AMALYSIA ★ le sexe est une source de distraction. (a)

- Enfant du soleil, tu parcours la terre le ciel. Cherche ton chemin, c'est ta vie, c'est ton destin. Et le jour, la nuit avec tes deux meilleurs amis. A bord du Grand Condor, tu recherches les Cites d'Or. Ah ah ah ah ah Esteban, Zia, Tao les Cites d'Or, aaaah ah ah ah ah Esteban, Zia, Tao les Cites d'Or chantais-je en même temps que le générique d'un de mes dessin animé préféré, Les mystérieuses cités d'or. J'aimais trop ce dessin animé qui était pourtant vieux mais j'en avais rien à faire. Pas plus que j'en avais à faire qu'on me prenne pour une folle à danser et à chanter à fond, casque sur les oreilles, à moitié habillée d'un mini-short en jean et d'un débardeur, pieds nus, dans ma résidence des Mathers. Et ouaiiii je suis une Mather donc techniquement je suis censée avoir une case en moins. Ben je vous merdeuuuuh ! Je suis fière d'être une Mather, c'est ma famille, ils m'ont accueillis à bras ouverts après que la mienne ai décidé de n'être que des cons ! Je sentis alors mon portable vibrer dans ma poche alors que la sonnerie de Nightwish arrivait à percer le volume du casque. L'enlevant de mes oreilles je regardais qui appelait. Numéro inconnu. Bah ça ne coûtait rien de répondre. Si seulement j'avais sû ...

- Allô ? lançais-je d'une voix dynamique. - Cassy ? Ne raccroche pas tesoro, c'est papa ... fit une voix grave et douce à l'autre bout du fil. Je me figeais brusquement et pâlit à un point que l'une des Mather qui se trouvait dans la cuisine avec moi me demanda si ça allait. J'hochai vaguement la tête en essayant de garder contenance. Merde alors mon père ne devrait même pas avoir une telle influence sur moi. Ni lui ni personne. - Qu'est ce que tu veux ? J'aurais voulu que ma voix soit ferme, froide, distante, dure n'importe quoi d'autre que le souffle faible et ridicule qui sortit de mes lèvres. - Je voulais juste prendre de tes nouvelles ... ça fait longtemps tesoro ... tu me manque .. avoua alors mon père. Les larmes me montèrent aux yeux. Mon père était le seul qui avait prit soin de moi, qui m'avait aimé, qui m'avait élevée comme un vrai père. - Anche tu papà murmurais-je. - Ritorna alla casa mi tesoro ... per favore ... supplia Agustino Médicis. Il devait être seul parce que jamais il n'aurait dit ça sur ce ton si Jane FitzRoy-Médicis avait été dans les parages. - Non. Je suis bien ici je ne retournerais pas là-bas papà ... refusais-je catégoriquement. J'entendis mon père pousser un soupir mais il n'insista pas. Le silence se prolongea. Et je ne le connaissais que trop ce silence. Ca voulait dire que mon père avait un truc à me dire mais qu'il hésitait. - Qu'est ce que tu me cache papà ? demandais-je tendue. - Rohan est passé alla casa. Il dit qu'officiellement vous êtes toujours fiancés et qu'il veut que tu lui revienne ... avoua mon père. - QUOI ?!!! NON MAIS TU PENSE PAS SERIEUSEMENT QUE JE VAIS ACCEPTER CA ?!!! dégoupillais-je. - Je lui ai dit que tu dirais ça ... soupira mon père. J'étais dans un état de rage incroyable. Je bouillais littéralement. - Papà ... je te rappelle il faut que je me calme ... ciao ... fis-je en raccrochant sans laisser le temps à mon père de me répondre.

Je marchais de long en large pendant un moment avant de comprendre que seules deux choses pouvait me canaliser quand j'étais dans cet état. La musique. Ou le sexe. Vu que je n'étais pas franchement en état de prendre un instrument sans le briser je votais pour la seconde option. Et je savais parfaitement qui il me fallait. Giacobe. Mon confident. Avec qui je couchais. Ouai bonne idée. J'allais passer un moment passionné avec lui et puis je lui raconterais mes malheurs sur l'oreiller. Parfait ! Et en moins temps qu'il ne le fallait pour dire "ouf" j'avais passé ma veste en cuir, des chaussures et était sortie. Quelques minutes plus tard je frappais à la porte de Gia qui m'ouvrit torse nu. - Salut toi ! On peut dire que tu tombes bien j'allais justement faire un petit tour dans mon lit... fit Gia avec malice. Je souris instantanément. Giacobe avait ce pouvoir là sur moi. Il était bien le seul. Ou l'un des seuls. - Impec ! Justement ce dont j'avais besoin ! fis-je en entrant d'un pas décidé dans sa chambre. -Alors dis-moi.. qu'est-ce que tu fais ici ? demanda mon confident en s'allumant une cigarette. Je souris et lui montrait la bouteille de tequila que j'avais mise dans mon sac avant de partir. - Une séance, alcool-sexe-confidences sur l'oreiller quand on sera bien crevés ça te tente ? demandais-je tout en enlevant ma veste dévoilant mon débardeur blanc qui me collait à la peau et dévoilait mes courbes désirables tout en montrant bien que je ne portais aucun soutient-gorge. Du moi tout craché quoi !

Je ne m'attendais absolument pas à de la visite ce soir et pourtant contre toute attente quelqu'un venait de frapper à ma porte. Pour le coup j'étais un peu beaucoup crevé et je n'avais pas envie d'aller ouvrir, j'étais plus qu'alaise dans mon lit et rien que de sortir de dessous ma couette me faisait grimacer. Mais peut-être c'était grave ou alors quelqu'un que je serais ravi de voir . Je soupir en laissant ma main claquer contre ma cuisse après quelques réflexions, je me lève et je me décide à ouvrir cette porte. Si c'était quelqu'un qui venait m'emmerder il allait franchement être mal reçu. Mais à ma grande surprise celle qui était derrière ma porte était Amalysia. Je suis heureux qu'elle soit là devant moi, ce n'est pas que j'avais besoin de sexe mais un peu quand même quoi. :rvmp: « Je me doutais que cette proposition allait te plaire ! » dis-je avec la lèvre déjà mordu depuis cinq minutes. Je pousse la porte pour laisser la jolie blonde entrer et je la referme derrière moi. J'ouvre la petite fenêtre de ma chambre et j'allume une clope poser sur mon bureau et je passe ma main avec la cigarette a l'extérieur de la chambre, oui la cigarette c'est génial, c'est bon mais le problème c'est que ça pu et j'ai horreur de sentir cette odeur dans ma chambre. Quand je vois la bonne idée qu'elle a eu d'apporter une bouteille de tequila, je lui souris à sa proposition et je lui réponds : « Hmm... moi ça me plaît ce planning-là! » quand elle retire sa veste, je la fixe de haut en bas. J'avais très bien remarqué qu'elle n'avait pas de soutien-gorge vu que je voyais pratiquement tout a travers. Je tire ma clope une seconde fois en lui disant : « Je te mettrais à poil plus facilement si tu as oublié ton soutien-gorge... » Je lâche un petit rire taquin et je lui montre ma cigarette en lui demandant : « T'en veux ? » Elle avait l'air d'en vouloir. Je tire une troisième fois ma cigarette avant de m'approcher de celle-ci et de l'embrasser langoureusement en lui "crachant" la fumer dans sa bouche. J'affiche un sourire après le baiser alors que je sors de verre et que j'attrape la bouteille de tequila ranger dans son sac.

- Je me doutais que cette proposition allait te plaire ! me lança Gia avec malice. Je lui offris un de mes merveilleux sourire à la fois taquin et pleins de promesses. - Tu me propose de te rejoindre dans ton lit évidemment que ça me plaît ! Pronto ! lançais-je amusée. Et puis je lui montrais la bouteille de tequila que j'avais piqué dans le bar des Mathers. J'avais besoin d'alcool. J'avais besoin de sexe. Et j'avais besoin de mon confident. C'était les trois choses dont j'avais réellement besoin là tout de suite immédiatamente ! Que mon père m'ai appelé ça m'a fait plutôt plaisir je dois avouer qu'il me manque mais le fait que Rohan pense que j'vais lui revenir ... Rien qu'à ce souvenir je bouillais littéralement. Pourtant rien ne se voyait sur mon visage, j'étais la joie incarnée. Enfin la joie... - Hmm... moi ça me plaît ce planning-là! balança le bel italien. Je me mis à rire avec chaleur. Gia' avait ce pouvoir là sur moi de me calmer, de me stabiliser. - Je te propose du sexe et de l'alcool évidemment que le planning te plaît lui rétorquais-je d'une voix malicieuse.

Plus facile de me déshabiller parce que j'avais oublié mon soutif ? Je ris encore une fois les yeux brillants. - Ouai je me suis dis que j'allais te faciliter la tâche du galère toujours avec les attaches sinon, le provoquais-je taquine. C'était tout à fait faux ce que je venais de dire mais c'est pas grave, c'était Gia' je pouvais le taquiner autant que je le voulais. - T'en veux ? me demanda mon beau Winthrop en me montrant sa cigarette. En souriant je hochais la tête. - Toujours ! rétorquais-je amusée. Le jeune homme tira une troisième fois sur sa cigarette puis vint jusqu'à moi et m'offrit un baiser brûlant que je lui rendis tout en faisant passer la fumée de sa bouche à la mienne. J'inspirai profondément, avant de soupirer de plaisir alors que Gia' attrapa la bouteille dans mon sac. - Tu la veux pure ou on se la fait shooter avec citron et sel ? demandais-je en m'approchant de lui par derrière, laissant courir mes doigts sur son dos, dessinant le contour de ses muscles. Sa peau était chaude. Il frissonna à mon contact et je souris. J'adorais ça. Surtout avec lui. Mes lèvres se posèrent un instant sur son omoplate et j'y déposais un baiser presque tendre avant de lui piquer facilement la bouteille d'un joli demi-tour. - On se laisse facilement distraire à ce que je vois Signor Sullivan ... le provoquais-je une nouvelle fois avec mon bel accent italien que nous partagions parfois.

J'affiche un grand sourire quand elle me dit que ma proposition lui plairait. En même temps c'est vrai que son planning était pas mal aussi, alcool, sexe et confidences qu'est-ce que je pouvais espérer de mieux ? J'aimais passer ce genre de soirée surtout avec elle au moins je suis sûr que la détente est assurée ! J'avais besoin de sexe moi aussi en réalité j'en avais toujours besoin c'est vrai, normal je suis un homme :rvmp:. Avec Amalysia c'était toujours du plaisir et puis ce jeu de séduction c'était juste génial ! « Je crois que je serais fou de ne pas aimer. » Je continuais d'être près de la fenêtre à fumer ma clope quand elle me sort que j'étais nul avec les attaches de soutif. À ce moment-là j'avais vraiment envie d'exploser de rire, je crois que s'il y avait bien un homme expert niveau soutif c'était bien moi (a). Je commence à rire quelques secondes après ces mots et je rétorque en me rapprochant d'elle : « Très drôle... s'il y a bien un expert niveau soutif c'est moi ! et puis par moments je n'ai même pas le temps de te l'enlever que tu l'as déjà fait tellement tu es folle de moi ! » dis-je avec un petit rire taquin, moi aussi j'aimais bien l'embêter. Je lui propose ensuite la fin de ma cigarette et à son mot j'affiche un sourire en lui offrant un baiser des plus langoureux et sensuelle en lui "crachant" la fumée de ma bouche dans la sienne. Je prends donc la bouteille de tequila et j'affiche un sourire à ces mots, elle devrait me connaître depuis le temps. « A ton avis !? » Je n'aimais pas trop la tequila pure. Alors que celle-ci passe ces doigts dans mon dos et dépose ces lèvres sur mon omoplate je me mords la lèvre et je pousse un léger soupir c'était agréable et j'étais carrément hypnotisé avec ça... Elle me pique alors la bouteille et j'ouvre mes yeux à nouveau en lui disant : « la séduction c'est de la triche ! Je suis sûr que si je te faisais la même chose tu te serais déjà mis à poil ! (aa) » dis-je en me mettant à rire.

- Je crois que je serais fou de ne pas aimer murmura Giacobe alors que mon sourire s'élargissait sur mes lèvres. Je l'aimais ce type c'était officiel ! Je l'aimais comme l'ami fidèle qu'il était. Je l'aimais comme le confident attentif qui me laissait parler et pleurer jusqu'à pas d'heure. Je l'aimais comme l'amant passionné qui me laissait être celle que je voulais être sans me juger mais en me faisant perdre la tête. Je l'aimais pour tout ce qu'il était et ce qu'il représentait pour moi. - Très drôle... s'il y a bien un expert niveau soutif c'est moi ! et puis par moments je n'ai même pas le temps de te l'enlever que tu l'as déjà fait tellement tu es folle de moi ! Je ris. De ce rire de gorge chaud, grave et sensuel que je gardais en général dans l'intimité mais qu'il m'arrivait d'utiliser ailleurs. Ce rire qui donnait des frissons en aperçu de ce que je pouvais offrir. De ce rire qui m'offrait l'opportunité d'arriver à mes fins. - Ca doit sûrement être ça ouai ... tu m'a percé à jour, je me sens si vulnérable face à toi, regarde je suis tremblante de fièvre me moquais-je alors qu'il me proposait de sa cigarette. Bien évidemment j'acceptais et ne le regrettais absolument pas au vu du baiser qu'il m'offrit.

Il s'éloigna ensuite pour récupérer la bouteille de tequila et je l'admirais tout en recrachant la fumée. Puis je m'approchais, caressait son dos du bout des doigts, l'embrassait tendrement sur l'omoplate. Parce que nous nous connaissions suffisamment bien pour savoir ce que l'autre aimait, ce dont l'autre avait besoin, nous savions nous adapter. Parfois c'était sauvage et passionné. Nous avions alors besoin de nous déchaîner, parce que nous étions en colère ou vraiment en manque. Et d'autres fois c'était tendre et doux. Nous avions alors juste besoin de réconfort, de chaleur humaine. Dans ces moments là, nous nous laissions même aller jusqu'aux larmes. Giacobe me connaissait bien maintenant. Il savait tout de moi, de ma famille, de ce que j'avais enduré, de la véritable personne que j'étais et que je dissimulais sous des sourires, des provocations et de l'insolence. Il me connaissait autant que je le connaissais. Et si nous n'étions pas un couple nous savions pourtant nous rassurer et nous consoler l'un et l'autre. Mon avis ? Mes lèvres s'étirèrent en un sourire contre la peau chaude de mon bel amant. - J'ai pris des citrons aussi ... je suis sûre que tu as oublié d'en racheter depuis la dernière fois ... le taquinais-je en déposant un nouveau baiser sur son épaule.

Un soupir de bien être s'échappa des lèvres du jeune homme et je m'amusais alors à lui piquer aisément la bouteille de tequila. C'était trop simple. - la séduction c'est de la triche ! Je suis sûr que si je te faisais la même chose tu te serais déjà mis à poil ! J'ouvris la bouche en un "O" très significatif. - Quelle arrogance ! Moi je suis persuadée que non ! Mais je suis par contre persuadée que tu succombera avant moi ! le provoquais-je amusée. Au final, je savais qu'un autre jour j'aurais plus tenu que lui mais les paroles de mon père me revenaient en mémoire, et j'avais une brusque envie de me jeter dans les bras de Gia pour qu'il me serre très fort contre lui, qu'il ne me lâche jamais et qu'il me dise que je n'aurais jamais à retourner la bas. Comme je savais que c'était impossible de faire une promesse comme celle là, je baissais le regard et tournais les talons vers l'espèce de coin mi-cuisine mi-buffert mi- ... quelque chose, dissimulant mon trouble. Au passage j'attrapais les citrons, puis la planche, un couteau et commençait à couper le citron. Je squattais assez souvent chez Gia pour savoir où il rangeait ses trucs. Sortant les verres à shooter et le sel qu'il dissimulait dans un placard - je le connaissais trop bien - je commençais à servir puis regardais enfin mon ami. Je n'avais alors plus rien dis depuis. - On attaque ? lançais-je d'une voix plus enjouée.

Par moments elle était vraiment méchante avec moi, genre elle n'était pas folle de moi . Ah oui c'est donc pour cela qu'elle me rejoignait dans mon dortoir pour que je lui fasse l'amour pratiquement tous les soirs ? (a) et c'est sûrement pour cela qu'elle se confie très souvent à moi comme je le fais bien sûr . Cette fille elle m'aimait, amicalement bien sûr et sexuellement aussi -ou plutôt surtout-. Et moi je l'assume complètement tout une semaine sans Amalysia c'est juste impossible pour moi, j'ai trop besoin d'elle, elle doit être une des deux femmes à qui je me confis le plus avec ma meilleure amie Elizabeth. Sinon je ne suis plutôt du genre réserver, je n'aime pas trop raconter ma vie sauf quand je fais réellement confiance à la personne comme par exemple Amalysia. C'est dans ces conditions-là que je me rends compte que je tiens vraiment à elle et que j'aimais je la laisserais tomber pour quoi que ce soit. Bon là c'est vrai j'avais envie de l'étrangler parce que j'aime bien savoir que je plais , mais bon la jolie blonde a l'air d'avoir envie de faire sa langue de bois alors je n'allais rien savoir pour le moment je crois, je me contente de soupirer et de faire semblant de lui en vouloir. « Tss... toutes les mêmes... on verra si tu diras ça en fin de soirée au moment fatidique ! » dis-je avec un regard coquin et un sourire en coin, je parlais bien sûr du sexe !

D'ailleurs en parlant de sexe avec Amalysia, elle était plutôt douée au lit ! (a) -je suis certainement meilleur mais bon.- Non je plaisante, elle était vraiment très douée et parfois ça pouvait être très passionnelle et très vite on ne se résiste pas et on passe directement à l'action -j'adore quand on fait ça ! muhaha- ou alors parfois c'est plus dans la séduction, savoir qui craquera en premier et puis en plus avant de passer à l'action, il y a la scène confidence -j'aime faire ça avec elle, parce que j'aime qu'elle me résiste (a)-. Quand elle me dit que j'avais sûrement oublié de racheter des citrons, je lui tire la langue en lui disant : « Hey dit donc mademoiselle ça fait déjà trois fois que tu viens chez moi on verra quand j'irais chez toi s'il y a des glaçons ! » dis-je en faisant complètement semblant de m'énerver, le problème avec elle c'est qu'elle sait quand je blague et quand je blague pas, je ne peux décidément rien lui cacher à cette belle blonde qui me donnait chaud avec son petit débardeur transparent, si je n'avais pas cette fierté en moi je lui aurais déjà retiré (aa). Bref... je la regarde s'occuper de la tequila les bras croisés sur mon torse le dos contre le mur pendant que je mate ces petites fesses bien rondes. Quoi ? je n'ai rien à faire alors au temps m'occuper ! « Vraiment ? Je vais te prouver le contraire alors ! Moi succomber le premier ? c'est ça oui, c'est ce que l'on verra ! » Pendant qu'elle continuait de préparer nos deux verres, je décide de lui prouver le contraire et je place ces cheveux sur le côté de son épaule gauche tandis que mes mains glissent doucement le long de ces bras à la fois doux et fins. Je respire son cou ainsi que son parfum qui était délicieux, les yeux fermés je dépose mes lèvres dans la partie droite de son cou alors que mes mains glissent sur ces hanches, je continue mes bisous qui se transforment doucement par des petits baisers langoureux de manière à lui faire un petit suçon tandis que mes caresses ces fesses, je fais redescendre mes lèvres sur son épaule de droite et je fais glisser sa brette de soutif et de débardeur pour embrasser son épaule avec délicatesse et la lâcher d'un coup ensuite -muhha alors ?-. Je la regarde avec un grand sourire l'air de rien. J'attrape un verre en faisant claper contre le sien en lui disant : « Évidemment ! Tchin' ! » Puis je l'avale à moitié cul sec.