Invité
est en ligne
Invité
I hate you without know you
Petites foulées, en cadence s’il vous plaît. Rythme régulier pour ne pas s’essouffler trop vite et balancement de bras pour le dynamisme de la course. J’devais pas faire de footing assez souvent, à en juger par ma capacité d’endurance quasi-inexistante. Ou alors était-ce une question d’hygiène de vie ? Là, je pense à la cigarette. Sauf qu’entre pouvoir courir le marathon et me relaxer avec une clope, je choisis l’tabac. Sans hésitation. Mais je reconnais que pouvoir courir sur une longue distance, c’est très utile quand on est abonné aux retards.
Ce jour-là, je courrais pour rejoindre au plus vite mon dortoir. Donc, jusque là, il ne s’agit pas d’un retard. Mais je voulais m’y rendre pour récupérer LE devoir qui déciderait, entre autre, du futur de ma scolarité et de mes études de médecines. Autant dire que c’était pas un truc à oublier. Je devais le rapporter à mon professeur dans 50 minutes. Ca vous parez large ? Pas à moi. Surtout lorsqu’on se trouve dans c’te partie déserte du campus. A l’opposé, l’extrémité la plus éloignée de ma fuckin’ chambre. Sachant que c’est à ce même lieu terriblement lointain que je devrais revenir pour déposer ladite paperasse. Donc, à mieux y regarder, si : je courrais pour ne pas rendre ce devoir en retard.
Au bout de 13 minutes, j’arrêtai ce rythme endiablé et accordai une petite pause à mes jambes, mais surtout à mes poumons, qui étaient réduit à l’état de feuille morte et sèche, du style tout recroquevillés sur eux-mêmes tant le souffle me manquait. Evidemment, pour me redonner courage, je sortis de ma poche… une petite cigarette. Roh, le vilain pas beau. Va t’faire mec, c’est mon souci si j’sais pas m’gérer… Puis du moment que je suis encore capable de danser sans trêve - là est tout le paradoxe - je ne vois pas pourquoi j’arrêterais de fumer.
Adossé à une colonne de plâtre qui servait à soutenir la bâtisse dans laquelle je me tenais, je tirais quelques barres de nicotine et regardais ma montre nerveusement, me maudissant déjà d’avoir entamé ce repos. Puis subitement, une salle que je croyais pleine de vide et absente de présence à cette heure se mit à rugir une musique très rythmée que je classai immédiatement Hip-Hop ou Pop. J’écrasai ma clope sur ma semelle et fourrai le mégot dans la poche de mon jean: si y’a un truc que je déteste chez les fumeurs, c’est qu’ils jettent leurs déchets n’importe où quand ils ne voient pas de poubelles. Ce pourquoi je fais exception à cette règle stupide.
Passons. Après avoir approché de la salle tonnante de mélodies entrainantes, je penchai ma tête dans le cadrant de la porte pour enfin découvrir qui était à l’origine de cette fête improvisée solo. Mais là… Surprise. J’avoue que je n’m’y attendais vraiment pas. Daniella. Daniella… Quoi déjà ? Cooper. Cette fille aux allures de pimbêches. De petite fille pourrie gâtée jusqu’à la moelle. Dans l’genre diva, qui range secrètement son diadème pailleté de minis diamants sous son oreiller et y dépose un baiser chaque soir. Qui chéri son statut de beauté reconnue et Dom Juan au féminin. Ok, je crachais sur sa gueule mais je ne niais aucunement le fait qu’elle méritait bien ces titres. N’empêche. Quand je la voyais dans les couloirs, j’avais juste envie de la voir se péter un talon et s’écraser lamentablement devant tout l’monde. C’est pas mon genre d’être aussi cruel, j’sais bien. Mais quelque chose chez elle me dérangeais. Au point de ne jamais avoir eut envie de lui parler.
Cependant, en la voyant bouger comme ça, dans un style semblable à de la breakdance, streetdance ou plutôt hip-hop… J’avais envie de revoir mon jugement. Elle ne m’avait pas encore remarqué, trop passionnée par ces mouvements. Je la comprenais totalement. A mesure que je contemplais ses geste, je vins me placer complètement dans l’encadrement de l’entrée, sans plus me soucier du moment où elle me verrait. Un gros talent. Cette fille avait un gros, gros talent. Et je regrettais de ne pas l’avoir vu plus tôt.
Ce jour-là, je courrais pour rejoindre au plus vite mon dortoir. Donc, jusque là, il ne s’agit pas d’un retard. Mais je voulais m’y rendre pour récupérer LE devoir qui déciderait, entre autre, du futur de ma scolarité et de mes études de médecines. Autant dire que c’était pas un truc à oublier. Je devais le rapporter à mon professeur dans 50 minutes. Ca vous parez large ? Pas à moi. Surtout lorsqu’on se trouve dans c’te partie déserte du campus. A l’opposé, l’extrémité la plus éloignée de ma fuckin’ chambre. Sachant que c’est à ce même lieu terriblement lointain que je devrais revenir pour déposer ladite paperasse. Donc, à mieux y regarder, si : je courrais pour ne pas rendre ce devoir en retard.
Au bout de 13 minutes, j’arrêtai ce rythme endiablé et accordai une petite pause à mes jambes, mais surtout à mes poumons, qui étaient réduit à l’état de feuille morte et sèche, du style tout recroquevillés sur eux-mêmes tant le souffle me manquait. Evidemment, pour me redonner courage, je sortis de ma poche… une petite cigarette. Roh, le vilain pas beau. Va t’faire mec, c’est mon souci si j’sais pas m’gérer… Puis du moment que je suis encore capable de danser sans trêve - là est tout le paradoxe - je ne vois pas pourquoi j’arrêterais de fumer.
Adossé à une colonne de plâtre qui servait à soutenir la bâtisse dans laquelle je me tenais, je tirais quelques barres de nicotine et regardais ma montre nerveusement, me maudissant déjà d’avoir entamé ce repos. Puis subitement, une salle que je croyais pleine de vide et absente de présence à cette heure se mit à rugir une musique très rythmée que je classai immédiatement Hip-Hop ou Pop. J’écrasai ma clope sur ma semelle et fourrai le mégot dans la poche de mon jean: si y’a un truc que je déteste chez les fumeurs, c’est qu’ils jettent leurs déchets n’importe où quand ils ne voient pas de poubelles. Ce pourquoi je fais exception à cette règle stupide.
Passons. Après avoir approché de la salle tonnante de mélodies entrainantes, je penchai ma tête dans le cadrant de la porte pour enfin découvrir qui était à l’origine de cette fête improvisée solo. Mais là… Surprise. J’avoue que je n’m’y attendais vraiment pas. Daniella. Daniella… Quoi déjà ? Cooper. Cette fille aux allures de pimbêches. De petite fille pourrie gâtée jusqu’à la moelle. Dans l’genre diva, qui range secrètement son diadème pailleté de minis diamants sous son oreiller et y dépose un baiser chaque soir. Qui chéri son statut de beauté reconnue et Dom Juan au féminin. Ok, je crachais sur sa gueule mais je ne niais aucunement le fait qu’elle méritait bien ces titres. N’empêche. Quand je la voyais dans les couloirs, j’avais juste envie de la voir se péter un talon et s’écraser lamentablement devant tout l’monde. C’est pas mon genre d’être aussi cruel, j’sais bien. Mais quelque chose chez elle me dérangeais. Au point de ne jamais avoir eut envie de lui parler.
Cependant, en la voyant bouger comme ça, dans un style semblable à de la breakdance, streetdance ou plutôt hip-hop… J’avais envie de revoir mon jugement. Elle ne m’avait pas encore remarqué, trop passionnée par ces mouvements. Je la comprenais totalement. A mesure que je contemplais ses geste, je vins me placer complètement dans l’encadrement de l’entrée, sans plus me soucier du moment où elle me verrait. Un gros talent. Cette fille avait un gros, gros talent. Et je regrettais de ne pas l’avoir vu plus tôt.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SCOTT & DANIELLA
“ I hate you without know you”
Durant toute cette matinée, je n'avais pas cours. Miracle j'ai envie de dire. De plus c'était vraiment tombé au bon moment, car depuis hier soir, j'étais d'une humeur de chien. Dès qu'on me parlais je répondais agressivement pour ensuite aller m'enfermer dans ma chambre afin de me calmer. La cause de cette colère ? Ma mère. Après 2 ans sans se parler, ni se voir rien, elle a décidé de reprendre contact avec moi pour s'excuser de tout le mal qu'elle m'a fait. Ce qu'elle m'a fait ? C'est tout simple et complètement banale, elle a juste détruit ma vie ainsi que mon rêve. Elle a tout simplement couché avec mon mec la veille de mon concours d'équitation, dont j'ai échoué à cause d'une chute n'étant pas suffisamment attentif. Normale quand les images de ta mère et de ton copain nus, tournent dans ta tête. Suite à cet accident, mon genou fut fortement endommager ce qui me handicape désormais dans le milieu de la danse et ainsi, fermer les porte d'une prestigieuse école de danse.J'avais donc décidé de ne surtout pas lui pardonner, oh ça non, jamais.
Je devais cependant évacuer cette colère et la seule manière de le faire était de danser, danser jusqu'à ce que mon genou me lâche et que je m'écroule, et encore, j'étais capable de me relever et de continuer, quitte à souffrir le martyr. Enfin soit, j’enfilai mon baggy suivit d'un simple débardeur et d'une casquette d'un vieux pote à moi habitant à NY. Une fois prête, je pris mon sac où se trouvait une bouteille d'eau ainsi que ma radio où je pourrais brancher mon portable et sortit de l'établissement des Cabot afin de me trouver une salle libre. Le sac à l'épaule, je marcha dans le campus jusqu'à ce que je ne tombe sur la salle parfaite.J'y pénétra à l'intérieur et descendis les escaliers pour ensuite monter sur la scène. Il s'agissait en fait de la salle pour les pièces de théâtre et autres.
Je déposa mon sac au sol ainsi que ma radio. Je m'agroupissais au sol afin de pouvoir brancher mon portable et mettre une chanson du genre hip-hop, street dance, enfin dans ce genre là. Une fois enclenché, je me met dans le tempo en bougeant un peu afin de capter le rythme et je commence à me déhancher en rythme avec le son me déchargeant ainsi de toute la colère et rage que j'ai. Je joue également avec ma casquette et fit quelques pas debout ainsi qu'au sol mélangeant plusieurs style de danse de rue.
J'étais à fond dedans, je ne faisais plus attention à rien, seulement à la mélodie et mon corps bougeait sans que je ne réfléchisses. Cependant, lorsque je fis des mouvements trop forcés, je sentis mon genou me rappeler à l'autre. Je fis donc un peu plus attention sans pour autant m'arrêter. Une fois la chanson finie, j'allais en remettre une autre quand je vis que je n'étais pas si seul que ça. Ma stupéfaction fut d'autant plus grande quand je vis qu'il s'agissait de ce petit profiteur de Scott Lewis. Je connaissais les gars dans son genre. Sa espère de réussir sa vie tout en glandant, vu son physique, il devait sûrement être doué en sport, donc sûrement un étudiant qui a pu rentrer grâce à sa bourse de basketteur ou je ne sais quoi. Bref, un profiteur qui n'a sûrement rien dans la tête. Moi méchante ? Non, je ne dis que ce que je penses.Je détestais ces gens-là qui ne foutait rien en attendant que tout vienne chez eux. Ils ne savent pas ce que c'est que de se battre pour entrer dans une excellente université.
Enfin soit, je croisa les bras sur ma poitrine après avoir éteint ma radio tout en faisant quelques mouvements avec ma jambe pour mon genou. Qu'est-ce que tu fais là Lewis ? Le clan des glandeurs c'est plus loin. Lui lançais-je tout en haussant un sourcil..< /div>
Je devais cependant évacuer cette colère et la seule manière de le faire était de danser, danser jusqu'à ce que mon genou me lâche et que je m'écroule, et encore, j'étais capable de me relever et de continuer, quitte à souffrir le martyr. Enfin soit, j’enfilai mon baggy suivit d'un simple débardeur et d'une casquette d'un vieux pote à moi habitant à NY. Une fois prête, je pris mon sac où se trouvait une bouteille d'eau ainsi que ma radio où je pourrais brancher mon portable et sortit de l'établissement des Cabot afin de me trouver une salle libre. Le sac à l'épaule, je marcha dans le campus jusqu'à ce que je ne tombe sur la salle parfaite.J'y pénétra à l'intérieur et descendis les escaliers pour ensuite monter sur la scène. Il s'agissait en fait de la salle pour les pièces de théâtre et autres.
Je déposa mon sac au sol ainsi que ma radio. Je m'agroupissais au sol afin de pouvoir brancher mon portable et mettre une chanson du genre hip-hop, street dance, enfin dans ce genre là. Une fois enclenché, je me met dans le tempo en bougeant un peu afin de capter le rythme et je commence à me déhancher en rythme avec le son me déchargeant ainsi de toute la colère et rage que j'ai. Je joue également avec ma casquette et fit quelques pas debout ainsi qu'au sol mélangeant plusieurs style de danse de rue.
J'étais à fond dedans, je ne faisais plus attention à rien, seulement à la mélodie et mon corps bougeait sans que je ne réfléchisses. Cependant, lorsque je fis des mouvements trop forcés, je sentis mon genou me rappeler à l'autre. Je fis donc un peu plus attention sans pour autant m'arrêter. Une fois la chanson finie, j'allais en remettre une autre quand je vis que je n'étais pas si seul que ça. Ma stupéfaction fut d'autant plus grande quand je vis qu'il s'agissait de ce petit profiteur de Scott Lewis. Je connaissais les gars dans son genre. Sa espère de réussir sa vie tout en glandant, vu son physique, il devait sûrement être doué en sport, donc sûrement un étudiant qui a pu rentrer grâce à sa bourse de basketteur ou je ne sais quoi. Bref, un profiteur qui n'a sûrement rien dans la tête. Moi méchante ? Non, je ne dis que ce que je penses.Je détestais ces gens-là qui ne foutait rien en attendant que tout vienne chez eux. Ils ne savent pas ce que c'est que de se battre pour entrer dans une excellente université.
Enfin soit, je croisa les bras sur ma poitrine après avoir éteint ma radio tout en faisant quelques mouvements avec ma jambe pour mon genou. Qu'est-ce que tu fais là Lewis ? Le clan des glandeurs c'est plus loin. Lui lançais-je tout en haussant un sourcil..< /div>
Codage fait par .Jenaa
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I hate you without know you
La musique s’arrête et le charme n’opère plus. La magie s’est dissoute, la pimbêche ressurgit. Je levai les yeux au ciel lorsque je captai son petit regard hautain. Un sourcil arqué, les bras croisés sur sa poitrine, Daniella me jaugeait avec une suffisance agaçante. Elle se prenait pour une princesse et moi son valet, ou comment ça s’passe ? Je me fis violence pour ne pas lui rendre un regard pareillement dédaigneux. En fait non, je ne me fis pas violence : je sais juste pas les faire. Elle s’apprêtait à lancer une première pique, aussi je me mis à l’aise en m’appuyant contre le cadrant de la porte restée ouverte. Qu’elle vienne, j’étais prêt à riposter.
- Qu'est-ce que tu fais là Lewis ? Le clan des glandeurs c'est plus loin, lança Daniella toujours sûre d’elle.
Ah, le clan des glandeurs. Je crois que ma tête non plus ne lui revenait pas puisque pour le peu de fois où elle et moi nous bousculions dans les couloirs, j’avais le droit à ce sobriquet débile. Moi ? Un glandeur ? Pourquoi elle parlait, sérieux. Elle ne m’connaissait pas.
- Je passais dans le coin, quand la musique d’une pécore égarée de son propre clan m’a interpellé. Ah, pécore ça lui allait vraiment bien au teint. Après un sourire espiègle, je fis la moue, comme si j’étais déçu de quelque chose. Tu voudrais pas recommencer à danser ? J’accompagnais ma parole d’un mouvement circulaire de l’index pour illustrer ma demande. Te gêne pas pour moi, hein. T’es juste plus agréable quand tu bouges que quand tu m’compares à un parasite.
- Spoiler:
- Désolée pour cette réponse hyper courte après 2 jours d’attente, j’ai eu des soucis Internet et ne savais pas trop quoi ajouter pour développer mon poste
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SCOTT & DANIELLA
“ I hate you without know you”
Moi qui pensais que tout le monde était occupé, que personne ne viendrais me déranger et ne me verrait danser, j'avais eu tord. Scott était accoudé contre la porte. Je ne m'attendais pas à sa venue, j'aurais pas cru qu'il serait rester là me regarder danser mais plutôt à venir me critiquer. Je dois donc avouer que ceci m'avait assez interpeller, mais bon, je ne laissais rien apparaitre sur mon visage, seulement de l'ignorance. "Je passais dans le coin, quand la musique d’une pécore égarée de son propre clan m’a interpellé" Je lui lança un regard noir suite à sa réflexion. Non mais pour qui il se prenait à me parler ainsi ? Si il croyait que j'allais me laisser faire sans rien dire, il avait bien tord, j'étais du genre à mordre quand on me cherchait. Tu te prend pour qui à me comparer à sa ? Tu ne me connais pas Lewis, alors parles pas de ce que tu ne te connais pas. Ah moins que tu aimes avoir l'air stupide. Lançais-je avec un faux sourire aux lèvres.Mais je vis son visage changer, je fronça les sourcils en me demandant pourquoi, mais bon, cela ne me regardais pas.
Je me dirigea vers mon sac et y sortit ma bouteille d'eau avant d'y boire quelques gorgée pour la ranger ensuite. Je regagna ma place sur le devant de la scène afin de faire face à Scott. "Tu voudrais pas recommencer à danser ?" Mon visage froid changea vers un air surpris de sa demande. Pourquoi il voulais que je recommence ? Trouvait-il que je dansais bien ? Me saurais-je tromper sur son compte et je l’aurais juger trop vite ? Possible. Cependant, je compris la vrai raison de sa demande. "Te gêne pas pour moi, hein. T’es juste plus agréable quand tu bouges que quand tu m’compares à un parasite." Je leva les yeux aux ciel tout en soupirant, en fait je ne m'étais pas tromper sur lui. Je ne te compares pas à un parasite, ne déforme pas mes propos tu veux ? Je te compare à un glandeur, c'est différent si tu ne le savais pas. Lui lançais-je avant de continuer. Mais si tu me montrais plutôt de quoi tu es capable ? Lui dis-je avec un petit sourire. Autant que je m'amuse aussi après tout. Bien qu'il ne m'avait rien fait, c'était comme ça entre lui et moi on se lançais pique sur pique quand se croisait. Mais une partie de moi me disait d'arrêter tout sa, que je me trompais sur lui. Mais bon, j'étais fort têtue et tant que je n'avais pas la preuve que je me trompais, je ne changerais surtout pas.
Je me dirigea vers mon sac et y sortit ma bouteille d'eau avant d'y boire quelques gorgée pour la ranger ensuite. Je regagna ma place sur le devant de la scène afin de faire face à Scott. "Tu voudrais pas recommencer à danser ?" Mon visage froid changea vers un air surpris de sa demande. Pourquoi il voulais que je recommence ? Trouvait-il que je dansais bien ? Me saurais-je tromper sur son compte et je l’aurais juger trop vite ? Possible. Cependant, je compris la vrai raison de sa demande. "Te gêne pas pour moi, hein. T’es juste plus agréable quand tu bouges que quand tu m’compares à un parasite." Je leva les yeux aux ciel tout en soupirant, en fait je ne m'étais pas tromper sur lui. Je ne te compares pas à un parasite, ne déforme pas mes propos tu veux ? Je te compare à un glandeur, c'est différent si tu ne le savais pas. Lui lançais-je avant de continuer. Mais si tu me montrais plutôt de quoi tu es capable ? Lui dis-je avec un petit sourire. Autant que je m'amuse aussi après tout. Bien qu'il ne m'avait rien fait, c'était comme ça entre lui et moi on se lançais pique sur pique quand se croisait. Mais une partie de moi me disait d'arrêter tout sa, que je me trompais sur lui. Mais bon, j'étais fort têtue et tant que je n'avais pas la preuve que je me trompais, je ne changerais surtout pas.
- Spoiler:
- Ce n'est rien, c'est parfait je t'assure *-*. Puis chez moi c'est tout aussi court --'
Codage fait par .Jenaa
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)
:: Corbeille :: Archives 2012-2019