Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLUKAS & MABEL Ω don't tell i'm less than my freedom
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LUKAS & MABEL Ω don't tell i'm less than my freedom

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    Mabel en avait marre de rester dans le campus, elle passait la majorité de son temps là-bas. Elle avait envie de se balader dans Cambridge. Il devait être huit heures du soir, et à cette heure-ci les pubs et les bars devaient être pleins à craquer.
    La jeune femme monta dans sa chambre et partit se changer. Mabel aimait prendre soin d'elle et soigner son apparence, il faut toujours qu'elle soit bien coiffée, bien habillée. C'est une priorité chez les Cabots. Elle enfila une robe bleue marine qui s'arrêta au dessus des genoux, puis des talons de la même couleur. Elle sortit du campus sans son sac avec à l'intérieur ses médicaments. Arrivée à Inman Square, elle fut étonnée de voir beaucoup de gens de Harvard se baladaient. L'occasion de faire des connaissances ou de retrouver des personnes qu'elle connait. En parlant de ça, elle aperçut un très bel homme, mais vantard, coureur de jupons, et aussi sûr de lui. C'est ça qu'elle n'aimait pas chez lui. Il était obstiné à mettre Mabel dans son lit et essayait de la séduire à chaque fois qu'il la voit. Bien sûr, elle n'est pas insensible à son charme mais li montre le contraire. Peut-être pour s'amuser un peu ?
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Après les cours, direction direction le centre ville. Pourquoi ? Pour me pavaner et dépenser tout un tas de fric. Ouais cela a toujours été mon kiff. Bon un peu moins quand j'étais avec Andréa, elle avait le chic pour me faire être une autre personne. Une personne que je ne détestait pas, mais qui m'avait bien manqué tout de même. Un peu plus et je n'aurais jamais été dans la meilleure des confréries de Harvard. Donc tout ça pour dire, que je me baladais tranquillement, après avoir fait un tour en Porsche pour bien attirer le sexe opposé. Mais c'était l'heure du shopping. Enfin, shopping de meuf la plupart du temps. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de remarquer une blonde qui me plaît particulièrement et que je veux absolument dans mon lit. Faut bien avouer que la petite à bien jouer, parce que si elle avait direct céder à mes avances, sûrement que je ne la remarquerai plus maintenant. Elle a eu de la chance. Je me met à trottiner alors avec classe jusqu'à elle, toujours avec mes lunettes de soleil sur le nez. Je m'arrêtais et marchais en cadence avec elle. Je la regardais de haut en bas avec mon éternel sourire en coin et Sublime, comme toujours. Je ne savais rien de son milieu social, mais ce que je savais, c'était qu'elle avait assez de classe pour que je puisse m'afficher avec elle.
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    La jeune femme vit Lukas s'avança vers puis marcher à sa cadence. Elle eut un sourire en coin, cette soirée risquer de ne pas eêtre ennuyante. Sublime, comme toujours . Elle sentit le regard du jeune homme lui brûler la peau. Mabel se baladait maintenant au côté d'un bel homme, arrogant et dragueur certes, mais bel homme. Dragueur, comme toujours Ils y avaient beaucoup de monde dans la rue, l'ambiance chaleureuse des pubs et des bars donnait un côté festif au quartier. Elle adorait ça. C'est pour cette raison qu'elle se promenait souvent ici. Toujours aussi coureur de jupons, je suppose ? Et je suppose aussi que tu penses toujours qu'un jour je céderais ? Si il pensait ça -et il n'y avait aucun doute- Mabel n'était pas prête de se laisser emporter par le charme de l'Eliot.
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Il fallait bien que je me surpasse avec cette blonde, et la complimentait en faisait parti évidemment, bien que je ne sois pas vraiment du genre à dire autant de compliments. Une fois acquises, je ne leur dis plus rien aux filles, et je ne les revois jamais. Mais avec elle, ça me chiffonnais qu'elle me repousse sans arrêt. Alors les compliments fusaient. Puis sa réplique comme quoi j'étais toujours dragueur me fit sourire Je ne peux m'en passer. Puis elle enchaîna avec le fait qu'elle supposait que je la voulais toujours dans mon lit et que j'étais persuadé qu'elle finirait par céder. Tu ne finiras pas seulement par céder, mais par être complètement folle de moi crois moi. Une fois qu'on teste mon coup de rein, on ne peut plus s'en passer. Je n'avais pas pu m'en empêcher, et je regrettais de l'avoir lâché. Parce qu'avec ce genre de jeune fille, cela ne marchait pas vraiment. C'est pas une Marie couche toi là, et il va bien falloir que je m'adapte à ça si je veux la choper. Enfin, c'est ce que je suppose, parce que sinon elle aurait déjà succombé à mes avances ! Je t'offre quelque chose à boire ? Histoire qu'on soit un peu plus ... seuls. Non ! Aucun sous entendu ! C'était juste histoire de pouvoir la séduire en toute tranquillité.
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