Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCastiel & Ocyllie ♠ « You Can Have Me All You Want »
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Castiel & Ocyllie ♠ « You Can Have Me All You Want »

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You can have me all you want
Ft. Castiel & Ocyllie
Ocyllie était friande de soirée en tout genre. Il ne se passait pas une seule nuit sans que la brunette ne daigne à aller bouger son corps sur le dancefloor. Ce qui lui plaisait le plus dans les boîtes de nuit ou encore les diverses soirées organisées sur le campus ? Le fait de pouvoir remuer ses jolies petites fesses sur la piste tout en buvant des litres d’alcool fort et en fumant clopes sur clopes, s’autorisant même un petit joint lorsque l’endroit le permettait. La demoiselle était une grande fêtarde et cela depuis sa plus tendre enfance. Dès qu’elle eut pris son envol à Paris, vers ses treize ans, la gamine Nicolson n’avait jamais hésité une seule seconde à faire le mur perchée sur une paire d’escarpin afin de rejoindre les endroits les plus branchés de la capitale française. C’était donc toute jeune qu’elle tombait dans le monde de la nuit et de ses frasques. Elle connaissait par cœur les combines et les bons plans. Elle ne pouvait presque plus s’en passer. C’était sa drogue. La jeune femme aimait plaire et que tous les regards se posent sur elle. Lorsqu’elle mettait le nez dehors, rien n’étais jamais laissé au hasard, de sa tenue à sa coiffure, en passant par son maquillage et sa manucure. Pourtant, elle restait toujours plus simple que les autres nanas de la soirée. Peut-être car elle n’avait pas besoin d’artifice pour attirer hommes et femmes dans ses filets. En pensant à son pouvoir de séduction, un sourire s’emparait des lèvres roses de la demoiselle. Devant son miroir, elle se préparait pour une toute nouvelle soirée au sein de l’une des discothèques les plus branchés de la ville. Il y allait y avoir du monde, c’était certains, mais ses potes n’étaient pas vraiment du genre à aimer s’enfermer dans un lieu obscur pour danser. Ils préféraient les endroits sombres pour baiser tout en fumant de la weed. Mais ce n’était pas cela qui allait démonter notre petite anglaise. Elle irait toute seule et tant pis pour les autres. Il n’allait rien lui arriver de toute façon et puis, au pire, elle se ferrait violer et on retrouverait son corps inerte dans un fossé sur une petite route de campagne. Ses mains glissaient le long du jupon de la robe qu’elle avait enfilé pour l’occasion. Noire, courte et cintré elle faisait ressortir sa taille de guêpe ainsi que ses fines jambes de danseuses. Elle enfilait une paire d’escarpin avant d’attacher en une queue de cheval haute ses longs cheveux bruns qu’elle avait pris soin de lisser juste avant. Ocyllie se tuait à cerner ses yeux d’un noirs fins et pourtant si élégant afin de faire ressortir ses yeux clair avant de peintre sa bouche d’un rouge carmin. Elle avait un côté femme fatale qui lui allait si bien ce soir et les hommes présents ne manquaient pas de le voir, s’arrêtant devant pour lui proposer un verre ou encore en étant bien plus francs, lui faisant des avances. Elle déclinait chaque invitation en les envoyant baladé dans l’espoir de pouvoir picoler et se déhancher tranquillement. Au bar, la belle s’empressait de commander une vodka qu’elle descendait d’un trait avant de quémander un whisky à un autre serveur à qui elle faisait les yeux doux pour se faire offrir le verre. Elle y arrivait et repartait fière d’elle après avoir laissé son numéro au serveur. Ses pupilles parcouraient la pièce. Il y avait un peuple monstre ce soir. C’était tout juste si les gens pouvaient bouger sur la piste. A force de regarder tout autour d’elle, Ocyllie posait ses yeux sur un jeune homme tout seul dans un coin, assis à une table. Les lèvres de la demoiselle s’étiraient en un sourire satisfait. D’un pas décidé, elle s’approchait de lui avant de s’installer à ses côtés et de poser ses lèvres sur une de ses joues. « Alors comme ça, Sheffield est de sortie. » Elle lui adressait son plus beau sourire avant de venir lui donner un bref coup de poing sur le bras en déclarant : « Ordure, tu aurais pu me le dire plutôt que de te la jouer solo. » La vue de plusieurs jeunes femmes non loin de là venait lui faire rajouter : « Ah moins que tu ne sois pas tout seul ? »
© Belzébuth
(Invité)