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(borgia) you broke me first.

Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : (borgia) you broke me first. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
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(borgia) you broke me first. 1f342 (borgia) you broke me first. 1f342 (borgia) you broke me first. 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King (borgia) you broke me first. 1f342 Loéva Berry (borgia) you broke me first. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
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Katalia Borgia
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048

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you broke me first ★ mer 27 mai ─ w/ @Rosalia C. Borgia

C'est juste dingue à quel point les relations que tu entretiens, que t'as entretenues ou que tu pourrais peut être entretenir te bouffent la tête à longueur de journée et prennent possession de tes pensées. Tu sais pas vivre seule, Katalia, ce n'est pas une nouveauté. Mais si auparavant tes quelques périodes de célibats pouvaient être juste des passages d'amourettes et de rencontres d'un soir, aujourd'hui les choses sont complètement différentes. C'est un supplice car tu ne veux pas être dépendante de quelqu'un. T'en a juste marre des déceptions et de t’emballer beaucoup trop vite. Alors tu te concentres, sur toi même et sur ta propre vie, mais c'est un exercice que tu n'as jamais pratiqué et qui est très compliqué. Bref, ce soir, t'avais promis à @Neal T. Hood de passer le voir à son travail, prendre un verre. Seule. Seule, seule, seule, ton nouveau mantra. Au fond, ça avait été une bonne soirée, Neal était venu te faire un bisou pendant sa pause et, si au début de la soirée, t'avais eu du mal à te détacher de ton téléphone, t'avais passé le reste du temps à discuter avec une bande de trois nanas adorables. Elles avaient déjà un coup dans le nez (probablement pour ça qu'elle t'ont si vite adopté) et t'avaient bien occupée la tête et les pensées, à grand coup d'éclats de rire et de vannes. T'aurais été incapable de te laisser venir aborder par n'importe quel mec, donc elles étaient tombées à point nommé, ces trois là. La soirée touche à sa fin pour toi, pas pour tous les autres dans le bar, mais t'es un peu fatiguée. Après un dernier signe de la main à Neal et un baiser dans les airs, tu quittes les lieux. T'as pu deviner qu'il a été content et fier de te voir rire avec ces nanas. Toi, t'es contente qu'il soit content. Tu sors dans la nuit fraîche et commences à marcher jusqu'au coin de la rue pour rejoindre ton uber mais quelque chose attire ton regard sur la droite, dans l'ombre d'une petite ruelle plus sombre. Une brune penchée derrière une poubelle, en train de vomir ? Tu t'approches et remarques rapidement que non, elle semble chercher quelque chose. Son portable ? T'en sais rien, et alors que t'arrives pour lui demander si elle à besoin d'aide, tu reconnais son profil « Cléo... ? » t'as envie d'avoir un mouvement de recul, de fuir, de la fuir. Mais elle va mal, tu le vois. Tu ne veux pas la laisser, tu ne peux pas la laisser. « putain Cléo, qu'est-ce que tu fous ? » Tu t'approches encore alors qu'elle redresse le buste, mais pas encore assez pour se tourner vers toi. Tu viens doucement poser tes mains sur ses épaules, puis attrapes son coude pour la tirer et la forcer à se tourner vers toi. Elle lutte quelque peu malgré l'odeur d'alcool qui se dégage d'elle « mais, laisse moi t'aider, c'est moi, c'est Kat ! redresse toi Cléo, putain ! »

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Une soirée de plus où la musique a résonné de façon charmante dans mes tympans, que les verres divinement amer se sont écoulés le long de mon oesophage et les rires n'ont cessés venir muscler mes zygomatiques. Je me trouve face à @Kamille M. Locke alors que je lève mon dernier verre, le verre pour la route, le verre pour se donner le courage de rejoindre mes pénates. Je sais que ma meilleure amie va finir par retrouver ce bon vieux @Edgar Windsor, qu'ils vont finir la soirée encore ensemble comme des bons amis de beuverie. Etonnemment ce dernier n'a pas fui la soirée lorsqu'il a vu que j'étais présente, il faut avouer que le monde qui nous entourait était suffisament nombreux pour que son regard et le mien ne se croisent qu'une fois. Bien assez à en croire les éclairs qu'il m'avait de nouveau lancé, comme un air de déjà vu une semaine auparavant lors du bal. Buvant mon dernier verre en souriant à ma meilleure amie, un cul sec, et je me levais du tabouret, let's go Borgia. Déposant mes lèvres sur la joue de Kamille et de la clique qui se trouvait avec nous, un signe de la main et je me dirigeais vers la sortie. La nuit était tombée depuis bien longtemps mais l'air doux venait rafraichir mon corps d'une brise agréable. Un pied devant l'autre, concentrée je ne lâchais pas le sol qui se profilait devant moi. La tête qui tambourinait bien trop énergiquement, bien trop bruyamment, la fatigue me guettait tout comme me fouler une cheville. Préférant dans un instant de lucidité - le peu qui me restait - déchausser mes chaussures à talons, je les prenais dans les mains, sautillant par la suite telle une biche, chantonnant un air de Rihanna. Please don't stooooop the music !" Imorovisant un p'tit pas de danse au milieu de la rue, alors que personne ne semblait me regarder de travers. Joyeuse, bourrée peut être tout simplement. Je gambadais tranquillement avant d'aller jeter quelques papiers qui se trouvaient dans ma poche de ma veste en jean, faire le tri, c'était bien l'heure mini Borgia de faire ça à 3 heures du mat. Jetant une poignée de détritus, je continuais mon chemin, avant de contrôler que les clés de ma chambre se trouvaient toujours là. Absentes ! 'Merda ! Shit ! Une sueur, une bouffée de chaleur, je courrais presque droite jusqu'à la poubelle, me penchant au maximum pour essayer de voir quelque chose. C'était cause perdue, 3 heures du matin, la nuit, une aiguille dans une botte de foin. Entendant un murmure semblant prononcer mon doux nom de "Cléo", je faisais semblant de ne pas entendre avant que des mains me touchent pour m'aider à retomber au sol. @Katalia Borgia ! Elle était là devant moi, il ne manquait plus qu'elle ! Me dégageant de son contact, retournant chercher mes clés, l'alcool dans le sang vous rend bien ridicule de persévérance pour des causes perdues d'avance. Une, deux minutes supplémentaires, je renonçais. Posant de nouveau mes pieds au sol, pensant que ma cousine avait passé son chemin, elle se trouvait devant moi, presque attendrissante, elle voulait m'aider vraiment ? Cela aurait bien été la seule et unique fois. " Kat' ! J'suis foutue, ma vie est foutue ... je démissionne, le CDD de la vie de merde ! " dis je d'une voix désespérée, avant de m'asseoir par terre en plein milieu de la rue. Je lève les bras au ciel, oui c'est bien un truc de nana bourrée de faire son calimero et de faire d'un truc sans trop d'importances, une catastrophe digne d'un tsunami échelle 8. Que ça fait du bien de toucher le sol, ma tête commence à se tenir droite, mon tambour interne commence à ralentir, je finis par m'allonger totalement pour regarder les étoiles comme souvent le soir.   " Tu sais ce qu'on dit Kat' ! Si y a une étoile filante dans les 5 minutes, ma vie de merde sera renversée, j'veux dire mes clés vont réapparaître j'vais pas dormir dehors. " Je redressais un peu ma tête pour regarder la belle Borgia, qu'elle était belle, un rayon de soleil dans la pénombre de la nuit, je lui tirais le bras comme dans notre enfance. " Allez viens allonge toi ... Tu sais comme avant ...  " Oui rien de ma vie actuelle n'était comme avant, peut être pour cela que j'avais sombré dans l'alcool, un peu trop même, cette nuit.
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Katalia Borgia

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RPS en cours : Jayson King (borgia) you broke me first. 1f342 Loéva Berry (borgia) you broke me first. 1f342 Ottis Heimann
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you broke me first ★ mer 27 mai ─ w/ @Rosalia C. Borgia

Son petit corps agité va et vient se pencher par dessus la poubelle, à intervalles réguliers. Tu vois bien que c'est pas juste une question de taille ou d'élan, mais surtout d'équilibre qu'elle a complètement perdu à cause de l'alcool. Elle ne se laisse pas faire, elle ne te laisse pas faire. Sur l'instant, tu ne te poses même pas cette question qui t'anime d'habitude : rester ou partir. Non non, pas une seule seconde tu penses à partir à la laisser ici. Elle est ton démon, ton pire cauchemar, tes supplices et des piques, mais elle reste ton sang. Et personne ne lui fera jamais de mal, personne. Jamais. Sauf peut être toi. T'es la seule à avoir ce droit et tu te dresseras devant quiconque voudra se l'octroyer. Tu la laisses s'agiter deux minutes supplémentaires, roulant des yeux au ciel. T'es fatiguée, il est tard, t'as bu un peu mais pas trop. T'as encore tous tes esprits mais t'as surtout envie de rentrer et de dormir. Vite qu'elle termine son petit manège pour que tu puisses la raccompagner tunesaisoù et rentrer chez toi fissa. T'as pas non plus et nécessairement envie de passer plus de temps que prévu avec ta cousine, il ne faut pas trop t'en demander non plus. Surtout après le coup au bal, surtout après la discussion à la pforzheimer house... Elle finit par arrêter son petit manège et daigne enfin tourner la tête vers toi. T'aimes pas voir ça. Cette lueur dans son regard qui te glace le sang. Tu lui as dit que c'était la guerre. Sur l'instant, tu l'avais vraiment pensé. Mais quand tu vois la douleur dans ses yeux, t'y peux rien... t'es obligée de rendre les armes. Au moins, les mettre de côté pour un petit temps. Elle râle, annonce que sa vie est foutue, tu soupires longuement en haussant les sourcils avant de répondre « arrête de raconter n'importe quoi. viens on rentre, j'ai une voiture qui m'attend au bout de la rue. » Tu penches le buste pour attraper son coude pour la tirer avec toi mais, encore une fois, elle ne se laisse pas faire et se dégage habilement de ta prise. Mais putain ! Elle s’assoit par terre au milieu de la ruelle, tu mords ta lèvre et plisses le nez, à quoi est-ce qu'elle est en train de jouer, encore ? Tu commences sérieusement à perdre patience, là. Elle s'allonge carrément sur le bitume et tu portes une main à ta visage, un peu choquée mais surtout dégoûtée de toutes les saletés qui vont se foutre sur ses belles fringues et dans ses cheveux soyeux. Par instinct, tu tournes la tête à gauche puis à droite, derrière toi aussi, pour t'assurer que personne d'autre que toi ne soit témoin de ce spectacle. Vous êtes des Borgia, merde. Elle baratine encore une histoire d'étoiles filantes, tu l'écoutes sans vraiment l'écouter. Beaucoup plus occupée à t'assurer que personne de louche ne vienne traîner dans les parages à la vue de ta cousine si fragile. T'as bu un peu mais tu serais prête à assigner le coup fatal là où il faut à n'importe quel mec s'approchant un peu trop de ta demoiselle en détresse. Elle se redresse puis t'attire finalement avec ses mots d'une douceur que tu n'avais plus entendu à ton égard depuis des mois voir des années. Ton cœur se resserre et, finalement piquée, tu t'approches pour l'imiter. Tu prends soin de ne pas trop poser tes mains au sol, histoire de saletés etc. « tu pourras refaire un double de tes clés demain Cléo, tu peux pas rester là toute la nuit... » tu soupires alors que tu frisonnes, allongée sur le bitume à ses côtés. Ta main s'approche d'elle et vient se glisser dans la paume de la sienne, sur son ventre. Instant égarement lourd de sens que tu te permets juste car, demain matin, avec tout l'alcool, elle l'aura oublié. Tu restes dans le silence cinq minutes, juste pour qu'elle ne râle pas lorsque tu te redresses et tires sur sa main dans la tienne pour la forcer à se relever. « allez viens, je te ramène. » Ton chauffeur a du se barrer après quinze minutes sans de tes nouvelles, alors tu réfléchis à votre localisation. Vous n'êtes pas très loin de la pforzheimer house, t'as ta chambre là bas. Trop loin pour rentrer à ton appartement à pied mais peut être le sien... « t'as pris un appartement ? tu es sur Cambridge ou Boston ? » tu mords ta lèvre. C'est affreusement triste, au fond. Ta cousine est arrivée il y a quelques semaines, ton propre sang, et t'es même pas foutue de savoir ou est-ce qu'elle dort... Et avant qu'elle n'ai eu le temps de te répondre, tu sens qu'elle t'arrache sa main de la tienne et se met à courir (approximativement droit) vers une devanture d'un bar. Tu te mets à courir après elle et la rattrape beaucoup plus facilement « Cléo merda arrête tes conneries deux secondes ! »

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(Katalia Borgia)
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J’abdique. Je pose mes pieds au sol comme la première défaite d’une partie qui n’en valait pas la peine. L’incompréhension m’envahit lorsque je vois le visage presque tendre de @Katalia Borgia face à moi, elle me fixe d’un regard qui se veut rassurant. L’alcool me pousse à apprécier l’instant, mon cerveau virevolte dans les cieux, la tête dans les étoiles, le cœur léger : les miracles des coupes qui s’enchaînent. Ce cœur lourd et triste depuis des mois semble vivre une halte apaisante et agréable mais les yeux ne trompent pas ! Le sourire aux lèvres et les phrases innocentes et sans consistances sont trahis par les yeux embués de tristesse, ces mêmes yeux qui avaient pleuré bien trop souvent cette dernière semaine. Rosalia Borgia, la guerrière, la femme sans cœur, l’opportuniste, l’égoïste, avait flanchée, rompue. Oh damn que je détestais la Rosa que j’étais depuis quelques jours, faible, triste, apeurée, et pourtant c’était bien tous les soirs que j’enchaînais les soirées. Fêter pour oublier ! Boire pour oublier ! Chanter et danser pour oublier ! J’en avais collectionné des moments, des instants à briser le silence de son absence à mes côtés, ces instants les uns après les autres n’avaient cessés au final d’accroître la triste réalité lorsque je rentrais chez moi … Seule ! Et ce soir le même schéma était en train de se reproduire, au grand malheur combien de journées cela allait il encore durer ? Les mots de ma Katalia me font sortir de mes pensées, sans lui répondre je pose mes fesses sur le bitume froid de la nuit, j’veux pas rentrer moi, non j’veux continuer à tanguer, à danser, à profiter de cette soirée, parce que oui j’veux pas rentrer ! Juste ne pas retrouver cette suite d’hôtel qui me rappelle combien mon appartement était mieux,  juste ne pas m’allonger dans ce lit bien trop grand pour moi, juste ne pas me réveiller avec une gueule de bois, juste ne pas être ridiculement encore amoureuse de mon ex. Je ne veux pas ! Je ne veux plus ! J’en peux plus ! Je suis bien moi là … Le silence de la nuit, la luminosité de la lune ! Presque poétique Mini Borgia lorsqu’elle est bourrée. Je la regarde qui essaye une nouvelle fois de me tirer pour me soulever, pas très coopérante, je reste bien assise. Je ne comprends pas pourquoi elle a fait de me ramener à la maison, une mission ! Ca ne lui ressemble pas, depuis des années nos vies s’entretuent, rentrent en collision telle des météorites qui ne peuvent s’éviter explosant dans un fracas. Kat’ & Rosa ! Une histoire d’amour infini tue à jamais et pour toujours, la haine et la rancœur tellement plus faciles à afficher au grand jour. Allongée sur le sol, je pointe les étoiles une à une, cherchant la grande ours, scrutant pour voir si enfin une étoile filante allait venir sauver le vacarme qu’était devenue ma vie. Eh regarde Kat’ ! Tu crois que celle là c’est maman ? Elle brille tellement fort, elle est tellement belle … Borgia bourrée, Borgia perchée ! La jeune femme finit par s’allonger à mes côtés, un sourire aux lèvres de la voir céder, avant qu’un frisson me parcourt lorsque la main de Katalia s’agrippe à la mienne. De la chaleur, de la force, de l’amour, de la sincérité, je prends une profonde inspiration pour m’imprégner de tous ces sentiments qui m’envahissent. Incrédule je profite, telle une enfant en manque d’amour qui saura se contenter de celui de sa pire ennemie. Alors que cette dernière se relève d’un bond, elle me tire et je finis par coopérer. Pas d’étoiles filantes à l’horizon, mon sort en était scellé. Oui t’as raison c’était pourri cette idée de toute façon ! Même le ciel me lâche ! Je quitte sa main d’un geste brusque de Mini Borgia saoulée d’avoir perdu face à l’univers. Foutues étoiles filantes, foutue voie lactée ! J’avance de quelques pas que j’essaye de contrôler le mieux possible, la nuit va être encore longue, je sautille même avant de l’entendre me demander où j’habite.  Appartement 4 au Victor !   Ma voix s’était emballée d’un coup, du tac au tac, puis je levais les yeux au ciel réalisant que je venais de citer mon ancienne adresse, celle que j’avais eu pendant trois ans de ma vie, celle de Zeus et moi. Perdu Borgia ! Ah non attend …   Je marque une petite pause avant de reprendre sa main que je caresse presque instinctivement, le regard presque doux que je lui envoie alors que mes yeux meurtris sont toujours présents. Au Marriott ! Voilà c’est ça, au Marriott ! Même si ma tête tourne et que mon esprit divague un peu, l'idée de rentrer à pied ne me semble pas des plus pertinente. Bien trop loin, surtout pied nu, et encore plus lorsque faire des slaloms dans la rue est devenue l’une de mes plus fortes aptitudes. Au loin des néons clignotent, lâchant la main de Kat’, je me mets à courir toujours pied nu et mes chaussures toujours dans la main, la musique résonne sur le pas de la porte, me mettant à danser alors que Queen Borgia me rejoint, je lâche mes chaussures au sol pour prendre ses mains et commencer à me déhancher au rythme de la musique et l’entraîner avec moi.
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Katalia Borgia

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you broke me first ★ mer 27 mai ─ w/ @Rosalia C. Borgia

Cette fleur égarée au milieu du néant, au milieu des tourments. Elle a prit ses épines il y a des décennies mais elle ne t'as jamais semblé si fragile. Elle mérite qu'on soit là pour elle, qu'on l'aide à se redresser, qu'on laisse à se relever. Pas toi. Toi, tu peux pas. Tu la déteste et tu la haï. Tu la déteste et tu t’inquiètes. T'y peux rien, elle est ton sang, ton reflet, ton âme sœur d'une vie utopique et irréelle. Alors plutôt que de la laisser sur se faner sur le bitume, tu prends sa main. Tu la couvre de la chaleur de ta paume et d'un certain amour bien refoulé. Tu détestes devoir l'aider et toutes ces émotions contradictoires font battre ton cœur beaucoup trop vite. Le sol est froid dans ton dos et tes doigts quelque peu agités dans les siens. A la merci du clair de lunes, vous êtes juste deux âmes en peines incapables de s'aimer correctement. L'amour entre vous, il n'est que cris, vengeances, coups bas et regards noirs. Ses doigts papillonnent dans la nuit claire en désignant une à une les étoiles qui ornent le ciel. Si ces mots sonnent comme une façon poétique de présenter l'affreuse vérité, toi t'as juste mal. T'as pas assez bu d'alcool pour voir ta tante dans l'étoile qu'elle te désigne. Toi, tu vois juste une malheureuse étoile qui brille un peu plus fort que les autres et son absence ici bas. C'est tout, rien d'autre. Une larme silencieuse roule sur ta joue et tes doigts s'agitent un peu dans sa paume. C'est assez, vous devez vous relever. Tu tires Rosalia fort pour qu'elle se lève. Son adresse énoncée, l'hôtel, le Marriott. Ta cousine vit dans un hôtel... Tu ne dis rien, hoches juste la tête de haut en bas et sors ton téléphone de ta poche pour trouver l'adresse de cet hôtel. A l'autre bout de la ville, impossible d'y aller à pied, tu n'as plus ton chauffeur et... et la belle t'échappe. Elle s'échappe et tu la rattrapes rapidement avec tes jambes beaucoup plus vives que les siennes. Tu remarques qu'elle est pieds nus, qu'elle tient ses talons dans la main. Comment t'as pu louper ça ? Elle s’arrête sec devant la devanture du bar, sous le recul de ta main sur son coude qui la retient de nouveau. « Ça suffit comme ça, on rentre ! » Mais la Borgia elle n'écoute rien. Elle danse au rythme des bases qui s'échappe de la porte entre ouverte. Elle prend tes mains et veut que tu l'imites. Tu n'en fais rien, laisse juste tes épaules mollement se faire agiter par ses gestes. Non, ton attention a toi, elle va vers une bande de mecs juste là, qui lorgne sans discrétion sur le corps animée de ta cousine. Elle est si belle, qu'idiot celui qui ne se retournait pas sur son passage. Pourtant, il est tard et leurs regards n'ont rien d'admiratifs, ils sont juste... sales. Comme Rosalia n'écoute rien et que tu ne veux pas rester dehors à la vu de ces porcs, tu entres dans le bar et approches du barman pour lui demander un grand verre d'eau. Ta cousine est excitée lorsqu'elle voit un verre arrivé devant elle mais déchante vite lorsqu'elle le porte à ses lèvres et se rend compte qu'il ne s'agit que d'eau. C'est pas grave, pendant ce temps là, tu as eu le temps de commander un autre taxi qui vous attend juste devant le bar. Tu l'attrapes par les épaules et la force littéralement à monter dans le véhicule. « on va chez moi, mon colocataire sait faire une potion magique qui évite les trop grosses gueules de bois. » Lukas dort à cette heure mais t'es tellement sortie toi-même cette semaine qu'il a laissé la préparation au frigo dans une bouteille d'un litre, "au cas où"... Puis, tu sais que Rosalia sera surement reconnaissante demain matin de ne pas l'avoir fait traverser toute la ville et le hall de son hôtel dans cet état là. Elle est comme toi, elle aime son image parfaite qu'elle offre au monde. T'es presque douce lorsque tu repousses une mèche tombant devant ses yeux dans le taxi. La route se fait vite, en silence, elle semble songeuse et tu l'es tout autant. « on est arrivées. » et tu sors de la voiture pour vite faire le tour et l'aider à sortir, pas capable de la voir se rétamer sur le trottoir.

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Toutes nos peines, nos fêlures endormies, nos infimes agonies qui se rejouent sans cessent jours après jours. Les jours passent, s’enchaînent, les mêmes depuis le début de la semaine. Un verre, deux verres, voire beaucoup plus pour mener l’ivresse dans mon corps perdu, faible, vide. La descente de mon piédestal fait mal, bien trop douloureux pour que je ne puisse l’affronter actuellement sans retrouver de la force dans un liquide amer mais réchauffant. Mini Borgia a rompu les armes, a baissé les bras, laissant la tristesse, le malheur, la souffrance prendre possession de son corps, de son esprit, de sa vie. Je sombre et pourtant je semble incapable de me relever. La haine dans ses yeux, ses mots durs, sa provocation me reviennent en tête comme une image figée, douloureuse et insupportable. Alors les soirées semblent être mes meilleures alliées pour broyer ces souvenirs, fragmenter ces bribes d’images trop réelles, trop présentes dans mon esprit et ma tête. OUBLIER ! Allongée sur le sol, les étoiles en ligne de mires, je me mets à rêver, à espérer même, espérer un lendemain plus beau, un brin d’espoir, de voir ma mère au milieu de tous ces points lumineux, pour ça aussi j’ai mal. Elle est partie, elle m’a quitté. Katalia se relève rapidement perdant patience, elle voulait rentrer et moi je ne voulais pas bouger. Tromperie elle m’agrippait la main d’un geste d’abord tendre, pour m’amadouer avant de me tirer de toutes ses forces pour enfin pouvoir faire vaciller mon corps presque mort et lourd. A peine debout je me dirige vers de la lumière mêlée à de la musique, il en fallait moins pour m’entraîner dans une danse ridicule mais rythmée. Je la force à me suivre en l’entrainant de mes bras sur ses épaules. Voyant qu’elle ne semble pas d’humeur, je lève les yeux au ciel. « Tu es vraiment d’un ennui mortel Borgia … » Je me mets de nouveau à sautiller dans la rue faisant totalement abstraction à ce qui se déroule autour de moi, juste joyeuse d’un brin de musique qui arrive à mes tympans dans une harmonie agréable. Mais rapidement Queen Borgia me tire avec elle à l’intérieur, dupée j’ai l’espoir qu’elle me commande un nouveau verre … Chute ! Déception ! Trahison ! Je bois le verre avant de le recracher sur Katalia d’un réflexe de répulsion. Shit qu’elle entourloupe. « T’es sérieuse ?! Tu crois que de l’eau ça va m’aider ce soir … L’ivresse est la seule solution Borgia ! » Oui l’ivresse, la folie … et alors que je m’accoude au bar pour essayer de commander un nouveau cocktail, voilà qu’elle me tire de nouveau comme un pantin m’entraînant dehors. A peine la fraîcheur sur le visage, qu’elle me fait monter dans un taxi ! Silencieuse je n’ai nullement envie d’être ici, encore moins avec elle et ses airs de protectrice, la bonne blague. Je guette par la fenêtre tous les immeubles que l’ont croisent, avant de m’assoupir un instant la tête bien calée sur la fenêtre. Arrivées à destination je lève les yeux au ciel, nulle question que je dorme chez Katalia ce soir ! Alors qu’elle ouvre la porte pour m’aider à descendre je la regarde de la tête au pied. « Je n’ai pas besoin de toi Katalia … Je n’ai pas besoin d’une famille par intermittence, d’une cousine qui veut être presque ma sœur un soir pour mieux m’empaler le lendemain ! Je ne veux pas d’une hypocrite qui veut se donner bonne conscience. Emmène-moi chez Margot plutôt ! » Je marque une pause alors que ma prose poussée par mon alcoolémie à dépasser au combien ce que j’aurais voulu lui dire ce soir. Si douce presque apaisante, elle est là face à moi alors que j’essaye tant bien que mal à m’extirper de la voiture, sans aide, fierté oblige. Je me calme, j’arrive à marcher sans tituber, je lui prends le bras que je serre fort comme pour essayer de m’excuser sans mots de ce que j’ai pu lui dire quelques minutes plus tôt. Non s’excuser est contre nature ! Incapable ! Infaisable ! Et à plus grand mesure face à Queen Borgia. Et pourtant : Je la déteste et je l’aime. Un jour ma plus grande alliée et tous les autres ma plus grande ennemie. Ma lumière dans mon monde sombre puis mon poignard dans les beaux jours. L’épine d’un cactus qui vient se mêler à mes roses épineuses.  
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Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : (borgia) you broke me first. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
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Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King (borgia) you broke me first. 1f342 Loéva Berry (borgia) you broke me first. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
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Katalia Borgia
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048

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you broke me first ★ mer 27 mai ─ w/ @Rosalia C. Borgia

Si l'ennui te couve au fait de ne pas vouloir la laisser à la merci d'elle même parmi le mal, alors oui, tu es d'un ennui mortel. Rosalia ne le saura jamais. Elle ne saura jamais que tu viens de l'arracher de la vision de ces trois porcs. Son esprit agité, ses muscles fatigués et son corps lasse d'une bien trop grande quantité d'alcool. Tu ne doutes pas d'elle. De ses sens, de ses réflexes d'auto défense et de sa langue acerbe jamais fatiguée. Pourtant, t'es incapable de la laisser seule, pas maintenant, pas comme ça. Tu vas t'assurer qu'elle s'endormie dans un lit en sécurité, peu importe lequel car tu seras là pour veiller que sa respiration se calme jusqu'à s'abandonner au repos. Pendant une seconde tu te questionnes. Est-ce qu'elle aurait fait la même chose si les rôles avaient été inversés ? Est-ce qu'elle l'a déjà fait ? Est-ce que, comme toi ce jour, elle a été un jour capable de faire la part des choses et t'offrir une trêve, même pour quelques heures ? que de questions qui resteront sans réponses. Demain, elle ne souviendra de rien. Peut être un souvenir flou ou deux par ci par là. Mais rien de très important, rien de très réel, rien du mal qu'elle a dans son cœur et qu'elle provoque dans le tien. Tu trottines pour aller lui ouvrir la porte du taxi, craintive qu'elle tente de sortir seule et tombe par terre. Mais elle n'en fait rien. Ni de l'un, ni de l'autre. A la place, elle te regarde de haut en bas, hautaine et suffisante, jouant avec application avec ta frêle patience à son égard. Ses mots rudes sont comme des couteaux bien aiguisés. Tu trouves rien à répondre car t'es juste beaucoup trop choquée. L'alcool ne fait pas que griser les esprits, il relève des vérités bien profondément enfuis. Alors comme ça, elle ne te considère par comme sa famille, pas de son sang ? certes, vos relations sont les pires et prétendre le contraire ferait de toi la pire des idiotes. Mais jamais tu n'as renié votre lien, affreux, destructeur, impossible. Elle est ta cousine, tu la présentes comme tel, parle d'elle comme tel. Ne l'as jamais renié et le fait d'entendre ici et maintenant qu'elle souhaite rejoindre une autre qui, dans sa tête, est plus digne que toi de mériter le mot "famille"... Tu restes figée, le cœur au bord des lèvres, incapable de faire ou dire quoi que ce soit. Rosalia sort de la voiture, toute seule car de toute façon, toi t'es toujours telle une statue. Elle t'attrape le bras et le serre fort. pour pas tomber ou pour autre chose ? t'en sais rien et tu veux pas savoir. T'es bien trop occupée à ramasser tous les petits morceaux de ton cœur qu'elle vient d’écraser entre ses doigts. La pire insulte qu'il soit vient de s'inviter à la conversation. Une connasse, une bitch, une idiote pas capable de tenir une relation, une conne, une salope, bref, t'es prête à tout entendre. Tout, sauf ça. Sauf le fait que t'es pas de sa famille que t'es... rien, en fait. Tu sors enfin de ta torpeur alors que Rosalia te tire vers l'immeuble. T'as les idées plus claires et t'as donc plus de force qu'elle, tu la tires de nouveau vers et dans le taxi et cherches l'adresse de son hôtel sur internet pour l'indiquer au taxi. « changement de plan, je te ramène à ton hôtel. » tu annonces très froidement au milieu d'un silence. Tu regrettes déjà. D'avoir agité un drapeau blanc, d'avoir tenue sa main dans la tienne. D'avoir accepté de t'allonger avec elle et la tirer d'un bourbier pas possible. D'avoir essayé de voir sa mère, ta tante, dans les étoiles. Tout ce bordel a attendri ton cœur, et maintenant il va falloir passer à la caisse, et l’addition sera très très salée.

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L’ivresse délit les mots, les paroles qui se veulent blessantes finissent par sortir de mes lèvres, incontrôlables. Bien plus dures qu’elles m’avaient semblées dans ma tête. Je la vois la louve, elle se crispe, elle se braque, elle se ferme. Un nouveau silence s’instaure entre nous. Entre ces deux Borgia incapables d’être « amies » le temps d’un instant, le naturel revenant au galop, bien trop rapidement, trop brutalement, trop poignardant. Un silence qui n’est pas d’or, un silence de plomb, pesant, lourd qui ne semble pas vouloir se finir. Je tente de prendre son bras que je sers contre mon corps, comme lorsque j’étais enfant pour arriver à me faire pardonner, à m’excuser sans devoir parler, tout simplement pour amadouer. A la place c’est une électricité certaine qui se dégage de Katalia, un courant violent me parcourt me forçant un lâcher rapidement son bras. Mais la Rosalia Borgia que je suis, elle est comme ça : forte, blessante, piquante, indomptable, maladroite, résignée. Résignée dans ce combat qui se joue depuis tellement d’années et avec tant de ferveur. L’ivresse parcourant mon corps aura eu l’avantage de nous rapprocher quelques instants, allongées sur le sol, à son contact j’ai eu l’impression de nouveau exister, d’être importante pour elle, d’avoir ma place dans son monde. Ces sentiments s’envolant avec les effluves de l’alcool qui se consumait en moi. Marcher et boire de l’eau rend toute personne bourrée plus apte à revenir à la réalité, cette triste réalité que nous étions bien plus ennemies qu’une famille. Tout le monde sait que les liens du sang on ne les choisit pas, juste on subit et pourtant après toutes les marques d’affection que Katalia pouvait me faire par intermittence, je crois que je l’aurais choisi. Oui elle était et sera mon modèle, cette femme belle et pleine d’ambition, cette femme forte et pleine de grâce. Une inspiration, une motivation, un miroir, une jumelle. Katalia n’allait pas sans Rosalia et l’inverse était réciproque. Comme deux as qui ne pouvaient se détacher totalement ! Deux entités à jamais liées et que rien ni personnes ne pourraient séparer. Si on aimait à se détester, on s’aimait, du moins moi je l’aimais. Trop fière, trop digne, trop blessée par le passé pour l’avouer je préférais jouer la femme détachée, celle qui se sentait plus proche de Margot que d’elle, même si toutes ses intentions à mon égard depuis de nombreuses minutes m’avaient redonnés envies d’y croire, foi en elle, espoir en nous. Je la sens me tirer de nouveau vers le taxi, incrédule, je me laissais faire avant de comprendre que son plan avait changé. Je levais les yeux au ciel devant tant de dramaturgie, les Borgia en spectacle acte deux. « J’crois que je saurais descendre du taxi toute seule … T’embête pas pour moi Katalia ça ne sera pas la première fois que tu m’abandonnes ! » J’suis cruelle, j’assène encore un coup trop profond, trop mesquin. Alors que non je veux juste la provoquer, la défier de m’abandonner encore une fois pour qu’elle donne toute son énergie à ne pas me donner satisfaction. Je veux rester là avec elle, la regarder briller pendant que je m’éteins, la regarder prouver qu’elle était la plus forte, la plus humaine de nous deux, je veux la voir éclore de plus belle. Je la veux pour moi toute seule  ce soir, je voudrais que tout dure éternellement, qu’on soit là ensemble pour l’éternité. Qu’elle devienne mon pilier, qu’elle soit la main qui me soutient jour et nuit, j’ai envie, et comme toujours je brise tout sur mon passage. Le taxi démarre déjà, trop vite et je sens sa main me glisser des doigts, l’emprise se rompre, elle reste sur place alors que je suis en train de partir bien trop loin d’elle. Je passe la tête par la fenêtre pour continuer de la regarder jusqu’au dernier instant, mes lèvres murmure un « Tu me manques tellement Borgia ...» Une phrase pleine de sincérité, d’amour, de fierté envolée, là qu’elle ne peut quasi plus l’entendre, je lâche prise, je baisse les armes, je laisse mon coeur imploser d'un amour trop longtemps caché et je m’effondre dans le siège lorsque le visage de Kat’ devient qu’une forme non distinguable dans la nuit.  

FIN DE RP  :heaart:  :heaart:
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