«Quand j’ai été kidnappé, mes parents ont tout de suite agi : ils ont loué ma chambre ★ » J’étais loin d’être comme toutes les petites filles. Je n’étais pas si débile qu’elle, et non les poupées n’ont jamais réussi à m’avoir *--* Oui, oui, même le brushing parfait de Ken. Enfant, je ressemblais à un véritable petit garçon, adorant jouer au voiture et action Man. Je voulais même me faire couper les cheveux très court, mais mes parents on refusé. J’voulais qu’on m’appelle John, parce que j’ai toujours su que si j’aurais dû être un garçon, John serait mon prénom. Sauf que mes parents ne trouvaient pas cette blague très marrante. De toute façon ils n’ont jamais été très drôles, je me demande franchement de qui je tiens mon sens de l’humour. J’ai peut-être été adopté ? * lueur d’espoir* À l’âge d’un an j’avais déjà trouvé le moyen de me différencier, et je dois vous dire que c’était la classe ! Je m’amusais à pleurer dès que je m’apercevais que mes parents souhaitaient dormir. J’étais déjà à cette âge une chieuse professionnelle, ce genre de chose vous ne l’apprenez pas, c’est dans le sang (a) Voyons tout cela plus en détail si vous le voulez bien.
Vers ma première année, quelques temps après avoir soufflé ma première bougie sur mon gâteau, je fis mes premiers pas. Cela se passa alors que mes parents avaient invité un couple d'ami à manger. Le couple d'amis me retenaient près d'eux, alors que franchement ils me faisaient peur que si j’avais su courir j’serais déjà partit. Du coup, je n’avais d’autre choix que de m'amuser avec leur fille quand d'un coup, elle me prit brusquement un de mes jouets et alla s'installer ailleurs en rampant, avec ce dernier. Elle adorait m'embêter, personnellement je ne l'aimais pas trop surtout depuis qu'elle avait renversé mon assiette de purée sur le sol, et qu'elle m'avait pointé du doigt insinuant que c'était ma faute. Bref, on faisait semblant de s'apprécier, jouant toujours ensemble. Elle voulait qu'on joue à la Barbie! J'voulais pas! Si vous ne l'avez toujours pas comprit je détestais cette petite poupée blonde complètement disproportionné. Je trouvais cela stupide de jouer avec une poupée où la seule chose que tu fais est de l'habiller et de la déshabillé. Puis bien sûr il y avait Ken, le tombeur de ses demoiselles, mais lui aussi je ne pouvais pas me le voir avec son brushing parfait. Je me mis alors en colère et partit brusquement, sans me rendre compte de mes actes, récupérer ce qui m'appartenait. Le couple d'amis puis mes parents qui avaient accourus, poussèrent alors un cri de joie. Bien sûr rien que pour les embêter je m'étais laissé tombé sur les fesses refusant de remarcher pendant deux semaines. Cela vous apprendra à m’acclamer (a) Puis j’avais fusiller la bébé mioche du regard lui disant « T’as vu chai marcher pas toi /PAN / » Oui , les bébés sont puérils entre eux .
Comme autre évènement notable il y eut aussi le jour où j'appris à parler, ce n'étais pas évident, il faut dire que mon premier mot fut "bahhhhh", ce qui signifiait que je voulais mon doudou M Lapin –pas très original comme prénom-. Ma mère c'était précipité vers moi, genre j'avais dit quelque chose d'intelligent. Mon second mot ne fut pas mieux, me contentant d'un « ahhhhh » lorsqu'une araignée grimpa sur moi *---* Je pleurais, mon père n'avait rien trouvé de mieux qu'allé prévenir toute la famille. Ce que je n'avais pas tellement apprécié. La seule chose qui faut retenir c'est qu'il ne m'avait pas enlevé l'araignée! Le fou! Je l'avais boudé pendant une semaine lui marquant toute mon indignation! Nan mais il voulait que je prenne une crise cardiaque ? Pourtant il sait à quel point j’suis sensible ! :O
Enfant, j'étais une fille très sympathique, pas du tout compliqué. Du moins, c’est ce que je crois. M'amusant avec rien, faisant des cabanes dans les arbres, sous la table, sous mon lit...Tout cela seulement pour jouer à l'exploratrice avec Owen mon meilleur ami. Je faisais souvent des bêtises, mais je ne me rendais même pas compte ce qui faisait tout mon charme.Puis c’est bien connu, les enfants sont naïfs. Owen et moi nous nous étions connu au CP il avait été le seul à me croire lorsque j'avais sortit devant toute la classe que « Bob l'éponge était mon petit ami » Après réflexion je pense qu'il voulait seulement être sympa avec moi, ou était désespéré à la recherche d’amis xD. Bref, nous sommes devenus de grands amis et puis il faut dire que pour nous c'était simple de nous voir tous les jours. Pourquoi ? C'était mon voisin. C'est fou comme la vie peut-être simple. Cela nous permettait de jouer quand on voulait n'importe où. Au moins, ni l'un, ni l'autre était dans les pattes de ses parents. On adorait jouer au super héros, c'était notre jeu favori. Nous pouvions passer toute la journée à vaincre les méchants avec nos supers pouvoirs de la mort qui tue. Je m'en souviens très bien, j'avais le pouvoir de voler et lui de se rendre invisible -seulement quand tout le monde fermait les yeux-. Maintenant je comprenais mieux pourquoi il était invisible (a) On avait aidé beaucoup de personnes. Par exemple un jour on a sauvé une vieille dame d'une orde de canards enragés. Nous avions aussi poussé un homme dans une fontaine parce qu'il vendait des cartes Pokémons au marché noir. Bref, que de bonnes actions et rien que pour cela on aurait dû gagner une médaille ! Meuh non, nos parents n'appréciaient pas de nous voir rentrer si tard et encore moins tout tachés. Au lieu, donc de nous remercier comme on le méritait, ils nous disputaient ce qui franchement était injuste. Aucun super héros se fait disputer lorsqu'il rentre de mission ! Surtout pas nous Puis pour les tâches ils pouvaient toujours prendre une de ses lessives qui à des supers pouvoirs comme dans les pubs. –Il faut vraiment tout leur apprendre-
Mais en grandissant je ne me suis pas vraiment assagi....
«l'alcool? ça ne fait pas partie de mon vodkabulaire. attendez, je vais rechercher dans whiskypédia.» Si je vous dis que la bouteille de Wisky est ma meilleure amie, vous me prenez pour une grosse alcoolique? ....Alcoolique SEXY . Il faut que je vous raconte comment je me suis retrouvé en prison pour avoir je cite "voulu lancer une pokéball sur un agent de police en service, pour que Pikatchu l'électrocute" En soit ce n'était pas grand chose, mais peut-être que je n'aurais pas du lui vomir sur ces chaussures..... tenter une fuite en lui donnant un coup de poing au visage. La vie est pleine de surprise! Alors tout commença cette après-midi ou rongé dans les remords je m'étais offerte une cuite gratis dans le premier bar miteux que j'avais vu. Je dois dire que ce n'est pas vraiment dans mes habitudes d'avoir une telle attitude, si pessimiste. Il faut dire que la journée avait été longuuuuue: après avoir appris que j'étais viré , j'avais vu mon petit ami embrassé ma meilleure amie, pour après partir en pleurant chez mon meilleur ami qui avait trèès bien su me consoler si vous voyez ce que je veux dire. -oui c'est dur de suivre toutes mes pensées- Bref, tout ça pour dire qu'après mettre pris une bonne cuite, j'avais vagabonder avec plus au moins d'essence dans la ville.
FLASHBACKJe me plante devant un panneau qui est sensé t'indiquer genre les directions, le bar, à gauche allé hop c'est parti mon kiki. Quelques minutes plus tard j'étais genre pomée de chez pomée, pourquoi suis-je dotée d'un sens de l'orientation aussi pérave purée ... J'ai mal aux pieds en plus ! Tiens c'est quoi ça ... un parc ? Mouaif ... OH PUTAIN UN TOURNIQUET. Ok
Macaron, voilà le plan : petit un : faire rentrer innocemment un gentil enfant dans le tourniquet, petit deux : lui proposer gentiment de le faire tourner, petit trois : tourner ça comme une grosse malade à 455453588 kilomètres heure et pour finir arrêter qu'une fois qu'il ai vomi. J'échappais un rire machiavélique, putain je m'aime. J'allais vers les gosses
« euh, quelqu'un veut faire du tourniquet » Putain j'hallucine, ils m'envoient bouler les ingrats, comment ça je suis trop vielle pour jouer avec eux, non mais OH ! Je sursautais, un mec aussi beurré qu'un petit Lu venait de jaillir d'un buisson, les sales gosses prirent peur et s'en allèrent, tseuh, bien fait pour leurs gueules. Il allait vers la balançoire et essayait tant bien que mal de se mettre dessus, quel étrange spectacle, on aurait dit un bébé otarie en détresse qui essayait de rejoindre sa maman sur la banquise, il illuminait ma soirée. J'allais vers lui parce que bon entre bourré on ne pouvait que bien s'entendre!
"WESH j'suis Macarooooonnn! &; ça c'est MA balancoire " dis-je en le poussant sur le sol; violente la femme hein! Il me regarda trop bizarrement genre il avait vu une pomme se faire compoter *O* Il me regarde, j'le regarde, il me regarde, j'le regarde, p*tan si ça se trouve c'est un psychopathe!
"Wesh j'm'appelle Jack ça c'est MA bouteille!" s'exclama -t-il fièrement en tendant des mains son alcool! OMG mais il c'est cru dans une remake de pirate des caraibes? TROP COOL! D’ailleurs, j’ai plus de Rhum ! J’écarquillais les yeux et regardais autour de moi, j’ai plus de Rhum !!
"Plus maintenant! répondis-je avec un sourire de psychopathe en lui piquant sa bouteille, commençant à courir de partout.
FIN FLASHBACK
Vouii parce qu'après je ne me souviens de rien Par contre, après je revus ce mec', il était du genre furax parce que j'lui avais volé son "eau très spéciale" Mais je crois qu'il m'aimait bien Il m'a payé la caution on est repartit ensemble. -
oui je sais que c'est mal parce qu'on doit pas partir avec des inconnus- mais il s'appelle Jack, Jacky' pour les intimes j'crois que j'l'aime bien aussi parce qu'il plutôt pas moche dans son genre .
« YOU DON'T NEED BIGGER BOOBS. YOU NEED TO READ BETTER BOOKS » « JACKKKK PUTAIN TU TE FOUS DE MA GUEULE ! » m’exclamais-je en voyant que tous ces caleçons trainaient sur le sol. Combien de fois je lui avais dit que s’il s’amusait à faire la bamboulachiacejkf, bref ces fêtes pourries, qui range après ? Autant parlé à un mur ! Celui arriva avec ces yeux de merlan frit.
« Je ne vois pas du tout de quoi tu parles….. » « mon poing dans la figure, tu penses le voir arrivé lui ? » répliquais-je du tac au tac, n’arrivant pas à rester très longtemps énervé, il me faisait toujours cet effet-là. Ce qui rendait notre collocation des plus aventureuses .
"BOOOUHH j'ai peur, appelle tes copains gâteaux pendant que tu y es! Enfaite on passait nos journées à ce faire des coups en douce dans le dos de l’autre. Il avait teint tous mes vêtements en bleu, remplacer mon shampoing par du dentifrice, mis de la poudre dans mon sèche cheveux j’en passe des meilleurs…. J’étais tout aussi réceptive, remplaçant l’essence de sa voiture avec des malabars, remplaçants sa carte de crédit ; ces billets avec ceux de la bonne paye du monopoly, faisant rétrécir ces habits….. Je ne sais plus vraiment comment on était arrivé à cette situation, mais arrivé la trentaine on était comme deux gros gamins. D’ailleurs, on aimait bien faire croire à nos amis en particulier à notre famille, qu’on était ensemble, en couple. On prenait plus cela comme un jeu, un moyen d’éviter les questions gênantes comme
« T’as pas peur de finir vieille fille avec tes chats, ton rhum ta bible ? » ou
« Tu sais chéri, le fils de mon médecin est plutôt mignon…tu devrais peut-être passer à son cabinet… » parce que franchement je dis bien qu’il n’y a RIEN de plus gênant que voir votre mère parcourir la ville à essayer de vous trouver un amoureux parce que vous allez finir vieille fille. Elle n'a jamais lu le journal de Bridget Jones ou quoi? Mon cas n'est pas si désespéré Alors oui cette situation nous arrange bien tous les deux. qui sait où le futur nous emmènera