Lucas Tobby Hopkins ► Alexander Ludwig

On peut dire que la vie n'est pas toujours celle que vous croyez, un homme m'a dit un jour: « parfois, on dirait que c'était hier, finir le lycée, dire au revoir. Cette impression qu'on à 17 ou 18 ans, que personne dans l'histoire du monde n'a jamais été aussi proche, n'a jamais aimé aussi intensément, ni ri aussi fort, ni a compté autant. » Bon aujourd'hui j'en ai 24, mais je me revois encore il y a plusieurs années. J'étais au lycée tranquille, dans l'équipe de football, tout se passer à merveille. Ce que je vais vous dire n'est rien de plaisant, il a eu une fête pour célébrer notre victoire et je dois dire que tout est partie en vrille le capitaine m'avait entrainé avec lui pour voir un truc or ce n'était pas ce que je croyais. Une cagoule s'abattit sur moi et on me cogna la tête puis plus rien. Le noir complet, quand je me réveillais j'étais à l'hôpital j'étais perdu, je ne savais pas où j'étais. J'étais apeuré comme un enfant je criai mais aucun son ne sortait de ma bouche, je n'entendais aucun son. Une infirmière vint à ma rencontre, elle me parait mais j'en tendais rien. Je lui parlai, je lui dis que je ne l'entendais, mais aucun son n'atterrissait dans mes oreilles sauf qu'elle semblait avoir comprit. Il me fit un signe que je compris tout de suite, je n'étais pas muet, mais sourd. Comment cela avait bien pu arriver, il s'était passé quand durant ce trou noir. Personne n'avait pu répondre à Lucas, même sa famille ne comprenait pas. Il était un garçon gentil et il n'avait pas vraiment d'ennemie alors pourquoi le capitaine de l'équipe lui avait fait ça.

Deux années plus tard

Je ne pouvais pas retourner au lycée alors ma mère m'envoya apprendre le langage des signes dans un internat pour sourd. Plus personne du lycée ne m'avait revu et personne ne semblait s'en inquiétait j'appris bien plus que le langage des signes. J'appris à lire sur les lèvres ce qui m'aidait énormément même que mes parents crurent que j'avais retrouvé l'usage de mes oreilles sauf que cela n'était pas le cas. Du coup la vie reprit son cours normal, je réussis à avoir le niveau pour rentrer à Harvard dans le département d'anthropologie. Je pouvais faire ce que je n'aurais jamais cru pouvoir faire c'est-à-dire draguer les filles, car le fait d'être sourd avait des avantages ; vous n'entendez pas une femme se plaindre et imaginez ce qu'elle vous dit. Cela n'était pas simple au début, mais j'arrivais quand même à m'adapter à cette nouvelle vie. Cela m'arrivait de collectionner les filles plusieurs fois, mais une chose arriva dans ma vie et dont je ne m'y attendais pas : une fille commençai à m'intéresser et je n'arrivais pas à la sortir de mon esprit, on pouvait dire qu'elle hantait mes nuits. Malgré que j'étais réputé pour être un coureur de jupon, je respectais ces femmes et ne leur ferais jamais de mal, car j'ai besoin de l'amour d'une femme, car un homme est heureux quand celle qu'il aime se trouve à ses côtes.