appel de katalia à neal

23/11/2019

@Neal T. Hood Toujours des mots plus blessants. De ces mots soufflés avec difficulté, de ceux qui te repoussent, encore et encore. c'est dur mais je comprends neal... je te laisserai le temps. Parce qu'à l'époque, il avait respecter ton choix et que, désormais, tu allais devoir respecter le sien. C'est comme ça, tu acceptes, mais c'est pas pour autant que ça va être facile. Tu sens que le début de ta phrase le blesse, tu veux vite ouvrir la bouche pour te reprendre, te rattraper, et c'est ce que tu fais. arrête de pleurer neal, j'me sens comme la pire merde du monde... toi aussi, t'as les larmes qui coulent, mais toi, tu le mérites. C'est à toi d'avoir mal, de t'excuser. Lui non, il ne mérite pas ça. Mais ces mots, ils sont beaux, et ils sont ceux que t'as toujours voulu entendre. Surtout il y a plusieurs années, au moment où ses mots ils étaient juste... perdus dans le néant. moi non plus tu ne me perdras jamais, je serais toujours là, malgré les hauts et les bas. Comme aujourd'hui, comme depuis des semaines. A n'importe quel moment il aurait pu venir te parler, ta porte n'aurait ja-mais été fermée. Oh bien sur, il avait été bien trop blessé pour le faire, mais quand même... ton job. parce que ton passé, t'y peux rien, t'as pas choisi, t'as subit. Et très certainement qu'il n'a pas choisi et qu'il a subit aussi le premier, t'as pas tourné ta langue sept fois dans ta bouche et tu regrettes, déjà.

(Katalia Borgia)

23/11/2019

Honnêtement l’idée de repousser Katalia était loin de me plaire. Je haïssais cette réalité qui risquait de me charcuter encore et toujours. Katalia était mon Ange et elle était si importante à l’intérieur de ma vie. Elle était cette petite sœur que j’avais toujours rêvé d’avoir. Elle était cette petite sœur qui était devenue si essentielle à mon existence. Aussi lui demander du temps me coûtait énormément. Je n’avais aucune envie de m’éloigner de la belle Italienne ou de mettre en place un quelconque mur entre nous. Je ne voulais pas prendre le risque de modifier notre relation ou peut-être même de la détruire. Malheureusement, je ne pouvais pas agir autrement après tout ce qui s’était passé au cours des derniers mois… Je n’étais pas un tableau magique que l’on pouvait effacer au grès de ses envies. Non. Effacer ou au moins tenter d’oublier certaines choses me prenaient du temps. Je devais me remettre de l’abandon qu’elle avait commis sur cette plage. Je devais me remettre des mots qu’elle avait pu avoir à mon égard. Je devais me remettre de cette situation inattendue qui m’était tombée dessus. Mon Ange me soufflait que c’était dur, mais qu’elle comprenait et qu’elle me laisserai le temps. Je mordillais nerveusement ma lèvre avant de souffler un « Merci… » parce qu’il n’y avait plus grand-chose à dire. Il n’y avait plus qu’à attendre que les blessures cicatrisent pour passer à autre chose. Les larmes glissant sur mes joues, je questionnais la demoiselle sur son opinion et la réponse me heurtait si profondément. Ça me faisait mal partout. Ça me terrassait si réellement. Le sanglot montait dans ma gorge et je n’étais pas foutu de le taire puisque Kat’ ne tardait pas à me dire d’arrêter de pleurer. Elle me confiait qu’elle se sentait comme la pire merde du monde et, même si elle ne pouvait pas me voir, je secouais négativement la tête. Je finissais par marmonner « Tu l’es pas Kat’… Tu n’es pas une merde… » Non. Malgré la douleur, je ne la considérais pas comme telle. Je ne pourrai jamais la voir de cette manière et je lui confiais même qu’elle était déjà pardonnée. J’étais juste heureux de rester le grand-frère super héros aux yeux de la brunette. De douces confessions passaient entre mes lèvres comme une promesse solennelle. Une promesse que Kat’ ne tardait pas à me rendre. Je ne la perdrai jamais. Malgré les hauts et les bas, elle serait toujours là. Et ces mots faisaient écho à une conversation un plus récente. Alors, sans pouvoir me retenir, je lui demandais « Alors je… Si j’y réfléchis bien et que je… Que j’ai un enfant avec Summer, tu seras là hein ? Et tu me soutiendras ? » Je tentais d’avoir l’approbation et le soutien de mon Ange pour cette part importante de mon futur. Et, comme un gamin curieux, j’allais plus loin en cherchant à savoir ce qu’elle avait eu le plus de mal à encaisser. La belle Italienne m’annonçait que c’était mon job parce que mon passé je n’y pouvais rien, je n’avais pas choisi et j’avais juste subi. Malgré moi, un rire triste passait entre mes lèvres et je soufflais « J’ai pas choisi d’être utilisé comme un prostitué dans la Mafia Kat’… Je pensais y avoir trouvé une famille et un endroit sécuritaire… Je… J’ai jamais voulu faire ça… Et je… J’aurai aimé arrêter quand j’suis parti d’Italie, mais je… Ils m’ont bousillés tu sais et je… J’avais besoin d’argent pour bouger tout le temps et je… J’avais besoin de ça aussi parce qu’ils avaient su me rendre accro… » Ouais aussi accro qu’un junkie à une drogue. De ma main libre, je venais essuyer les larmes qui glissaient encore sur mes joues avant de jeter un bref coup d’œil en arrière pour être sûr que je n’avais pas réveillé Mio Amore.

@Katalia Borgia

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
Looking in the mirror, drop of rum on my tongue
(...)
But the blood on my hands scares me to death
Maybe I'm waking up today

appel de katalia à neal - Page 2 Sr4b9u7

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my perfect husband:

23/11/2019

@Neal T. Hood Si Neal n'a de cesse de répéter à tout va qu'il ne veut pas te faire de mal ni te blesser, il en est de même pour toi. C'est ta pire hantise, ton pire cauchemar, faire du mal à ceux que t'aimes, à ceux qui comptent. Neal lui, il compte. Putain s'il savait à quel point. Ce jour là à l'hôpital t'as décidé de tout détruire, toutes les barrières, tous les murs de méfiance envers lui. Là, il n'y a plus rien de tout cela, sinon l'amour immense que t'as pour lui. Ce qui fait peur dans ce genre d'amitié, c'est qu'il pourrait bien faire ce qu'il voudrait de toi que tu répondrais amen juste pour avoir de son attention. Mais Neal il n'est pas comme ça, il ne te fera plus jamais, plus jamais, de mal. Le mal, c'est toi qui l'a offert ce jour là en le laissant seul sur la plage. Il te répète que t'es pas une merde et tu mords dans ta lèvre pour tenter de calmer le sanglots si... tu souffles doucement comme pour te punir toi-même. Evidemment que son métier il ne l'a pas choisi non plus, et il te l'explique avec ces mots. Des mots que tu comprends un peu mieux maintenant, que tu acceptes, peut être car t'as eu le temps de digérer la nouvelle et surtout le temps qu'il te manque affreusement ? Tu décides de l'accepter, comme il l'est. De lui rendre la pareille ; lui qui t'acceptes comme tu es, encore même plus que tu ne t'acceptes toi-même. Et puis sa question tombe, l'autre point que tu voulais aborder avec lui ce soir… oui je serais là Neal, et je te soutiendrais. si ça peut vous rendre heureux tout les deux, j'accepterais. et tu tiendras ta promesse, tu lui dois bien ça.

(Katalia Borgia)

23/11/2019

Katalia n’était pas une merde. Elle ne l’avait jamais été et elle ne le serait jamais à mes yeux. Enfin, de toute façon, n’importe quelle personne osant penser qu’elle était une merde ne méritait pas d’avoir le trésor qu’elle était dans leur vie. Katalia ne pouvait guère être une merde. Et, bordel, je détestais vraiment que la belle Italienne se mette à penser ça d’elle. J’avais presque envie de m’habiller plus et de sortir de ma chambre afin d’aller la rejoindre pour la prendre dans mes bras. Je désirais tant planter mon regard dans le sien et lui faire comprendre qu’elle n’était pas ce qu’elle pensait. Son opinion était faussé. Katalia était un ange fabuleux que j’avais la chance d’avoir dans ma vie. Elle était cette petite sœur que j’aimais follement envers et malgré tout. Alors, au travers de ma voix, je tentais de lui faire saisir tout cela. J’en rajoutais même une couche en soufflant qu’elle était pardonnée comme si cela pouvait l’aider à se pardonner à elle-même. Raté. Mon poing se serrait soudainement en entendant Kat’ sangloter un si qui me contredisait. Je détestais ça. Je haïssais cette sensation qui cognait en moi tant et si bien que je reprenais d’une voix plus autoritaire « Non Kat’ ! Tu n’es pas une merde. Tu n’en seras jamais une. Tu es simplement humaine mon Ange et tu fais des erreurs… Mais ce… C’pas pour autant que tu vaux moins que quelqu’un d’autre… Tu… Tu es déjà pardonnée tu sais alors ne te blâme pas autant et je… Je te jure que je vais bien d’accord… J’ai juste besoin d’un peu de temps parce que ce… C’était plutôt inattendu de me retrouver tout seul… Mais je… T’es pardonnée et tu n’es pas une merde mon Ange… » Non, elle ne l’était pas et j’espérais sincèrement que mes mots allaient parvenir à la convaincre cette fois. J’espérais sincèrement que j’allais pouvoir changer la donne même si je n’étais qu’à l’autre bout de ce téléphone à plusieurs mètres d’elle. Soupirant, je frottais mon front avant de murmurer « J’ai tant envie de te prendre dans mes bras là tout de suite t’sais… J’veux pas que tu pleures s’il te plaît… » Non, je ne voulais pas entendre les sanglots de mon Ange parce que ça me brisait le cœur. Et, finalement, nous en venions à cette promesse d’être toujours là l’un pour l’autre malgré les hauts et les bas qui s’inviteraient dans notre vie. Ne jamais se lâcher. Ne jamais se laisser. Ces promesses me poussaient alors à interroger Kat’ à propos de Summer et moi et de l’aveu que je lui avais fait pendant ce Summer Camp. La réponse ne tombait pas tout de suite tandis que je me perdais à lui expliquer pourquoi, même si pour elle j’avais plus ou moins choisi mon job de prostitué, ce n’était pas du tout le cas. La Mafia m’avait formaté. On m’avait foutu en l’air et rendu accro. Mon Ange ne pipait mot suite à ces aveux et je venais essuyer les larmes glissant sur mes joues. Me tournant, je jetais un bref regard à Mio Amore qui dormait paisiblement avant d’entendre la voix de Kat’ s’élever dans le combiné. Elle me disait qu’elle serait là et qu’elle me soutiendrait. Elle soufflait que si ça pouvait nous rendre heureux tous les deux, elle accepterait et, malgré moi, je tiquais. Ça semblait trop beau pour être vrai. Je murmurais alors un « Kat’… » avant de laisser le silence s’installer comme si je ne savais pas exactement comment souffler le reste de mes mots. Fermant les yeux, je reprenais « Je… J’veux pas que tu me soutiennes et que tu acceptes simplement parce que tu te sens coupable ou j’sais pas… Je… Je veux que ce soit sincère… Je veux que ce soit réel et pas que ça sonne comme si tu payais une dette… » Ouais, je ne voulais pas de faux semblants. Mon Ange savait à quel point je détestais les mensonges alors, putain, je n’avais aucune envie qu’il y ait de ça entre nous. Je ne voulais pas qu’elle dise ces propos si elle ne les pensait pas sincèrement. Déposant mon front sur mes genoux, j’attendais en silence de savoir si les choses changeaient. J’attendais le cœur en suspens de connaître la vérité.

@Katalia Borgia

(Neal T. Hood-Spritz)

23/11/2019

Et pendant que @Neal T. Hood est là à te répéter que t'es pas une merde, chacun de ses mots te convînt un peu plus que tu l'es. La preuve, c'est toi qui l'appelle pour t'excuser du mal que TU lui as fait, et au final c'est lui qui se met sans dessus dessous pour te rassurer… Katalia la définition même de l'égoïsme qui l'assume uniquement que lorsque ça l'arrange. Il te pardonne, te demande de ne pas te blâmer. Tu tords une légère grimace qu'il ne verra pas de l'autre côté du combiné avant de porter le revers de ta main à ton visage pour essuyer tes larmes. d'accord neal je… merci. Tu perds les mots, visiblement incapable de trouver ceux qui seront à la hauteur. Ca apporte une chaleur vive dans ton cœur, ce moment où il te dit qu'il a envie de te prendre dans ses bras. D'accord, il veut que tu lui laisses du temps mais tu tentes quand même un timide demain ? Bon sang ce que t'as envie de le voir, ça fait des semaines que tu ne l'as plus vu. Tu ne compte pas les fois où vous vous êtes croisé au summer camp, car à ces moments là, ce n'était que distances et tu ne veux plus de ça. Les belles paroles arrivent, celles qu'il veut entendre mais surtout celles que tu veux croire. Il te connait bien et tu mords dans ta lèvre en silence, regrettant presque de ne pas être foutue d'être autre chose qu'un livre ouvert pour lui. je suis sincère. A sa respiration et à son silence tu sais qu'il doute, tu le sens et le vois comme s'il était juste en face de toi, alors tu ajoutes bien sur que si tu m'apprends que ça va arriver demain, ça va être un tel choc que j'aurais du mal à accepter. Tu prends une grande inspiration, les sanglots s'arrêtent et tu étires même un léger sourire mais maintenant je me suis faite à l'idée que ça arrivera à terme, et ce jour là, je serai heureuse et je serai même présente pour… vous trois. ce schéma de famille pas comme les autres mais qui sera leur et pour lequel tu te battras contre vents et marrées.

(Katalia Borgia)

23/11/2019

D’une voix plus autoritaire, j’essayais de prouver à la belle Italienne qu’elle n’était pas une merde. Bien évidemment, Katalia n’était pas parfaite. Elle avait des défauts. Elle commettait des faux pas. Et, elle parvenait à me blesser encore plus fort que n’importe qui sans doute à cause de mon attachement pour elle. Cependant, la brunette n’était qu’humaine et c’était ça être humain non ? C’était commettre des faux pas et blesser des gens, mais toujours tenter de se rattraper et de réparer les cœurs des personnes que l’on aimait sincèrement. Cet appel qu’elle me passait ce soir me donnait envie de croire que rien n’était brisé entre nous. Cet appel me donnait envie de croire qu’elle voulait vraiment arranger les choses entre nous. Elle osait faire ce premier pas alors, zut, je ne voulais pas qu’elle ait une si mauvaise opinion d’elle. Encore plus alors que je lui avais déjà pardonné au fond. La brune finissait par affirmer son accord à mes propos, mais ça sonnait un peu trop bancal pour être vraiment vrai. Je l’entendais me remercier et je secouais la tête. Glissant ma langue sur mes lèvres, je rajoutais alors « Kat’… Je suis sincère hein… Tu n’es pas une merde et je… Je t’interdis de penser ça de toi… » Ouais, j’en venais carrément à lui interdire en prenant cette voix de grand frère autoritaire. Mais, c’était pour son bien. Je ne voulais pas que Kat’ se torture avec tout cela. Je finissais même par parler de mon envie de la prendre dans mes bras parce que je ne voulais pas qu’elle s’enferme dans toutes ces pensées et parce que, bien sûr, je détestais l’entendre pleurer sans pouvoir agir. Mon Ange me demandait alors un demain d’une voix timide et un sourire amusé glissait sur mon visage. Comment est-ce que j’étais censé résister ? Je ne pouvais tout simplement pas. Je n’avais même aucune envie de balancer une négation au visage de la brune. Aussi, je finissais par souffler « Ouais… Demain… » Je voulais tant la voir. Je voulais tant la serrer contre moi et ne plus sentir cette putain de distance que j’avais ressenti lorsqu’on s’était croisés pendant ce Summer Camp. L’appel aurait pu se terminer sur cette jolie promesse, mais un nouveau sujet s’ajoutait. Ce sujet qui arrivait parce que nous avions fait la promesse d’être toujours là l’un pour l’autre malgré les hauts et les bas et ça me rappelait les mots qu’elle avait écrit en apprenant mon projet d’enfant avec Summer. Finalement, là, au bout de ce téléphone, mon Ange soufflait qu’elle me soutiendrait et je tiquais fermant les yeux. J’avais trop de mal à la croire tant et si bien que je lui faisais savoir que je voulais que tout soit sincère. Je n’avais pas envie qu’elle accepte la situation sous prétexte d’une dette pour se faire pardonner. Je ne voulais pas qu’elle joue la fille heureuse simplement pour effacer sa culpabilité. Déposant mon front contre mes genoux, je l’entendais me souffler qu’elle était sincère et je ne pouvais pas m’empêcher de douter prolongeant le silence. L’Italienne devait déjà ressentir ce doute qui planait puisqu’elle ne tardait pas à reprendre la parole pour me souffler d’autres mots. Elle aurait du mal à l’accepter si je lui apprenais que ça allait arriver demain parce que ce serait un tel choc. Ok, ça c’était compréhensible. Heureusement pour moi, heureusement pour elle et heureusement pour tout le monde, ce n’était pas pour demain. Kat’ finissait par me dire qu’elle s’était faite à l’idée que ça arriverait à terme et, ce jour-là, elle serait heureuse et présente pour nous trois. Nous trois… Malgré moi, je sentais mon cœur se craqueler parce que l’incertitude planait. Est-ce que Summer serait réellement présente dans cette vie à trois ? Est-ce qu’elle survivrait ? Secouant la tête pour ne pas me laisser entraîner par ces douloureuses pensées, je finissais par murmurer « Je… Merci mon Ange… Vraiment… Tu… Tu peux pas savoir à quel point c’est important pour moi que tu acceptes… Que tu sois vraiment heureuse pour nous et que… Quand cet enfant sera là, tu sois présente dans sa vie… » Ouais, je voulais tellement que la brune soit là dans la vie de l’enfant que j’aurai un jour avec Summer. Je voulais qu’elle s’implique avec plaisir et bonheur comme si elle était la vraie tante de cette enfant. Tante Katalia… Ça me faisait sourire. Me mettant à gratter nerveusement mon genou, je babillais « Rien n’est complètement décidé encore hein… Mais je… Oui, ça risque d’arriver dans quelques mois… Dans une année maximum je pense… J’en sais rien… Je… Summer et moi on n’a pas encore parlé de date… » Je soufflais ces mots comme pour la rassurer sur le fait que ça n’allait pas arriver du jour au lendemain. Je voulais la mettre au courant pour qu'elle sache que rien n'était précipité. Je désirais lui prouver que ce n'était pas une décision prise à la va-vite sans la moindre réflexions. Non. Summer et moi en parlions et nous prenions le temps... Le peu de temps que nous pouvions avoir. Ce peu de temps qui m'avait poussé à en parler autour de moi pour y réfléchir encore plus concrètement.

@Katalia Borgia

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
Looking in the mirror, drop of rum on my tongue
(...)
But the blood on my hands scares me to death
Maybe I'm waking up today

appel de katalia à neal - Page 2 Sr4b9u7

my perfect husband:

23/11/2019

@Neal T. Hood Pendant un instant, t'as bien eu peur qu'il refuse, qu'il te repousse et que ce "demain" soit trop précipité, trop hâté. Mais au contraire, il est d'accord et ça fait naitre une nouvelle chaleur dans ton cœur. T'as hâte et tu le sais, que tu vas savoir compter les heures jusqu'au moment où cette promesse deviendra votre réalité. oui je serais présente, toujours. tu réponds doucement suite à ses mots. Tu le penses vraiment, au fond de toi-même et tu veux t'y tenir. Cette histoire de date te fait pourtant frissonner, à cause de la fraicheur de la nuit mais surtout que ces mots soient si lourds de sens et d'avenir. d'accord… tu souffles simplement avec un sourire en réprimandant un bâillement. Tes paupières s'alourdissent, une fatigue nouvelle et vive s'empare de toi. Très probablement provoquée par l'apaisement que te procures toute cette conversation. Le fait d'enfin avoir pu parler, t'excuser, être honnête, plutôt que de continuer à faire semblant comme vous aviez pu le faire au début de l'été… je- je suis fatiguée neal, je vais te laisser. A cette instant, une certaine fierté s'empare de toi, celle d'avoir réussi à cliquer sur son nom dans ce foutu téléphone, d'assumer tes erreurs et de lui demander pardon. Parce que c'était à toi d'arranger les choses sur ce coup là, et que ton attachement envers lui n'en sortira que plus fort car il aurait été capable de tirer un trait sur tes maladresses. on se voit demain alors, tu m'as manqué. tu finis par conclure après qu'il t'ai souhaité une bonne nuit.

FIN DU RP

(Katalia Borgia)

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