GRESHAM & LEANDRA

Ce sont des enfers version Leandra, je t'assure que c'est pas du joli !
Je déteste partager aussi, on se retrouve au moins là dessus !

Remonter les manches jusqu'aux coudes ? Ça se lâche dis donc !

Ça ne me dit pas ce que c'est exactement et cela m'intrigue toujours autant. Effectivement, nous nous retrouvons sur ce point. Je pense que si je devais rencontrer quelqu'un je le lui soufflerais ce premier point, puisqu'il est essentiel pour moi. Mais cela fait un tantinet fuir. :P
Tu imagines cela ? Chemise ouverte de deux boutons ET manches remontées jusqu'aux coudes ! La décontraction selon Gresham ! :P

Ce n'est rien de bon crois-moi !

En quoi ce point fait donc fuir ?

Hahahaha j'imagine très mal ! Impossible que ce soit toi ! Beaucoup trop d'ouverture

Le mystère intrigue et tout ce qui m'intrigue me donne envie d'en savoir davantage.
Certaines femmes aiment voir plusieurs hommes en même temps, c'est de plus en plus fréquent et lorsque tu es trop sérieux, à dire ce que tu ressens, ce n'est pas forcément... Enfin, ça embrouille plus qu'autre chose au final, je crois. Bref, ça fait fuir.
Je t'assure que c'est moi et je me laisse même pousser la barbe, ainsi que mes cheveux. Lorsque tu vas me retrouver avant ma rentrée à Harvard, tu ne vas me reconnaitre !

J'ai pas envie que t'en saches d'avantage, disons que je ne suis pas une personne très bien.

Je comprends oui, évoquer les sentiments peut faire fuir...

MAIS ! Rendez-moi Gresham ! À qui donc je parle

Leandra, jamais tu ne me feras penser que tu n'es pas quelqu'un de bien.
Je te le confirme, pour le coup...
Très drôle ! :P J'ai deux facettes, miss Carreirao. Celle que j'arbore à Harvard, avec les personnes qui me sont inconnus et où je me protège derrière une épaisse carapace et l'autre, celle ou je suis simplement moi, un trentenaire plus amusant et plus sympathique ce qui fait un sacré décalage, j'en conviens.

C'est pourtant la triste vérité.

J'ai hâte de découvrir cette autre partie de toi !

Tu te la joues Gresham et je comprends comme cela peut être dérangeant à présent. Cesse de dire cela, jamais je ne t'affublerais d'un terme péjoratif, Leandra. Tu es quelqu'un de bien, cesse donc de te dévaloriser, je te prie.
Tu la découvriras à mon retour ! Tu commences déjà à la découvrir au travers de nos échanges.

C'est pas quelque chose d'affreux, juste une vérité !

C'est vrai et c'est agréable !

C'est faux. Tu es quelqu'un de bien. Alors, cesse. Je te dis "chut", je pose l'un de mes doigts devant tes lèvres et tu obtempères.
Je m'ouvre avec difficulté, en rapport avec mon passé. Mais je suis ravi que tu me trouves plus agréable lorsque je suis simplement moi.