(libre) and the hours fly by

Un footing? Un sprint? Kyuk s'entraîne pour les Jeux Olympiques? Non pas du tout, il échappe simplement aux flics qui le coursent après. Et la belle marge entre les deux flics et Kyuk est présente. Un sportif accompli et deux flics qui font que de la voiture la plus-part du temps, le gagnant est Kyuk.
Kuyk se permet de s'arrêter pour énerver les policiers en dansant, puis repart dans son sprint et saute également par-dessus une caisse.
Retournons un peu en arrière pour savoir cette raison de cette course poursuite entre les policiers et Kyuk, car il faut bien une raison.

FlashRetour:Kyuk enquête pour savoir, pourquoi son petit-frère se retrouve dans des problèmes, il s'est rendu dans un quartier sensible. Mais malheureusement il a croisé la police qui la pris pour un homme de main, étant habillé en jogging noir et sweat noir capuche. Et il a fuit la police au lieu de rester sur place, car il n'aime pas cette autorité.

À présent Kyuk cours toujours, mais malheureusement la partie se termine, une voiture lui barre le chemin et pointe leurs armes. Choisissent la fin, il lève ses mains et se fait menotté pour se faire embarquer, direction le commissariat. Il ne dit rien, sachant ses droits et qu'ils seraient désolés rapidement.
Arrivant dans le bâtiment il regarde tout le monde, puis se laisse emmener vers la cellule et entre dedans en se faisant poussé. S'installant en soupirant, puis regardant autour de lui. Il remarque une jeune fille puis souris doucement.

"Salut! Tu es là pourquoi? Tu ne devrais pas compter sinon tu vas avoir le tournis."

Kyuk regarde ensuite sur le côté et soupire, puis se demande qui va venir comme avocat et qui va l'appeler pour le raisonner.

@Kyuk-Tak Sin C’est terriblement long. T’as l’impression d’être une enfant de six ans punie pour avoir piqué une colère monstrueuse. On cherche à te faire réfléchir et te canaliser dans ce genre de situation. La remise en question aurait été plus simple si tu avais quelque chose à te reprocher, mais tu sens que cette arrestation forcée n’est la conséquence que de ton passif et du lien qui te lit avec le grand patron. Ça te met plus en colère encore, mais seule dans ton coin, tu ne peux rien faire de plus que de compter ces petits carreaux. La venue d’un nouveau colocataire ne vient pas te déranger dans tes calculs. Tu ne détournes pas le regard, et poursuis jusqu’à ce que celui-ci te coupe dans ton élan. Tu souffles, tu as perdu le compte. Tu le trouves un peu trop curieux. Qu’est-ce que ça peut lui faire la raison de ta présence ici ? Tu te moques du pourquoi, il est là. On a tous nos raisons, la tienne est seulement injustifiée. « Homicide. » Dis-tu en alors que tu as tourné la tête en sa direction. Tu lâches ça de but en blanc, avant de reporter ton attention ailleurs. Ce mensonge, tu es pères qu'il te permettra de retrouver un peu de tranquillité. « Je m’en sortais bien jusque-là. » C’est plus tes nerfs qui sont mis à rude épreuve. « Tu ne trouveras pas une meilleure occupation. » La deuxième occupation serait d’embêter les forces de l’ordre qui sont de l’autre côté de la grille. Mais pour avoir testé à de multiples reprises ce loisir, ça n’apporte rien de bon, en dehors d’une distraction et d’un amusement de courte durée.

Tu viens à détailler la fille, puis sans faire exprès, tu ris, puis tu cesses en fixant la cellule, puis les forces de l'ordre. Ce n'est pas comme si cela était la première fois que tu te retrouvais coincé dans cette cage, oui cette cage que tu désignes pour toi. Tu reviens à la jeune fille et tu te dis intérieurement, qu'homicide pour une aussi frêle jeune fille comme elle, cela te paraît impossible. Ses paroles et son regard la trahissent pour un possible homicide. Tu préfères ne faire aucun commentaire, car en réalité, tu connais les gens de ce monde.

"Pour information, il y a 859 petits carreaux et ils les ont repeint, ainsi que les bancs si on peut appeler cela des bancs"

Je me lève, puis je vais contre la grille, commence à la frapper avec mon pied, puis je hurle plusieurs fois. Pour gagner à ce que quelqu'un vienne à nous. Je regarde le type, puis je lui dis que la jeune fille à besoin en urgence d'un verre d'eau. L'agent refuse et part. Je recommence à m'énerver durant plus d'une heure, puis c'est un autre. Je ris en voyant que je connais la personne.

Tu vas arrêter de me suivre? Je vais finir par croire que tu me dragues

Je ris et lui explique la raison et il me dit que mon avocat est en route, que je devrais sortir d'ici quatre heures. Je souris après la nouvelle, puis je regarde la jeune fille et lui dis.

"Eh, tu veux sortir aussi ? Je peux demander à ce que l'on te fasse sortir si tu veux. Sin Kyuk-Tak et toi ?"

Je viens à elle, puis tends ma main en souriant doucement. Espérant ne pas faire mordre, comme tout à l'heure. Sachant que même si c'est vraiment un homicide, je peux demander à ce que mon avocat fasse sont boulot.