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Dee-Dee Caradja
date de naissance
8 Septembre 1999
lieu de naissance
Los Angeles
nom
Caradja
prénom(s)
Dee-Dee Angel
nationalité(s)
Américaine
origine(s)
Française du côté de maman ; Tunisienne du côté de papa
orientation sexuelle
Hétérosexuelle
statut amoureux
Célibataire
statut social
Modeste
travail
Serveuse
— Je viens d’arriver en ville après une tragédie, je suis en mode automatique chaque jour qui passe. Je ne sais pas si je vais survivre mais, j’essaye de toutes mes forces malgré tout. J’ai instauré une routine pour éviter de penser, anti-anxiolytique, anti-dépresseur… Bref. J’essaye simplement d’être normale mais, je ne sais pas combien de temps va durer cette masquarade.
1. Créative ; 2. Intelligente ; 3. Introvertie ; 4. Dépressive ; 5. Asociale ; 6. Auto-destructrice ; 7. Méfiante ; 8. Timide ; 9. Peu confiance en elle ; 10. Discrète ; 11. Peureuse ; 12. Instable
J’aimerais être brève mais il y a quand même quelques choses à dire sur ma vie jusqu’à aujourd’hui. Je vais commencer par le début. Mes parents se sont rencontrés au lycée et depuis, ils étaient ensemble. Quand ma mère est tombée enceinte de ma jumelle et de moi, elle n’avait que dix-sept ans, c’est très jeune je vous l’accorde mais, ses parents ainsi que ceux de mon père, étant très pieux, ils ont refusé qu’elle avorte. Elle a donc mené la grossesse à son terme mais, sur les deux petites filles, une seule est née vivante : moi. Ma jumelle était visiblement bien trop faible pour survivre. C’est sans doute pour cette raison que je me sens si incomplète… enfin bon, les états d’âme, ce n’est pas pour le moment. Mes parents ont été dévasté par la mort de mon double, mes grands-parents aussi. Pourtant, ils m’ont tous élevé dans les meilleures conditions. J’ai eu énormément d’amour de part et d’autre de ma famille mais, comme je l’ai dit, il y avait toujours ce vide en moi et, encore aujourd’hui, je le ressens… c’est comme un coup de poignard dans ma poitrine, tout droit dans mon cœur, c’est dur de faire comme si de rien n’était.
Quand je suis rentrée en primaire, j’étais la gosse bizarre qui restait dans son coin, serrant entre ses doigts une vieille couverture. Cette couverture avait abrité le corps inerte de ma jumelle, je n’arrivais pas à m’en défaire. Je l’ai toujours avec moi dans mon lit mais ça, je ne vais pas le crier sous tous les toits évidemment. Ma scolarité s’est plutôt bien passée dans l’ensemble malgré quelques esclandres, de ça, de là. J’étais bonne élève, toujours dans la moyenne haute de ma classe mais ce n’est pas pour autant que j’avais des amis. Beaucoup ont essayé de se rapprocher, je les ai toujours repoussés. C’est dans ma nature, je ne peux rien n’y faire.
Au collège, c’était un peu le même scénario. La fille bizarre qui écrit sur un carnet et dessine, alors que les autres jouaient et parlaient ensemble. J’ai eu de gros problèmes avec mes camarades masculins parce que, je cite, « les filles me trouvaient tellement classe qu’elles ne regardaient pas les garçons », fin de citation. Pour être honnête, je n’ai jamais fait attention. Les charmes féminins ne me font pas devenir idiote, ils ne m’attirent pas le moins du monde.
Passons maintenant à la partie la plus douloureuse de ma vie, et surtout, la plus récente. Pourquoi suis-je arrivé il y a seulement deux mois à Boston ? Il y a presque trois mois, mes parents ont perdu la vie dans un accident de voiture. Ils rentraient des courses. D’habitude, j’allais avec eux mais ce jour-là, j’ai comme ressenti un poids qui me tirait en arrière, m’interdisant de bouger. J’ai interprété ça comme la visite de ma défunte jumelle, et je suis restée dans ma chambre. Inutile de dire que je me sens responsable du trépas de mes parents. Dans ma tête ça tourne en boucle, jour et nuit, à chaque seconde. Je ne me souviens plus quand est-ce que j’ai fait une bonne nuit de sommeil pour la dernière fois sans utiliser de médicaments. Ils étaient la seule famille qui me restait le reste de mon clan a été décimé mais, je ne me souviens pas de la date, j’étais absente une fois de plus... De toute façon, est-ce que ça aurait changé quelque chose ? Je ne crois pas. Ainsi donc, j’ai décidé qu’il fallait que je parte loin et j’ai donc atterri ici, à Boston. C’est très dur pour moi de retrouver un semblant de vie normale après tout ça...
Quand je suis rentrée en primaire, j’étais la gosse bizarre qui restait dans son coin, serrant entre ses doigts une vieille couverture. Cette couverture avait abrité le corps inerte de ma jumelle, je n’arrivais pas à m’en défaire. Je l’ai toujours avec moi dans mon lit mais ça, je ne vais pas le crier sous tous les toits évidemment. Ma scolarité s’est plutôt bien passée dans l’ensemble malgré quelques esclandres, de ça, de là. J’étais bonne élève, toujours dans la moyenne haute de ma classe mais ce n’est pas pour autant que j’avais des amis. Beaucoup ont essayé de se rapprocher, je les ai toujours repoussés. C’est dans ma nature, je ne peux rien n’y faire.
Au collège, c’était un peu le même scénario. La fille bizarre qui écrit sur un carnet et dessine, alors que les autres jouaient et parlaient ensemble. J’ai eu de gros problèmes avec mes camarades masculins parce que, je cite, « les filles me trouvaient tellement classe qu’elles ne regardaient pas les garçons », fin de citation. Pour être honnête, je n’ai jamais fait attention. Les charmes féminins ne me font pas devenir idiote, ils ne m’attirent pas le moins du monde.
Passons maintenant à la partie la plus douloureuse de ma vie, et surtout, la plus récente. Pourquoi suis-je arrivé il y a seulement deux mois à Boston ? Il y a presque trois mois, mes parents ont perdu la vie dans un accident de voiture. Ils rentraient des courses. D’habitude, j’allais avec eux mais ce jour-là, j’ai comme ressenti un poids qui me tirait en arrière, m’interdisant de bouger. J’ai interprété ça comme la visite de ma défunte jumelle, et je suis restée dans ma chambre. Inutile de dire que je me sens responsable du trépas de mes parents. Dans ma tête ça tourne en boucle, jour et nuit, à chaque seconde. Je ne me souviens plus quand est-ce que j’ai fait une bonne nuit de sommeil pour la dernière fois sans utiliser de médicaments. Ils étaient la seule famille qui me restait le reste de mon clan a été décimé mais, je ne me souviens pas de la date, j’étais absente une fois de plus... De toute façon, est-ce que ça aurait changé quelque chose ? Je ne crois pas. Ainsi donc, j’ai décidé qu’il fallait que je parte loin et j’ai donc atterri ici, à Boston. C’est très dur pour moi de retrouver un semblant de vie normale après tout ça...
pseudo Merle
âge Haha un certain âge
nationalité Française
forum connu par... Une jeune demoiselle nommée Rosie <3
ILH, j'en pense quoi ? Je pense qu’il est cool et qu’il va me changer des forums que je côtoie habituellement =D
autres comptes ? -
avatar utilisé Sonia Ben Ammar
crédits images merle.
nombre de mots par rp Au minimum 300
type personnage inventé
code métier
Starbucks Coffee + Serveuse : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
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@"Dee-Dee Caradja" » <i>(Serveuse)</i>
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» <span class="pris">Sonia Ben Ammar</span> » @"Dee-Dee Caradja"
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