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SILOÉ LEYA HAZAN-ELSÄSSER
date de naissance
06 NOVEMBRE 1996
lieu de naissance
TEL AVIV, ISRAËL
nom
HAZAN-ELSÄSSER
prénoms
SILOÉ LEYA
orientation sexuelle
HÉTÉROSEXUELLE
statut amoureux
CÉLIBATAIRE
études
MÉDECINE
bourse
NON
statut social
TRÈS AISÉE
job étudiant
NON
— S'il y a bien une chose que Siloé déteste, c'est qu'on la "fonde dans un moule". Faire partie d'une catégorie de gens, qu'on lui colle une étiquette, ne correspond pas du tout à son caractère, ni à sa façon d'être. Ainsi, lorsqu'il a fallu faire un choix de maisons à Harvard, c'est sans aucune hésitation qu'elle a décidé de n'en intégrer aucune et donc, d'être considérée comme Students, seulement. Et pour l'instant, son choix lui convient tout à fait.
Si dans un premier temps, après avoir brillamment réussi ses SAT's avec un score de 1576 points, Siloé avait opté pour l'université d'Oxford durant trois ans, finalement elle a fini par transférer sa candidature à Harvard. Son dossier d'admission prêt, ainsi que le résultat de ses SAT's, Siloé avait pendant son “essay” exprimé son envie de se pencher sur les maladies mentales lors de ses études et même après, étant donné que son frère en avait été victime. Son objectif était de pouvoir transmettre au monde entier des réponses, et des traitements autres que ceux proposés de nos jours. Et après un entretien réussi, où son ambition était remarquable, son transfert avait été accepté pour sa quatrième année de cours théoriques en médecine. Aujourd'hui, cela fait trois ans déjà que Siloé est sur le campus, ayant entamé sa seconde année de médecine.
Siloé, elle est généreuse. Donner son sac Dior juste parce que son amie qui n'a pas les moyens de se l'acheter le trouve beau, est une chose qu'elle fait sans aucun problème. Contrairement à son passé de garce, la jeune femme a appris la réelle valeur de la vie, et se montre douce et gentille, avec la plupart des gens. Cependant, elle pardonne très difficilement lorsqu'on lui fait un coup dans le dos, et n'oublie jamais, rancunière comme pas deux. Comme ses notes en témoignent, la brune possède une grande intelligence, lui permettant de réussir avec excellence ses études, mais étant humble et serviable, elle n'hésite pas à aider son prochain si besoin. Aussi bien dévouée à sa famille qu'à ses amis, mais après le profond traumatisme suite au décès de son frère, la jeune femme est plutôt introvertie et se dévoile difficilement. Si lorsque la pression est trop forte, elle s'octroie le droit de boire un ou deux verres de vodka et de se rendre en boîte pour tout relâcher, Siloé ne rompt jamais le chemin vers ses objectifs, acharnée et grande travailleuse comme son père.
Un conte de fée, c'était parfaitement les mots pour décrire les dix-sept premières années de la vie de Siloé. L'aînée d'un petit frère, vivant dans une somptueuse maison à Tel Aviv, issue d'une famille financièrement aisée, fille d'un magnat du pétrole et propriétaire d’hôtels cinq étoiles à travers le monde, et ayant pour mère une avocate reconnue. Les écoles privées, amis de familles de la bonne société, croisières sur des yachts, vêtements de haute couture et autres sacs Chanel, se sont enchaînés dans le tourbillon démesuré qu'était sa vie, sans même qu'elle puisse réaliser la chance qu'elle détenait. « Sassy Sisi » comme la surnommaient les élèves qu'elle adorait mépriser, n'était pas plus appréciée que le président Bush, qui dirigeait les États-Unis quand elle emménagea à New York à l'âge de treize ans. Mais peu lui importait, elle se sentait voler au dessus de tous, de tout. Jusqu'à la chute.
De cet événement, tout ce qu'elle en retenait, c'était l'attroupement inhabituel formé autour de leur appartement situé sur l'Upper East Side. Un camion de pompiers, une ambulance. Les regards tournés en sa direction, quelques voisins qu'elle reconnut. Son cœur commençait à accélérer, elle avait senti que quelque chose n'allait pas. Grimpant rapidement les escaliers pour accéder à la porte d'entrée, elle remarqua aussitôt dans le salon la chevelure brune de sa mère au sol, des médecins penchés vers elle. « Maman... » Elle n'arrivait plus à bouger. « Maman ! » Prise d'un élan, Siloé avança à grandes enjambées vers Lena, quand soudain la voix de cette dernière s'éleva, plaintive : « Noam... Je veux mon fils !! » Siloé fut clouée au sol. Son frère. L'un des médecin s’avança vers elle, lui saisissant doucement le bras : « Mlle Alsässer... » « Il est où mon frère ? » Et c'est avec une profonde tristesse que l'homme à la blouse blanche déversa les quelques mots qui allaient la changer à jamais : « Mlle Alsässer, je vous présente toutes mes condoléances... Votre frère... a mis fin à ses jours. » Sa vue avait tout d'abord commencé à s'embrouiller, ses oreilles bourdonnaient. Elle ne saisissait plus que des bribes de la conversation qui suivit : suicide, fenêtre, désolé, hôpital... Son cœur allait exploser hors de sa poitrine, puis soudain le trou noir. Elle tomba.
Noam, sa vie, son sang, son tout. La seule personne au monde à qui elle vouait un amour inconditionnel. Son acolyte, son meilleur ami de deux ans son cadet, celui avec qui elle avait fait les 400 coups, à en rendre fou les parents. Siloé et Noam, le duo infernal. Mais qui s'aimaient tant. Diagnostiqué assez tôt d'un trouble bipolaire, Noam avait tout de même fait de son mieux afin de garder la face intacte. Sous l'emprise de médicaments censés l'apaiser, le relaxer, le jeune homme avait tenté de suivre sa sœur dans ses lubies. Siloé l'entraînait avec lui, ignorant totalement ses sautes d'humeur, pensant pouvoir éradiquer sa maladie si elle n'y prêtait plus attention. Sauf que non, comme le prouvait la lettre qu'il lui avait laissé.
« Siloé, ma sœur, mon amour. Je sais, tu vas me détester pour t'abandonner comme ça. Mais je sais aussi qu'avec le temps, tu trouveras le moyen de me pardonner, parce que tu me pardonnes toujours. Je suis désolé de ne pas avoir tenu notre promesse de vieillir ensemble en faisant encore trente mille conneries mais mon cerveau ne me suit plus... Je ne peux pas m'imaginer une vie ainsi, sous anxiolytiques, à être stone la moitié du temps, et à ne plus rien contrôler la moitié de l'autre. Je t'envoie plein d'amour et de bisous, au-dessus des étoiles... Je t'aime. Pardonne-moi ma Loé. »
Elle ne s'en était jamais remise, refusant d'en parler avec qui que ce soit. Ni même le reste de sa famille. Sa mère était suivie par un psychiatre, son père s'était plongé encore plus dans le travail, la délaissant totalement. Et pendant cette période, tout lui parut fade et inutile. Toute la richesse qu'elle possédait, tout ce luxe dans lequel elle baignait depuis sa naissance, ses amis superficiels... Tout était vide de sens depuis qu'il était parti. Il lui manquait, chaque millième de seconde. Une carapace se forma sur son passé au fur et à mesure que les jours s'écoulaient, et Siloé décida de modifier sa trajectoire d'études. Elle qui espérait se lancer dans le design de mode et devenir styliste, dessinant merveilleusement bien, opta pour la médecine lors du choix avant d'intégrer une université. Son besoin soudain de vouloir -devoir- aider les gens malades... Obtenant une excellente note lors des SATs, toutes les universités auxquelles elle avait postulé lui ouvrirent les portes.
Et afin de pouvoir s'éloigner des États-Unis suite au tragique décès de son frère et respirer un nouvel air, c'est dans un premier temps l'université d'Oxford dans la ville du même nom pour laquelle elle opta. Accomplissant avec excellence ses trois premières années d'études en médecine, et suite au désir de sa mère qui souhaitait avoir sa fille plus près d'elle, Siloé finit par se résigner, et regagna l'Amérique, et plus précisément Cambridge, afin d'intégrer Harvard, la prestigieuse université qu'était le rêve de son frère, pour sa quatrième année. Ce fut très difficile au début, car elle avait toujours imaginé qu'ils seraient ensemble, ici... Puis, elle se donna la promesse de réussir avec brio et d'obtenir son diplôme afin de devenir neurochirurgienne à l'avenir, et par la même occasion, se renseigner également sur les troubles mentaux, dont son frère avait été victime.
Ces dernières années avaient assagie Siloé. Elle n'avait plus aucun goût à enchaîner les fêtes, les verres d'alcool, et fumer un joint de temps en temps. Cette époque-là était totalement révolue. Et, au contraire, elle prit de plus en plus goût à se rendre utile pour des missions humanitaires diverses, à œuvrer pour faire le bien autour d'elle, étant donné qu'elle en avait la possibilité. Jusqu'à sa rencontre, il y a deux ans, de Steadworth.
Siloé avait déjà entendu de nombreux propos à son sujet et se rendit rapidement à l'évidence qu'il était infréquentable. Le genre de mauvais garçon qui envenime les personnes de son entourage. Elle avait eu vent qu'il était un dealer de drogue plutôt célèbre sur le campus, et il n'était pas reconnu pour ses qualités de « gentil garçon «. Tout ce qu'elle souhaitait éviter, comme toute personne normale. Mais, comme la fameuse phrase le dit, les opposés s'attirent. Alors, oui, Siloé se rendit compte qu'il interférait parfois ses pensées lors d'un cours, par exemple. Qu'elle sentait un petit pincement lorsqu'elle l'apercevait au détour d'un couloir. Qu'elle trouvait son ton de voix agréable, malgré sa personnalité. Tout en se rappelant sans cesse combien il était nocif. Véritablement nocif. Et que son objectif ici était d'obtenir son doctorat, sans être dérangé par quoi que ce soit ou plutôt -qui- que ce soit. Pourtant, si elle voulait être tout à fait honnête avec elle-même, la présence d'Alec la troublait, réellement.
De cet événement, tout ce qu'elle en retenait, c'était l'attroupement inhabituel formé autour de leur appartement situé sur l'Upper East Side. Un camion de pompiers, une ambulance. Les regards tournés en sa direction, quelques voisins qu'elle reconnut. Son cœur commençait à accélérer, elle avait senti que quelque chose n'allait pas. Grimpant rapidement les escaliers pour accéder à la porte d'entrée, elle remarqua aussitôt dans le salon la chevelure brune de sa mère au sol, des médecins penchés vers elle. « Maman... » Elle n'arrivait plus à bouger. « Maman ! » Prise d'un élan, Siloé avança à grandes enjambées vers Lena, quand soudain la voix de cette dernière s'éleva, plaintive : « Noam... Je veux mon fils !! » Siloé fut clouée au sol. Son frère. L'un des médecin s’avança vers elle, lui saisissant doucement le bras : « Mlle Alsässer... » « Il est où mon frère ? » Et c'est avec une profonde tristesse que l'homme à la blouse blanche déversa les quelques mots qui allaient la changer à jamais : « Mlle Alsässer, je vous présente toutes mes condoléances... Votre frère... a mis fin à ses jours. » Sa vue avait tout d'abord commencé à s'embrouiller, ses oreilles bourdonnaient. Elle ne saisissait plus que des bribes de la conversation qui suivit : suicide, fenêtre, désolé, hôpital... Son cœur allait exploser hors de sa poitrine, puis soudain le trou noir. Elle tomba.
Noam, sa vie, son sang, son tout. La seule personne au monde à qui elle vouait un amour inconditionnel. Son acolyte, son meilleur ami de deux ans son cadet, celui avec qui elle avait fait les 400 coups, à en rendre fou les parents. Siloé et Noam, le duo infernal. Mais qui s'aimaient tant. Diagnostiqué assez tôt d'un trouble bipolaire, Noam avait tout de même fait de son mieux afin de garder la face intacte. Sous l'emprise de médicaments censés l'apaiser, le relaxer, le jeune homme avait tenté de suivre sa sœur dans ses lubies. Siloé l'entraînait avec lui, ignorant totalement ses sautes d'humeur, pensant pouvoir éradiquer sa maladie si elle n'y prêtait plus attention. Sauf que non, comme le prouvait la lettre qu'il lui avait laissé.
« Siloé, ma sœur, mon amour. Je sais, tu vas me détester pour t'abandonner comme ça. Mais je sais aussi qu'avec le temps, tu trouveras le moyen de me pardonner, parce que tu me pardonnes toujours. Je suis désolé de ne pas avoir tenu notre promesse de vieillir ensemble en faisant encore trente mille conneries mais mon cerveau ne me suit plus... Je ne peux pas m'imaginer une vie ainsi, sous anxiolytiques, à être stone la moitié du temps, et à ne plus rien contrôler la moitié de l'autre. Je t'envoie plein d'amour et de bisous, au-dessus des étoiles... Je t'aime. Pardonne-moi ma Loé. »
Elle ne s'en était jamais remise, refusant d'en parler avec qui que ce soit. Ni même le reste de sa famille. Sa mère était suivie par un psychiatre, son père s'était plongé encore plus dans le travail, la délaissant totalement. Et pendant cette période, tout lui parut fade et inutile. Toute la richesse qu'elle possédait, tout ce luxe dans lequel elle baignait depuis sa naissance, ses amis superficiels... Tout était vide de sens depuis qu'il était parti. Il lui manquait, chaque millième de seconde. Une carapace se forma sur son passé au fur et à mesure que les jours s'écoulaient, et Siloé décida de modifier sa trajectoire d'études. Elle qui espérait se lancer dans le design de mode et devenir styliste, dessinant merveilleusement bien, opta pour la médecine lors du choix avant d'intégrer une université. Son besoin soudain de vouloir -devoir- aider les gens malades... Obtenant une excellente note lors des SATs, toutes les universités auxquelles elle avait postulé lui ouvrirent les portes.
Et afin de pouvoir s'éloigner des États-Unis suite au tragique décès de son frère et respirer un nouvel air, c'est dans un premier temps l'université d'Oxford dans la ville du même nom pour laquelle elle opta. Accomplissant avec excellence ses trois premières années d'études en médecine, et suite au désir de sa mère qui souhaitait avoir sa fille plus près d'elle, Siloé finit par se résigner, et regagna l'Amérique, et plus précisément Cambridge, afin d'intégrer Harvard, la prestigieuse université qu'était le rêve de son frère, pour sa quatrième année. Ce fut très difficile au début, car elle avait toujours imaginé qu'ils seraient ensemble, ici... Puis, elle se donna la promesse de réussir avec brio et d'obtenir son diplôme afin de devenir neurochirurgienne à l'avenir, et par la même occasion, se renseigner également sur les troubles mentaux, dont son frère avait été victime.
Ces dernières années avaient assagie Siloé. Elle n'avait plus aucun goût à enchaîner les fêtes, les verres d'alcool, et fumer un joint de temps en temps. Cette époque-là était totalement révolue. Et, au contraire, elle prit de plus en plus goût à se rendre utile pour des missions humanitaires diverses, à œuvrer pour faire le bien autour d'elle, étant donné qu'elle en avait la possibilité. Jusqu'à sa rencontre, il y a deux ans, de Steadworth.
Siloé avait déjà entendu de nombreux propos à son sujet et se rendit rapidement à l'évidence qu'il était infréquentable. Le genre de mauvais garçon qui envenime les personnes de son entourage. Elle avait eu vent qu'il était un dealer de drogue plutôt célèbre sur le campus, et il n'était pas reconnu pour ses qualités de « gentil garçon «. Tout ce qu'elle souhaitait éviter, comme toute personne normale. Mais, comme la fameuse phrase le dit, les opposés s'attirent. Alors, oui, Siloé se rendit compte qu'il interférait parfois ses pensées lors d'un cours, par exemple. Qu'elle sentait un petit pincement lorsqu'elle l'apercevait au détour d'un couloir. Qu'elle trouvait son ton de voix agréable, malgré sa personnalité. Tout en se rappelant sans cesse combien il était nocif. Véritablement nocif. Et que son objectif ici était d'obtenir son doctorat, sans être dérangé par quoi que ce soit ou plutôt -qui- que ce soit. Pourtant, si elle voulait être tout à fait honnête avec elle-même, la présence d'Alec la troublait, réellement.
pseudo joy full.
âge vingt-sept ans.
nationalité française.
forum connu par... bazzart.
ILH, j'en pense quoi ? il est magnifique.
autres comptes ? non.
avatar utilisé kendall jenner.
crédits images angie.
nombre de mots par rp ça va dépendre je pense.
type personnage scénario par @Alec Steadworth
parrainage)
code études
médecine ;; faculté de médecine.
code bottin
âge vingt-sept ans.
nationalité française.
forum connu par... bazzart.
ILH, j'en pense quoi ? il est magnifique.
autres comptes ? non.
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crédits images angie.
nombre de mots par rp ça va dépendre je pense.
type personnage scénario par @Alec Steadworth
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médecine ;; faculté de médecine.
- Code:
@"Siloé Hazan-Elsässer" » <i>(deuxième année)</i>
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☾ <span class="pris">KENDALL JENNER</span> ⊹ @"Siloé Hazan-Elsässer"
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