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C. Nevada Eova-Tessier fiche; en cours - terminée C'est le 18 mai 1991 à New York, que la famille Eova-Tessier m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Chanel Nevada. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale Aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Sciences et Histoire/Géographie depuis maintenant 3 ans je travaille pas. Et pour terminer, je fais partie des Quincy House. |
Études Pourquoi les sciences? Et bien tout simplement parce depuis ma plus tendre âge, je rêve de devenir océanographe. L'eau c'est mon élément, je suis passionnée par les animaux et notamment ceux du milieu marin et c'est pour cela que je me suis tournée vers l'étude de ce milieu. Je sais que le chemin sera long pour pouvoir accéder à mon rêve et que ce type d'étude n'est pas des plus faciles mais je suis déterminée. De plus j'ai toujours été une bonne élève, mais sans être devenu l'intello de service scotchée à ses bouquins jour et nuit car j'aime le social également et j'ai besoin de sortir avec mes amis, ma famille pour profiter de la vie. Et c'est peut être d'ailleurs grâce à cet aspect très social qui règne à Harvard que j'ai choisi cette université qu'on m'a toujours décrite comme étant extraordinaire. De ce fait, ma vie sur le campus se résume à des soirées entre amis avec ou sans alcool, distribuer des tracts pour la préservation des animaux (enfin je ne suis pas non plus une activiste dangereuse, c'est juste que je veux défendre la cause des animaux chère à mon coeur). | Caractère Selon moi, mes proches disent que je suis une personne gentille en qui l'on peut avoir confiance. Je ne suis pas du genre à faire des coups bas dans le dos même si la personne le mériterait car je ne suis pas du genre rancunière mais bon de toute manière je ne pense pas avoir beaucoup d'ennemis. De nature très sociable, j'aime rencontrer de nouvelles personnes, parler avec les gens de tout et de rien peut être parce que je suis un brin bavarde. Le fait d'avoir baigné dans deux cultures différentes fait de moi quelqu'un d'ouvert d'esprit, j'accepte le fait que l'on ne pense pas comme moi, que l'on soit différent et c'est peut être pour ça que je m'entends avec beaucoup de personnes. Mais comme tout le monde j'ai des défauts, le plus voyant selon moi, est que je suis un peu trop sensible et émotive, et si j'ai envie de pleurer je pleure car il faut que ça sorte. De plus, très déterminée dans tout ce que j'entreprends, je déteste l'échec, pour moi échouer n'est même pas envisageable, sauf que ça m'arrive de temps en temps comme tout le monde et dans ce cas, je me met souvent en colère. Mais hormis ces quelques points négatifs, je ne suis pas méchante, loin de là, je suis une fille souriante et de bonne humeur la plupart du temps, prête à profiter de l'instant présent. |
Everyone Has Their Own Story
La vie est le plus beau cadeau que l’on puisse offrir et je ne remercierai jamais assez mes parents qui me permettent ainsi de vivre ma vie comme je l’entends depuis maintenant 20 ans. Et pourtant ce n’était pas gagné pour que je voie enfin le jour et le monde qui s’ouvrait ainsi à moi. Alors je vais commencer par le début. Et comme toute bonne histoire, cela commence par une rencontre, une charmante rencontre même, dans cette belle ville qu’est New York.
Liam Eova riche homme d’affaires dans l’industrie agroalimentaire avait comme objet du jour : recruter un nouvel assistant. Le dernier était parti à cause de la pression du travail qu’il considérait comme trop stressant à son goût. Une longue journée en perspective donc car mon père allait vois se succéder des milliers de candidats se bousculant à la porte pensant qu’ils sont plus motivés que leurs concurrents. Juliette Tessier était elle une jeune diplômée en commerce venait tout juste de débarquer aux Etats-Unis en provenance direct de France. Elle aussi avait postulé pour l’emploi proposé par mon père et avait réussi à obtenir un entretien. Son envie était de réussir aux Etats-Unis et elle avait fondée beaucoup d’espoir dans cet entretien d’embauche, de ce fait c’est avec beaucoup d’avance qu’elle se rendit au siège de l’industrie de Mr Eova. La trame de métro qu’elle emprunta était noir de monde à cette heure de pointe mais ce n’était pas ça le pire. Après seulement quelques minutes de trajet, le métro se stoppa, les lumières s’éteignirent et le verdict ne se fit pas entendre : panne d’électricité et cela pouvait prendre des heures. Le rêve de la jeune Juliette s’envolait en fumée au fur et à mesure que les minutes s’égrainaient toujours coincée dans la rame alors que l’heure de l’entretien se rapprochait. Et du coup elle ne put arriver à l’heure, elle franchit les portes de l’entreprise alors que les entretiens étaient finis depuis bien longtemps mais elle réussit quand même à voir Mr Eova et à avoir une discussion avec lui « Mr Eova, je suis désolé de vous importuner, je suis Mlle Tessier, j’avais rendez-vous avec vous normalement mais je n’ai pas pu arriver à tant à cause d’un incident dans le métro. Je ne cherche en rien à une excuse mais ne serait-il pas possible d’avoir un entretien avec vous un autre jour ? » L’homme d’affaires mit quelques secondes à répondre tellement il était subjuguée par la jeune femme. « Je suis désolé Mademoiselle Tessier mais j’ai déjà embauché quelqu’un suite à cette journée. Mais j’accepterai avec plaisir de vous revoir pour partager un café par exemple et appeler moi Liam, s’il vous plaît. » Bien évidemment la jeune femme accepta avec plaisir, elle ne pouvait pas refuser un rendez-vous de la part d’un bel homme. Bon la suite de l’histoire vous vous en doutez, s’en suivit un amour passionné et un mariage des plus romantique pour en arriver à moi.
C’est donc par une douce journée de printemps que j’ai décidé de pointer enfin le bout de mon petit nez au sein d’un des hôpitaux les plus importants de New York avec les meilleurs chirurgiens qui plus est car mes parents pouvaient se le permettre mais c’est surtout parce que mon père s’inquiétait pour moi avant même que je sois née. En effet la grossesse de ma mère était sous surveillance après les multiples fausses couches qu’elle a subit avant alors ma survie n’était pas gagnée au début mais bon je suis là enfin et le moins que l’on puisse dire c’est que je fus accueilli comme une petite princesse. Déjà dans mon berceau à l’hôpital, les peluches se bagarraient pour avoir une petite place. Après une surveillance de quelques jours au sein de la maternité, le moment tant attendu de découvrir mon nouveau petit nid était arrivé : une charmante petite maison dans l’un des quartiers les plus huppés de New York. Je vécus donc mon enfance dans un environnement stable et sain pour une petite fille. Malheureusement, la vie est loin d’être quelque chose de parfait. A l’aube de mes six ans, ma mère reçut un appel de sa mère en France lui annonçant que son père était gravement malade et qu’il n’avait plus que quelques mois à vivre. La mère de Juliette voulait donc que cette dernière soit présente au chevet de son père malade lui donnant ainsi la possibilité de se voir une dernière fois. Bien évidemment, elle sauta dans le premier avion comme toute personne proche de sa famille l’aurait fait, me laissant avec mon père ne voulant pas que je vois la mort de près à mon âge. Elle voulait me protéger et donc durant cinq mois je fus séparé de ma mère, j’étais triste même si par le bien du téléphone je pouvais lui parler, lui raconter mes journées à l’école. Et lorsqu’elle rentra enfin à la maison, c’était pour dire à mon père qu’elle partait, qu’elle retournait en France car durant le temps où elle y était pour sa famille, elle rencontra un homme et ne voulant pas le blesser en restant avec lui alors qu’elle avait des sentiments pour un autre homme, elle préféra le lui dire. Mon père fut bien évidemment meurtri en entendant cela mais mes parents c’étaient toujours promis que les choses seraient claires entre eux et surtout sur leurs sentiments. Alors d’un commun accord, ils décidèrent de se séparer. Ce divorce eut forcément un impact sur moi étant donné que mes parents vivraient dorénavant à des milliers de kilomètres l’un de l’autre. Et je n’étais pas triste parce que mes parents divorcés, non car cela ce fit très calmement mais j’étais triste à l’idée de quitter mon père et d’avoir ainsi la possibilité de ne le voir que très rarement. Après un au revoir au combien difficile à mon père et à mes amis, je traversai l’océan pour rejoindre ma nouvelle vie à Nice, en France. C’était bien évidemment un changement radical car ici le climat, la culture, les habitudes y étaient différentes. La langue, elle n’était pas un frein car j’étais bilingue depuis toute petite et qu’à New York j’étais scolarisée dans une école à la fois française et américaine car pour mes parents il était important que je connaisse à la fois la culture de mon père et celle de ma mère surtout vu que j’ai la double nationalité française et américaine et c’est d’ailleurs pour ça que je porte le nom de famille de chacun de mes parents. C’est donc sous le soleil Niçois que ma nouvelle vie commençait aux côtés de ma mère.
Douze années ont passés et voilà que j’étais âgé de 18 ans maintenant. J’ai bien grandi même beaucoup selon mes parents. Je suis devenue selon eux, une belle jeune femme parfaite à leurs yeux mais je suis loin de me considérer comme tel tout de même. Mais il me semblait important à mes yeux que mes parents soient fiers de moi car je leur dois tellement. Ils m’ont permis de vivre une enfance et une adolescence des plus heureuses qui soient malgré leur divorce. D’ailleurs ce dernier n’est peut être pas une si mauvaise chose après tout étant donné que grâce à cela, j’ai baigné dans deux cultures différents me rendant ainsi ouverte d’esprit. Je suis retournée régulièrement aux Etats-Unis notamment durant les vacances, cela me permettait de voir mes amis d’enfance mais surtout mon père. J’avais tout pour être heureuse en France, des amis auquel je tenais, une famille sur qui comptait et un petit ami que j’aimais. J’étais aussi très douée dans tout ce que j’entreprenais et notamment dans mes études, j’avais obtenu mon baccalauréat en France avec une mention très bien et donc tout métier pouvait s’offrir à moi mais là mon caractère déterminé ressortait encore étant donné que j’étais fixé depuis bien longtemps sur le métier que je voulais faire. Pour moi il était naturel de travailler dans le monde sous marin. D’ailleurs mon plus grand rêve est de pouvoir plonger dans toutes les mers du monde pour étudier les animaux qui s’y cachent. Je décidai donc de suivre des études en biologie marine pour devenir ce à quoi j’aspirais : océanographe. Plusieurs choix d’universités s’offraient à moi mais je jetai mon dévolu sur Harvard, l’un des plus prestigieuses tant qu’à faire et puis je savais que je pouvais me le permettre. Du coup cela signifiait de quitter à nouveau mes proches comme j’avais du le faire 12 ans auparavant. Ma mère approuva mon choix mais je savais pertinemment que la pilule serait plus dure à avaler pour mon petit ami de l’époque car pour lui demander Harvard c’était comme demander la lune étant donné qu’il n’avait les moyens de se payer des études là-bas. Alors le plus simple à faire selon moi était de le quitter comme ça il ne se sentirait pas mal de devoir le faire à ma place. Une semaine avant que je parte pour New-York, je lui rendis donc visite pour lui annoncer la mauvaise nouvelle qui n’était pas non plus facile pour moi car je l’aimais mais je ne voulais pas lui faire de mal et vu qu’on était encore jeune, il se devait de vivre sa vie sans penser à moi et à la vie que nous aurions pu avoir ensemble si j’étais restée en France. « Isaac, je pars pour les Etats-Unis. Je t’aime mais t’aimer alors qu’un océan nous sépare m’est impossible. Je suis désolée. » Ne voulant pas tourner autour du pot, je n’avais pas pondu un roman car de toute façon je ne savais pas quoi lui dire. « Neva’, qu’est ce que tu racontes, tu quoi ? » Je m’attendais à ce que cela soit difficile mais pas autant et je ne voulais pas lui dire au revoir sur une dispute. Alors je l’embrassa délicatement avant de dire la chose qui me brisa le cœur « Je pars sans toi car nous deux c’est fini. » Sur ces derniers mots, je m’en allai, les larmes aux yeux sans me retourner. Isaac ne me retint pas car à mon ais il savait très bien que le combat était perdu d’avance. Sept jours après, j’arrivai sur le sol américain, deux mois avant ma rentrée à Harvard, ce qui me permis de profiter des mon père et de retrouver mes amis à New York avant de rejoindre définitivement Cambridge et donc Harvard.
Voilà, c’est le début de ma troisième année ici à Harvard. Je m’y suis très bien intégrée depuis mon arrivée. J’apprécie l’ambiance qui y règne, les soirées sont toutes plus déjantées les unes que les autres. Oui car même si je suis une élève studieuse, j’aime m’amuser aussi et puis ces fêtes sont selon moi bien meilleurs que celle auquel j’ai assisté au lycée sur la Côte d’Azur. Mais je n’en oubliais pas moi mes études. Ni Isaac, d’ailleurs, celui-ci hante toujours mes pensées et mes petits amis américains n’ont pas réussi non plus à me le faire oublier. Je ne sais pas pourquoi je cesse de penser à lui car cela ne sers à rien étant donné que je ne le reverrai plus jamais. Je sais bien que c’est qui est choisi de faire passer mes études avant mon petit ami, je ne regrette pas ce choix car que si j’avais choisi de rester en France, je pense que je m’en voudrais également. Mais peut être qu’au bout de trois ans loin de lui, loin de la France, je réussirai à effacer son nom de ma mémoire même si deux ans d’amour, ne s’oublient pas comme ça.
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - Amantia ↬ ÂGE - 20 ans ↬ PAYS/RÉGIONS - Normandie, France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - PRD of course ↬ TES IMPRESSIONS - juste WHAOU ↬ CRÉDIT(S) - Devil ↬ AVATAR - Katerina Graham ↬ LE MOT DE LA FIN - Vive les bisounours |
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