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Who says old flame can not still burn? [feat Soliman]

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Soliman & Charlie

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Honnêtement, quand j'étais partie à la soirée anti Saint-Valentin des Mathers, je pensais vraiment pas que les choses allaient se passer comme elles s'étaient passées. En effet, j'aurai probablement pas misé un centime sur le fait que je puisse revenir chez moi en compagnie de Soliman. Non, vraiment, et pourtant j'étais plutôt joueuse dans mon genre. Et voilà que j'arrivais devant la porte de la chambre 9 que je partageais avec Briony et Inès, tenant par la main celui qui avait été, y a des années de cela, mon premier. Etrange comme la vie vous jouez des tours parfois. Mais ce soir, avec l'alcool ingurgité, je n'avais pas envie de réfléchir au sens de la vie. Au contraire, mes sens étaient plutôt échaudé par l'échange de regard et de mots qu'il y avait eu entre Sol et moi. Il était très doué, il arrivait à me chauffer rien qu'en me regardant. Peu d'homme pouvait s'en vanter. J'ouvris la porte et l’entraînait directement dans ma chambre, fermant la porte derrière moi. Bri nous avez vu plus tôt dans la soirée, mais je préférais ne pas trop prendre le risque de croiser quelqu'un. J'avais pas envie de taper la causette à mes coloc. Mes envies étaient même toutes autres... Une fois la porte fermée, je me tournais vers lui, en mode séductrice... "Qu'est ce qu'on pourrait bien faire, maintenant qu'on est ici..." Je savais très bien ce que j'avais envie de faire. Mais je voulais qu'il vienne à moi...
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Personne ne comprenait vraiment mon histoire avec Charlie, il faut dire qu’il n’y avait rien de simple entre nous. Jamais depuis le lycée nous ne nous étions remis tous les deux officiellement et pourtant tout le monde nous parlait de l’autre, à peine l’un avait eu un débordement légitime en vue de notre célibat que l’autre était mis au courant et généralement ça me rendait jaloux. C’est étrange mais je ne pouvais jamais me résoudre à simplement laisser Charlie à quelqu’un d’autre, qu’une personne puisse poser ne serais-ce qu’un doigt sur son corps de déesse me rendait malade et pourtant je ne me gênais pas pour aller voir ailleurs. Rien n’était simple et à moins de nous mettre en couple je pense que rien ne le serait jamais, nous étions attirés comme des électrons sauf que nous n’osions jamais faire le pas qui nous empêchait d’en finir avec tout ça. Ce soir encore et malgré le deuil et Garett qui occupaient déjà bien mes pensées je me retrouvais à marcher vite pour rejoindre la chambre de Charlie, elle refermait derrière nous et m’adressait l’un des regards qui suffisait à refaire sortir la bête que j’étais. « Qu'est ce qu'on pourrait bien faire, maintenant qu'on est ici... » Je souriais amusé approchant jusqu’à l’avoir complètement coincée contre le mur, nos lèvres flirtaient dangereusement l’une avec l’autre. « A toi de me le dire ! » Je m’emparais de l’une de ses mains que je venais déposer à la barrière de mon jean me mordillant la lèvre en ne la quittant pas des yeux une seule seconde.


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Je ne sais pas pourquoi je finissais toujours par retourner vers Soliman. Ca faisait pourtant des années que nous étions séparé, lui et moi. Mais je continuais, périodiquement, à retomber dans ses bras. Peut-être était-ce parce que je le savais très doué au lit, et capable de me faire prendre mon pied comme peu d'homme savait le faire? Ou peut-être parce que je supportais difficilement d'apprendre la présence de quelqu'un d'autre dans sa vie, que ce soit un homme ou une femme? Le fait est que j'étais jalouse et possessive avec lui, chose que je n'étais pas avec les autres. Il avait été mon premier, et je n'avais plus eu que des amourettes depuis lui. Parce que j'aimais trop m'amuser comme bon me semblait pour être en couple. Il était inconcevable pour moi de m'imaginer cassée, et pourtant, si je l'étais, ça serait probablement avec lui. Malgré le mal qu'il m'avait fait, qu'on s'était fait en réalité, je revenais toujours dans son lit, et c'était assez pour moi. Après tout, il avait un corps à mourir. Il répondit d'ailleurs à ma "provocation", me faisant reculer et me coinçant entre lui et le mur. Loin de paniquer, j'adorais la proximité entre nous. « A toi de me le dire ! » Il prit une de mes mains et la posa sur son jeans, me fixant dans les yeux et mordillant ses lèvres. Je mourrais d'envie de lui sauter dessus, de lui arracher ses vêtements et qu'il me fasse l'amour là, maintenant. Pourtant, je continuais à l'allumer, sans prendre de vrais initiatives. Je commençais par passer ma main sous sa chemise, la laissant glisser lascivement sur son torse. «Et bien... On pourrait faire un scrabble peut-être...» Bien sur que non je ne voulais pas faire un scrabble, c'était de la provocation pur voyons. Je me mordillais la lèvre sensuellement, je voulais qu'il craque et qu'il se "jette" sur moi, comme j'avais envie de me jeter sur lui....
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Entre Charlie et moi il y aurait toujours quelque chose, elle avait en quelque sorte été la femme de ma vie et jamais je ne pourrais réellement tourner la page, c’était terrible pour moi pour la simple et bonne raison que même lorsque je me casais je pensais à elle et avait tout le mal du monde à être sérieux lorsqu’elle me faisait du rentre-dedans. Pour Charlie j’aurais pu tout quitter je pense, sur une simple impulsion et c’est quelque chose qui me faisait bien plus peur encore que de tomber amoureux de quelqu’un et d’avoir le cœur brisé. Je savais fort bien que de toute manière c’est moi qui risquait de tout gâcher à cause de notre passé commun qui finirait tôt ou tard par devenir un obstacle pour nos amourettes respectives. Ce soir j’étais à nouveau sur le point de craquer et je n’y pouvais rien, c’était tellement bon, mon cœur battait la chamade et je n’attendais plus qu’un mot, un regard pour lui faire décrocher la lune entre quelques coups de bassin. Ses mains remontaient le long de mon torse sous ma chemise, je souriais la laissant faire sans reculer d’un millimètre. «Et bien... On pourrait faire un scrabble peut-être...» Je souriais à nouveau, elle voulait me voir céder mais elle pouvait se mettre le doigt dans l’œil, je poussais au contraire les choses encore plus loin, reculant je déboutonnais mon jean après avoir retiré la ceinture. « Ou alors je pourrais t’offrir un spectacle que tu risques d’apprécier, je pourrais… Soulager cette envie qui fait se soulever mon boxer devant toi ? » Je glissais ma main contre la barrière de mon boxer m’arrêtant pour lui adresser un regard coquin et révélateur de ma capacité à faire ça juste pour gagner.

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Je n'aimais pas le voir avec d'autres. A chaque fois, même quand il était en couple, je ressentais ce besoin d'aller foutre la merde dans son couple. D'aller l'allumer, le titiller, le chauffer, tout pour qu'il revienne vers moi. C'était stupide dans un sens, et très égoïste. Mais bon, je n'arrivais pas à faire autrement. C'était comme si de le voir avec quelqu'un d'autre déclenchais chez moi une réaction incontrôlable. Comme si j'avais besoin de savoir que j'avais toujours la place la plus importante pour lui, de savoir que je pouvais encore le rendre fou, à ce qu'il plaque tout pour revenir près de moi, pour qu'on puisse à nouveau jouer du corps de l'autre. Et le pire, c'est que ça marchait la plupart du temps. Mais jamais, depuis le lycée, ça n'avait été plus loin. Depuis notre rupture, même si on se retrouvait et on couchait ensemble, il n'était plus question de couple. D'ailleurs, ce sujet n'était jamais abordé entre nous. Pour moi, ce n'était pas un problème. Je n'avais pas de petit-ami, je virevoltais d'homme en homme au grès de mes envies, et Soliman s'intégrait parfaitement dans ce cadre. Mais je savais que ce n'était pas son cas à lui, que c'était parfois plus compliqué. Toutefois, ce soir, nous étions les deux célibataires, et près à nous faire plaisir. Je voulais le faire craquer, mais je voyais que lui aussi voulait me pousser dans mes derniers retranchements. « Ou alors je pourrais t’offrir un spectacle que tu risques d’apprécier, je pourrais… Soulager cette envie qui fait se soulever mon boxer devant toi ? » J'ouvrais de grand yeux à ses mots. Oh non, il n'avait absolument pas le droit de faire ça. Je savais qu'il en serrait parfaitement capable, rien que pour me provoquer. Je posais donc rapidement ma main sur la sienne pour l'empêcher de faire ça. J'avais beaucoup trop envie de lui pour le laisser faire. J'avais peut-être de la fierté, mais pas assez pour subir ça et me retrouver insatisfaite. Mais bon, j'allais jouer encore un peu. C'était risqué, mais j'avais envie de sentir son envie pour moi, même si je pouvais la voir à ce moment précis. «Comment dire, je suis pas sur que ce moyen me convienne parfaitement... Mais par contre, je sais que tu as des talents qui me plairait beaucoup.» J'avais collé mon corps au sien, susurrant ses mots au creux de son oreille, avant de m'écarter légèrement et d'avoir mes lèvres à quelques millimètres des siennes. Par précaution, j'avais laissé ma main sur la sienne. Je voulais pas prendre de risque inutile...
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A ce stade je ne cherchais même plus à mettre des mots sur ce qu’était ma relation avec Charlie, nous étions juste toujours l’un avec l’autre, impossible de laisser l’autre prendre ses distances, nous n’en étions tout simplement pas capables. Je ne comprendrais jamais comment est-ce que cette dépendance s’était installée mais j’aimais clairement cela, parfois je me disais que j’étais un homme égoïste, toujours là pour faire parler mes désirs, mon attirance et mon manque de son corps, d’elle tout court alors qu’elle aurait pu enfin m’oublier, je ne pouvais pas me résigner à la laisser partir, c’était au-dessus de mes forces et plusieurs fois j’avais cogité, cogité sans réellement trouver une réponse satisfaisante à tout ça. Peut-être que j’étais fou amoureux d’elle comme ça avait été le cas au lycée à l’époque où notre relation était relativement plus simple, certes mes sentiments étaient arrivés trop tardivement pour sauver notre couple puisqu’elle avait appris qu’au départ je sortais avec elle uniquement pour oublier l’autre pétasse qui m’avait brisé le cœur après trois ans de relation mais ils étaient là. Tellement forts qu’il me paraissait impossible de tourner la page, même lorsque j’essayais en me casant avec quelqu’un d’autre je finissais par tout arrêter pour ramper comme un petit chien abandonné à ses pieds, prêt pour une nouvelle dose de sexe sans modération. Si j’étais réellement amoureux d’elle actuellement comment m’y prendre pour qu’elle puisse à nouveau avoir envie de plus que des échanges bestiaux ? Ce soir je ne disserterais pas sur cet enjeu, plus joueur que jamais, l’alcool aidant, je la menaçais de me toucher pour pouvoir assouvir mes besoins, à en voir sa tête et sa main qui me bloquait au bord de mon boxer bien rempli et tendu à cet instant je savais qu’elle ne voulait pas ça. «Comment dire, je suis pas sur que ce moyen me convienne parfaitement... Mais par contre, je sais que tu as des talents qui me plairait beaucoup.» Je souriais coquinement, nos lèvres n’étaient plus qu’à quelques millimètres et à ce stade je n’avais tout simplement plus la force, la patience pour faire durer le plaisir, sans prévenir, sans demander mon reste je glissais mes lèvres contre les siennes sensuellement.

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Dans un sens, il était autant égoïste que moi. Il revenait toujours à moi, quand ce n'était pas moi qui retournait à lui. Je ne pouvais pas nier qu'il y avait une attirance extrême entre nous, c'était comme un besoin pour moi de retourner vers lui, de pouvoir le sentir contre moi, de respirer son odeur. Pourtant, il m'avait fait tellement mal. C'était il y a longtemps, mais j'y repensais encore parfois. Peut-être parce que je m'étais sentie tellement heureuse avec lui quand on était ensemble. C'était aussi de là qu'étais venu la peine extrême que j'avais ressenti quand j'avais appris qu'il s'était mis avec moi uniquement parce qu'il avait eu le coeur brisé. Mais toutes ses préoccupations étaient bien loin de mon esprit pour le moment. Il n'y avait plus que lui et moi, et l'attraction extrême entre nous. Nos lèvres se frôlaient, jouant au maximum et faisant monter la pression jusqu'à un point pratiquement insoutenable. Son sourire fit encore augmenter mon rythme cardiaque, et s'il ne craquait pas, c'était moi qui craquerait dans les secondes qui suivaient. Je lâchais un soupir de bonheur quand finalement il captura ses lèvres avec les miennes. Mon dieu ce que ça m'avait manqué. Son corps me faisait un effet qu'aucun autre homme ne pouvait provoquer en moi et notre flirt avait poussé l'attente à son point le plus haut. Je passais mes bras autour de son coup, l'attirant contre moi au maximum, comme si je ne pouvais pas supporter le moindre espace entre lui et moi. Je répondais à son baiser avec passion, dévorant ses lèvres avec délice. Je ne voulais plus perdre de temps et je laissais donc mes mains descendre pour défaire sa chemise. Il était bien trop vêtu à mon goût, je voulais pouvoir toucher tous les coins de son corps et sentir sa chaleur contre ma peau.
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Je ne pouvais plus attendre, je me perdais dans les yeux de Charlie sentant mon cœur battre tellement fort qu’il aurait pu traverser ma poitrine d’un moment à un autre. L’attente était bien trop torturante pour moi, je n’avais pas su être patient plus encore avant de briser cette limite entre nous, cette distance trop oppressante, j’avais besoin de ses lèvres plus qu’autre chose, j’étais toujours très surpris de voir comment les choses évoluaient lorsque j’étais en sa compagnie, percevoir à quel point malgré tous mes efforts j’étais dépendant à elle, lorsqu’elle me faisait signe j’accourais sans me poser de questions. Redécouvrir ses lèvres une énième fois faisait rater un ou deux bonds à mon cœur qui battait follement à cet instant, ses mains déboutonnaient les boutons de ma chemise, je la laissais faire l’aidant à me la retirer entièrement pour dévoiler mon torse musclé et tatoué qu’elle était habituée à voir depuis très longtemps. « Il est temps de passer aux choses sérieuses non ? » Je souriais coquinement reprenant possession de ses lèvres brisant cette proximité pour me baisser et attraper le bas de sa robe que je relevais pour qu’elle puisse l’ôter, c’était l’avantage des robes, en deux mouvements elle était retirée et je pouvais à présent pleinement apprécier les formes généreuses de Charlie, mon corps tout entier était en ébullition. Approchant à nouveau je déviais de ses lèvres pour embrasser son cou avec sensualité mes mains, baladeuses s’occupant de parcourir chaque parcelle du corps de la petite brune.

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A la vue de son torse, que je connaissais pourtant bien, je sentis un désir intense s’emparait encore plus de moi. Je le voulais, et je me rendais compte que je le voulais pour moi toute seule. Je ne pouvais juste pas envisager de partager Soliman, d'avoir un autre homme ou femme poser un doigt sur son torse, sur son corps. Moi qui n'étais d'ordinaire pas jalouse ni possessive, je perdais tout contrôle à l'idée de le savoir avec quelqu'un d'autre. Mais là, il était à moi. Ce soir était notre soirée, et j'allais profiter de chaque secondes comme si c'était la dernière. Il était là, devant moi, ne portant qu'un boxer et j'avais encore plus envie de lui à chaque secondes qui passaient. C'était comme un puits sans fond, mon désir pour lui semblait ne jamais finir. « Il est temps de passer aux choses sérieuses non ? » Oh que oui! Il ne perdit pas de temps et me retira prestement ma robe. Depuis le temps, j'avais appris à toujours porter des sous-vêtements sexy lorsque je partais en soirée, et j'étais ravie que ça soit le cas ce soir. Mon ensemble soutiens-gorge string en dentelle noire faisait ressortir mes formes et franchement, j'étais assez canon comme ça. Je sentis les lèvres de Soliman dans mon coup et je laissais échapper un soupir de plaisir. Ses mains partaient à l'exploration de mon corps et je me sentais fondre sous ses asseaux doux et passionnés. Son corps contre le mien, je commençais à jouer avec son boxer, dernier rempart au plaisir qui s'annonçait, laissant passer un doigt sous la bande, créant un frisson sur sa peau. Je voulais qu'il me prenne là, contre ce mur, et qu'il me fasse l'amour comme il savait si bien le faire. Je laissais donc ma main s'inviter dans ce dernier vêtement qui ne dissimulait plus rien de son envie pour moi, et frôlait son membre, dans le but d'accélérait les choses.
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Mon désir pour Charlie n’avait jamais diminué, il n’avait au contraire fait qu’augmenter toutes ses années si bien qu’à chaque occasion saisie je donnais le meilleur de moi-même. Il n’était de toute manière pas dans mes habitudes de ne pas me comporter ainsi, être dans la demi-mesure ça n’était pas mon truc, c’était tout ou rien, les extrêmes vous voyez ? Voilà quelques mois que Charlie et moi n’avions plus eu l’occasion de nous voir de manière intime et je comptais bien lui prouver qu’elle m’avait manqué tout ce temps, mon corps tout entier était chaud bouillant, il suffisait de regarder mon boxer maltraité par mon pénis en érection et qui étouffait là-dessous, j’étais décidément trop vêtu mais je faisais pourtant durer le plaisir me contentant de l’embrasser plus ou moins langoureusement mes mains se baladant sur ses formes généreuses, son petit ensemble de sous-vêtements mettait le feu en poudre, j’étais prêt, prêt à la satisfaire comme toujours en allant toujours plus loin. Ses mains frôlaient la ceinture de mon boxer me faisant frissonner alors que de ses mains expertes elle venait caresser mon membre, sans plus attendre je dégrafais son soutien-gorge caressant sa poitrine et venant mordiller ses tétons avec beaucoup de sensualité.

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