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NABI ABBERLINE
date de naissance
née pour briller, née pour la gloire. célébrons le premier bébé de l'année (( 01.01.94 ))
lieu de naissance
daegu
nom
abberline, le patronyme d'adoption, synonyme du prestige et des privilèges, des bonnes manières et de l'élégance, de l'auriculaire en l'air à l'heure du thé, de l'argent comme principale étoffe, des rêves qui n'ont de barrières que le ciel et l'univers.
prénom(s)
나비 - nabi, sublime papillon aux ailes brisées. l'héritage de cet autre ailleurs, celui dont on a voulu conserver la trace, pour empêcher que le temps n'efface le souvenir des belles années. la douceur d'un prénom en écho à la beauté de ses traits, au timbre mélodieux de sa voix. papillon qui s'envole, mais dont la destinée n'était pas de s'échouer, à la dérive.
nationalité(s)
sous les vestiges d'un patronyme qui souffle sur l'ailleurs. si les parfums d'un pays se marient sur ses traits flawless, elle n'a vu se lever le soleil qu'au pays de la reine et sur le sol américain (( anglaise et américaine ))
origine(s)
coréennes
orientation sexuelle
hétérosexuelle; le fantasme de ces larges épaules, les baisers qui se perdent à la jonction des mâchoires carrées, tandis qu'elle admire déglutir leurs pommes d'Adam, dans l'angle mort de l'amoureux du bourreau d'amour.
statut amoureux
ecchymosée de l'amour, bague sanglante autour du doigt, promesse traitresse d'un avenir, pourtant ô combien destructeur. mariée à celui qui l'a fait connaître, qui a lancé sa carrière.
statut social
riche. les belles étoffes épousent majestueusement la peau, les diamants ornent le cou qui se dévoile, sanguin, offert aux regards les plus gourmands. what's your religion? money.
travail
mannequin, égérie de MAC Cosmetics & entrepreneur
— w o r k a h o l i c - l'ambition pour noyer la peur, crouler sous les heures qui s'accumulent, qui défilent sans qu'elle ne voit plus s'écouler le temps dans le sablier. s'épuiser le corps et l'esprit pour s'endormir rapidement lorsque vient le temps de mettre les pieds dans l'antre de la bête, une fois la nuit tombée et fuir à peine le soleil apparaît-il dans le ciel à l'aube. viser le (( sommet )), rien que pour l'écraser du haut de ses talons aiguilles.
ღ capricorn › ↑ libra › ☾ taurus
「 K E Y W O R D S 」
queen of hearts ; champagne and red lips ; savage love ; chocolate & strawberries ; high heels ; not a little girl anymore ; fashion weeks ; english and korean ; bruises ; lace ; smiling through the pain ; makeup to cover the scars ; bloody hell ; scream & shout ; prison of love ; hating you ; god ; kiss and make up ; harvard ; lust ; sweet misery ; never look at your reflection ; muse ; Persephone ; goddess ; artwork ; cigarettes ; catwalk ; always look up, never look down ; cloud of smoke ; invisible scars ; satin ; black and red ; naked beauty ; bubble baths ; darkest minds
「 E N T J 」
82% EXTRAVERTI || 18% INTROVERTI
67% INTUITIF || 33% OBSERVATEUR
61% PENSÉE || 39% SENTIMENT
68% JUGEMENT || 32% PROSPECTION
49% ASSURÉ || 51% PRUDENT
i. daegu, sk. les ailes se déploient, majestueuse créature, lorsque l'enfant s'époumone de son premier cri. bambin innocent qui hurle pour annoncer sa naissance et que l'on berce tristement, incapable de se résoudre au triste sort qui lui est réservé... n a b i. little butterfly, que l'on regarde s'envoler loin de soi, après s'être posé sur le bout de son doigt. les motifs de ses traits, le sourire innocent, prières d'un avenir prometteur, l'espoir de la voir s'épanouir loin des siens, malgré la douleur qui retourne le coeur et l'âme en peine.
ii. enfant adoptée. parce que cette femme n'a pas d'autre choix que de la laisser prendre son envol. nabi, prénom qu'elle lui donne à la naissance, rédige le souhait de la voir le conserver, sans certitude. que de la souffrance, des d'amers regrets, une lourde peine. abandonner le fruit de ses entrailles en levant les yeux vers le ciel, en implorant les dieux pour que la belle étoile éclaire, à jamais, le chemin de son enfant.
iii. si le pays du matin calme l'a accueillie, c'est le soleil de l'angleterre qu'elle a vu se lever tous les jours. choyée d'amour, la peau recouverte de bijoux, de diamants et de belles étoffes, la fine éducation, le prestige de la Ivy League.. les rêves qui n'ont de limites que l'impossible. l'enfant qui n'a jamais manqué de rien. sky is the limit, et pourtant elle a les deux pieds sur terre, malgré les possibilités, malgré les opportunités. l'ambition comme seul moteur, le papillon se déploie, majestueux, sous les yeux admiratifs.
iv. vestiges de l'amour. l'adolescence qui vole en éclat sous les cris et les injure de ceux qui étaient autrefois follement amoureux. la perte des repères, le choix déchirant de l'enfant qui perd soudainement son élan en plein vol. divorce houleux, les larmes étouffées le soir sur l'oreiller, se noyer dans la naïveté, celle de croire qu'elle pourra recoller les morceaux, réparer ce qui a été brisé. le papillon s'affaiblit, menace plusieurs fois de piquer du nez et de se fracasser les ailes en plein vol.
v. à la frontière du rêve et de la réalité. caresser l'espoir que l'union se fasse, que les pots cassés se recollent, que l'orage disparaisse pour faire place à l'astre solaire. voyager entre les deux extrémités du monde, voir se lever le soleil de Boston durant les années scolaires et admirer les étoiles orner le ciel de l'Angleterre lors des vacances d'été. des années à jongler entre le coeur des deux parents, à être tiraillée par leur amour et leurs belles promesses.
vi. (TW: violence conjugale) désespérément vouloir reproduire l'amour déficient. à la quête d'un nouveau repère, de quoi se raccrocher pour croire que la vie n'est pas qu'un jeu de faux sourires et de cadeaux ensorcelés. faiblir sous les belles paroles, sentir ses genoux flancher lorsque ses doigts caressent sa peau encore jamais effleurée. les compliments de la b ê t e qui enroule, emprise mortelle, ses doigts autour du cou de la belle. le monstre qui capture, enferme sa proie au sommet de sa tour.
le tableau qui se fracasse. à de multiples reprises. elle en recolle chaque fois les morceaux, pleine d'espoir. et l'image se reconstitue, reprend forme. plus floue encore que la dernière fois. et elle espère, nabi. elle espère qu'ce sera beau, la prochaine fois. jusqu'aux éclats. jusqu'aux larmes. jusqu'à la douleur, qui survient de nouveau, toujours un peu plus vive. ou plus engourdie, peut-être. elle s'y habitue, à la souffrance qu'il lui inflige. elle s'dit que c'est peut-être ça, la réalité. à confondre le rêve et la réalité, elle se perd, elle s'égare. elle a besoin d'un phare, de quelqu'un pour la guider, d'une étoile pour éclairer sa route. à ne peut plus se guider elle-même. comment retrouver son chemin, quand tout ce qui se dessine devant soi est l'obscurité ? et nabi, plutôt que de se libérer, elle se contente de panser les blessures, sans penser à demain. et son coeur se brise, saigne lui aussi. et sa tête aussi, de plus en plus. le fond de teint sur les cernes et les ecchymoses, le rouge qui décore les lèvres pulpeuses pour camoufler les fissures, la peinture du corps suffit à effacer les traces. et ça lui suffit, même si le papillon se brise les ailes, même s'il croule sous la douleur, meurtri, violenté.
vii. (TW: violence conjugale) la peur qui foudroie. la peur qui glace le sang. la culpabilité, la honte de s'être laissée embriquée, d'être devenue la proie d'une bête. vengeance, lorsqu'elle trouvera le courage, force surhumaine qui la quitte chaque fois qu'il caresse son corps la nuit, qu'il le capture d'une étreinte empoisonnée.
désormais experte dans l'art du paraître, à cacher les souffrances et les marques derrière des sourires ravageurs ou une démarche divine, sous l'aura un peu hautaine qui impose respect et susurre des élans de jalousie. à sourire pour ne pas éveiller les soupçons. mais jamais la lionne ne dort, se prépare pour le coup de grâce, n'a d'autre choix que de se taire pour mieux crier, au bon moment.
ii. enfant adoptée. parce que cette femme n'a pas d'autre choix que de la laisser prendre son envol. nabi, prénom qu'elle lui donne à la naissance, rédige le souhait de la voir le conserver, sans certitude. que de la souffrance, des d'amers regrets, une lourde peine. abandonner le fruit de ses entrailles en levant les yeux vers le ciel, en implorant les dieux pour que la belle étoile éclaire, à jamais, le chemin de son enfant.
iii. si le pays du matin calme l'a accueillie, c'est le soleil de l'angleterre qu'elle a vu se lever tous les jours. choyée d'amour, la peau recouverte de bijoux, de diamants et de belles étoffes, la fine éducation, le prestige de la Ivy League.. les rêves qui n'ont de limites que l'impossible. l'enfant qui n'a jamais manqué de rien. sky is the limit, et pourtant elle a les deux pieds sur terre, malgré les possibilités, malgré les opportunités. l'ambition comme seul moteur, le papillon se déploie, majestueux, sous les yeux admiratifs.
iv. vestiges de l'amour. l'adolescence qui vole en éclat sous les cris et les injure de ceux qui étaient autrefois follement amoureux. la perte des repères, le choix déchirant de l'enfant qui perd soudainement son élan en plein vol. divorce houleux, les larmes étouffées le soir sur l'oreiller, se noyer dans la naïveté, celle de croire qu'elle pourra recoller les morceaux, réparer ce qui a été brisé. le papillon s'affaiblit, menace plusieurs fois de piquer du nez et de se fracasser les ailes en plein vol.
v. à la frontière du rêve et de la réalité. caresser l'espoir que l'union se fasse, que les pots cassés se recollent, que l'orage disparaisse pour faire place à l'astre solaire. voyager entre les deux extrémités du monde, voir se lever le soleil de Boston durant les années scolaires et admirer les étoiles orner le ciel de l'Angleterre lors des vacances d'été. des années à jongler entre le coeur des deux parents, à être tiraillée par leur amour et leurs belles promesses.
vi. (TW: violence conjugale) désespérément vouloir reproduire l'amour déficient. à la quête d'un nouveau repère, de quoi se raccrocher pour croire que la vie n'est pas qu'un jeu de faux sourires et de cadeaux ensorcelés. faiblir sous les belles paroles, sentir ses genoux flancher lorsque ses doigts caressent sa peau encore jamais effleurée. les compliments de la b ê t e qui enroule, emprise mortelle, ses doigts autour du cou de la belle. le monstre qui capture, enferme sa proie au sommet de sa tour.
le tableau qui se fracasse. à de multiples reprises. elle en recolle chaque fois les morceaux, pleine d'espoir. et l'image se reconstitue, reprend forme. plus floue encore que la dernière fois. et elle espère, nabi. elle espère qu'ce sera beau, la prochaine fois. jusqu'aux éclats. jusqu'aux larmes. jusqu'à la douleur, qui survient de nouveau, toujours un peu plus vive. ou plus engourdie, peut-être. elle s'y habitue, à la souffrance qu'il lui inflige. elle s'dit que c'est peut-être ça, la réalité. à confondre le rêve et la réalité, elle se perd, elle s'égare. elle a besoin d'un phare, de quelqu'un pour la guider, d'une étoile pour éclairer sa route. à ne peut plus se guider elle-même. comment retrouver son chemin, quand tout ce qui se dessine devant soi est l'obscurité ? et nabi, plutôt que de se libérer, elle se contente de panser les blessures, sans penser à demain. et son coeur se brise, saigne lui aussi. et sa tête aussi, de plus en plus. le fond de teint sur les cernes et les ecchymoses, le rouge qui décore les lèvres pulpeuses pour camoufler les fissures, la peinture du corps suffit à effacer les traces. et ça lui suffit, même si le papillon se brise les ailes, même s'il croule sous la douleur, meurtri, violenté.
vii. (TW: violence conjugale) la peur qui foudroie. la peur qui glace le sang. la culpabilité, la honte de s'être laissée embriquée, d'être devenue la proie d'une bête. vengeance, lorsqu'elle trouvera le courage, force surhumaine qui la quitte chaque fois qu'il caresse son corps la nuit, qu'il le capture d'une étreinte empoisonnée.
désormais experte dans l'art du paraître, à cacher les souffrances et les marques derrière des sourires ravageurs ou une démarche divine, sous l'aura un peu hautaine qui impose respect et susurre des élans de jalousie. à sourire pour ne pas éveiller les soupçons. mais jamais la lionne ne dort, se prépare pour le coup de grâce, n'a d'autre choix que de se taire pour mieux crier, au bon moment.
pseudo spf
âge une vingtaine de bougies et des poussières
nationalité canadienne
forum connu par... j'y suis déjà bien installée
ILH, j'en pense quoi ? design so fucking awesome
autres comptes ? @Yujin Ahn @Nara Woo @Jun Ho Gyeon @Roseanne Lim
avatar utilisé queen hwasa
crédits images pastel breathing (avatar) +
nombre de mots par rp très variable
type personnage inventé
code métier
nom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
âge une vingtaine de bougies et des poussières
nationalité canadienne
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ILH, j'en pense quoi ? design so fucking awesome
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type personnage inventé
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nom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
- Code:
@"Nabi Abberline" » <i>mannequin & égérie de MAC Cosmetics</i>
- Code:
» <span class="pris">AHN HYE-JIN (Hwasa)</span> » @"Nabi Abberline"
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