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ÀNGEL CALEB LEFEBVRE
date de naissance
12 JUILLET 1987
lieu de naissance
ONTARIO, CANADA
nom
LEFEBVRE
prénom(s)
ÀNGEL CALEB
nationalité(s)
CANADIEN
origines
IRLANDAISES ET COLOMBIENNES
orientation sexuelle
HÉTÉROSEXUEL
statut amoureux
CÉLIBATAIRE
statut social
SE LA JOUE AISÉ, MAIS EST EN RECONSTRUCTION FINANCIÈRE
travail
CONSEILLER DE CANNABIS AUPRÈS DES ANIMAUX, PROPRIÉTAIRE DU MAGAGASIN. + INVESTISSEUR IMMOBILIER
— Un besoin incessant d'être atypique, de ne pas faire partie de la norme et de pousser toujours un peu plus loin les limites. Caleb a l'habitude de retourner à certains démons du passé, mais il cherche toujours à se libérer de toutes ses précédentes actions un peu trop mesquines. Passionné, il fait quand même semblant d'être indifférent à presque tout. Malgré son côté beaucoup plus introverti qu'on ne le croirait, Caleb est une bête de soirée, devenant très différent sur l'alcool. Le genre de personnalité qu'on ne peut suivre, mais qui a la drive d'un président. Honnête, j'espère.
Reconnu pour son arrogance et sa tendance à être distant, Caleb ne cherche pas à cumuler les relations interpersonnelles. Certes, quelques verres d’alcool et il devient un véritable caméléon, capable de s’adapter à n’importe quel type de personnalité. Rarement donc, puisqu’il n’aime pas les foules. Au niveau de son comportement auprès de ses amis, - il les compte sur les doigts d’une main - Caleb sait être irréprochablement protecteur et fidèle. Sur la plupart des situations, son recul rapide s’attache à son arc de forces, seulement, son impulsivité reste sa plus grande ennemie. Il ne connaît pas la jalousie, il considère égoïste le concept de posséder quelqu’un. Il lui arrive de sombrer dans des moments atypiques, portant ses proches à croire qu’il est complètement une autre personne. Violent au bon moment, il essaie tant bien que mal de refouler cette facette de sa personnalité, qui lui a bien plus souvent nui que réussi à charmer son karma. Couramment, on lui octroie l’étiquette du trouble d’angoisse. Peut-être parce qu’il a souvent une clope au bec, ou parce qu’il ne tient presque pas en place. Bref, Caleb n’aime que ce qu’il y a d’intéressant. Il est bien trop simple de perdre son attention.
01. ± Né d’un père Canadien et d’une mère Colombienne, Caleb trompe tous ceux croyant qu’il n’est que caucasien. Sa relation avec son père est quasi inexistante, après que ce dernier l’ait envoyé dans une famille d’accueil à douze ans, prétextant que son garçon était bien trop marginal pour la cause publicitaire familiale. Pour ce qui est de sa mère, femme qu’il a longtemps admiré, elle n’est plus de ce monde, décédée d’Alzheimer plutôt très jeune.
02. ± Au niveau du sang, il n’a pas de soeur ni de frère. Par contre, durant son séjour très long - 6 ans - en famille d’accueil, il s’est rapproché de la fille de ces derniers. Oui, bien chanceux d’être tombé sur la bonne famille, seulement après deux changements. De cette façon de grandir, Caleb a effacé toute importance aux liens du sang, préférant choisir qui sera à ses côtés tout au long de sa vie. C’est la guerre et l’affection entre les deux, suffisamment pour savoir que c’est de l’amour pure.
03. ± Durant ses jeunes années à l’école, Caleb était du genre à se battre avec n’importe quel pénard cherchant le trouble. À l’âge de dix ans, un jeune garçon de son âge attelé d’un gabarit beaucoup plus imposant que le sien, a eu l’idée de le pousser contre un mur de brique durant l’une des pauses, à l’endroit parfait où aucun surveillant n’y prêterait attention, résultant en une commotion cérébrale. Plusieurs collègues de classe ont affirmé qu’il était tombé lui-même, ne donnant aucune punition à l’assaillant ; ce moment est probablement celui qui a produit l’un des effets suivants sur sa personnalité ; la distance. Il ne fait confiance en personne, il est prêt à se battre s’il le faut, bien qu’il n’aime pas ce côté de lui. Après tout, il s’en est sorti avec des maux de têtes fréquents. À vie. La seule raison pour lui d’être rancunier.
04. ± Sa plus grande fierté ; treize ans de karaté à son actif. Plusieurs ont l’habitude de rire lorsqu’ils entendent cette forme d’art de combat et pourtant, cela lui a permis de se sortir de presque toutes les situations possibles. C’est ainsi que sa famille d’accueil croyait pouvoir lui prodiguer de bonnes manières, des habitudes de vie saines et surtout, le respect. Les premières années ont su le mettre le plus droit qu’il puisse être et la rébellion s’est présentée sans prévenir, gardant seulement contact avec sa “soeur”.
05. ± gé de dix-huit ans, Caleb décide de quitter le nid qu’on lui a si tendrement offert. Sa première famille était cruelle, mais il n’y a passé que trois mois. Suffisamment pour s’en rappeler toute sa vie. Bref, par peur d’être abandonné à nouveau, il a choisi de tourner le dos à ses parents d’accueil pour s’offrir une vie de jeune délinquant. La raison? Aucune. Un revirement de situation que lui-même ne comprendra jamais. Peut-être était-il malaisé d’être dans un cocon, pris en charge dès le moindre problème. L’indépendance est devenu un désir prominent parmis ses aspirations.
06. ± Dix-huit ans, vente de drogue ; marijuana, LSD et kétamine. Passant par plusieurs nuits sans dormir, le stress maximal de ne pas se faire prendre et surtout, la solitude. Son secret numéro un pour que son prénom ne sorte jamais, aussi invisible croyait-il possible d’être. Après avoir abusé de plusieurs drogues, n’y trouvant plus le bonheur du départ, Caleb a passé deux mois en désintoxication, n’arrivant tout de même pas à dire au revoir à son cannabis. Seul remède contre ses maux de têtes étourdissants. Ce mode de vie aura duré près de cinq ans.
07. ± Vingt-trois ans ; toujours au Canada, copropriétaire d’un local de cours de karaté. Une rentrée d’argent de 30K par année, rien de suffisant pour lui lorsqu’il compare à ses années antérieures. Une partie de plaisir qu’il n’aura profité qu’une seule année, se désistant pour déménager à Boston. Un ami d’enfance ayant déménagé aux États-Unis venait de lui offrir une opportunité saisissable au premier moment.
08. ± Une année après avoir vécu le rêve, malgré le budget d’être serré, Caleb se retrouve avec l’opportunité d’ouvrir un magasin de cannabis à Boston. L’un des premiers à offrir une facilité à obtenir une prescription médicale, subvenant aux services d’un médecin affilié à l’idée d’avancer le cannabis pour traiter les troubles neurologiques, les douleurs et alimentées de certaines exceptions, pour la dépression. Détestant l’étiquette qui se lie encore à cette plante, Caleb n’a laissé que deux ans à cette “entreprise” avant de quitter avec aucune idée en tête. Un peu tête brûlée pour un homme de vingt-cinq ans.
09. ± 100 000$. Ce n’est pas vraiment l’étiquette du cannabis qui le dérangeait. Mais il n’assumera jamais. Caleb a profité de ce dépôt de sa famille d'accueil pour étudier à Harvard, surpris lui-même d’avoir été accepté. À vingt-cinq ans, ce montant a changé son trajet ; qui aurait cru qu’il deviendrait vétérinaire après avoir si vocalement détesté l’école. Il considère facile de passer douze heures auprès des animaux alors qu’il ne peut envisager moins d’une heure entouré d’une dizaine d’humains.
10. ± Tous ceux le connaissant savaient qu’il ne terminerait pas son cours. Pas par manque d’ambition, mais par aspirations différentes. Un besoin de faire un changement, ce désir constant d’être atypique. Ses études lui ont permises d’ouvrir à nouveau un magasin de cannabis, mais cette fois-ci avec un aspect centré sur les animaux. 50% pour les humains dirait-il, ses collègues (2) s’occupant de cette partie et lui, s’occupant des animaux.
11. ± Deux ans auront suffi à son succès, lui permettant d’acheter son propre immeuble, logeant plus de 17 appartements. C’est ainsi que l’an passé, il a découvert un attrait à l'investissement immobilier. Et puis quoi dire, ce n’est pas à Boston que le marché lui causerait le moindre problème pour premier immeuble. Sarcasme assumé, il s'est fait prendre par plusieurs étudiants locataires ne payant pas leur appartement. Une perte d'argent prononcée, de laquelle il se remet graduellement.
02. ± Au niveau du sang, il n’a pas de soeur ni de frère. Par contre, durant son séjour très long - 6 ans - en famille d’accueil, il s’est rapproché de la fille de ces derniers. Oui, bien chanceux d’être tombé sur la bonne famille, seulement après deux changements. De cette façon de grandir, Caleb a effacé toute importance aux liens du sang, préférant choisir qui sera à ses côtés tout au long de sa vie. C’est la guerre et l’affection entre les deux, suffisamment pour savoir que c’est de l’amour pure.
03. ± Durant ses jeunes années à l’école, Caleb était du genre à se battre avec n’importe quel pénard cherchant le trouble. À l’âge de dix ans, un jeune garçon de son âge attelé d’un gabarit beaucoup plus imposant que le sien, a eu l’idée de le pousser contre un mur de brique durant l’une des pauses, à l’endroit parfait où aucun surveillant n’y prêterait attention, résultant en une commotion cérébrale. Plusieurs collègues de classe ont affirmé qu’il était tombé lui-même, ne donnant aucune punition à l’assaillant ; ce moment est probablement celui qui a produit l’un des effets suivants sur sa personnalité ; la distance. Il ne fait confiance en personne, il est prêt à se battre s’il le faut, bien qu’il n’aime pas ce côté de lui. Après tout, il s’en est sorti avec des maux de têtes fréquents. À vie. La seule raison pour lui d’être rancunier.
04. ± Sa plus grande fierté ; treize ans de karaté à son actif. Plusieurs ont l’habitude de rire lorsqu’ils entendent cette forme d’art de combat et pourtant, cela lui a permis de se sortir de presque toutes les situations possibles. C’est ainsi que sa famille d’accueil croyait pouvoir lui prodiguer de bonnes manières, des habitudes de vie saines et surtout, le respect. Les premières années ont su le mettre le plus droit qu’il puisse être et la rébellion s’est présentée sans prévenir, gardant seulement contact avec sa “soeur”.
05. ± gé de dix-huit ans, Caleb décide de quitter le nid qu’on lui a si tendrement offert. Sa première famille était cruelle, mais il n’y a passé que trois mois. Suffisamment pour s’en rappeler toute sa vie. Bref, par peur d’être abandonné à nouveau, il a choisi de tourner le dos à ses parents d’accueil pour s’offrir une vie de jeune délinquant. La raison? Aucune. Un revirement de situation que lui-même ne comprendra jamais. Peut-être était-il malaisé d’être dans un cocon, pris en charge dès le moindre problème. L’indépendance est devenu un désir prominent parmis ses aspirations.
06. ± Dix-huit ans, vente de drogue ; marijuana, LSD et kétamine. Passant par plusieurs nuits sans dormir, le stress maximal de ne pas se faire prendre et surtout, la solitude. Son secret numéro un pour que son prénom ne sorte jamais, aussi invisible croyait-il possible d’être. Après avoir abusé de plusieurs drogues, n’y trouvant plus le bonheur du départ, Caleb a passé deux mois en désintoxication, n’arrivant tout de même pas à dire au revoir à son cannabis. Seul remède contre ses maux de têtes étourdissants. Ce mode de vie aura duré près de cinq ans.
07. ± Vingt-trois ans ; toujours au Canada, copropriétaire d’un local de cours de karaté. Une rentrée d’argent de 30K par année, rien de suffisant pour lui lorsqu’il compare à ses années antérieures. Une partie de plaisir qu’il n’aura profité qu’une seule année, se désistant pour déménager à Boston. Un ami d’enfance ayant déménagé aux États-Unis venait de lui offrir une opportunité saisissable au premier moment.
08. ± Une année après avoir vécu le rêve, malgré le budget d’être serré, Caleb se retrouve avec l’opportunité d’ouvrir un magasin de cannabis à Boston. L’un des premiers à offrir une facilité à obtenir une prescription médicale, subvenant aux services d’un médecin affilié à l’idée d’avancer le cannabis pour traiter les troubles neurologiques, les douleurs et alimentées de certaines exceptions, pour la dépression. Détestant l’étiquette qui se lie encore à cette plante, Caleb n’a laissé que deux ans à cette “entreprise” avant de quitter avec aucune idée en tête. Un peu tête brûlée pour un homme de vingt-cinq ans.
09. ± 100 000$. Ce n’est pas vraiment l’étiquette du cannabis qui le dérangeait. Mais il n’assumera jamais. Caleb a profité de ce dépôt de sa famille d'accueil pour étudier à Harvard, surpris lui-même d’avoir été accepté. À vingt-cinq ans, ce montant a changé son trajet ; qui aurait cru qu’il deviendrait vétérinaire après avoir si vocalement détesté l’école. Il considère facile de passer douze heures auprès des animaux alors qu’il ne peut envisager moins d’une heure entouré d’une dizaine d’humains.
10. ± Tous ceux le connaissant savaient qu’il ne terminerait pas son cours. Pas par manque d’ambition, mais par aspirations différentes. Un besoin de faire un changement, ce désir constant d’être atypique. Ses études lui ont permises d’ouvrir à nouveau un magasin de cannabis, mais cette fois-ci avec un aspect centré sur les animaux. 50% pour les humains dirait-il, ses collègues (2) s’occupant de cette partie et lui, s’occupant des animaux.
11. ± Deux ans auront suffi à son succès, lui permettant d’acheter son propre immeuble, logeant plus de 17 appartements. C’est ainsi que l’an passé, il a découvert un attrait à l'investissement immobilier. Et puis quoi dire, ce n’est pas à Boston que le marché lui causerait le moindre problème pour premier immeuble. Sarcasme assumé, il s'est fait prendre par plusieurs étudiants locataires ne payant pas leur appartement. Une perte d'argent prononcée, de laquelle il se remet graduellement.
pseudo devilette.
âge vingt-six ans.
nationalité canada.
forum connu par... j’y étais il y a très longtemps.
ILH, j'en pense quoi ? J'ADORE, rien de plus à dire.
autres comptes ? non.
avatar utilisé alex pettyfer.
crédits images siren charms
nombre de mots par rp je m’adapte à tout.
type personnage inventé.
code métier
Boston + propriétaire de LEFEBVRE HERBS HUM/NIMALS. :
âge vingt-six ans.
nationalité canada.
forum connu par... j’y étais il y a très longtemps.
ILH, j'en pense quoi ? J'ADORE, rien de plus à dire.
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crédits images siren charms
nombre de mots par rp je m’adapte à tout.
type personnage inventé.
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@"À. CALEB LEFEBVRE" » <i>PROPRIÉTAIRE DE LEFEBVRE HERBS HUM/NIMALS.</i>
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