(katani) homesick.

temple bouddhiste de Senso-Ji, mercredi 8 juillet

Ces derniers jours n'ont pas été de bons jours. Déjà, à cause de la révélation qu'avait pu te faire Ottis par sms au sujet de sa "rencontre" avec Toni. Surtout, le fait que cette histoire de bleu ai pu être encore d'actualité entre les deux hommes. Ça t'a tant perturbée, l'idée que ton mec ai pris ton mal comme le sien. Finalement, de savoir que t'es pas seule à devoir combattre ce souvenir pas facile, ça a quelque chose, dans un sens, de réconfortant. Mais le fait d'avoir appris qu'ils s'étaient parlé, ça t'a juste ramené à cette sale histoire que tu pensais définitivement derrière toi. Là, elle sera juste impossible à oublier. Car tu repenseras inlassablement à ça et à lui lorsque t'auras cette conversation en face à face avec ton mec au sujet de ce qu'il s'est réellement passé dans ce bar. Lui, ton ex. Toni maudit Caldwell. ça a foutu un bordel monstre dans ta tête, cette sensation d'avoir complètement perdu le contrôle. Tu veux faire bloc avec ton copain, ne faire qu'un, qu'il te soutienne et que tu le soutiennes. Tu lui fais confiance mais ce genre d'histoire est clairement du style à te faire complètement flipper et perdre tes moyens. Aujourd'hui, tu vas pour visiter le célèbre temple bouddhiste de Senso-Ji au cœur de Tokyo. T'y vas seule et ça ne peut que te faire du bien, de te retrouver face à toi même avant de retrouver tes proches. Tu entres, commences la visite et vas même jusqu'à volontairement te perdre au fin fond du grand jardin derrière le bâtiment. Ça fait du bien de flâner, de n'entendre rien n'y personne, juste le sifflement du vent dans les branches et le chant des oiseaux. Tu vas pour retrouver la sortie lorsque tu tombes nez à nez avec un type. Tu veux ouvrir la bouche pour t'excuser, mais t'as le souffle coupé lorsque tu reconnais ce visage. Toni. c'est. pas. vrai. T'as un frisson, t'es pas bien, pas bien du tout. La dernière fois que tu l'as vu, c'était lorsque tu avais dit adieu après ses révélations, dans son appartement il y a déjà plusieurs semaines. Et tu le recroise ici et maintenant ? sérieusement, qu'est ce que t'as bien pu faire au karma pour qu'il s'acharne sur toi de la sorte ? « m'approche pas. » même s'il ne devait probablement pas en avoir l'intention. Pas agressive, juste complètement dépassée. Peut être qu'il va fuir ? ou t'insulter ? est-ce qu'il se souvient au moins de la dernière fois, de votre discussion dans votre appartement, ou est-ce qu'il était bien trop dans les vapes, à ce moment là ?
@Toni Caldwell

temple bouddhiste de Senso-Ji, mercredi 8 juillet

Tu avais besoin de te changer les idées, d'oublier l'accident dans ce bar il y a quelques jours. Cette rencontre que tu n'avais pas envie de faire. Celle du nouveau copain de ton ex. Il a voulu te chercher les noix, avec brio qu'il a réussi. Tu lui tords le bras avant de lui mettre un poing au visage. Il se retrouve avec un bleu, malgré tout tu es fier. Cela lui apprendra à venir te provoquer sans penser aux conséquences par la suite. La seule chose que tu regrettes, c'est d'avoir osé poser tes mains sur Katalia. Elle ne méritait pas ça, même après tous les mensonges qu'elle a pu te dire. Aujourd'hui tu as décidé de te rendre dans un temple bouddhiste pour t'aérer l'esprit, de t'éloigner de la population. De te retrouver seul pour essayer de te remettre en question. Tu continues de marcher dans ton coin loin des gens qui se trouvent sur le lieu quand tu heurtes une personne. Tu t'apprêtes à t'excuser auprès de celle-ci quand tu reconnais Katalia. Elle recule aussitôt de toi pour ensuite te demander de ne pas t'approcher. Un pincement au coeur, une boule au ventre et la gorge nouée. Tu es déstabilisé par cette rencontre que tu ne pensais pas être possible. « Je ne te ferai rien Katalia. » Tu regrettes ton geste de votre dernière rencontre. Tu te rappelles de l'adieu à ton égard. De la douleur que ça t'a procuré lorsqu'elle a refermé la porte de ton appartement derrière elle. De ce goût d'inachevé entre vous, par ta faute. Par ta faiblesse et ta lâcheté. « Je m'excuse de t'avoir fait mal la dernière fois. De t'avoir fait ce bleu ... je le regretterais tous les jours de ma misérable vie Kat ... » soufflas-tu en posant ton regard sur elle. Tes yeux sont remplis d'eaux, tu es à deux doigts de craquer. Étant donné que de la voir devant toi, te rappelle tous les souvenirs qui vous ont liés pendant quelques mois. Elle peut lire dans tes yeux la sincérité de tes mots.
@katalia borgia-locke

Il ne te fera rien, qu'il rétorque. T'as une pointe à cœur au fait d'entendre sa voix, fébrile et touchée par la crainte qu'il a du entendre dans ta propre voix. Ça fait juste mal, toute cette situation, en fait. Tu ne veux pas devenir son ennemi, tu ne veux pas le détester, tu ne veux pas qu'il te déteste. mais honnêtement, est-ce vraiment possible de faire autrement ? Tu lui en veut de t'avoir fait ça, tu lui en veut d'avoir fait ça à Ottis, t'as l'impression que toutes ces rancœurs sont en train d'assombrir tout le reste, même les bons souvenirs de vous deux. C'est horrible et tu ne veux pas, mais c'est ainsi. Il s'excuse, d'une petite voix, lente et douce, aux antipodes de celle que tu lui avais connu sur vos dernières conversations. « ok Toni, j'entends tes excuses. » Même si tu ne les accepte pas, t'as presque envie d'ajouter. A la place, tu mords ta langue alors que le sang te monte aux joues. En soit, s'il n'y avait eu "que ça", que le bleu de la dernière fois, t'aurais surement su t'en remettre, passer à autre chose et oublier. Mais entre temps, il y a eu le récit de leur rencontre au bar d'avec Ottis. Et ça, ça a tout changé. La tristesse laisse place à la colère qui monte, alors que tu oses croiser son regard et remarque l'émotion dans ses yeux. Non, il n'a pas le droit. Ce n'est pas à lui d'être mal, là, pas après tout ça. « t'étais vraiment obligé de le cogner ? sérieusement, qu'est ce que t'as dans la tête bordel ? » tu croises les bras devant ta poitrine en faisant un pas en arrière, t'appliques à bien garder ces mètres de distance entre vous et le piquant d'un ton acerbe en lui offrant un regard noir comme la nuit.

temple bouddhiste de Senso-Ji, mercredi 8 juillet

Tu as besoin de lui dire ce que tu as sur le coeur. De vider tout ce que tu as dans le sac. Même si tu ne t'attendais pas à la croiser dans ce lieu assez particulier. Tu sais par avance que son mec a déjà du tout lui balancer à ton sujet. Malgré qu'il ait dû se contenter de dire que tout était de ta faute. Ce qui n'est pas le cas, pour être honnête. Sauf que la voix de Katalia est totalement différente de celle que tu as connu jusqu'à présent. Elle est froide et distante. Ça te glace le sang pour tout dire. Tu n'as jamais connu cette facette de sa personnalité. Tu n'as pas forcément envie de la connaître non plus. « Il était obligé d'insulter ma famille ? Je suis sûr qu'il a oublié de te dire que c'est lui qui a provoqué tout ça. Alors, que je l'aurais ignoré comme un bon samaritain. » Évidemment, c'est toujours de ta faute. Jamais les gens sont capables de se remettre en question. « Après si tu préfères croire ton petit chihuahua, que bien te fasse Katalia ! » Tu continues à être blessant parce qu'il ne te reste que ça. Il a réussi à te piquer tout ce que tu avais dans la vie pendant que tu avais le dos tourné. N'oublie pas que c'est en cause de lui principalement que vous êtes plus ensemble. Dans un sens, il vous a peut-être rendu un service en jouant le jaguar avec une femme déjà en couple. Vraisemblablement, il n'a aucun respect ni de valeur dans la vie.
@katalia borgia

Une surprise peu commune. Le fait de tomber sur lui ici et maintenant. T'avais pas été prête à ça. Mais de toute façon, l'aurais-tu été un jour, prête ? clairement pas. Pas après ce qu'Ottis t'a raconté de leur rencontre, pas après... tout ça. Tu t'éloignes, autant physiquement avec ton pas en arrière qu'avec tes mots et ton regard qui est froid et mauvais. Ce qu'il te rétorque te fait hausser un sourcil et pincer les lèvres. Evidemment, Ottis s'est bien gardé de t'avouer qu'il avait insulté la famille de Toni. Ça te pique, ça te gêne et pourtant tu décides de le défendre malgré vents et marrées « ouais... laisse moi deviner, c'était juste après que tu m'ai traité de la plus grande salope que cette terre n'ai jamais porté, c'est ça ? » S'il veut jouer à ça, allons-y. Oui car tu sais très bien qu'il a encore tenté de déverser son venin, cette fois dans l'esprit de ton mec, en dépeignant le pire des tableaux à ton sujet. Les mêmes mots cruels qu'il t'avait balancé à la gueule ce soir là au bal puis une semaine après, dans ton appartement... Et voilà qu'au lieu de s’écraser, de juste arrêter de chercher le conflit et juste tenter de parler calmement, il te pique, encore et toujours. « tu sais quoi Toni ? juste va te faire foutre, ok. » Tu finis par lui balancer alors que le sang pulse dans tes joues et que ta voix s'envole dans les aigus, prenant l'accent italien lorsque tu t'emporte. « c'est toi qui m'a quitté, toi qui balance des choses affreuses et fausses à mon sujet et maintenant c'est moi qui devrait prendre le rôle de la méchante de l'histoire ? pas ça avec moi. » Comment t'as pu tomber amoureuse d'un type capable de te faire autant de mal, aujourd'hui ? ouais, car il te fait encore du mal, ici et maintenant. Parce que tu sais pas te détacher du jour au lendemain, tu sais pas effacer tout ce que vous avez vécu, pas d'un claquement de doigts. Et c'est horrible car t'aimerais que ce soit le cas, mais ça ne l'est pas.

temple bouddhiste de Senso-Ji, mercredi 8 juillet

De voir qu'elle peut le défendre contre vents et marrées malgré qu'il soit en tort. Tu as les nerfs qui montent. Jamais elle t'a pris la défense. Jamais tu as été comme Ottis a défendre l'honneur de Katalia. Uniquement parce qu'elle ne te disait rien sur son passé. Puis même, tu savais parfaitement qu'elle était capable de se défendre toute seule. C'est la seule femme que tu connais qui une force exceptionnelle en elle. Elle a tellement surmonté des épreuves difficiles dans la vie et, elle se tient encore devant toi. Si tu as employé ses mots cette nuit-là face à Ottis. C'est uniquement parce qu'il a réussi à t'énerver en insultant ta famille. Une chose qu'il ne faut pas faire si on ne veut pas récolter la tempête Toni. « Non c'était juste après qu'il est osé insulté ma famille alors, qu'ils n'ont rien à voir dans toute cette histoire. J'ai dit ces mots parce que j'étais énervé Katalia ... Tu peux croire ce que tu veux, mais je ne pensais pas aux mots employés. » Après elle peut désormais penser ce qu'elle veut de toi. Cela ne changera rien à ta vie maintenant. Surtout que tu continues dans la provocation. C'est le seul moyen pour qu'elle puisse te parler alors, tu ne cesses d'être un beau connard avec elle. « Si c'est par toi, je veux bien Katalia. » Tu ne demanderais rien de mieux en réalité. Soudain, elle prend son accent italien. Un accent qui t'as toujours séduit chez elle, malgré toi. « Tu n'es pas la méchante et je ne suis pas le méchant. Le véritable enfoiré dans tout ça c'est ce fameux Ottis qui a continué à te rentrer dedans pendant que tu étais avec moi Katalia. Sauf, que ça ne semblait pas te déranger à l'époque. Pas après tout ce que j'ai fait pour toi. C'est ça que je n'accepte pas katalia ! » Et que tu n'accepteras jamais de la vie. Comment tu le pourrais alors, que tu l'as aimé comme un fou. Ouais, tu étais en train de tomber amoureux d'elle. Tu avais prévu un truc romantique à souhait pour votre retour du bal de fin d'année. Encore une fois, ce bal de fin d'année a encore ruiné toute ta vie pratiquement. Deux années consécutives où tu te fais couillé sévèrement.
@katalia borgia

Sa façon d'être devant toi, de ne pas se démonter, de t'enfoncer encore plus, de te provoquer, même, ça te fou littéralement dans une rage folle. Il cherche le conflit, le provoque et t'as littéralement l'impression d'avoir quelqu'un d'autre devant les yeux. Plus l'homme que t'as fréquenté pendant quelques mois. Il adopte l'une de tes propres techniques d'auto-défense et honnêtement, ça te fait juste beaucoup trop mal. Beaucoup trop pour l'avouer, cependant, alors tu roules des yeux au ciel et réponds d'un ton des plus secs « je m'en fiche complètement de tes regrets, t'avais juste pas à dire ça. » T’attribuer tous les maux du monde et te traiter de la pire des garces. Ouais, tu veux bien admettre que t'as d'horribles défauts, mais pas tous ceux qu'il t'attribue, ça tu n'acceptes pas... Tu ne tiques même pas à sa prochaine provocation, littéralement sur le cul qu'il ai pu oser te dire un truc pareil. Tu respires plusieurs fois, prends de grandes inspirations pour garder la colère en toi. T'es comme une cocotte minute qui risque d'exploser pourtant tu t'appliques à ne pas te laisser submerger. Et là il reprend la parole et tout devient ingérable. T'arrives pas à accepter qu'il dise ça d'Ottis, t'arrives pas à accepter qu'il dise ça de toi, qu'il pense vraiment ce qu'il dit, en soit... « tu vas surement avoir du mal à le croire au vu de ma situation actuelle mais... » t'as les nerfs qui montent mais tu te forces à parler doucement pour ne pas passer pour une folle à hurler dans le parc « à ce moment là, je l'ai envoyé bouler parce qu'il n'y avait que toi, tu comprends ? que toi ! » Tu parles au passé et même si désormais ton cœur bat pour un autre, ça fait très mal d'avouer ça. Parce qu'il avait été tout pour toi, Toni. Et du jour au lendemain, il n'avait plus voulu être rien, et t'avais du vivre avec cette nouvelle fatalité. « alors t'es commentaires et tes jugements à la con, tu me feras un plaisir de les garder pour toi ! » Encore une fois, ta voix s'emporte quelque peu et y'a même l'émotion qui te monte au peu aux yeux. Tu réprimandes tout ça, tu mords dans ta lèvre et tu regardes ailleurs, désormais ayant perdue la force d'affronter son regard dans le tien « si t'as pas assez de jugeote pour comprendre ça, fou moi juste la paix et arrête de parler de moi. »

temple bouddhiste de Senso-Ji, mercredi 8 juillet

Jusqu'à présent tu te laissais faire par tout le monde. Tu étais un peu le petit canard qui n'ose jamais ouvrir sa bouche. C'est désormais terminé. Tu oses dire les choses que tu penses à voix haute. Même si tu n'as pas forcément le tact qui suit. « Tu devrais t'estimer heureuse que je regrette ce que j'ai dit. C'est rare que je m'excuse généralement. » Tu enfonces un peu plus le clou. Tu es conscient de ce que tu dis, pourtant ça reste la stricte vérité. Qu'elle veuille y croire ou pas, ça t'importe peu maintenant. « J'ai un peu de mal je ne vais pas le cacher. » Surtout quand on sait qu'elle passe des heures heureuses dans ses bras. Ses bras qu'elle a retrouvés très peu de temps après votre séparation. Tu n'as pas été si cruel et tirer un trait sur votre relation aussi facilement qu'elle l'a fait. Tu as l'impression de ne pas avoir compté un minimum pour elle. « Ça faisait beaucoup Katalia à ce moment-là. Il avait eu la rumeur juste avant et cela ensuite. À l'inverse, tu aurais pété un câble également. Mais, bon je n'ai pas compté un minimum pour toi. Il faut simplement que je l'accepte. » Si elle vient à te dire le contraire, tu ne pourras pas la croire. Les actes sont présents et bien là. Tu ne peux pas faire comme-ci il n'avait rien eu. « De toute manière, j'ai dit ce que j'avais à dire. Je n'ai plus envie de perdre mon temps avec tout ça. » Tu avais presque envie de lui souhaiter d'être heureux. Mais, tu ne le fais pas. « Très bien, je disparais à tout jamais de ta vie. » dis-tu avant de tourner le dos à la demoiselle et de partir dans la direction opposée de la sienne. Tu n'as plus envie de te battre avec elle. Tu as simplement envie d'avancer dans ta vie. De trouver enfin ce bonheur que tu n'as pas encore goûté. Celui qui te mettra les papillons dans le ventre, celui qui te fera oublier tous les malheurs que tu as rencontrés ou continue de rencontrer.
@katalia borgia

@Toni Caldwell C'est un trait de caractère que vous avez partagé : votre fierté. Tu détestes t'excuser, tu sais pas faire, rares sont ceux qui peuvent se venter d'avoir des regrets de ta part. Toni est pareil, tu le sais, tu l'as vite deviné. Pourtant, t'arrives pas à être satisfaite qu'il t'en fasse, parce que le mal est fait, et qu'il est beaucoup trop vif pour être oublié. Rien ne peut être oublié. Par le mal, pas le bien. Pas les bons moments, ni même ceux qui ont resserré ton cœur comme jamais auparavant. Il restera toujours dans ta tête, lui et votre brève histoire pleine de potentiel réduite au silence de part tes erreurs. « t'as beaucoup compté pour moi... tu ne le crois, grand bien te fasse, mais c'est la vérité. » Lasse de te justifier encore et encore. T'es fatiguée, éreintée par cette discussion mais surtout par le fait qu'elle ne mène à rien. Pointe au cœur lorsqu'il dit qu'il disparaîtra à tout jamais. Au fond, tu sais que c'est la bonne chose à faire. Ça ne sert à rien de continuer à vos lancer la balle de la faute à coup de grands mots blessants à chaque fois que vous vous croisez. C'est bel et bien terminé et vous devez avancer chacun de votre côté. Tu fais quelques pas en arrière et juste avant de te retourner, juste avant de partir pour de bon, tu souffles doucement « j'te souhaite quand même de trouver le bonheur, tu le mérites. » c'est si dur de dire ça, parce que tu lui en veux encore beaucoup. Mais au fond, c'est ce que tu veux, vraiment. Tu ne souhaites le malheur de personne, pas même de lui, car sa lumière est si belle qu'elle doit de nouveau briller.

FIN DU RP