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Minie Blue-Ivy Lagerfeldt fiche; terminée. C'est le douze février mille neuf cent quatre-vingt douze à Berlin, que la famille Lagerfeldt m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Minie Blue-Ivy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidée de poursuive des études à Harvard en Politique depuis maintenant deux années. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House. |
Études Surtout, n'allez pas penser qu'elle étudie parce que les études c'est une partie de plaisir ; loin de là. Ça n'a d'ailleurs jamais été le cas, même en étant plus jeune. Les cours, un véritable cauchemar et les deux raisons pour lesquelles elle se rendait à l'école étaient d'une : à cause de ses parents, et de deux : pour revoir ses amis. Ses parents avaient toujours voué un grand intérêt à ce que leur fille réussisse ses études. Alors, même après le collège ou le lycée, elle suivait des cours particuliers, pour améliorer ses notes et renforcer ses acquis. Avec une mention très bien, elle a obtenu le diplôme de lycée, qui lui a permis d'intégrer une université prestigieuse, comme le souhaitait ardemment son père. Minie a donc été admise à l'université de Harvard, dans la filière de la Politique. La politique et elle, une histoire d'amour depuis fort longtemps déjà. Déjà gamine, elle répetait sans cesse qu'un jour elle serait présidente de l'Amérique et en grande déterminée qu'elle est, elle sait qu'elle le deviendra probablement un jour. Cependant, à la fin de ses études, tout en se présentant au Congrès des États-Unis, elle pense ouvrir également sa propre maison de haute couture et de prêt-à-porter et lancer ainsi sa propre ligne de vêtements, voire à reprendre la société Chanel, qu'actuellement, son grand-père Karl Lagerfeldt dirige. Parce que la mode, c'est une véritable passion et qu'ayant héritée des dons de stylisme et de couture de papi, elle ne veut pas les gaspiller et qu'elle serait fière d'être à la tête de Chanel. | Caractère Minie, c'est un tourbillon de caractères. Si, à première vue, elle a l'air d'être une personne agréable et douce, et bien ne vous fiez pas aux apparences car " agréable et douce " c'est tout ce qu'elle n'est pas. Une personnalité d'acier, un esprit indépendant et distingué, voilà la vérité. Indépendante oui, et ce grâce à l'éducation stricte qu'elle a reçu de ses parents ; son père en effet, étant Général dans l'armée américaine, et sa mère chirurgienne dans une clinique privée, elle se retrouvait souvent seule à la maison et de ce fait, elle a appris à se débrouiller très vite par elle-même, bien qu'on lui ait inculqué les bonnes manières. Déterminée et fonceuse, lorsqu'elle a un but en tête, la blonde met tout en œuvre afin de l'atteindre. Et les obstacles qui peuvent se dresser sur son chemin ne l'arrêteront pas ; elle écrase et passe. Et des buts en tête, Minie en a des tonnes. Ambitieuse, et de ce depuis toute petite, elle aime découvrir de nouvelles choses chaque fois et réussir. Car mauvaise perdante, elle déteste les échecs et n'hésite pas à utiliser la puissance de sa famille pour régler des situations qui jouent contre sa faveur. Certes, c'est injuste mais Lagerfeldt est prête à tout pour accomplir les choses qu'elle prévoit ; même si généralement elle y parvient sans avoir besoin d'utiliser son nom de famille, grâce à son esprit vif et intelligent : même à l'école, la belle blonde a toujours obtenu d'excellentes note. Adepte du proverbe " tout vient à point à qui sait attendre ", Blue-Ivy est d'un naturel patient. Cependant, lorsque c'est trop long, son côté audacieux et flamboyant reprend le dessus. Plutôt arrogante et assez prétentieuse, elle aime montrer qu'elle appartient à une classe sociale aisée, et elle n'est pas du genre à aller aborder des inconnus, sans en être associable pour autant. Car des amis oui, mais seulement de ceux qui proviennent de familles fortunées. Diplomate malgré tout, Blue-Ivy apprend petit à petit, surtout grâce à ses études, à s'exprimer de la bonne manière, ce qui est plus-que-nécessaire si elle souhaite intégrer le Congrès américain et à plus long terme devenir Présidente. |
Everyone Has Their Own Story
Grandissant dans un environnement plutôt stable, malgré l'absence de ses parents, la petite Lagerfeldt dût très vite s'habituer aux différentes nounous qui défilaient. En effet, sa mère avait débuté son travail de chirurgienne, après qu'elle ait obtenu son diplôme universitaire en médecine, et son père avait décidé de s'engager... dans l'armée américaine. En apprenant ceci, les disputes commencèrent. Léanna ne comprenait pas pourquoi il souhaitait travailler avec les américains, Karl, le père de Soren désapprouvait totalement ce choix, insistant sur le fait qu'il se devait, en homme de famille, être près des siens, tandis que sa mère redoutait, trouvant ce métier complètement dangereux. Malgré tout ceci, Soren ne renonça pas et étant donné qu'il ne désirait pas laisser sa femme et sa fille seules en Allemagne, il fut pris la décision qu'elles s'envoleraient également avec lui aux États-Unis, ce qui déplut fortement à Léanna dans un premier temps, mais finalement, c'est ainsi que les choses se déroulèrent. Alors, âgée de trois ans, Blue-Ivy débarqua à New York City et rapidement, elle fut envoyée aux jardins d'enfants, afin de se familiariser le plus vite possible avec la langue anglaise, ce qui fut de par son âge, d'une facilité étonnante. A l'école, ses maîtresses remarquèrent bien vite qu'elle était une gosse turbulente, qui ne pouvait rester deux minutes à sa place tranquillement, qui tirait sur les cheveux des fillettes et baissait le pantalon des garçons. Son caractère s'affirmait déjà petit à petit.
« Mon père n'était que très peu présent à la maison. Nous vivions dans un appartement luxueux dans le quartier chic de l'Upper East Side, et lorsqu'il revenait de là où il était, on trouvait un homme dur, froid. Où du moins, de plus en plus dur et froid, à chaque fois. Il était hyper strict en ce qui concernait les bonnes manières, et j'avais souvent l'impression que le fait qu'il soit Général dans l'armée se répandait sur le fait qu'il soit mon père. Autoritaire et exigeant, il ne tolérait aucun écart de comportement, et même s'il me manquait énormément tout au long de l'année, parfois j'étais contente qu'il ne soit pas là, ressentant la pression se relâcher. Ma mère quant à elle était une excellente chirurgienne ; elle était douce avec moi et compréhensive, mais assez souvent absente aussi. J'ai donc souvent ressenti une grande liberté, même si j'étais régulièrement contrôlée par des gouvernantes. En classe, j'étais une hyperactive, d'après les dires de maman : mes maîtresses se plaignaient que je n'écoutais rien, que je faisais sans cesse des crises, que je pouvais pas m'asseoir et faire un coloriage comme tout le monde. J'étais la petite terreur. "
Ses années collège furent la suite de ce qu'était déjà la primaire. Caractérisée comme une gosse " rebelle " , il était vrai que déjà à cette époque, Minie avait une forte personnalité ; elle répondait aux professeurs lorsqu'elle estimait qu'ils étaient en tort, n'avait que très peu d'intérêt aux cours, préférant de loin foutre le bordel en classe avec ses amis. Cependant, même si elle ne faisait que rarement ses devoirs et n'avait aucune attention à ce que racontaient les instituteurs, l'adolescente récoltait d'excellentes notes et il le valait mieux pour elle, afin de ne pas subir un énième discours de la part de son père, qui la menacerait de la priver de sa carte bancaire ; ce qui aurait été un drame conséquent pour, dans la mesure où déjà à cet âge, elle était une véritable accro du shopping, addiction certainement transmise par ses grands-parents, qui eux aussi prêtaient un intérêt particulier à la mode. Parallèlement, à sa scolarité, on inscrivit et fit participer Blue-Ivy à des millions d'activités diverses ; elle suivit des cours de piano et de guitare dès l'âge de dix ans, de danse classique, de surf et fit parti d'une troupe de théâtre. Le surf, c'était sa grande passion : elle adorait ça, et pouvait en pratiquer durant des heures sans se lasser. Quand l'occasion se présentait, Minie assistait également à des défilés de mode au premier rang, au côté de son grand-père Karl.
" Je pense que caractériellement, le plus qui me ressemble dans la famille c'est sans conteste mon grand-père. Karl est parfaitement comme il est perçu à l’extérieur : mystérieux, distant, déterminé à réussir ce qu'il projette. Et c'est exactement comme ça que je suis. Il me répète sans cesse que je suis sa petite fille adorée, et plus jeune, il me promenait en me faisant monter sur son dos, ce qui choquait profondément mon père, qui disait qu'il n'avait jamais eu de traitement de faveur de ce genre. Les rares fois où papi venait me chercher de l'école dans son immense limousine noire, il me répétait sans cesse combien j'étais une gamine intelligente et forte, et que je deviendrais certainement la présidente de l'Amérique un jour. Il m'emmenait aux fashion weeks les plus reconnues, m'arrangeait une place au premier rang, me cousait des vêtements sur-mesure, m'a fait découvrir le monde impitoyable de la mode... Je l'aimais. La mode, j'y ai vite pris goût ; c'était fréquent que chaque mercredi après-midi, j'aille faire les magasins et rentre avec plusieurs poches mais mon père m'a bien fait savoir qu'il ne voulait pas que j'étudie ce domaine qu'il jugeait ' superficiel ' lors de mes études supérieures. Bon. "
Le lycée. L'époque de toutes les découvertes. Les fêtes arrosées, l'alcool, les cigarettes, les mecs... Le beau temps. Lagerfeldt ne change pas d'un pouce ; elle est toujours la même garce arrogante, qui aime bien regarder les gens de haut, qui s'endort pendant les cours, qui va fumer en cachette avec les potes dans l'escalier de secours. A la maison, c'est pareil : elle rentre et est souvent seule, n'ayant évidemment plus de nounous à cet âge, et attend l'arrivée de sa mère tard le soir pour pouvoir dîner, car elle a horreur de manger en solitaire. Le diplôme de fin d'année approche et c'est avec une mention ' très bien ' que Blue-Ivy l'obtint, prête pour son inscription à l'université d'Harvard, comme elle l'espérait. Après l'accord de ses parents, Lagerfeldt déménage à Cambridge pour intégrer la prestigieuse faculté, dans la filière de la politique, où elle étudie actuellement en seconde année.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Ebru / Prettygirlrock ↬ ÂGE - 19 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - J'ai suivi le projet sur pub rpg design. ↬ TES IMPRESSIONS il est magnifiqueeee. ↬ CRÉDIT(S) - Mellow bird. ↬ AVATAR - Teresa Palmer. ↬ LE MOT DE LA FIN ça va rockeeeer. :cute: |
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