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t’en a pas marre de baiser avec une conne différente tous les soirs? (calvin)

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t’en a pas marre de baiser avec une conne différente tous les soirs?


Azaria avait décidé de passer du temps avec une bonne amie à elle, elle voulait simplement se changer les idées. Bien qu’elle n’était pas présente sur le campus le jour de l’explosion de la bombe, elle se retrouvait tout de même affectée parce que des personnes qu’elle connaissait étaient décédées, certains de ses bons amis étaient blessés, bref, d’une manière ou d’une autre, elle était touchée. Elle voulait s’échapper un peu de ce climat de terreur et d’incertitude, au moins l’espace d’un après-midi. Et puis, elle aimait bien son loft qui était pour elle synonyme d’une indépendance toute neuve mais la solitude commençait à se faire sentir. Pouvoir être tranquille chez soi, faire à peu près ce qu’on veut, c’est bien au début. Mais au bout de trois mois, on commence à avoir l’impression que le lit double est bien trop grand pour une seule personne, qu’il manque quelqu’un. Que prendre son café toute seule, ce n’est pas drôle. Que n’avoir personne à qui raconter sa journée quand on rentre, c’est pesant, surtout dans un moment comme celui-ci.

A treize heures, elle était en plein Inman Square, presque arrivée au restaurant où elle avait rendez-vous avec son amie. Elle envoya un sms à cette dernière pour la prévenir qu’elle arriverait deux secondes plus tard, et au moment où elle leva les yeux de son écran, elle aperçu Calvin à l’autre bout de la rue. Avec une jeune femme. Mais quel… mais quel…! Elle bégayait même en pensées. Calvin était la première fois d’Azaria, elle s’était complètement donnée à lui, et il l’avait gentiment dégagée le lendemain. Si cela avait une signification particulière pour cette jeune femme au cœur adolescent, pour lui, ça n’en avait aucune. Coureur de jupons professionnels, il pouvait avoir qui il voulait. Et la pimbêche blonde qu’il tenait dans ses bras semblait apparemment ravie. Evidemment, Azaria vit rouge et marcha d’un pas rapide vers lui. « Décidément tu peux pas t’en empêcher, faut vraiment que tu essayes de te taper tout ce qui a une paire de seins! » Elle soupira, exaspérée par lui - et aussi, même si elle ne l’admettait pas, par elle-même, d’avoir cette réaction.

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Parfois je peux être un vrai connard. J'aime pas forcément ça, mais la nature reprend toujours le dessus quoi que l'on dise.




Il devait être 4 heures du matin. J’avais passé ma nuit à m’agiter dans les couvertures. La tête remplit de pensées. Insomnie. Finalement, j’avais arrêté de me battre. A présent j’observais les étoiles depuis mon lit. Les bras repliés derrière la tête histoire d’être à l’aise. Pourquoi je n’arrivais pas à trouver le sommeil ? Bonne question. Sans doute à cause de ces histoires de fiançailles. Me voilà pratiquement lié à une femme que je connaissais à peine. Une femme que je n’avais pas choisit pour partager ma vie. Je pouvais me comporter en véritable salaud avec les filles parfois, mais il y avait une partie de moi qui désirait ce posé avec une femme. Quelqu’un pour qui j’aurais des sentiments. Cela n’arrivera sans doute jamais. Au final, ce n’était que partie remise. On ne récolte que ce que l’on sème. Bientôt je devrais retourner en Russie et annoncer devant toute l’aristocratie Russe mes fiançailles et après ça je devrais faire une annonce devant l’aristocratie Anglaise. Selon mon grand-père j’étais plus russe qu’anglais. J’étais dans une sacrée merde.

Finalement, j’avais réussis à m’endormir. Le marchand de sable était passé et tout était rentrée dans l’ordre du moins c’est ce que mon cerveau essayait de me faire croire. L’enfoiré. Nous étions en fin de matinée et je devais rejoindre une jeune femme à 13 heures. Leandra si je me souviens bien. Je n’avais pas particulièrement envie de la voir, mais la jeune femme pouvait se révéler être amusante et qu’elle bonne idée de passer mon temps libre en si bonne compagnie. Je prenais une douche et enfilais un pantalon A&F suivit d’un simple t-shirt.

Les mains placées sur sa taille, j’entrainais la jeune femme devant une brasserie. Je nous avais prévus un simple déjeuner. C’est à ce moment là qu’arrivais une personne que je connaissais très bien. Une vraie furie. Je me souvenais avoir passé une nuit avec elle. Je ne peux pas dire que c’était le meilleur coup de ma vie étant donné que lorsque nous l’avions fait elle était vierge. Je n’avais pas donné de suite à notre entrevue et sans doute m’en voulait-elle à cause de ça comme toute les femmes connaissant le même sort. Je glissais quelques mots à Leandra lui demandant de m’attendre à l’intérieur. « Azaria quelle agréable surprise ! Toujours de bonne humeur à ce que je vois ! »
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Azia détestait l'idée qu'un petit con prétentieux, un séducteur avide de mettre toutes les femmes dans son lit puisse lui manquer de respect. Le jour où ils avaient couchés ensemble, il savait qu'elle était vierge, il savait aussi que leur relation – si on peut appeler ça ainsi – se finirait lorsque le jour se lèverait. Et pourtant, ça ne l'avait pas arrêté. Elle était jeune, influençable. Un peu naïve, même si elle voulait croire le contraire. Elle avait toujours pensé que sa première fois, elle la ferait par amour, or elle avait rencontré Calvin dans un bar. Qu'importe, elle avait tout de même cru tous les mots doux qu'il lui murmurait à l'oreille, elle s'était permis un instant de penser qu'elle était tombée sur le prince charmant. Mais c'est des conneries tout ça. Lorsqu'elle s'était rendue compte qu'il était le professeur responsable des Eliot, elle était tombée des nues. Obligée de le croiser tout le temps? Professeur? Est-ce qu'il couchait avec toutes ses élèves? Elle s'était rapidement rendue compte que pas mal d'étudiantes était passées dans son lit. Azia était dépitée d'être l'une d'elle. Après avoir eu vent de la réputation du jeune professeur, elle n'avait pas manqué de lui dire à quel point elle le méprisait... ce qui ne lui faisait apparemment ni chaud ni froid. Depuis, elle l'évitait soigneusement. Elle ne savait donc pas très bien ce qu'elle fichait devant lui alors qu'elle était attendue, mais un besoin urgent de faire partir la jeune blonde avait saisi Azia aux tripes quand elle les avait vu enlacés! La blonde entra seule à l'intérieur, non sans jeter un regard ironique à Azia. Pétasse!

« Azaria quelle agréable surprise ! Toujours de bonne humeur à ce que je vois ! » Elle planta ses yeux bleus glace dans ceux de Calvin, qui affichait un air amusé. Elle haussa un sourcil. « Tu te souviens de mon prénom, me voilà impressionnée! D'habitude, tu as la mémoire plutôt courte. » Elle applaudit, faussement enjouée. D'ordinaire, elle restait calme face à toute situation, elle avait appris durant son enfance qu'il fallait rester à sa place et ne pas faire de vagues, être polie et respectueuse. Mais ses parents n'étaient plus là pour la surveiller et de toutes manières, Calvin ne méritait pas son respect. « Comme tu vois, oui. C'est quand je te vois, tu comprends, ça me met tout de suite de bonne humeur. » Elle lui lança un sourire froid. Elle perdait son temps avec lui, au fond elle en était consciente. Elle était persuadée qu'il ne changerait jamais. Elle lui en voulait juste de ne pas avoir été à la hauteur de ses rêves.

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C’était idiot de sa part de penser que je l’avais oublié. Généralement, lorsqu’une fille se faisait virer elle ne continuait pas à se préoccuper de la source de sa déception. Pourtant, Azaria était une exception. A chaque fois qu’elle m’apercevait, elle ne pouvait pas s’empêcher de venir me faire des reproches. A l’extérieur je n’en avais rien à faire, mais si c’était à l’intérieur du campus cela pourrait m’apporter des problèmes. Je n’avais pas envie de me faire virer ou remonter les bretelles par le doyen. «Ça c’est ce que tu pense, mais les filles dans ton genre ça ne s’oublie pas. » Je laissais ce même sourire amusé flotter sur mon visage. Lâcher des phrases à double sens me faisais rire intérieurement surtout lorsque je savais qu’elle allait se demander à quoi je faisais référence. Pire, elle pourrait être à l’ opposer de ce que je pense. Azaria c’était mit à applaudir et si y’avait bien quelque chose que je ne supportais pas c’était le tapage que pouvait provoquer certaines personnes uniquement pour ce faire voir ou pour habiller ses phrases.

Dans le fond, je me demandais pourquoi elle continuait à perdre son temps avec moi. Faire du sarcasme et m’envoyer quelques vannes par-ci par-là n’allaient rien changer. Je l’avais eu dans mon lit et notre histoire c’était arrêter là. Alors pourquoi continuer ? Sincèrement, j’avais du mal à la comprendre. C’était se ridiculiser encore plus. M’interrompre alors que j’allais déjeuner avec une ravissante jeune femme était plutôt culotté. J’aurais put mal l’interpréter et croire que c’était de la jalousie. Enfin, maintenant je me demandais si elle était jalouse ou juste emmerdante. « Chéri je ne dirais pas que tu es de bonne humeur. Tu sais à me suivre partout je pourrais te prendre pour une fille jalouse et passionnelle. » J’avais lâché la bombe, maintenant je la laissais ce démerder avec ça. Surement qu’elle allait trouver quelque chose comme la plupart du temps, mais j’aurais réussis à la déstabiliser rien qu’une seconde et c’était jouissif de voir son visage en pleine réflexion alors qu’elle n’avait rien à dire. « A moins que ça soit une passion pour toi de suivre les mecs qui te sont passé dessus. » Bon ok ! J’avoue ce n’était pas sympa voir mauvais joueur, mais cette histoire commençait sérieusement à m’agacer. Qu’est-ce qu’elle voulait ?
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Calvin devait la prendre pour une idiote. La jeune femme aussi, d'ailleurs. Elle se sentait de plus en plus gênée et n'avait qu'une envie, couper court à la discussion et s'en aller – et pourquoi pas se cacher environ dix ans sous sa couette. Plantée au milieu de la rue devant Calvin, à lui lancer des regards tous plus méprisants les un que les autres, elle avait l'air de quoi, franchement? Quel sens y avait-il à tout ça? C'était plus fort qu'elle pourtant, dès qu'elle le voyait, elle était obligée d'aller lui parler, le l'embêter, de le déranger dans ses plans. C'était presque indispensable. Après tout c'était légitime, n'est-ce pas? Elle avait perdue sa virginité dans les bras du beau russe et il s'était débarrassée d'elle sans donner de nouvelles par la suite. Elle aurait dû passer à autre chose et oublier, mais elle n'y arrivait pas... surtout qu'elle n'avait pas couchée avec d'autres hommes depuis lui. Il était le premier et le seul actuel. Au fond, elle avait trop peur qu'on la considère comme un objet sexuel qu'on prend et qu'on jette pour se donner. Et ça, c'était de la faute de Calvin qui avait exterminé ses rêves de petite fille sans la moindre pitié. Elle avait donc fait l'expérience d'être le « coup d'un soir » celle qu'on ramène chez soi et qui disparaît comme par magie le lendemain matin après avoir satisfait le désir. Et ça ne lui plaisait pas du tout... « Ça c’est ce que tu pense, mais les filles dans ton genre ça ne s’oublie pas. » Elle se sentit rougir et fût donc doublement gênée. Qu'est-ce qu'il entendait par là? Les filles dans son genre? Elle ne savait même pas s'il parlait de la nuit qu'ils avaient passés ensemble ou de leurs rencontres après. Insinuait-il qu'elle était un bon coup – ou le contraire d'ailleurs – ou simplement qu'elle était une emmerdeuse de première? « Ca veut dire quoi exactement? »

Elle le dévisagea, complètement abasourdie, lorsqu'il la décrivit comme une fille jalouse et passionnelle. Wow... est-ce qu'elle avait vraiment l'air de ça? Le harcelait-elle vraiment sans cesse? C'était vrai qu'elle allait le voir quand elle le croisait quelque part et qu'elle n'était jamais très agréable, mais elle n'avait tout de même pas l'air accro! Elle leva les yeux au ciel pour toute réponse, décidée à ne pas réagir – et de toutes manières, qu'aurait-elle pu dire? La phrase qu'il prononça après, par contre, la mit hors d'elle. « A moins que ça soit une passion pour toi de suivre les mecs qui te sont passé dessus. » S'ils n'avait pas été dans la rue, exposés aux regards curieux des passants, elle l'aurait claqué. Sans retenue. Elle n'en revenait pas. « Ecoute, souffla-t-elle, je ne suis pas une des salopes que tu baises habituellement, d'accord? C'est vrai que je suis passée dans ton lit, c'est pas pour ça que j'ai fait le tour du campus non plus. Nous sommes très différents en ce qui concerne le sexe, toi et moi. D'ailleurs de nous deux, la salope, c'est toi », lâcha-t-elle, d'un ton toujours aussi bas. Les larmes lui montèrent aux yeux, elle n'était pas triste, mais quand la colère montait en elle d'un coup, elle avait tendance à pleurer... ce qui lui faisait perdre toute crédibilité. Elle contrôla sa voix pour finir son petit discours. « Et puis je ne te suis pas... ce n'est pas de ma faute si tu te retrouves toujours en travers de mon chemin! Et puis merde à la fin », conclut-elle. Très classe, très mature... ridicule. Elle s'énervait toute seule. Elle était juste blessée.

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Parfois je peux être un vrai connard. J'aime pas forcément ça, mais la nature reprend toujours le dessus quoi que l'on dise.



La faire rougir après tout ce qu’elle avait subit à cause de moi m’arrachais un sourire. Je l’avais traitée comme une moins que rien et lui avait fait comprendre qu’elle n’était qu’un coup d’un soir. Bien sûr, si c’était à refaire je la préviendrais bien avant de la mettre dans mon lit, mais c’était trop tard. De plus, il était inutile d’avoir des regrets. Ce qui était fait est fait, on ne pouvait pas revenir en arrière. M’excuser ? A quoi bon, cela n’arrangerait rien et qu’en avais-je à faire. Qu’est-ce que cela voulait dire ? « Tiens, maintenant tu veux savoir ce que je pense de toi ? Ça c’est trop facile ma chère. » Je continuais à la regarder avec mon sourire arrogant. Dieu sait que je pouvais voir ce qu’elle avait envie de me faire dans ses yeux. Je pouvais mettre ma main à couper qu’elle me donnerait une gifle. C’était flagrant de constater le nombre de personne qui m’avait dans le collimateur. Je poussais les gens à bout et c’était là l’un de mes vices favoris. Voir ces personnes arriver à leur limite avec moi. Tout le monde avait une passion, non ?

Elle venait de me traiter de salope ?! C’est qu’elle avait de l’humour cette petite. « Ooh eh bien eh bien, tout de suite les grands mots. Tu vois, je ne me définirais pas comme étant une salope, mais plus une personne qui profite de la vie.» Je pouvais comprendre qu’elle soit en colère, après tout j’avais été sa première fois et je m’étais comporter comme un connard, mais il fallait qu’elle ce fasse une raison. Elle était trop rancunière. « Détends toi, je n’ai pas envie de t’humilier devant tout le monde. Quoi que tu le fais toute seule. » Certains passant c’était retournés en entendant notre altercation. Je baissais le ton par respect envers elle et pour éviter de l’humilier d’avantage. « Ok, j’étais ta première fois et après ? C’était juste une partie de jambe en l’air pourquoi en faire tout un plat ? » Des larmes de colères menaçaient de couler sur son visage. Jusqu’à maintenant je n’avais pas prit conscience des dégâts que j’avais causés. Peut être l’avait détruit ? Non, non, si je commençais à me préoccuper des conséquences de certains de mes actes, je n’en avais pas finit. Elle terminait son discours comme une petite fille et cela me faisais rire. « Tient dont ! Tu m’en diras tant. Tu sais ce n’est pas de ta faute si tu es une petite fouineuse. » Je plaisantais bien sûr, histoire de détendre l’atmosphère, mais ce n’était pas gagné.
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« Tiens, maintenant tu veux savoir ce que je pense de toi ? Ça c’est trop facile ma chère. » Inspire, expire. Azaria n'avait pas envie de s'énerver inutilement – même s'il était un peu trop tard. Calvin affichait toujours son sourire moqueur. La situation avait l'air de beaucoup lui plaire, quoiqu'il en dise. Il s'amusait à l'humilier, et elle en redemandait. Elle aurait tout donné pour voir de sourire débile s'effacer du visage du russe ne serait-ce qu'un instant pour laisser à place à de la honte. Parce qu'elle, elle avait tout simplement honte d'avoir couché avec lui, pire encore, d'avoir perdue sa virginité avec lui. Elle avait été rangée dans la catégorie « coups d'un soir », point barre. Azia toisa Calvin avant de lever les yeux au ciel. « De toutes façons, j'en ai pas grand chose à faire de ce que tu penses de moi... » lança-t-elle d'un air hautain. Ce n'était pas tout à fait vrai, mais elle tentait de s'en persuader. Et après tout, en quoi l'avis d'un homme comme lui était intéressant?

« Ooh eh bien eh bien, tout de suite les grands mots. Tu vois, je ne me définirais pas comme étant une salope, mais plus une personne qui profite de la vie. » Elle se mis à rire doucement. Chacun sa manière de profiter de la vie, après tout. Elle haussa les épaules, une manière de dire « tant mieux pour toi ». Si pour lui coucher avec chaque femme qu'il croisait était profiter, pourquoi pas? « Détends toi, je n’ai pas envie de t’humilier devant tout le monde. Quoi que tu le fais toute seule. » Prends ça. Azia ferma les yeux un instant. Elle avait l'impression d'être une gamine qui vient de faire une bêtise et qui se fait disputer par un adulte. « Ok, j’étais ta première fois et après ? C’était juste une partie de jambe en l’air pourquoi en faire tout un plat ? » Justement, elle ne savait pas pourquoi tout ça la touchait autant. Peut-être parce qu'elle avait entendu encore et encore que la première fois était importante et qu'on devait le faire avec quelqu'un qu'on aimait et qui nous aimait en retour. Peut-être parce qu'elle n'était pas le genre de fille qui passait dans le lit de tout le monde et qu'elle regrettait d'avoir trop bu ce jour là. « Je crois que t'es pas capable de comprendre ça. » répondit-elle sèchement. De toutes manières elle n'avait aucune envie de lui expliquer. Elle essuya ses larmes du revers de la main tandis que Calvin riait. « Tient dont ! Tu m’en diras tant. Tu sais ce n’est pas de ta faute si tu es une petite fouineuse. » Une dizaine de phrase acide lui vinrent immédiatement en tête, mais Azia n'avait aucune envie de répliquer sur ce coup-là. Elle se contenta de poser une question. « Une petite fouineuse? » demanda-t-elle en fronçant les sourcils. Elle ne comprenait pas pourquoi il l'appelait comme ça.


© code de boo. gif de tumblr.


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Elle disait qu’elle n’en avait rien à faire de ce que je pensais, mais c’était faux. Enfin, c’était ce qu’elle me laissait voir. Pourquoi après tout ce temps continuait-elle de me haïr comme ça ? Une fille me fait un sale coup ? Peut être que je l’aurais mal pris au début et après je serais passé à autre chose. C’est du moins comme ça que je vois les choses. Avec son air hautain et son visage déconfit, cela ne collait pas. « Ne te donne pas tant de mal pour me faire croire que tu n’en as rien à faire. Si c’était le cas, tu ne serais pas en face de moi en ce moment et tu aurais passé ton chemin depuis longtemps. » J’étais redevenue un peu plus sérieux, car je ne la comprenais pas et ce que je venais de lui dire, c’était ce que je pensais vraiment.

Après la seconde pique, elle me disait que je ne pouvais pas comprendre. Eh bien non, je ne le pouvais pas ! Une première fois était une première fois rien de plus. C’était là où on découvrait comment fonctionnait notre corps et pour tout vous dire, ce n’était pas exceptionnel. « Il faut croire que non. Tout ce que je sais, c’est que tu en fais tout un plat, alors que ce n’est rien. » Peut être était-elle trop naÏve et j’en avais profité et alors ? « Ton problème Azia c’est que tu es trop naïve. Tu es tombé toute seule, ce n’est pas moi qui t’ai forcé la main. C’est toi qui as voulut le faire. » Hop, un petit sourire histoire de reprendre les bonnes vieilles habitudes. La voir essuyer ses larmes m’aurait sans doute donné envie de rire, mais étrangement cela ne me faisait plus rire du tout. Je m’étais comporté comme un salaud et ça m’arrivait souvent. Je ne pouvais pas le contrôler, c’était comme ça. A croire que je prenais du plaisir. « Arrête de pleuré comme une enfant et ressaisis toi. J’ai juste été un coup d’un soir, un mec que tu as connu, alors pourquoi tu m’accorde autant d’importance en te mettant à moitié en larme devant moi ? » Puis, elle me demandait pourquoi je disais que c’était une fouine. Je n’avais pas envie de lui répondre, j’avais dis cela parce qu’elle me donnait l’impression d’être à l’affut de tout lorsque cela me concernait. « Laisse tomber. »
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