C'est le vingt-trois juillet à Paris, que les membres de la famille de Givenchy m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Mégane-Rose Levah. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de mode en majeur et danse en mineur depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Eliot House.
# Studieuse
# Patiente
# Romantique
# Folle
# Rusée
APRÈS LA BOMBE Fin de matinée, 12h00, Jeudi 17 Janvier, traumatisme ► J'étais assise, en train de réviser mes cours pour le lendemain... Quelques rumeurs, auparavant, avaient traversé tout Harvard, en disant qu'un attentat allait se déclencher en fin de matinée. J'entendais les douze coups du midis retentirent... Mais quelques secondes après, plus rien. J'entendis un bruit sourd... J'ai cru que j'allais mourir. Je me suis empresser d'aller regarder à la fenêtre. Une bombe, la bombe qu'ils avaient prédit... Début d'après-midi, 12h30, Jeudi 17 Janvier, arrivée sur les lieux ► J'ai pris une minute de silence, pour penser aux morts et à ma sœur, qui doit penser que la sécurité, c'est d'la vraie merde. Je couru pour voir les dégâts... Plusieurs pompiers étaient là, on devait évacuer au plus vite, histoire de précautions. J'ai très vite compris aux pleures, que les membres de leurs familles à Harvard, sont décédés, voir blessés. Je ne pensais plus à moi, à sauver ma peau, juste à sauver celles des gens. Chance pour moi, à l'arrivée des lieux... Pas beaucoup de morts, alors, je refit un moment de silence, mais les cris ont très vite, éteints ce silence.
Les Quincy pour moi, c'est une référence. Quand tu rentres dans cette maison, tu comprends que tu as une vraie capacité pour la vie d'étudiante... J'aime beaucoup, aussi, le fait qu'il y ai une alliance avec la Mather. Non pas parce que j'aime les Mathers, loin de ça, je les trouve répugnant avec leur odeur d'alcool, de drogue... Ce n'est pas tellement une référence. Mais j'aime leur alliance, car ma sœur risque d'y rentrer et j'aurais la facilité de la voir plus souvent. Bref, je pense être une bonne Quincy car j'ai le cœur sur la main. J'aime pouvoir aider les gens qui sont en besoin. J'insiste sur le "qui ont besoin" car un jour, avec mes parents, on a donné de l'argent à un "prétendu pauvre" qui est parti juste après en Ferrari.
Ah, que dire de l'Elit de Harvard. Rien. C'est un second choix. Tout simplement parce que... Faisons le tour des autres maisons : CABOT HOUSE ; Je suis peut-être qualifiée de "parfaite", mais pas à ce point. Je n'aime pas ce qu'est à la perfection, car tout simplement, ça n'existe pas. J'aime être gâtée, les froufrous... Mais pour moi les Cabot, ça représente trop la maison parfaite. Et je ne suis pas parfaite, loin de ça, car j'ai des tonnes de défauts. DUNSTER HOUSE ; Trop studieuse à mon goût. Dès que je rentre des cours, je travaille, mais pas toute la soirée, car ce n'est pas mon passe-temps. C'est juste une option, pour mon avenir qui se prépare prochainement. Je ne suis donc pas si fixée que ça aux études. MATHER HOUSE ; Trop fêtarde. Bien trop. L'alcool, c'est peu souvent, la drogue c'est jamais et les plans culs, c'est que avec l'homme que j'aime. Puis ma sœur l'intégrera sûrement, il y a quoi de drôle à voir sa sœur en string tous les matins, se baladant dans les couloirs ? WINTHROP HOUSE ; Je ne suis pas un garçon, et j'ai pas de couilles, donc dans tout les cas, ça ira pas. LOWELL HOUSE ; Il faut être trop passionnée par son futur métier, je pense. La mode représente tout pour moi, certes, mais je ne vit pas que pour ça. Car si mon père n'était pas propriétaire de la marque de parfums Givenchy, je n'aurais sûrement pas fais des études de mode. Car cette option, je l'ai surtout choisi car je détiens ça de mes parents et que je voulais leur faire plaisir. Surtout à ma mère, que je n'ai pas revu depuis un bon moment. Malheureusement pour finir, si j'intégrais la Eliot House, j'aurais le malheur d'être la confrérie ennemie de celle de ma sœur. Mais vous m'arrêterez pas si vite.
Barbara Palvin
# Maligne
# Ambitieuse
# Amusante
# Aimante
# Courageuse
.infinity
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .infinity et j'ai ton âge. Je suis française et j'ai connu le forum parce que j'y étais déjà. Le forum est toujours aussi charmant, accueillant et beau alors j'ai décidé de me réinscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Barbara Palvin comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @ nelliel. Je fais environ 7 lignes et plus par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ La petite garce est de retour 8).
CHAPITER ONE ∞ je suis ce que je suis, tu es ce que je suis. « N'a t'ont jamais dit que quand les poules auront des dents, ceci et cela se réaliseront. Méfiez-vous de ce qu'on vous dit, tout est faux, le monde est un monde de faux-culs. »
Tu es née; d'un père riche et d'une mère folle. Ta mère est paranoïaque, malheureusement, et ton père, lui, il est trop accro au boulot. En effet, ton nom de famille "de Givenchy", va attirer quelques personnes à ta naissance, tu es la fille d'un père qui est à l'origine de la marque de parfums "Givenchy". Ta mère s'en contre-fou, elle est là pour l'argent, mais tu l'aimes quand même, c'est ta mère. Mais tu n'es pas fille unique, loin de ça, car tu as une sœur. Lily-Rose Inès de Givenchy alias Inès ! On peut dire qu'on ne s'est pas vraiment aimé au début, même pas du tout. On se chamaillait beaucoup, mais vers l'âge de 10 ans, on a commencé à se calmer, et tout est rentré dans l'ordre. Mais bref, faisons un tour de la famille.
PAPA : Papa, créateur de la marque de parfums Givenchy, -qui sent extrêmement bon- et homme d'affaires. Accro au travaille, chaque nuit, chaque jours, il essaye de chercher de nouvelles fragrances. Bref, bon papa, qui aime ses enfants, les chéris... PAPAA <33!
MAMAN : Maman, vraie obsédée des peoples,... Elle passe sa vie dans les librairies, à lire, à acheter des magazines de potins. La pauvre, j'aimerais tellement lui dire qu'elle a raté sa vie, en compatissant avec elle, mais elle est parti trop tôt. Malheureusement. Elle me manque, elle était paranoïaque et aimait la richesse, mais maman, c'est maman. MAMAAN <33!
INES : Inès, c'est LA soeur qu'on aimerait tous avoir ! Elle donne tant d'amours, de compassion... Je me sens responsable de son côté fêtard, mais je sais pas pourquoi... Bref, je l'aime et nous deux c'est la vie ! INEEEEEEEES <33!
Bref, la famille des foufous.
CHAPITER TWO ∞ pourquoi nous deux? « Je t'aime trop, trop pour pouvoir tout abandonner, t'oublier. T'oublier ça serait comme mourrir, car tu es ma vie, mon tout, l'autre partie de mon coeur. »
Anniversaire des 2 ans de Levah, at home. Peut-être inconsciente, j'en sais rien. Je ne savais prononcer que quelques mots, et encore. Quand j'ai vu ma mère et mon père avancés tout en douceur, avec un gros gâteau... J'étais heureuse. Je n'avais besoin que d'eux. Mais ma soeur, en moins de deux... me pourrit ma fête. Bien, bravo, fête réussi Inès. Es-tu fière de toi ? Monstre va. (En fait, je suis pas mieux :D).
Anniversaire des 4 ans de Levah, at park. Je n'ai pas besoin de me rappeller des 4 ans de Inès, car c'est gravé dans ma tête. J'avais l'impression de vivre la même chose qu'elle. J'entendais ma soeur parler à mon père, tous les deux avec une tête inquétante. Ou était maman... ? Ma mère est partie trop tôt, j'avais 3 ans, Inès, 4. J'avais le besoin, le sentiment, de vivre le même jour que Inès, pour lui montrer, que je compatissais avec elle. Pas besoin, donc, de fêter mon anniversaire, mais fêter plus tôt, les 1 an que maman n'a pas passé avec nous.
Anniversaire des 6 ans de Levah, at bowling. Des amis, des copines... Tout ce dont j'ai besoin pour me sentir bien dans ma peau. Ce jour là, j'ai été gâtée, comme une petite princesse dans son carrosse. Sûrement l'un de mes plus beaux souvenirs, car c'est sûrement le seul jour de ma vie où je ne me suis pas disputée une seconde avec ma soeur.
Anniversaire des 8 ans de Levah, at pool. Une grosse fête? Je peux dire que oui. Papa a payé beaucoup pour me faire plaisir, car c'était un mardi, je croie... Où des gens devaient apprendre à nager ou pouvaient aller nager librement, car la piscine était ouverte, ce jour-là. Mais mon père voulait des froufrous, du luxe, et a bien réussit en payant plus de 1000 euros à la piscine. 3 heures dans l'eau sans personne. Des jeux, des toboggans, de la musique, des lumières roses, jaunes, bleus, verts, violets... Mais surtout mon père, ma soeur, et mes amis.
Anniversaire des 10 ans de Levah, at home.« My god, tu m'as fait quoi, là comme cadeau, tu t'es pas ruinée, j'espère, Inès -.- ! » Un dessin, beau, certes, mais elle est où ma Gameboy ? J'avais demandée ça ! « Papa, dit lui de se calmer, là ! Ca vient du coeur, Levah, moi je suis ta soeur, j'ai pas d'argent ! C'est papa qu'il l'a ! » Pff, c'est sa son excuse. Bonjour l'égoisme, moi, je dis. Oui, ok, bon d'accord, à son anniversaire je lui avais offert... Heu... Qu'est-ce que je lui avais offert. RIEN ! Mince. Bon, maturité, 0% venant de ma part. Je me rattrapa, et donna un petit calin à ma soeur. Elle était si belle dans sa petite robe blanche, en dentelle. Mais, je n'osais pas lui dire.
Anniversaire des 18 ans de Levah, at home. 5 000 euros claqués par mon père, pour m'offrir une belle bagnole, un bel anniversaire digne d'une majeur... Une soirée bien arrosée. Je ne me suis jamais senti comme ça, car ce soir là, j'ai du trop me lâcher. Ma soeur, elle, à la fin de la soirée... Elle a vomi, car elle était bien bourée.
Tout pour dire, que mes anniversaires ont souvent été marqués par ma famille ou mes proches, mais plus particulièrement par ma soeur. Car c'est elle qui faisait de mes anniversaires quelque chose d'inoubliable, que ce soit du bien ou du mal.
LA RELATION QU'ON ENTRETENAIT. Il y a 10 ans maintenant, on a commencé à devenir plus grande, plus protectrice l'une envers l'autre. J'ai compris très vite fait qu'en fait, je l'aimais. C'est pas parce qu'on se chamaille qu'on ne s'aime pas. C'est comme ce dicton que mon père disait toujours : "Ce n'est pas parce qu'on n'est plus ensemble qu'on ne s'aime plus". Ca n'a rien avoir, mais c'est la même formulation, donc pour moi, ça a du sens. On a passé toutes ces années à se battre pour de véritables choses qui n'avaient en aucun cas du sens. On a fait du mal à des gens à cause de nos disputes, notre père qui essayé de nous donner une enfance comme les autres (parce qu'il est quand même le créateur de la marque Givenchy, ce n'est pas rien) pour nous faire plaisir, pour éviter de nous courir après. On faisait du mal à des gens, mais on faisait du mal à nous même, sans jamais s'en rendre compte. La seule fois où on s'est soutenue, c'est quand maman est partie, mais j'ai toujours estimée que ce n'était pas assez, et ce ne l'est pas, effectivement. Le pire, c'est qu'on était tant chouchoutée par notre père, et au passage, nous, on lui donnait rien. C'est toujours comme ça que je l'ai vue.
LA RELATION QU'ON ENTRETIENT. Depuis 10 ans, notre croissance s'est senti. On a commencé à moins se disputer, la maison était devenue normal, sain... On entendait plus aucuns bruits, à quelques reprises. On commençait à se soutenir dans tout ce qu'on faisait, y compris des trucs débiles, mais qui avait de l'importance, par exemple... Heum... Les contrôles à l'école ! Car toujours en voyage, notre père n'avait jamais le temps de faire réciter à Inès, ou a moi, nos contrôles. Mais la plus part du temps, c'était parfait et il n'y avait rien à redire. Puis les années ont passés, et là, plus rien. On faisait les 400 coups ensemble, comme des meilleures amies. On se disait tout, car on avait confiance l'une en vers l'autre, je savait qu'elle n'allait rien dire à notre père, de ce que je lui disais, et elle le savait aussi, que j'allais faire le vis-versa. On avait besoin d'une mère, et elle a trouvé une épaule réconfortante. Moi. Et vis-versa, encore une fois, c'était ma mère, elle me protégeait, et me disait ce que je devais faire. On se voyait souvent le midi. On ne mangeait pas ensemble souvent, à la cantine, car j'avais mes amies, et elle aussi. On est devenue très proche en peu de temps. Je lui disais tout sur les garçons -sujet très peu abordable avec notre père- et elle faisait la même chose. On avait des rêves, pleins de rêves en têtes à réaliser ensemble. On faisait du shopping ensemble, car on avait les mêmes goûts... C'était du bonheur, beaucoup de bonheur. Elle avait 1 an de plus que moi, mais on avait la même mâturité, car j'étais très protectrice, même un peu trop. Elle aussi d'ailleurs.
LE CAP DES 18 ANS. J'ai vu ma soeur changé en très peu de temps. Quand est venu le temps de ses 18 ans, elle s'est démarquée, elle a montré sa vraie personnalité. Elle a commencé à boire, à aller tous les soirs en boite. J'avais peur pour son avenir, mais elle ne cessait de me répéter : "Regarde mes notes, mon bulletin, Lev'. J'ai toujours les mêmes notes, mais je me démarque, ok ? N'aie pas peur pour moi". Quand je partais en voyage -pour visiter des villes, ou pour passer des mois en Amérique pour mon anglais, ou encore pour mes cours...- elle me laissait toujours une petite lettre, et je craignait le pire pour elle. Elle n'était plus la même fille, la petite fille à papa. Et moi, j'avais beaucoup changée aussi, j'étais devenue très calme, féminine, mâture, prête à reprendre la société Givenchy ! Bref, la suite...
CHAPITER THREE ∞ go to harvard « Studieuse, sage comme une image, mais la meilleure que tu peux me sortir, ça serait bien elle : Sage comme une plume. "Mais ça rime pas !" »
Lourde décision à prendre, puis-je dire. Je m'en souviendrais toujours, Harvard m'avait proposé de venir à leur université, avant ma soeur. Mais je ne pouvais pas m'en séparer, et pourtant c'est ce que j'ai fait en partant. Je suis devenue tout l'opposé de ma soeur, calme, posée, féminine, celle qui aime aider... Et je ne pouvais pas tellement la laisser toute seule. Mais j'ai pris mon choix et je suis partie. Elle m'a très vite rejoint, enfin, j'ai du attendre, trois bonnes années, pour tout dire ! Mais je me suis fait des amis, des rencontres... J'ai appris beaucoup sur la mode, sur la danse, moins, car c'est des études mineurs, pour mon "petit plaisir"... Mais j'ai encore pleins de bonnes choses à vivre, je pense. C'est pour ça que je n'ai rien à raconté, car ce n'est que le début, et encore...