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Ça faisait des mois qu'elle n'était plus allée à une soirée chez les Mathers. Faut le reconnaître, les Mathers ont le dont de faire des putains de soirées qui tournent mal à la fin. Mais lorsque ça commence à dégénérer Mabel ne perd pas de temps pour s'en aller. Non non, c'est pas une trouillarde. Elle adore faire la fête, s'amuser, profiter. Mais il y a s'amuser, et s'amuser. Quand il commence à il y avoir des drogues durs comme le LSD ou autres substances illégales, elle préfère s'en aller. Cela lui rappelait trop le soir où sa mère rentrée chez sa tante bourré et shoutée, même si elle n'avait que deux ans et demi, elle se rappellera toujours de cette violente dispute entre sa mère et sa tante. C'est pour ça qu'elle n'avait plus remit les pieds à une seule de leurs fêtes. Mais, aujourd'hui, ça allait changé. Hier, une camarade de classe lui avait brièvement parler de la "grosse fiesta" de Mathers. Après avoir bien réfléchis, Mabel était décidée à y aller, il faut arrêter de repenser au passé et aller de l'avant. Bon slogan. Donc ce soir, ça se passe chez fêtards.
22:00. La fête n'allait pas tardait à commencer. Mabel termina de se préparer, vêtue d'une robe bustier noire et des talons hors de prix, elle était tout simplement belle. La jeune femme sortie de sa chambre, sans évidement oublier de prendre ses médicaments qu'elle garde toujours sur elle. Depuis qu'elle a vu l'épisode de 90210 ou Adrianna vole les gélules de Silver, elle est traumatisée. Elle n'avait parlé à personne de ses troubles de l'humeur, et ne souhait changé ça en aucun point.
Arrivée à la résidence des Mathers, elle put facilement constater que la fête battait littéralement à son plein, la musique à fond et l'ambiance festive donner à quiconque qui passait par là de danser. Elle repéra certaines élèves de sa classe assises sur un sofa, elle décida de les rejoindre afin de ne pas rester plantée seule au beau milieu de la foule. Son regard se posa sur une silhouette familière, le jeune homme était de dos puis se retourna. Mabel le reconnu tout de suite. « Oh merde ! » Elle prit son sac et le mit devant son visage afin que Gabriel ne la voit pas. Réaction totalement puérile et ridicule.
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