HAE-WON MIN ► LANA CONDOR

naissance
07 juin 1998

nom & prénoms
min hae won

nationalité(s)
coréenne

origine(s)
origines coréennes et vietnamiennes

orientation sexuelle
hétérosexuelle

statut amoureux
en couple avec kobe langford

études
arts plastique (majeur) ; danse (mineur)

bourse
non boursière

statut social
aisé

job étudiant
aucun pour le moment.

student
Électron libre à tes heures perdues. Goûtant enfin à la liberté et à l’indépendance. Incapable de te fixer sur quelque chose de précis. Incapable de te décider. N'appartenant à aucun clan, aucun groupe. T'es pas de ce genre-là. Beaucoup trop farouche, décalée. Échappant aux étiquettes à chaque fois qu'on croit te cerner. Inaccessible Véritable paradoxe vivant.

Déterminée et ambitieuse, tu n'avais qu'Harvard en tête. Depuis ta plus tendre enfance. Une université de prestige où tu serais capable de révéler ton potentiel intérieur. Parce que tu doutes de toi, Hae. Tu doutes de tes capacités. Alors t'espères pouvoir t'y épanouir, t'espères maintenir ton niveau en art et en danse pour ensuite pouvoir retenter Juilliard. Tu sais que t'as de la chance d'être là. T'as pas l'intention de décevoir ton paternel. Ni lui, ni tes soeurs. T'as envie de suivre son parcours. Acharnée, t'as passé des heures dans ta chambre à t'entrainer, à réviser. Et tes efforts ont fini par porter leurs fruits. Obtenant 2300 aux Sats. Résultat des plus corrects. Passionnée par les arts en général, t'as pas eu trop de mal à te choisir un sujet pour la rédaction. Epanouie dans la danse, heureuse quand t'es entourée de chevalets et de peintures. Stressée pour l'entretien. T'avais prié. Un long moment. Puis, t'as fini par tout déballer devant l'examinateur. Tes projets. Ton avenir encore incertain. Le dessin ? La danse ? Tout reste encore vague dans ta tête. T'as encore du chemin à faire mais t'espères pouvoir enfin trouver ta voie, ici à Harvard.

Ton entourage, ta famille et tes proches, sont le véritable centre de gravité de ta vie. Etant prête à tout pour les tiens. Ayant un instinct maternel fort prononcé, tu ne peux concevoir un monde sans enfants. Fleur bleue dans l’âme, t’es une sentimentale, bien que les apparences tendent à prouver le contraire. Cœur d’artichaut, tu te retrouves souvent le cœur brisé. Plus d’une fois. Mais tu finis toujours par te relever. Par avancer. T’es comme ça. Optimiste dans l’âme et voyant généralement le bien en chacun des êtres. Tout en étant sportive, t’es une femme féminine, soucieuse de plaire et de séduire, que ce soit par une attitude accueillante et sympathique ou par un besoin de soigner ton apparence. Pétillante, joyeuse et affectueuse, tu incarnes la joie de vivre, gardant toujours en toi l’insouciance de ton enfance. Rêveuse, tu adores les contes et les légendes. Pouvant être bavarde et spontanée, vive et rapide. Te fiant très souvent à ton intuition. Très énergique, ton émotivité te conduit bien souvent à prendre des décisions sur un coup de tête et ne pas choisir avec assez de discernement ce que tu dis et à qui tu le dis. Tu es subjective et tu possèdes ta propre façon de voir les choses. Il est bien difficile de de te faire changer d’avis, même si tu demeures encore influençable et naïve sur certains aspects (surtout en amour). Possédant une excellente mémoire, surtout affective et te souvenant en général de tout ce qui t’a marqué. Possessive, tu demandes beaucoup de preuves d’affection. Tu te révèles être fragile et forte à la fois, impressionnable et candide, rêveuse et passionnée par tout ce que tu entreprends. Mystérieuse, ton côté inaccessible fascine ton entourage et t’en as parfaitement conscience. Cœur débordant de générosité et d’altruisme. Serviable et volontaire. T’as même tendance à en faire un peu trop.

décris ici en quelques anecdotes ton personnages. cette zone peut également servir de substitut à l'histoire, à condition que l'histoire du personnage puisse y être comprise dans son ensemble.
anecdote une 해원. Hae- Won. Fierté parentale, prénom mystique, symbolique. Héritage prestigieux. L'élégance incarnée. Signification qui te va à merveille. Beauté éphémère, presque irréelle. 민. Min. Mysticité ardente et délicate. Un nom qui captive l'attention des plus curieux. Un nom souvent resté discret, inaccessible. anecdote deux Ta relation avec tes sœurs est ce que tu chéris le plus. Un lien sororale jamais entaché. Représentants à la fois ta plus grande force mais aussi ta plus grande faiblesse. Le yin et le yang. Complémentaires. Unies. Les qualités de l’une corrigeant les défauts de l’autre. Et inversement. Proches, vous ne formez qu’une seule et même personne, qu’une seule entité. Ton cœur recherchant immédiatement leurs présences. Une admiration sans limite. Une loyauté sans faille. Des relations, un lien qui te bouleverse. Tu serais prête à tout pour elles. Quelque chose que tu n’es pas capable de décrire. Une alchimie indescriptible s’étant créée entre vous. Pouvant passer des heures en leur compagnie, sans jamais te lasser. anecdote trois Portrait craché de celle qui t’a donné la vie. Lui ressemblant comme deux gouttes d’eau. Visage séraphique. Caractère doux et pacifique. anecdote quatre Destin tristement tragique. Âgée à peine de six ans, la fatalité te frappe. Brutalement. Sans te laisser aucune échappatoire. Aucune issue. Malaises à répétition. Grande fatigue ne te laissant aucun répit. Corps qui faiblissait à mesure que le temps défilait. Atteinte d’une leucémie alors que tu commençais tout juste à découvrir les subtilités du monde. Maladie s’étant manifestée de manière très subtile. Sournoise. Une année entière fut ton supplice. Une année durant laquelle tu te battais, tu combattais cette malédiction. Sans relâche. Le soutien de ta famille, ton unique salut. Le soutien de tes amis, ton unique délivrance. Nombreuses furent les fois où tu étais tentée de tout lâcher. Tout abandonner et laisser la leucémie t’emporter. Jusqu’à ce qu’ils viennent te prendre dans leurs bras. Dernière fois qu’ils leur étaient autorisé de te toucher avant la chambre stérile. Ces mots, tu t’en souviens. Tu les gardes en mémoire. Précieux. Ton père, Soo, Eunji, Ahreum, ils ont su te remonter le moral. Devant subitement ton ancre. Ta force. Ta motivation. Ils t’ont donné une raison de vivre. Et t’as fini par guérir avec le temps. Et surtout grâce à une greffe de moelle osseuse. T'en gardes des séquelles. Physiques, parfois mentales. Incapable de faire un sport extrême. Corps qui demeure fragile. Sujet à des rhumes ou des angines de manière régulière. anecdote cinq Voyages à répétition. Quittant ton pays natal alors que tu n'avais que huit ans. Juste après qu'elle soit partie, ta mère. T'as vite compris que tes parents ne se remettraient jamais ensemble. Elle, elle était partie pour la France. Se remariant assez rapidement avec un autre homme. Et ton père, lui, il demeurait statique. Ebranlé par les évènements. Il avait besoin de changer d'air, t'avais saisi. Séjours temporaires aux quatre coins du monde. En vous installant en premier lieu en Suisse. Londres fut votre deuxième destination. Stockholm ne tarda pas à rejoindre cette liste non exhaustive. Des amitiés éphémères. Sachant pertinemment que tu ne devais pas t'attacher. Parce que tôt ou tard, tu finirais par partir. Contrainte de suivre ton père et tes soeurs. Découvrant des cultures différentes. Parfois très traditionnelles. Très exotiques. Pouvant aisément pratiquer l'anglais dès que t'en avais l'occasion. T'appropriant progressivement la langue de Molière. Juste pour maintenir le contact avec ta belle-famille française. anecdote six Leith, Zed, HW. Trio de jeunes adolescents innocents. Crédules. Ingénus. Amis depuis que t'avais posé le pied en Australie. Voisins de palier. Vos maisons l'une en face de l'autre. Liés comme les doigts d’une main. Soudés. Protecteurs les uns envers les autres. Une amitié solide. Presque indestructible. Ayant vaillamment résisté au temps. Vous étiez une bande d’amis, partageant des valeurs communes. Des envies et des rêves similaires. Il était presque impossible de vous séparer, de vous diviser.  Tout du moins, c'était ce que tu croyais. Au début. Vous faisiez front commun contre les amourettes ou les rancunes des autres. Vous contre le reste du monde. Les trois mousquetaires. N'ayant pas imaginé à quel point des sentiments pouvaient mettre en péril une amitié stable, durable. Supposée être éternelle. anecdote sept Des regards tendres. Des gestes doux. Désir ardent palpable entre vos deux êtres. Ton cœur s’était entiché de lui, de Leith. Amour inconditionnel. Appétit charnel se manifestant à chaque fois que ton regard se posait sur lui. Une attirance dangereuse. Dévastatrice. Des émotions qui t’effraient. Hypnotisée. Complètement envoûtée. Toutes tes sensations et désir étaient à leur paroxysme. Des sentiments que tu désirais à tout prix dissimulés. Des sentiments qui demeuraient inavoués. Interdits. Ne voulant pas briser cette relation spéciale et unique à tes yeux avec lui. Tu te cachais. La peur te tétanisait. Alors tu préférais te réfugier dans le mensonge. Mentir s'était révélé être ta meilleure échappatoire sur le moment. Prétextant que ton coeur battait pour Zed, son meilleur ami. Comédie qui a duré presque un an. Jusqu'à ce que tu finisses par partir. Les quittant tous les deux. Mais vous promettant de vous retrouver à Harvard. Une université renommée. Celle que vous désirez tous les trois intégrés. Une promesse qui scellait votre destin, votre avenir. anecdote huit Juilliard School. Un rêve devenu réalité. Pouvant enfin t'épanouir dans la danse. Un sport que t'avais l'habitude de pratiquer depuis ta plus tendre enfance. Un art ancestral transmis de génération en génération. Un moyen de t'exprimer, d'extérioriser tes émotions et ton fort intérieur. Intégrer cette école, c'était une façon de prouver ta valeur, ce que tu valais réellement. Des années d'entrainement avant de passer les auditions. Des années d'efforts. Et t'avais finalement réussi. T'avais été retenue. Puis, tout espoir s'envola. Une simple chute. Brutale. Violente. Et tes rêves volèrent en éclats. D'un claquement de doigts. Une cheville fracturée et te voilà condamnée à quelques mois de rééducation. Pouvant dire adieu à ce mirage que t'as pu effleuré du bout des doigts durant un court instant. anecdote neuf Harvard. Réputée. Prestigieuse. Celle qui était au centre de ta promesse, faite il y a quelques années. T'y posais enfin les pieds. T'avais finalement été acceptée. Contre toute attente. Harvard, un lieu de rencontre. Lieu improbable où tu fis de nouveau sa rencontre. Zed. Jeune homme impétueux à la tignasse brune et au sourire ravageur. Trois petites lettres collées l’une à l’autre dont la simple évocation te rend nostalgique. Mélancolique. Une complicité indescriptible. Une amitié supposée infaillible. Battements irréguliers et tumultueux d'un coeur qui s'ouvrait à nouveau. La réalité était toute autre. Quelques mois passés en sa compagnie. Partageant le même appartement, le temps d'une colocation. Relation fougueuse, pleine de promesses. Devenue progressivement chaotique à mesure qu'elle prenait ta place au sein de la colocation. Jade. T'as jamais réussi à la supporter. Ni à la comprendre. Des personnalités incompatibles. Des caractères qui faisaient trembler l'appartement. Et Zed qui demeurait discret. Inaccessible. Toi qui recherchais son affection, toi qui attendais avec impatience son soutien. T'as juste été confrontée à un mur. Ton coeur se fissure. Ta poitrine te serre. Zed, il t'a ignoré. Se détournant de toi au moment où t'avais le plus besoin de lui. Pas un seul regard lorsque t'as fini par quitter l'appartement. Perdue tu étais. Déboussolée. Tu devais faire face à sa froideur. A cette impassibilité qui ne le caractérisait guère. Incapable de faire taire ces sanglots et ces larmes restées ancrées au fond de ton coeur. Alors tu t'es détournée de lui. Décidant de lui tourner le dos comme il l'avait fait avec toi. Camouflant ces émotions qui contrastaient avec ce visage de marbre que tu maintenais face à lui. anecdote dix Année 2019 mouvementée. Contrastée. Ton coeur brisé, torturé, malmené. Tantôt empli d'amour, tantôt empli de tristesse et de chagrin. Parfois, la haine était présente. Finissant par disparaître. Pour laisser place à l'amertume. Ton couple avec Zed fut chaotique. Désastreux. Échec cuisant, fatal. Mais tu regrettes rien. Absolument rien. Parce que cet homme, tu l'as aimé à en perdre la raison. Ton âme s'était éprise de lui. Ton coeur lui appartenait. Toutes tes pensées tournées vers lui. Obnubilée par cette fièvre qui t'enflammait le corps dès qu'il te prenait dans ses bras. Ses lippes contre les tiennes. Caresses qui te faisaient vibrer, qui te faisaient tressaillir. Au moindre contact. Ton corps qui s'agitait dès lors que ses doigts frôlaient ta peau. Ton excitation qui grandissait. Ton échine qui se courbait. Ce long baiser passionné qui te rassurait. Emplie d'une délicieuse ivresse. T'avais jamais été aussi vivante qu'à cet instant. Moment intense. Moment qui ne dura qu'un court instant. Ultime péché. Trahison palpable. Préférant être avec une autre. Perles transparentes qui ornaient ton visage, tes larmes perceptibles et bel et bien visibles. Emportant avec elles ce cri de détresse, cette colère et cette douleur démesurée. Ses mots, tu t'en rappelles encore. Ton souffle qui se tarit, et ce silence qui emprisonne ta voix. Comment les oublier ? Le voir partir sans être capable de pouvoir le retenir. À quoi bon, après tout ? Zed, il est celui qui a fait vivre ton coeur durant de nombreuses années. Celui qui l'a scindé en deux, le déchirant en deux, tel une feuille de papier. Le bourreau de ton âme. Mais il était également le seul remède à tous tes maux.  anecdote onze Été 2019. Maelström d'émotions, de sensations. Ton âme qui a fini par se perdre, par s'égarer. Et ton coeur, il n'a pas su rebondir. Blessure impossible à panser. Irréparable. Ton corps qui a fini par te lâcher, petit à petit. Devenant bien trop souvent malade. Un simple rhume qui prenait de trop grandes proportions. Boston te rendait nauséeuse. Incapable de rester une seule seconde dans cette ville. Alors t'as fait tes bagages et t'es partie retrouver ta terre natale. Ton père. Pensant pouvoir réparer ce qui déconnait chez toi. Des examens qui s'enchainent. Passant tes journées à l'hôpital. Dans l'attente de cette terrible nouvelle. Et puis un jour, elle finit par te parvenir. T'étais en train de rechuter Hae. Ta moelle osseuse allait mal. T'étais plus autorisée à faire du sport. Ni à faire ce que tu désirais. Faire attention, prendre soin de toi et de ton corps. Combien de fois tu l'as entendu quand t'étais encore qu'une gamine ? Les médecins venaient de te prévenir, de sonner le signal d'alarme. T'allais devoir y repasser. Refaire une greffe. Si tu voulais survivre. Si tu voulais vivre. Tu te rappelles de ces tremblements qui ont parcouru ton corps. De cette gorge sèche. De cette soudaine baisse de tension. Quand t'as compris ce que cela impliquait. Une nouvelle chimiothérapie. Encore une fois. Et là, t'as craqué, Hae. Parce que tu savais très bien ce qui t'attendait. Des semaines, voir des mois de souffrance et de solitude. T'as déjà vécu ça une fois. Pas deux.  anecdote douze Un combat que tu mènes depuis ta plus tendre enfance. Lessivée. Exténuée. Physiquement. Mentalement. Séjour qui s'allonge. Examens médicaux qui s'enchaînent. Et toi qui n'en voit pas le bout. Issue qui s'éloigne, remettant ton destin entre les mains d'inconnus. L'attente insurmontable. Insupportable. La douleur qui martèle ton corps, sans fin. Jusqu'à ce que la nouvelle tant attendue tombe enfin. La seconde greffe fut une réussite. Tu allais t'en sortir. Survivre n'était plus une option. Vivre devenait désormais ton quotidien. Les lippes qui se sont étirées pour laisser place à un sourire apaisé. Ce poids qui s'ôte de tes épaules. Tu étais enfin libre, Hae. Pouvant enfin embraser cette destinée qui te tend la main. Quelques mois en convalescence, un repos mérité. Volonté d'expérimenter, tester tout ce qui t'entoure. Savourant avec fierté cette seconde et dernière chance qu'on venait de t'octroyer. anecdote treize La langue de Shakespeare te transporte. Elle t'anime. Tu joues avec les mots. Tu en abuses. Tu ne peux t'en passer. T'es en phase avec l'anglais. Une addiction démesurée mais parfaitement assumée. Passionnée par les livres. La lecture, l'écriture sont ton quotidien. Des soirées entières passées en compagnie de Soo tandis qu'elle te faisait la lecture. Te contant bon nombres de mythes et légendes. anecdote quatorze Tu possèdes deux principales phobies. Agoraphobie. Tu as peur des espaces publics et, par extension, de la foule ; plus généralement, des espaces où la fuite est rendue difficile. Astraphobie. Une crainte morbide et exagérée du tonnerre et de la foudre. anecdote quinze Le thé, ton addiction fétiche. Incapable de t’en passer. Délicieux parfum d'agrumes ou des fruits des bois, dès le matin et te voilà prête à affronter la journée qui t’attend. T’enlever ce privilège, c’est prendre le risque de s’attirer les foudres de ta personne. anecdote seize Vivre sain dans un corps sain. Ta devise. Te complaisant dans les soirées alcoolisées avec modération. Bon vivant, quelque peu fêtarde. Méditant dès que t’en as l’occasion. Pratiquant très régulièrement le yoga. Tu t’évertues à respecter cet art de vivre zen et serein. Tentant d’évacuer et d’éliminer tout ce qui serait sujet à la noirceur.