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Elizabeth Sutherland
date de naissance
23 mars 1980
lieu de naissance
Banlieue de New York
nom
Sutherland
prénom(s)
Ellizabeth
nationalité(s)
Américaine
origine(s)
Italienne/portoricaine
orientation sexuelle
bisexuelle
statut amoureux
mariée
statut social
Bonne
travail
Cheffe du service d'urgence en traumatologie et doyenne de l'hôpital de massachussetts general hospital
Membre du conseil d'administration.
Membre du conseil d'administration.
— ROUTINE ;; VIDE - Ma vie se résume qu'à mon boulot. Je me lève à 5h heures du matin chaque jour pour aller courir, 5h30, je prend ma douche vite fait bien fait. 5h45, je prépare mon petit déjeune, et tout doucement, je me prépare pour aller au travail vers 7h... mon début de service. Si c'est ce n'est pas une routine, je fais ça tous les jours.
Très indépendante et sûre d'elle en apparence, prenant soin d'elle, elle est en réalité quelqu'un d'assez fragile. Elle a un caractère bien trempé et ne se laisse pas aussi facilement marcher sur les pieds. Elle peut faire preuve d'une poigne de fer et à la répartie cinglante. Elle a toujours été très studieuse, faisant passer sa carrière avant tout.
Mais derrière cette facette de femme forte, on peut trouver une tout autre personnalité. Elle est douce, gentille, et prête à tout pour aider son prochain. Son plus gros défaut est le fait qu'elle soit instable sentimentalement.
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Mais derrière cette facette de femme forte, on peut trouver une tout autre personnalité. Elle est douce, gentille, et prête à tout pour aider son prochain. Son plus gros défaut est le fait qu'elle soit instable sentimentalement.
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pseudonyme
âge majortié
nationalité belge
forum connu par... je ne sais plus.
ILH, j'en pense quoi ? j'avoue avoir un peu peur pour l'intégration.
autres comptes ? ca ira merci :)
avatar utilisé lana parrilla
crédits images je pique ça partout notamment sur tumblr lanaparilla pour les gifs (et avatar c'est ma réaction)
nombre de mots par rp je m'adepte.
type personnage pré-lien par @Mark Underhill
code métier
massachussetts general hospital + Cheffe du service d'urgence en traumatologie : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
âge majortié
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massachussetts general hospital + Cheffe du service d'urgence en traumatologie : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
- Code:
@"Elizabeth SUTHERLAND" » <i>(Cheffe du service d'urgence en traumatologie)</i>
- Code:
» <span class="pris">LANA PARRILLA</span> » @"Elizabeth Sutherland"
- Code:
<!-- Elizabeth Sutherland --><div class="grid-item fem citi want america bi sante"><figure><img src="https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2020/36/2/1598977677-laa8.png" /><img src="https://media1.tenor.com/images/5cd01ee3869cf103b19220532b228d58/tenor.gif?itemid=17519969" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>Elizabeth<br />Sutherland</h2></div><div class="info"><div class="face">LANA PARRILLA</div> · <div class="age">40 ans</div><div class="activity">médecin urgentiste</div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u10420">mon profil</a></div></div></div></div>
Un jour, une histoire
« Poussez.... Poussez plus fort !!! » En principe, le fait de pousser doit coïncider avec l'envie de pousser, mais la douleur était si intense, que je n'y arrivais plus. J'étais à bout, j'étais épuisée. Je n'en pouvais plus !! En ce qui me concerne, la péridurale était contre-indiquée pour des problèmes de santé, j'ai donc souffert.
Je n'avais que 16 ans. Et au lieu d'aller au bal de fin d'année avec mes amies, j'étais entrain d'accoucher d'un bébé que j'allais devoir abandonner.
Tant que mon bébé était dans mon ventre, il était le mien alors oui, je faisais tout pour essayer de repousser l'accouchement aussi longtemps que possible. Je n'avais pas envie d'accoucher, je n'avais pas envie que cette famille qui me regardait à travers cette vitre prenne ma fille. Mais au bout d'un moment, c'était tout bonnement impossible. Les contractions et les douleurs étaient insupportables, et il fallait que je pousse. Il fallait qu'elle sorte.
Au bout d'un moment, j'entendis ces cris... Elle pleurait... Puis, ces pleurent me semblaient de plus en plus lointain comme si, on m'éloignait d'elle, mais en réalité, c'était moi qui m'éloignais...
Et à mon réveil, elle n'était déjà plus là. Elle était déjà partie.
Je me disais que c'était mieux ainsi. De toute manière, je n'aurais pas eu la force de la tenir dans mes bras, de la regarder dans les yeux, de poser mes lèvres sur son front lisse, pour ensuite, l'abandonner et avoir cette image d'elle graver toute ma vie ? Non. Je n'aurais pas su.
Je voulais une vie meilleure pour elle, je voulais qu'elle ait toutes ses chances de son côté. Je n'aurais pas su m'occuper d'elle, surtout que j'étais encore qu'une lycéenne, avec beaucoup d'ambition et de rêve.
Mon petit ami, lui, a très mal vécu la situation et je sais qu'au fond de lui, il m'en voulut d'avoir pris cette décision. Il voulait garder l'enfant, qu'on forme une petite famille, mais il fallait être réaliste. Nous étions bien trop jeunes pour pouvoir élever un enfant et on n'avait pas les moyens financiers à cette époque.
Cela a été une période délicate, et croyez-moi, j'ai essayé de l'aider à surmonter son mal être, son côté destructeur, mais au bout d'un moment, j'ai fini par craquer. Je l'aimais à un tel point que cela me rongeait. Il a été mon premier amour, ma première fois, il était ma moitié.
Mais je savais que si je restais avec lui, il ne pourrait jamais avancer dans la vie. Qu'il me verra toujours celle qui lui a privé d'être un père merveilleux et quoi que je fasse pour l'aider, il allait continuellement continuer sur la mauvaise voie.
Ca été difficile de faire un choix! Mais si je l'aimais vraiment, il fallait que je le laisse partir. Il méritait mieux !
Alors, je suis partie. Je l'ai quittée à mon plus regretté, mais c'était le moyen pour qu'il s'en sorte.
J'étais son poison.
Pour oublier ma peine, je me suis plongée dans mes études.
J'ai étudié à l’université de New York, et j'en suis sortie, seconde de ma promotion avec un diplôme de Médecine en poche. J'ai consacré la plupart de ma vie à la médecine et à ma carrière. Et a rembourser mes dettes de mes études.
Parfois, il m'arrivait de penser à ma fille, mais aussi, à lui. Je me demandais bien ce qu'ils sont devenus. Est-elle heureuse? Sont-ils heureux? Est-ce que Mark avait réussi à remonter la pente et à retourner sur le droit chemin? J'avais coupé radicalement tout contact avec lui, et, je n'ai jamais su le ''retrouver".
Puis, je ne pouvais pas éternellement m'appuyer sur un '' Et si" et je suis passé à autre chose.
J'ai eu d'autres petits copains, j'ai eu des aventures, j'ai eu des moments de bonheur tout comme des moments plus ardus, ce qui fait partie intégrante de la vie.
J'avais tout ce que j'ai toujours voulu. Un bel appartement dans une rue typique bordée d'arbres à 10/15 min à pied de Central Park, où chaque matin, avant le travail, j'allais courir. J'étais l'une de plus brillante médecin titulaire où ma réputation me précédait. Qu'est-ce que je pouvais demander de mieux!
Puis, il y a eu ce passage de ma vie, où j'aurais mieux fait de me casser une jambe!! Je ne pensais pas qu'un jour, j'allais retomber amoureuse d'un autre homme, et pourtant ... L'amour arrive quand on s'y attend le moins.
Il a été mon patient et figurez-vous, j'ai toujours été clair et net à ce sujet, que je ne mélangerais jamais mon travail et ma vie privée. Alors oui, il avait fallu plusieurs tentatives avant que je n'accepte le premier rendez-vous. Puis, il y a eu le second, le troisième et après, on a fini par sortir ensemble.
Puis; quelque année plus tard, on s'est marié. il avait tout pour plaire à une femme, et j'admets que parfois, je doutais un peu de sa sincérité. Il avait souvent tendance à rentrer très tard dans la nuit, alors oui, j'avais de quoi me poser des questions. Me trompait-il? il me disait que non, et que j'étais l'unique femme de son cœur.
C'était souvent nos sujets de dispute, et le fait qu'il voulait un enfant à tout prix. Il le savait pourtant avant même de m'épouser que je ne voulais pas d'enfant, ou plutôt, que je ne voulais plus d'enfant. Un choix qu'il avait dû mal à accepter.
Mais ce qui a brisé notre couple, ce n'était ni la tromperie ni ce choix. Depuis toujours, il m'avait menti depuis le début de notre histoire!!!
Du jour au lendemain, j'ai pris mes cliques et mes claques et je l'ai quitté.
J'ai tout quitté. Mon job, ma ville, ma vie entière pour venir m'installer à Boston. On m'avait déjà proposé depuis longtemps, un poste de chef et j'ai fini par accepter.
Néanmoins, j'ignore totalement que ma fille, et mon ex s'y trouvent.
Je n'avais que 16 ans. Et au lieu d'aller au bal de fin d'année avec mes amies, j'étais entrain d'accoucher d'un bébé que j'allais devoir abandonner.
Tant que mon bébé était dans mon ventre, il était le mien alors oui, je faisais tout pour essayer de repousser l'accouchement aussi longtemps que possible. Je n'avais pas envie d'accoucher, je n'avais pas envie que cette famille qui me regardait à travers cette vitre prenne ma fille. Mais au bout d'un moment, c'était tout bonnement impossible. Les contractions et les douleurs étaient insupportables, et il fallait que je pousse. Il fallait qu'elle sorte.
Au bout d'un moment, j'entendis ces cris... Elle pleurait... Puis, ces pleurent me semblaient de plus en plus lointain comme si, on m'éloignait d'elle, mais en réalité, c'était moi qui m'éloignais...
Et à mon réveil, elle n'était déjà plus là. Elle était déjà partie.
Je me disais que c'était mieux ainsi. De toute manière, je n'aurais pas eu la force de la tenir dans mes bras, de la regarder dans les yeux, de poser mes lèvres sur son front lisse, pour ensuite, l'abandonner et avoir cette image d'elle graver toute ma vie ? Non. Je n'aurais pas su.
Je voulais une vie meilleure pour elle, je voulais qu'elle ait toutes ses chances de son côté. Je n'aurais pas su m'occuper d'elle, surtout que j'étais encore qu'une lycéenne, avec beaucoup d'ambition et de rêve.
Mon petit ami, lui, a très mal vécu la situation et je sais qu'au fond de lui, il m'en voulut d'avoir pris cette décision. Il voulait garder l'enfant, qu'on forme une petite famille, mais il fallait être réaliste. Nous étions bien trop jeunes pour pouvoir élever un enfant et on n'avait pas les moyens financiers à cette époque.
Cela a été une période délicate, et croyez-moi, j'ai essayé de l'aider à surmonter son mal être, son côté destructeur, mais au bout d'un moment, j'ai fini par craquer. Je l'aimais à un tel point que cela me rongeait. Il a été mon premier amour, ma première fois, il était ma moitié.
Mais je savais que si je restais avec lui, il ne pourrait jamais avancer dans la vie. Qu'il me verra toujours celle qui lui a privé d'être un père merveilleux et quoi que je fasse pour l'aider, il allait continuellement continuer sur la mauvaise voie.
Ca été difficile de faire un choix! Mais si je l'aimais vraiment, il fallait que je le laisse partir. Il méritait mieux !
Alors, je suis partie. Je l'ai quittée à mon plus regretté, mais c'était le moyen pour qu'il s'en sorte.
J'étais son poison.
Pour oublier ma peine, je me suis plongée dans mes études.
J'ai étudié à l’université de New York, et j'en suis sortie, seconde de ma promotion avec un diplôme de Médecine en poche. J'ai consacré la plupart de ma vie à la médecine et à ma carrière. Et a rembourser mes dettes de mes études.
Parfois, il m'arrivait de penser à ma fille, mais aussi, à lui. Je me demandais bien ce qu'ils sont devenus. Est-elle heureuse? Sont-ils heureux? Est-ce que Mark avait réussi à remonter la pente et à retourner sur le droit chemin? J'avais coupé radicalement tout contact avec lui, et, je n'ai jamais su le ''retrouver".
Puis, je ne pouvais pas éternellement m'appuyer sur un '' Et si" et je suis passé à autre chose.
J'ai eu d'autres petits copains, j'ai eu des aventures, j'ai eu des moments de bonheur tout comme des moments plus ardus, ce qui fait partie intégrante de la vie.
J'avais tout ce que j'ai toujours voulu. Un bel appartement dans une rue typique bordée d'arbres à 10/15 min à pied de Central Park, où chaque matin, avant le travail, j'allais courir. J'étais l'une de plus brillante médecin titulaire où ma réputation me précédait. Qu'est-ce que je pouvais demander de mieux!
Puis, il y a eu ce passage de ma vie, où j'aurais mieux fait de me casser une jambe!! Je ne pensais pas qu'un jour, j'allais retomber amoureuse d'un autre homme, et pourtant ... L'amour arrive quand on s'y attend le moins.
Il a été mon patient et figurez-vous, j'ai toujours été clair et net à ce sujet, que je ne mélangerais jamais mon travail et ma vie privée. Alors oui, il avait fallu plusieurs tentatives avant que je n'accepte le premier rendez-vous. Puis, il y a eu le second, le troisième et après, on a fini par sortir ensemble.
Puis; quelque année plus tard, on s'est marié. il avait tout pour plaire à une femme, et j'admets que parfois, je doutais un peu de sa sincérité. Il avait souvent tendance à rentrer très tard dans la nuit, alors oui, j'avais de quoi me poser des questions. Me trompait-il? il me disait que non, et que j'étais l'unique femme de son cœur.
C'était souvent nos sujets de dispute, et le fait qu'il voulait un enfant à tout prix. Il le savait pourtant avant même de m'épouser que je ne voulais pas d'enfant, ou plutôt, que je ne voulais plus d'enfant. Un choix qu'il avait dû mal à accepter.
Mais ce qui a brisé notre couple, ce n'était ni la tromperie ni ce choix. Depuis toujours, il m'avait menti depuis le début de notre histoire!!!
Du jour au lendemain, j'ai pris mes cliques et mes claques et je l'ai quitté.
J'ai tout quitté. Mon job, ma ville, ma vie entière pour venir m'installer à Boston. On m'avait déjà proposé depuis longtemps, un poste de chef et j'ai fini par accepter.
Néanmoins, j'ignore totalement que ma fille, et mon ex s'y trouvent.
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