personnages imaginaires. sa table de chevet est un entassement de bouquins. parfois commencés, parfois abandonnés, parfois terminés. des pages cornées, déchirées, soulignées, avec des annotations sur le côté mais attention il ne laisse personne toucher à ses affaires, loin de vouloir partager toutes ces pages avec quelqu’un d’autre. c’est à lui.. source parfois de blagues de la part des autres qui ne l’imaginent pas si instruit avec sa gueule si fermée. un piège à “nana” défini par certain, avec ce petit côté mystérieux et froid de edward cullen. acil ça le fait rire parce que lui ne pense jamais aux femmes. lui il aime juste lire. ni plus ni loin. le reste il s’en fout.
insomniaque, à éviter tous les soirs les bras de morphée.ne sachant plus comment s’endormir. à faire les cent pas, à compter les moutons ou les étoiles. hanté par de vieux souvenirs, par cette solitude qui le bouffe de l’intérieur. mais la peine, on ne la trompe qu’un bref instant. acil est un oiseau de la nuit. parfois il regarde le plafond de sa chambre magané, et se dit qu’il devrait l’arranger, bricoler un peu pour le réparer.c’est en pensant à ça qu’il a réalisé quelque chose qu’il n’avait jamais vraiment pris le temps de remarquer. tout le monde rénove sa maison, mais pas beaucoup de gens qui prennent le temps de réparer ce qui est brisé en eux, à l’intérieur du corps. parce que acil c’est une âme étiolée, brisée par les tumultes de la vie. qui tente de continuer d’avancer en se mettant des petits bouts de scraps sur le coeur. des blessures pas vraiment guéries, des morceaux de colère qui refont parfois surface. ça fait des trous dans le corps, comme les balles d’un fusil qui nous transperce. alors peut-être qu’il préfère reboucher les fissures de son plafonds, par lâcheté plutôt que celles présentes dans sa poitrine.
petit, il se penchait contre la balustrade, le regard curieux pour pouvoir mieux admirer les étoiles. il se disait qu’elles devaient toutes se sentir seules, là haut si loin de tout. aucun de ses avions en papier semblaient les rejoindre, ne volant jamais suffisamment haut. se faisant contrer par le vent. il était allé le dire à sa mère, qui en avait rigolé. alors la matriarche des reaver avait commencé à lui expliquer que si les étoiles brillaient si fort dans le ciel c’était parce qu’on pouvait y entrevoir le paradis. que le voile entre les deux étaient troués, et que cela permettait aux trépassés de pouvoir toujours garder un coup d’oeil sur les personnes qu’ils aimaient. que s’il se concentrait suffisamment fort, il pourrait peut-être entrevoir des silhouettes. les sourcils froncés, le regard aiguisé, il s’était laissé guider par la noirceur de la nuit, mais n’avait jamais pu apercevoir quelqu’un. peut-être parce que tous ceux qu’il chérissait était en vie? encore maintenant le gamin s’allonge sur l’herbe et observe l’immensité. il s’amuse à leur donner des formes, des noms. cela le détend, c’est son petit secret à lui.
pseudo s o n g e
âge vingt-quatre ans.
nationalitéfrançaise.
forum connu par...ilh c'est un peu une bible, la référence.
ILH, j'en pense quoi ? cette version est sublime, la puissance des détails bravo.
autres comptes ? non .
avatar utilisé tanner reese.
crédits images HOODWINK
nombre de mots par rp aléatoire
type personnage inventé mais ouverte aux liens, ma boite à mp est dispo
code études
étude ;;nom de la faculté ;; année d'étude- explicatif pour remplir correctement dans ce sujet : BUSINESS,GOUVERNEMENT ET ECONOMIE INTERNATIONAL ;; harvard business school ;; sixième année
code bottin
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