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Nathaniel Jared O'Cleary fiche; terminée. c'est le 2 juin 1988 à New York, que la famille O'Cleary m'a accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Nathaniel mais je préfère qu'on m'appelle Jared. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en musique, je suis maintenant en sixième année. Et pour terminer, je fais partie des mather. |
Études La musique, Jared baigne dedans depuis sa prime enfance. Son père, grand pianiste, lui a appris à déchiffrer une portée dès qu'il a été en âge de le faire. De ce fait, il a su lire et écrire la musique avant toute autre chose. Il en a toujours fait, c'est ce qui le motive, ce qui le fait avancer dans la vie, c'est donc tout naturellement de ce côté-là qu'il s'est tourné lorsque son père a insisté pour qu'il entre à l'université. | Caractère extraverti ▲ déluré ▲ têtu ▲ passionné ▲ aimable ▲ généreux ▲ emporté ▲ impulsif ▲ inconscient ▲ gamin ▲ imprudent ▲ charismatique ▲ déconneur ▲ drôle ▲ exubérant ▲ provocateur ▲ engagé ▲ taquin ▲ possessif ▲ Jared est quelqu'un de très optimiste. Il aime la vie et ça se voit, parfois même un peu trop. Il a pris l'habitude de brûler l'existence par les deux bouts et n'accepte pas qu'on puisse porter un quelconque jugement sur sa manière de vivre. Un brin égocentrique, il aime être au centre de l'attention, même si il parle peu de lui. Hyperactif et très perfectionniste, il travaille toujours trop. Très critique, il se remet souvent (trop souvent ?) en question. Il a ses périodes de doutes et, dans ces moments-là, il vaut mieux éviter de lui adresser la parole. Il a énormément de mal à exprimer ses sentiments et ne le fait qu'en cas d'extrême recours, en prenant énormément sur lui. En matière de filles, c'est un vrai connard. Il ne s'est jamais posé et n'en a aucunement l'intention. Pourtant, chaque (rare) fois qu'il a eu une petite-amie officielle, il lui a toujours été fidèle. Il ne plaisante pas en matière d'honnêteté, ce qui peut sembler étrange pour un type qui partage sa nana depuis des années avec son meilleur ami. Pour Eden (et la plupart de ses amis), il sera toujours là. Qu'un pote l'appelle au milieu de la nuit, durant un repas de famille ou pendant un cours, si il a besoin de lui, Jared foncera. |
Everyone Has Their Own Story
Chuck hurlait depuis deux heures. Elle hurlait toujours, souvent au mauvais moment d'ailleurs. « J'ai des examens » marmotta Jared, vaguement inquiet, affalé sur son canapé, entre deux partitions et ses clopes. Elle pila net devant lui, les joues rouges de colère. « J'en ai rien à foutre ! glapit la jeune femme. Il m'a viré ! Sans un mot, comme ça ! Il s'est foutu de ma gueule, il- » Agacé, il l'interrompit : « Il était marié surtout. T'avais rien à foutre dans son pieu, c'est tout » Les traits de Chuck se durcirent, mauvais. Dans son langage, ça signifiait clairement je vais te bouffer. N'importe qui aurait eu peur. Jared, lui, aimait profondément ça. Il leva la tête pour la regarder, un grand sourire fendant son visage d'une oreille à l'autre. « Ta gueule, asséna-t-elle, les mains sur les hanches, rafraîchis-moi la mémoire, il s'appelait comment le copain de ta dernière nana ? » A ces mots, Jared fronça les sourcils. Il n'aimait pas qu'on lui rappelle qu'il s'était trompé sur quelqu'un. Et sa dernière copine en date s'était royalement moquée de lui. Quelle sale conne. D'accord, il n'était peut-être pas le plus beau parti du campus mais était-ce une raison pour se payer sa tête ? La garce avait déjà un petit-ami et ce, depuis pas mal de temps d'après ce qu'il avait pu en comprendre avant que le copain en question tente de lui casser la gueule. Toutefois, il était hors de question qu'il laisse l'avantage à Chuck en cédant à la mauvaise humeur. Aussi se composa-t-il une moue neutre, un rien je-m'en-foutiste avant de lui jeter un bref regard moqueur. « Reste que moi, je suis pas venu pleurer chez toi quand ça s'est terminé » lança-t-il avant de se lever. Elle leva les yeux au ciel. « D'ailleurs, j'ai autre chose à faire que de t'écouter te lamenter, continua-t-il, alors à moins que tu n'aies envie d'écarter les cuisses, j'te.. aïe ! » Étouffant un rire, il massa son épaule douloureuse. Elle employait peut-être un vocabulaire similaire au sien mais elle restait une petite joueuse. « Ce que tu peux être vulgaire, tu m’écœures » grommela-t-elle en voulant s'écarter. Il saisit son poignet, l'attirant à lui. « Évidemment, oui, répliqua-t-il avant d'effleurer ses lèvres. Eden dort encore, j'suis certain qu'il appréciera que tu le réveilles, histoire que vous puissiez philosopher sur tes petits problèmes de cul » Elle ouvrit la bouche pour répliquer mais sa bouche se trouva soudain occupée. Chuck avait beau jouer la mijaurée, elle était toujours partante, très partante. Pourtant, ce matin, ça n'irait pas plus loin. Il avait des examens (la belle affaire !), et, de plus, il n'avait aucune envie de lui servir de compensation. Il était toujours là pour lui remonter le moral lorsqu'elle rompait, il était plus qu'enchanté de passer des heures au lit (ou ailleurs) avec elle, mais il détestait être le second choix ou la roue de secours. Et ça, Chuck le savait. Aussi ne répliqua-t-elle pas lorsqu'il la repoussa. « Évite d'aller fourrer ton nez dans mes affaires, lança-t-il, attrapant sa besace et sa veste, qui traînaient tous deux sur le canapé, et n'utilisez pas ma chambre ! » ajouta-t-il, une fois sur le seuil de la porte de l'appartement. Un léger rire lui parvint. Il claqua la porte derrière lui.
Chuck, Eden et lui, ça semblait durer depuis des années, selon Jared. En vérité, ça faisait à peu près trois ou quatre ans. Il avait arrêté de compter. C'était lui qui avait introduit la jolie blonde dans leur cercle d'amis. A l'époque, il était en troisième (ou quatrième, peut-être) année et elle commençait la fac', également en musique. Si il l'avait remarquée, c'était bien entendu pour sa voix et surtout, pour ce truc qu'elle avait, en chantant. Elle était pétillante, pleine de vie. Et il aimait ça. Lorsqu'il l'avait entendu, la première fois, il avait été séduit, musicalement parlant. Sur le moment, il avait pensé qu'elle plairait à Eden, son meilleur ami. Il ne s'était pas trompé. Ils se connaissaient par cœur, tous les deux. Où et comment tout ça avait-il commencé ? Jared n'en avait plus la moindre idée. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il aurait tout fait pour Cartwright. Entre eux, c'était à la vie, à la mort, il le savait. Mettre une fille dans l'équation, c'était risqué et, au départ, il avait juste pensé, en présentant Chuck à Edenshaw, qu'il tenait peut-être là un futur couple, le genre de couple solide que tout le monde envie. Au final, c'était en premier lieu dans son lit qu'avait atterrit Chuck. Ensuite, elle s'était tournée vers Eden. Ça n'avait pas choqué Jared. Ayant grandi à New York, entre des parents formant un couple très libre, il avait vécu pire situation, comme la cohabitation entre les concubins respectifs et brefs de ses parents, toujours surpris de découvrir, au matin, dans la cuisine, le conjoint de l'un ou l'autre, souvent accompagné de son amant du soir. Nombreux étaient ceux qui trouvaient ce genre d'anecdotes compliquées à comprendre (et Jared finissait par désigner les uns et les autres par des lettres de l'alphabet pour expliquer que, A étant son père, B la maîtresse de son père, C sa mère, D l'amant de sa mère, tout ce petit monde se retrouvait parfois -souvent- dans la même pièce, pour le petit-déjeuner) et lorsqu'ils assimilaient, les réactions étaient unanimes. C'était bizarre et malsain, disait-on. Peut-être bien. En attendant, c'était ainsi qu'avait grandi Jared. Ses parents l'aimaient, ils lui avaient permis de s'épanouir. Si il en était là, c'était grâce à eux. Alors oui, peut-être avaient-ils été un peu trop laxistes mais son père avait su redresser la barre. Le forcer à entrer à Harvard n'était pas une si mauvaise idée. Au moins, il avait fait la connaissance de personnes fantastiques. Travailler sa musique comme il le faisait chaque jour à la fac' était une vraie aubaine ; il avait grandi musicalement, s'était ouvert à d'autres horizons, se constituant du même temps une petite réputation et un sacré réseau d'amis musiciens. Au final, il était heureux, avec sa musique, ses amis, son occasionnel ménage à trois. N'était-ce pas là tout ce que tout un chacun désirait ?
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - BLEDINA./Julia ↬ ÂGE - quinze ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - j'vis chez les hobbits. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - PRD *o* ↬ TES IMPRESSIONS - bouarf, c'moche, et comme j'aime quand c'est moche :3 ↬ CRÉDIT(S) - avatar, burblewrap. gif, mcflys@tumblr. icône, bibi -bam- ↬ AVATAR - dougie JE SUIS TROP CANON ET J'AI GAGNÉ I'M A CELEB poynter. ↬ LE MOT DE LA FIN - géronimooooo ! |
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