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OZSCAR CAPREZI
date de naissance
15 octobre 1980 (40 ans), lorsque les premiers vents automnales balaient la chaleur estivale.
lieu de naissance
roma; un bambin arraché à ses terres paternelles dès les premières années de sa vie.
nom
caprezi vieille bourgeoisie italienne qui ne détient aujourd'hui qu'un blason suranné, rien de ses legs florissants. aucune considération ne s'y attache, si ce n'est le charme du vieux continent. une indifférence habile qui lui permet de montrer face blanche en société.
prénom(s)
ozscar, apostrophe masculin définissant la bête. héritage du fier paternel, consonance qui se chante comme le dieu père et le premier de ses frères.
nationalité(s)
américaine, par le droit du sang. sa génitrice s'étant entiché d'un transalpin, il a gagné ce privilège à l'aube de sa vie.
origine(s)
irlandaises par la mère, cette dernière étant née de l'union de deux irlandais ayant migré aux Etats-Unis. italiennes par le père.
orientation sexuelle
hétérosexuel, les yeux se lardent volontiers sur ce qu'il aime appeler ces muses, ces créatures magnifiques. l'appétit charnel semble être insatiable et l'énergumène se meut au milieu de ces dames, dont il se délecte volontiers de leurs courbes affriolantes.
statut amoureux
esseulé, veuf. l'anneau étouffait autrefois son annulaire, avant que le trépas l'emporte dans les fracas d'une vie trouble de bandit. le vide laissé lui troue le battant qui lui reste.
statut social
aisé. le truand se repaît de ses fourberies dont peu connaissent l'existence. membre du cercle doré, il profite de sa richesse volée.
travail
chef de la sécurité de l'hôtal de luxe des Belmont. un homme de confiance dont la responsabilité pesante s'appesantit sur ses épaules. cerbère, il veille à la sainteté de maxyne, divine dont le destin semble forcer la réunion.
mais dans les ombres, il officie en tant que loyal mercenaire de la famille Gambino, mafia américaine dont il s'est amouraché tôt. le caporegime a gagné ses gallons et s'entend encore gravir des montagnes.
mais dans les ombres, il officie en tant que loyal mercenaire de la famille Gambino, mafia américaine dont il s'est amouraché tôt. le caporegime a gagné ses gallons et s'entend encore gravir des montagnes.
— l'homme se persuade que dans cette chienne de vie, tout est confrontation. douce étreinte entre amants ou funèbre pugilat entre antagonistes, il parvient au même décompte, à la même conclusion amère. alors la menace devient civilisée bien qu'haïssable et la violence, sa forme passionnée. pour rien comme pour tout, ce sont les circonstances d'une existence gâtée dès son aube qui l'a mené sur cette voie. et il s'y complaît, comme d'un prince en son palais. La carcasse éreintée par les affres d'une telle vie, il est de ceux qu'ils se savent condamnés à une fin farouche; alors il profite de ses instants encore lucides et n'entend aucune chance de rédemption.
l'énergumène se dissimule derrière la quiétude d'un homme mature, dont la raison ouvragée par les décennies d'existence, crée cette aura de confiance apaisée. pourtant, l'océan se permet décadence au fond de ses pupilles. de cet acier qui les habille, elles condamnent quiconque et fusillent n'importe qui. la bête, le cerbère, ce dogue aux trois gosiers garde son antre, sa richesse et ses personnes. il est ce géant de pierre dont le mutisme peut faire croire à la mort; pourtant, son esprit œuvre pour son intérêt et ceux de ses proches. redoutable quoi que cruel, il justifie ses manigances et les torts par la fin. il manie les mots par les lames, le cœur par le vice.
l'animal est vile, parce qu'il a des desseins à faire pâlir les saints. dicté par son instinct et ses désirs, il se permet insolence et décadence. il ne vit pas dans l'anarchie, car les règles rythment son existence. mais ce sont des règles qu'il s'impose, qu'il se crée et qui le muselle. des règles mesquines à l'image de leur créateur car il semble qu'il sacre peu de choses. la violence paraît s'être amouraché de son existence, persuadé que sans la force, l'humain n'obtient rien. alors, il laisse volontiers imploser sa nature véritable: son audace se mêle volontiers à sa témérité quand sa fierté exacerbée entre en jeu.
bête sauvage mais bête loyale. il est un redoutable allié car il saignerait un rien pour un tout. l'amour s'accommode volontiers à son inhumanité car il chérit ses proches comme un père adore ses enfants. une vie donnée pour tant d'autres. alors la trahison n'est pas permise car il en mourrait de colère, ivre de vengeance. il est finalement cette âme égarée par ses propres démons, tiraillée par ses vices et l'amour qu'il sacre pour quelques élus.
bête sauvage, bête déguisée. il frappe par une certaine élégance. le fourbe apprécie les arts et la littérature alors il sait manier les apparences, les premiers temps. il se joue de lui-même, aime faire paraître ce qu'il n'est pas. pourtant, il reste ce rustre, ce mercenaire dont seul le goût de ses plans achevés, au détriment de certaines vies l'émoustille. alors l'élégance est balayée par sa glaciale férocité, par sa nature de bougre frustré et hargneux.
l'animal est vile, parce qu'il a des desseins à faire pâlir les saints. dicté par son instinct et ses désirs, il se permet insolence et décadence. il ne vit pas dans l'anarchie, car les règles rythment son existence. mais ce sont des règles qu'il s'impose, qu'il se crée et qui le muselle. des règles mesquines à l'image de leur créateur car il semble qu'il sacre peu de choses. la violence paraît s'être amouraché de son existence, persuadé que sans la force, l'humain n'obtient rien. alors, il laisse volontiers imploser sa nature véritable: son audace se mêle volontiers à sa témérité quand sa fierté exacerbée entre en jeu.
bête sauvage mais bête loyale. il est un redoutable allié car il saignerait un rien pour un tout. l'amour s'accommode volontiers à son inhumanité car il chérit ses proches comme un père adore ses enfants. une vie donnée pour tant d'autres. alors la trahison n'est pas permise car il en mourrait de colère, ivre de vengeance. il est finalement cette âme égarée par ses propres démons, tiraillée par ses vices et l'amour qu'il sacre pour quelques élus.
bête sauvage, bête déguisée. il frappe par une certaine élégance. le fourbe apprécie les arts et la littérature alors il sait manier les apparences, les premiers temps. il se joue de lui-même, aime faire paraître ce qu'il n'est pas. pourtant, il reste ce rustre, ce mercenaire dont seul le goût de ses plans achevés, au détriment de certaines vies l'émoustille. alors l'élégance est balayée par sa glaciale férocité, par sa nature de bougre frustré et hargneux.
série de mots clés
des suppliques # les exaltations lubriques # l’âcre fumée exhalée par le bec # la violence de l’acte # acier # babines léchées # le sang écaillé # la sérénade # la crise de folie, folie amoureuse # l'écho du vide # la traque silencieuse # dionysos sous enveloppe humaine # l'obsession des courbes # poker # dogue dressé # les tourments d'un passé ravagé # le tintement des pièces de monnaie # des bouquins de littérature # une chevalière au doigt
la suite sans fin
◣ bambin sans patrie, il naît ici et s'en va là bas. son carmin bouillonne entre deux terres, la génitrice d'un continent, le géniteur d'un autre. alors il ne sait chérir aucun des deux ou les deux à la fois. fils unique de sa mère, aîné de son père, il porte l'étendard d'un foyer fragmenté. ◣ pater. l'amour qu'il porte à son patriarche n'a de limite que la mort. son père, cet être dont il emprunte les traits et le malin est une figure qui a été son saint. le jeune dérive dès la plus tendre enfance et le père l'appelle quand la puberté s'efface. un membre de la mafia, un homme menaçant mais un homme adorateur de son premier fils. alors suivant son messi, l'enfant embrasse cette destinée prédite.
mater. l'esprit rongé par la folie. elle divague au milieu des songes et prédit la bonne fortune à quiconque accepte d'être berné. le fils, son unique, l'a déconsidère. il l'apostrophe sans affection tandis qu'elle le déifie. la matriarche le sait : son fils est merveilleux et béni, son avenir flamboyant et assuré. il est le reflet de son amant, pourtant un bâtard aux yeux des souverains. le voile de la démence couve ses prunelles tandis qu'il se débecte d'elle, de son aliénation dont il s'effraie de la reconnaître en son propre royaume.
◣ adorateur de l'air vicié, il en aspire la moindre essence, qu'elle soit pure ou acre. en effet, le cigare emprunte régulièrement ses lippes, la brume s'échappant de son museau. elle calme les nerfs érodés par la hargne facile et le caprice inatteignable.
◣ mercenaire. l'individu a commencé au bas de l'échelle. serviteur de main, il a grandit au sein d'une organisation qui ne laisse pas de chance aux miséreux. les lunes trépassent et le garçon devient bandit. les gambino, ce foyer qu'il chérit comme s'il y fut né, l'emploie dans ses basses affaires. autrefois pion, il porte les armes et assassine des cibles. aujourd'hui, capitaine de ses troupes, il supporte fièrement l'étendard de la familia en son battant.
◣ belmont. identité trouble, identité double, il a été embauché comme chef de la sécurité au sein de leur auberge princier. l'homme idéal, disaient-ils. l'ironie s'empare volontiers de cette mascarade, le comédien prenant les traits d'un noble chevalier au service du peuple. balivernes, il adore la basse besogne. famille assise sur son pesant d'or, elle détient pourtant une victuaille plus exquise aux prunelles azurées de l'homme: alba.
◣ veuf amoureux. battant troué, battant cousu. l'âme frappée par la perte indescriptible d'une moitié. désormais, le minable est asservi par son instinct le plus primitif, se délectant de la gente formidable. loup, il rêve de femmes, divines créatures qui l’aveuglent, prêt à leur promettre l’olympe sans que rien ne se fasse. il est un bourreau amoureux, un baratineur sincère.
◣ épicure. ce liquide d'ambre arrose volontiers son gosier et son esprit intoxiqué par des substances le rend fou. il adore ses addictions, son carburant, son poison. il se sent condamné, son existence le lui rappelle à chaque instant alors il aspire la vie. l'incontrôlable garçon se déchaine dans ce maelström décadent. le sang écaillé, le sien et celui des autres, teintent son derme et les jubilations lubriques tatillonnent ses tympans. il se détruit en même temps qu'il détruit son prochain. une vie pour rien.
◣ son amour, sa faiblesse. si redoutable et pourtant si émotionnel. c'est par la colère qu'il vit, par le vice qu'il s'exécute, par l'amour qu'il protège. ces êtres qu'il aime, qu'il veut garder loin des dangers seront sa perte. il le sait et se déteste pour cela car au bout de son sillon, il reconnaît son faciès à la place de son bourreau. alors il devient cet homme attentionné et protecteur, d'une douceur effrayante pour eux.
◣ l'homme se fait souvent accompagné par un dogue géant à ses pieds. totem vivant, il apprécie la compagnie de cette bête. maître aimant, il fait preuve d'une douceur innocente à son égard. l'animal quant à lui, démontre une loyauté sans faille et d'une obéissance effrayante.
pseudo jade
âge 24 ans
nationalité française
forum connu par... anciennement bazzart (j'étais membre à l'ouverture)
ILH, j'en pense quoi ? un forum magnifique, une communauté merveilleuse
autres comptes ? aucun
avatar utilisé cillian murphy
crédits images avatar (pandamalin); icons (tumblr; kaotika)
nombre de mots par rp tout dépend du type de sujet mais disons que ça tombe peu en dessous des 600 mots (environ) et au delà (sans limites).
type personnage scénario par @maxyne belmont
code métier
boston (along charles river, back bay) + chef de la sécurité de l'hôtel de luxe Belmont : homme de confiance, repose sur ses épaules la sécurité des clients ainsi que du personnel.
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@"Ozscar Caprezi" » <i>Chef de la sécurité de l'hôtel de luxe Belmont</i>
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