law time ft. andrew

Je pense que l’on a tous envie d’avoir un patron avec qui l’on s’entend bien. Mais pas un patron trop laxiste non plus. Je n’ai pas envie de dire qu’Andrew est le patron parfait, car la perfection n’existe pas, mais il est typiquement le patron que j’ai toujours voulu avoir. Le genre de patron proche de ses employés, pour les mettre à l’aise, mais aussi qui sait mettre des sanctions lorsqu’il le faut. Il est gentil, mais il ne faut pas le chercher, car lorsqu’on le trouve... enfin, je ne veux pas savoir. Je préfère l’avoir en tant qu’ami. “Et tu y réussis. Tu fais un très bon travail.” Evidemment, il n’est pas le seul à faire le travail. Mais, il sait mettre l’ambiance pour que l’on veuille bien travailler. On sait que chez nous on travaille... Alors que dans d’autres cabinets, on sait que l’on y va car c’est plus … détendu... voire, trop. Et personnellement, ce n’est pas ce que je recherche. “D’accord.” Je répondis face à la réponse qu’il me dit au sujet d’Ethan. Je réfléchis quelques secondes, devais-je lui dire notre lien de famille. Est-ce qu’Ethan souhaitait que cela se sache ? “Connaitre, est un grand mot... Disons, que nous avons le même sang... et que nous avons un peu perdu ce lien de famille...” Je ne voulais pas en dire plus. Non pas parce que je ne le souhaitais pas moi, mais parce que je pensais à lui et à ses désirs. “Mais si tu le croises, ne dis rien, s’il te plait...” Je souris. Tout en espérant pouvoir prendre un café avec lui aussi, dans le futur. Depuis le temps que je lui ai écrit. Je sais qu’il lui faut surement du temps, mais quand même... Moi, je n’y suis pour rien dans toutes ces histoires familiales. “Avec trois filles à la maison c’est sûr que tu auras de l’attention...” Je me mis à rire. J’avais adoré avoir Mars. D’ailleurs, Mars a toujours été plus proche de moi. Et ma fille, de Marshall. Ce n’est pas une légende de dire que les filles sont plus proches de leur père et inversement. En revanche, avoir un garçon et une fille, j’avais adoré cela. Elever une fille est tellement différent qu’un garçon.
@Andrew T. Spector

Je souris, elle m'envoi des fleurs vraiment, mais bon si elle savait au combien cela avait été dure pour moi de tout crée, de tout lancer. Elle ne dirait pas la même chose je vous le garanti. J'ai eu de nombreux hauts et de bas durant la création de ma société directement après ma sortie de Harvard. C'était un pari à prendre, mais je l'ai pris et voila je suis là où j'en suis actuellement. Et je suis heureux d'être arrivé à mes fins. Pourquoi? Parce que c'était mon rêve, c'était ce que je voulais le plus au monde, c'était ma vision du travail. J'avais grandi avec des parents qui n'avaient jamais crée leur société, mais moi je ne voulais pas cela. Puis bon j'ai plus une carrure de patron que de salarié. Vraiment. Maintenant ma société brasse pas mal de clients et les personnes qui travaillent avec moi sont choisit minutieusement pour leur travail et leur passion pour ce métier. "Oui faut regarder que les meilleurs moments de cette boite." Je souris, puis je l'a regarde quand elle me pose une question sur Ethan . Je fronce le regard je suis relativement surpris d'entendre parler de lui Elle me dit qu'elle avait le même sang. Je l'a regarde, comment ça? "C'est qui pour toi?" Je ne crois pas que ça soit son fils on en avait déjà parler, et c'était pas son prénom là sauf si elle l'avait modifier, ça peut être entièrement possible. Je secoue la tête, non je ne dirais rien, je ne suis pas du genre à dire quoi que ça soit aux gens. On avait tous nos secrets après tout. Et j'en garde un paquet des secrets, ma femme en connait quelques uns bien sur quand ça nous concerne directement mais pas le reste. "Il y a des soucis de familles partout, ne t'en fais pas." Je souris. Puis je rigole a sa remarque. Ah oui ça s'est sur mais bon je ne sais pas si ça me fait peur ou pas d'avoir une autre fille. De toute façon ce n'était pas encore fait, il allait du bien pour crée un bébé, faut pas y penser sinon cela ne vient pas. C'était plus difficile, ça ne se crée pas en un claquement des doigts. Et nous faut qu'on soit sur que toutes nos fondations sont solides. Il ne faut pas oublier cet aspect. On repart de loin avec Aymalyne... "Je me dis heureusement qu'on a plusieurs salles de bains. " Je rigole mais c'était l'avantage d'avoir une grande maison et puis j'avais encore ma maison aussi.. Pour le moment je vivais chez Aymalyne, ce n'était pas chez nous, mais c'était comme si. C'était pour ne pas aller trop vite comme la première fois. On veut faire les choses bien.

Je ne suis pas là depuis le début du cabinet d’Andrew, mais au moment où je lui avais demandé les démarches pour démarrer son propre cabinet il m’avait fait plus ou moins comprendre que ce n’était pas aussi simple. Que je devais le faire seulement, et seulement si, je le souhaitais vraiment. Depuis, on n’avait pas eu le temps d’en rediscuter. Peut-être aujourd’hui était le bon moment. “Oui d’ailleurs... On n’a pas eu le temps de reprendre notre dernière conversation... Au sujet des débuts d’un cabinet.” Je ne comptais pas forcément le faire dans les jours prochains, mais pour réellement me lancer, il fallait que je sache comment faire. Dans les moindres détails, pour ne pas être prise au dépourvu. Mais oui, j’y songeais fortement. Surement que je me lancerais au cours de l’année à suivre. Très vite, nous nous mimes à parler d’Ethan. Il me demanda qui il était réellement pour moi. Je souris, avant de répondre. “Tu es bien trop curieux Andrew.” Je ne voulais pas en dire plus. Du moins, pas tant que je n’aurais pas eu une discussion en face à face avec lui. Si je disais quoique ce soit, j’aurais l’impression d’empiéter sur sa vie privée. “Ne lui fais pas de traitement de faveur maintenant que tu sais ça...” Dis-je sur le ton de l’humour. Je savais qu’il ne le ferait pas bien évidemment. Pas du tout dans le gendre d’Andrew. J’haussais les épaules quand il dit qu’il y avait des affaires de famille partout. Oui, malheureusement, c’était bien vrai.  

Je me mis à rire lorsqu’il parla des deux salles de bains. “Si seulement tu savais...” Je lui souris. “Le 2e enfant ce n’est pas comme le premier...” Je lui dis cela en voulant plus ou moins le mettre en garde. “Le premier, il change un peu tes habitudes de couple. Tu apprends à être parents... Mais le deuxième, tu es déjà passé par là. Et pourtant, c’est plus dur. Dans le sens où tu dois t’occuper de ton premier et de ton deuxième. C’est plus les habitudes de vie qui changent.” Après le deuxième, j’imagine qu’on est rôdé. En lui disant cela, je voulais le prévenir. En bonne amie, et collègue, que je suis.
@Andrew T. Spector

J'avais oublié que la jeune femme voulait faire son propre cabinet, enfin non je ne l'avais pas oublié, mais elle était tellement intégré à mon cabinet que oui, c'était simple. Mais je savais qu'un jour où l'autre elle allait voler de ses propres ailles. C'était pas toujours facile, même moi j'ai crée ma société directement en sortant de Harvard, mais surtout parce que j'avais la trésorerie pour le faire, j'avais l'argent. Et j'avais toujours eu cette ambition. C'était pas si facile et je lui en avais déjà parlé avec elle. Elle voulait aujourd'hui des conseils sur cette discussion qu'on avait mis de côté alors que les dossiers étaient venus en nombre et qu'on a beaucoup travailler. Mais oui on peut profiter de ce moment tranquille dans cette salle sans vie pour en discuter. "Bien sur, d'ailleurs tu en ai où à propos de cela? " Je fronce le regard en me mettant bien sur la chaise quo'n nous avait mis à disposition, bon c'était pas le luxe de mon bureau mais on fera avec n'est ce pas? Je l'a regarde quand elle me parle aussi de Ethan, je souris, bien sur que je suis curieux, puis on parle de mon employé aussi, c'était mon rôle de patron de savoir des choses aussi. Puis de toute façon je suis de caractère curieux. Ca va pas changer. "Absolument pas, tout le monde est traité de la même façon chez moi. Regarde Liam est mon meilleur pote mais t'en fais pas qu'il va prendre aussi cher qu'un stagiaire.." Il n'y a aucuns traitement de faveur à faire, c'était pas possible. Je perdrai ma crédibilité en faite, je suis un patron cool, comme je peux être un patron un peu trop con. Mais c'est comme ça. Après oui je vais toujours respecté les règles, je bosse dans ce domaine. Ca serait dommage. Je l'écoute puis je fronce regard. "Me fais pas flipper s'il te plait.. " Je ne sais pas ce qu'il va arriver avec un second enfant, on veut une grande famille mais si c'était vrai ce qu'elle disait, oui je flippe déjà mais on va gérer avec Ayma enfin je pense. On était fais pour ça non? On avait nos métiers, mais on a géré la première et on avait nos études, là c'était différent. On est plus stable? Enfin je l'espère..

J’ai toujours eu envie de monter mon propre cabinet. Enfin, plus ou moins. Il y a du bon ainsi que du mauvais d’avoir son propre cabinet. Mais les mauvais côtés je n’y pense pas. Du moins, j’essaie. Etant proche de mon patron, il ne m’avait pas semblé bizarre de lui demander des conseils. Pour le futur. Je n’allais pas le quitter du jour au lendemain. Avant de monter son propre cabinet, il faut penser à tellement de choses. Je suis quelqu’un de très prévoyante et d’organisée. Je ne me vois pas faire une telle chose du jour au lendemain. Si un jour je m’y mets réellement, je pense bien que le projet se fera en une année. Je n’aime pas précipiter les choses. Cela faisait pas mal de temps que je n’y avais d’ailleurs pas pensé. Mettant en quelque sorte ce projet de côté. “Pour le moment, au point zéro. Ça ne reste qu’une idée encore.” On pourrait penser que j’ai peur et que je laisse le temps passer exprès. Et c’est peut-être la vérité. A vrai dire, je ne me vois pas encore monter mon propre cabinet avec déjà tout le travail que j’ai. Peut-être que je le ferais quand je me déciderais à quitter mon poste à l’université. A ce moment-là, j’aurais plus de temps pour ce grand projet. “Oui. Ça ne doit pas être facile tous les jours quand même.” Lui répondis-je en lui souriant. Après tout, on est humain et il est normal d’avoir des préférences et laisser guider notre cœur, de temps en temps. Je le sais surtout avec mon poste d’enseignante. Même si je dis que je n’ai pas mes préférés, j’ai tout de même des élèves que je porte plus dans mon cœur. Et certains que je ne peux pas me voir. C’est comme ça. Cela ne me choquerait pas qu’un jour il fasse passer son meilleur ami devant nous tous. Nous serions tous dégoutés, évidemment, mais après tout, les liens comptent. “Oh, désolée.” Mon but n’étant pas de lui faire peur, mais juste de le mettre en garde et qu’il sache ce qui pouvait l’attendre. Ayant moi-même été déjà cette situation. Je n’aurais pas dit non pour une petite prévention concernant la vie avec une deuxième enfant. “Mais t’en fais pas, un deuxième enfant c’est génial. Moi ce j’ai adoré : voir Mars avec sa petite sœur. Un vrai bonheur.” Voir mon fils avec sa petite sœur fut les meilleurs moments de ma vie.  
@Andrew T. Spector

Je l'a regarde, elle m'avait déjà parler de son envie de prendre ses propres ailes et de crée sa propre société il fallait bien du temps, ce n'était pas si facile. J'avais mis du temps, environ un an à tout approfondir, mais j'avais les apports nécéssaire. J'avais aussi vu avec mes parents, mon père surtout pour faire les choses dans le bon ordre. Il avait crée sa société relativement plus tard lui et encore il n'est pas avocat dans celle-ci c'était autre chose qu'il développait. Il avait reposé sa tenue d'avocat. Et ma mère.. Et bien, elle n'était hélas plus de ce monde et oui ça se ressent pourquoi? Parce que c'est compliqué sans elle, chaque jours et un peu plus dure sur mes propres décision mais je fais en fonction de ce qu'elle pourrait dire. Enfin, je regarde la jeune femme qui me dit qu'elle se trouvait au point zéro pour le moment. Je me redresse en passant ma langue sur mes lèvres pour les humidifier à nouveau. Puis ma main vient frotter mon nez. "Enfin une idée que tu développes quand même puis un moment. Tu veux faire une société basé sur une seule spécialité, la tienne ? Ou avec plusieurs spécialité comme la mienne?" Je l'a regarde, elle était dans le droit des familles et moi j'étais dans le droit des affaires, des entreprises. J'étais plus sur l'aspect pro des patrons ou des salariés, mais généralement plus des patrons. C'était déjà un bon début de base pour savoir où on veut aller et dans la direction qu'on peut prendre. Je l'a regarde alors qu'on parle du second enfant. Enfin bon, chaque chose ne son temps pour le moment, c'était en discussion oui c'était un souhait qu'on avait discuter avec Aymalyne mais rien n'était encore fait. Même si bien sur j'aimerais agrandir la famille, je ne suis pas le seul dans l'histoire. Je fais le boulot mais faut être deux. "Oui enfin on verra bien quand ça sera le moment venu. " Je souris, après tout on ne fait pas un enfant comme cela sur commande cela serait trop facile, puis même si l'envie est présente, il faut que le corps soit d'accord avec cela. Et là, c'est différent. Enfin voila cette conversation était bouclé, je ne voulais pas en parler plus pour le moment tant que rien n'était fais.

Cela faisait pas mal de temps que j’avais cette idée de cabinet, oui. Mais je ne me voyais pas me lancer aussi vite. Il fallait que je réfléchisse à pas mal de choses avant. Puis... je suis plutôt bien actuellement. Dans le cabinet d’Andrew et enseignante à l’université. Si je me décide enfin à ouvrir ce cabinet, il faudrait que je me détache d’au moins un de ces boulots, voire les deux. Et pour le moment, je ne me vois pas le faire. Alors pour le moment, cela reste une idée. Peut-être que je me lancerais pour de bon le jour où je trouverais l’endroit idéal pour y bâtir mon cabinet. Comme si j’attendais un signe pour me dire qu’il est l’heure de le faire. “Je dirais entre les deux... je ne veux pas d’un trop gros cabinet... Peut-être 2-3 spécialités au max.” Enfin je dis cela maintenant, mais peut-être que je changerais d’avis par la suite. Mais actuellement, je ne souhaite pas d’un cabinet trop grand. Je veux un petit cabinet, un peu familial. Premièrement car j’aime cette ambiance, mais aussi, car je sais que ça sera plus facile pour moi de gérer un petit cabinet plutôt qu’un grand. Mais je ne dis pas non pour l’agrandir, au fur et à mesure. Ou d’avoir des partenariats. Enfin, à voir...

Nous parlions de mon futur cabinet et d’un futur second bébé pour Andrew. Quelle coïncidence. Je souris en le regardant et je lui dis. “J’ouvrirais mon cabinet quand tu auras ton second gosse, Andrew.” Je ris à ce que je venais de dire. Mais pourquoi pas. Ça pourrait m’aider à me lancer, de me mettre une dead line de la sorte. En soit, faire un enfant c’est comme ouvrir un cabinet. Mon cabinet sera mon bébé à moi. “Je rigole.” Je ne voulais pas lui mettre une quelconque pression. Mettre un enfant au monde est quand même plus important que d’ouvrir un cabinet.  
@Andrew T. Spector

JE l'a regarde, elle avait raison, il ne fallait pas non plus 40 spécialité, il y avait des cabinets bien fourni, et c'était des usines, ce n'était plus des clients mais des numéros. J'avais un peu de client, pas assez à mon gout mais ça c'est moi et mes envies de grandeurs mais on en avait pas mal. Et ça tourne bien. J'avais quelques spécialité bien sur, les plus usuels on va dire. Je voulais faire un cabinet avec seulement le droit des affaires, mais j'ai très rapidement remarqué que j'étais moi même assez ouvert et que j'aidais des clients dans d'autres types de droit. Et c'est la où j'ai décidé de trouvé des avocats dans ces spécialités là, pour un peu me défaire des tâches bien sur. "Oui mais ça suffit tu sais. Il faut te dire qu'il te faut un nombre de clients pour que toute l'équation soit à 0. Pour que les frais fixe, dont les salaires, le loyer, l'eau, l'électricité ainsi que les consommables soient payer en quelques sortes par tes honoraires avec ton nombre de clients." Je souris, c'était pas mal de boulot, j'avais un comptable pour tout cela moi, je ne peux pas gérer cela seul. Je suis patron oui mais bon pour gérer une entreprise on doit être épauler, j'avais crée ma boite seul, mais après j'avais demandé à un comptable interne bien sur à ma boite de gérer tout cela. J'avais la RH pour la paie, j'avais tout ce qu'il fallait. "Quand tu commences petit oublie pas, tu vas tout faire toi même, les rendez vous, le ménage, les audiences, puis les clients qui gueulent.. C'est normal. J'ai commencé comme ça, puis j'ai pris une secrétaire et là les tâches ménagères, elle les a pris. Puis des stagiaires pour le classement. Car à la fin on a plus envie. Je ne veux pas te faire peur, mais il faut que tu penses à tout cela." Je n'avais pas énormément d'année d'expérience, bien sur que non. Mais j'avais galère. Même avec l'argent. Je regarde la jeune femme quand elle me dit qu'elle allait ouvrir son cabinet quand j'aurais mon second enfant.. Je hausse les épaules. "Ah ba.. Rendez vous dans plusieurs années du coup..." Je l'a regarde, c'était pas encore fait. Clairement pas. Après c'est à elle de voir si elle peut attendre 10 ans c'est sans problème. Ca ne vient pas comme ça un second enfant, même si on en a envie. Enfin bon moi j'étais dans mon élément là de parler boulot, c'était moi.

J’écoutais attentivement Andrew et ses conseils. Et tout ce qu’il me dit, me montra tout ce qui me faisait, un peu peur. Je savais que le jour où je me lancerais, rien ne me fera peur, mais il faut savoir se lancer. Et comme il venait de me le dire, il y a tellement de choses à penser. A faire soi-même avant de pouvoir déléguer. Il faut aussi que Marshall me soutienne totalement. Bien qu’il le fasse déjà. Lui-même avait déjà eu sa propre entreprise et sait donc ce que c’est. Il faut que je voie avec lui pour que l’on trouve le moment opportun. “C’est bien tout cela qui me freine un peu... A l’heure d’aujourd’hui.” Comme pour tout, il y a des points positifs et négatifs à ouvrir sa propre entreprise. Pour l’instant je préfère laisser à Andrew tous ces petits tracas de patron. Pour rigoler, je lui dis que j’allais ouvrir ma boite le jour où il aura son deuxième enfant. “Je suis patiente ne t’en fais pas.” Continuais-je dans mon délire. Bon, ces années me laisseraient le temps de réfléchir à tout, aux moindres détails. Puis de mettre de l’argent de côté aussi. Et alors que l’on ne s’y attendait pas, j’entendis frapper à la porte. Je regardais Andrew, légèrement surprise mais aussi contente que quelqu’un vienne. “Allez, je vous libère Maitre Spector. Merci pour vos divins conseils. On remet ça quand vous voulez.” A moins qu’il ne veuille rester, ainsi la personne ayant cogner à la porte aurait deux avocats rien que pour lui. Quel chanceux.

the end.

@Andrew T. Spector