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Joachim Ozzy Eisenheim | C'est le dix octobre mille neuf cent quatre-vingt-quatorze à Columbia (Maryland), que les membres de la famille Eisenheim m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ozzy, mais surtout Joachim. Je suis libre comme l'air et l'éclair et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis marié à ma main droite et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sociologie depuis un ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mathers ou les Quincy. |
# Laxiste | # Rêveur | # Méprisant | # Généreux | # Pédant |
APRÈS LA BOMBE On aurait aisément pu définir la chose comme étant une tragédie profonde, épouvantable. Joachim le savait bien, pourtant, il avait décidé de renier l'évènement, de ne plus s'en souvenir, simplement. La terreur, la peur, les cries autour de lui. Cette sensation de ne plus être, le seul, maître de son destin, de sa mort. Devant cette foule paniquée, il avait décidé de se réfugier, dans un placard à balais quelconque, tremblant, agonisant. Un morceau, un projectile hasardeux lui avait éclaté le bide sans délicatesse. C'était moche à voir. Fort heureusement, il n'était pas si important. Flot rougeâtre pour blessure superficielle. Impatiemment, il a attendu les secours, à la manière d'un enfant en état de choc, la main sur le bas ventre, massant ce petit bout de métal, étranger mal venu. Il était à présent dans le noir absolu, mais ce n'était pas ça le plus horrible, pas encore. Le petit plus, c'était cette fumée toxique qui s'engouffrait petit à petit dans son espace vital, son placard, sa survie. Il est sorti peu de temps après cette constatation, fermant les yeux, une écharpe sur le nez, titubant malgré lui. La pièce était vide, il a crié à l'aide sans réponse aucune, poussé une porte sans savoir où celle-ci le mènerait. Là, il est tombé, sous la violence de l'incartade. Son professeur de sociologie en personne. Le tenant par l'épaule, le guidant dans ces longs couloirs qu'il avait pourtant appris à connaître, il l'a aidé à sortir, s'en sortir. Dehors on lui a retiré son corps étranger, son double lui, dans la douleur et les perfusions. Aujourd'hui, la cicatrice sur son bas ventre est sa seule source d'angoisse. GROUPE 1. Parce que Harvard n'est pas une putain de prison fédérale et qu'il a décidé d'y vivre intensément. Carpe Diem est sa devise, la marijuana sa religion. Il n'a pas des airs de sale gosse, c'est un sale gosse, un fouteur de merde de première catégorie. Il déteste la Eliot House et ses étudiants friqués, hautains et prétentieux au possible. On n'a pas besoin de papa, maman pour toucher les étoiles aux dernières nouvelles. Quel prestige pourrait-on en tirer sinon de l'amertume ? GROUPE 2. Parce que si on a de la chance, Joa pourrait véritablement devenir quelqu'un de bien. Il n'a pas l'intention de finir dans un pub à boire comme un trou dans vingt ans, au chômage, divorcé. La deuxième raison serait sûrement son altruisme presque dérangeant. Les autres lui importent plus que sa petite personne, et ça c'est indéniable quand on parvient à percer sa robuste carapace. | Yuri Pleskun |
# Humble | # Agressif | # Extraverti | # Brouillon | # Audacieux |
hans paradox | Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle hans paradox et j'ai vingt-et-un ans. Je suis de nationalité française et j'ai connu le forum grâce à Mallaury. Je l'ai tout de suite trouvé génial avec son contexte et surtout sa superbe ambiance alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien (le plus souvent). J'utilise Yuri Pleskun comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par LUNCH BOX. Je fais environ 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé. Mot de la fin ▲ TONIGHT, WE ARE YOUNG. |
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