SHIN WOO ► choi byungchan

shin woo

— parce que ça n’a jamais été, parce que l’ambition n’a jamais été si forte, être comme les autres quand on ne s’y conforte guère, ne guère appartenir à l’élite, ni même aux parias en fond de salle. toujours l’enfant au milieu, lorsque l’on crie, lorsque l’on apaise, et les espoirs que l’on fondent, en lui, en sa personne si douce, et lui, pauvre gamin perturbé, qui abandonne les soupçons de tendresse, et la destruction des jolis idéaux, à (( appartenir au lendemain )).

autrefois, ne guère croquer le ~~fruit défendu~~, dans ses baskets, toujours si droit, et lorsqu’il s’enfuit, ce sont les astres qui lui murmurent de délicieuses échappées. quelques fois, ce sont les excuses qui s’échappent trop fréquemment entre les lippes, à celles qu’il offre si naïvement. s h i n à aimer l’amour sous toutes ses formes, à si facilement aimer. les courbes féminines qui l’obsèdent lorsqu’il possède, et parfois le sourire qui s’éteint dans certaines chevelures. parfois, c’est le coup de poker, à rencontrer l’ange dés l’aube, et le diablotin quand vient le crépuscule, et le sourire carnassier au coin des lèvres, le rictus à en faire rougir les prudes, à colorer l’épiderme des innocents. presque à cacher la lueur ténébreuse, à presque se moquer de ce terme, à y voir le ridicule quand parfois ce sont les cris qu’il entend de nouveau, au théâtre lugubre qui se dessine. pourtant l’ange qui aime passionnément, à s’en persuader qu’il est bon de s’aimer soi-même, au reflet dans le miroir qui lui plaît, et à ce besoin compulsif d’être aimé en retour. et le coeur à s’en bouffer les larmes, presque amoureux de ressentir, à tomber éperdument amoureux de chacun, à en dévoiler les miséricordes de l’affection.

demain dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

comme la mélancolie d’h u g o, à presque admirer les proses et les poèmes en métaphores, et la brise qui glisse entre les mèches d’ébènes, à conduire d’amour et d’ivresse, presque le coeur si tendre, à dégoûter les parias en fond de salle, et l’air pourtant si sombre dans les opales, détaillent la vie qui se dessine, aux milles couleurs qui éclatent dans les iris. l’enfant à la vie rythmée de liberté, et les parents en écho qui lui crient dessus, à pourquoi il n’est pas comme l’aînée, presque stupide, mais ce n’est guère de sa faute, le cadet qui ne supporte guère les longues nuits à torturer l’esprit des songes meurtriers, presque à s’y refléter comme une machine, alors que là, devant, l’attend la liberté. et pour ceux qui se délaisse de poésie, à ceux qui se détestent en fanfarons, c’est la douceur qui le subjugue, la bonté qui l’embrasse.

shin ; quand la délicatesse est charmeuse. et lorsque l’enfant entre dans les rangs, le crépuscule habite ses peines ;; presque l’enfant déchu de toute beauté, à ne guère revoir le sourire d’autrefois, quand le soleil est muet, à la lune loufoque qui s’agite. et le bébé aux airs joueurs, s’aime et s’adore, sous les prouesses du myocarde en tachycardies, et parfois les insomnies à trop penser.

pseudo alice
âge 22yo
nationalité une blague sur le camembert...
forum connu par... un ancêtre qui l'est pas trop
ILH, j'en pense quoi ? ah vraiment une horreur...
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avatar utilisé choi byungchan
crédits images nuit d'hiver (ava)
nombre de mots par rp à favoriser le rp court
type personnage inventé et en collaboration avec @Nara Woo (petit-frère de la demoiselle)

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(Invité)

Un jour, une histoire

si doué de jolies paroles, l’ange n’est guère attiré par les bouquins qui incitent les céphalées, lorsqu’elles cognent contre le crâne et que lui ressent la liberté l’enchaîner, et la demoiselle qui croque la peau, mais bon sang que c’est bon. et les parents, à la mélodie qui déraille sans cesse, à punir l’enfant au bon fond, à ne guère lui laisser le choix : étudier ou vivre dans un autre monde ? et presque le poupon, à l’âge si pure, quand l’innocence effleure à peine l’épiderme, sous les ordres de ses supérieurs, n’est guère plus les traits enfantins, lorsque l’on s’aime, à créer les idéaux d’un petit garçon, lorsqu’on le devine si joli, et l’enfant au prénom si mélodieux, se convainc de ses pensées, à croire en ces rêves qui occupent parfois trop les astres. shin, au prénom où l’on fonde les croyances, où naissent les idéaux, lorsqu’on le pense parfait, lorsque l’on y fonde les beautés, à y faire rougir les divinités, si doué de mémoire, à suivre le chemin droit qu’on lui montre, et aveuglément, l’inconscient qui trébuche.

à devoir être l'être parfait, aux traits de poupons qui obéissent, le rictus généreux au coin des lèvres et la forme presque trop féminine. alors sois ainsi, ne guère paraître autrement, si masculin les muscles saillants, et ne soit guère si sensible, l'agneau prêt à se faire dévorer. généreux mon bébé, aveuglé mon enfant, maman te félicite, jusqu'au bout des doigts l'idiotie.

oh come on, little boy, be smart, be kind.

et la pression psychologique qui étouffe, quand de ces doigts forts elle l'aggrippe, sa gorge s'écoeure. dégoût d'être le pantin. sois comme ta sœur, notre prodige, jolie artiste, muse de l'amour, fruit de l'union. et toi, le piètre vivant, à découvrir le stupide univers, à croire aux contes et fantaisies burlesques, sois ainsi, crois en ton monde, mais le nôtre. ô mon trésor, délicatesse et maladresse d'une nuit, le désir de toi n'est guère, à la naissance en regret et les codes que l'on suit (( bien agir, bien penser, bien parler )).

et on t'y envoie, dans le droit chemin, à jongler entre tu et il, la reconnaissance bafouée, et on te crie dessus, agneau déchu. deux années à t'arracher, l'horreur, ça t'effraie. il te crie dessus, tu saignes, et le myocarde fout le camp. tu es dur, l'orage s'abat, tu n'es que le sombre bruit qui dans le crépuscule effraie les tous petits, et toi, tu survis. aux ecchymoses trop fréquentes. et c'est la douceur d'un petit garçon qui devient la méfiance d'un grand (( ~~petit~~ )) bonhomme.

et la déesse, dans ton souvenir, n a r a, douceur d'un temps, que le malheur foudroie. l'envie qui te ronge, presque le songe, aux mésanges qui si tôt à l'aube chantent, tu te rappelles, aux souvenirs, bambins, aux fous amoureux des arts et des proses, à chérir autrefois qui n'est guère plus. (( être ou paraître ? )) et voilà que tes pieds foulent le détesté.