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b.i.t.c.h in disguise.

Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : b.i.t.c.h in disguise. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
b.i.t.c.h in disguise. 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86


b.i.t.c.h in disguise. 1f342 b.i.t.c.h in disguise. 1f342 b.i.t.c.h in disguise. 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King b.i.t.c.h in disguise. 1f342 Loéva Berry b.i.t.c.h in disguise. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
Préférences de jeu
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Katalia Borgia
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048

a bitch, walking
down the street
@Rosalia C. Borgia
pfo house, lun 18 mai
~~~~
Remettre la faute sur les épaules d'une seule personne, ça n'a jamais été la plus juste des solutions. Pourtant, c'est clairement ce que t'es en train de faire, Katalia. Après la tristesse de ces derniers jours, t'es désormais secouée de colère. C'est cette colère brusque et vive que tu peux ressentir pour une seule et unique personnes sur cette terre, elle. Naïveté regrettée, t'as pensé que les choses s'étaient un peu arrangées, l'an dernier. Force est de constater que tu t'es bien foutu le doigt dans l’œil. D'amour il n'y en a eu que l’illusion. La rancœur et les crasses semblent avoir repris leurs places de choix dans la relation fébrile qui vous relie. Si t'as bien voulu passer outre plusieurs difficultés du passé, aujourd'hui il en est tout autre. Car Rosalia a détruit ton couple. Elle a détruit cette maison que tu t'appliquais à construire avec lui depuis janvier dernier. En un battement de cils et d'un claquement de doigts mesquin, elle a fait exploser toutes les fondations pour te laisser seule et sans toit. Tu viens de passer le week-end à déprimer, pleurer et tenter de contacter @Toni Caldwell, en vain. Ce matin, tu t'es réveillée avec une rage au ventre et une seule et unique idée dans ta tête : la confronter. T'es désormais sure et certaine que c'est elle que t'as vu sur le parvis de la porte du bal ce soir là. T'as eu un doute mais hier soir, t'as découvert que ta cousine était bel et bien de retour en ville. A peine arrivée et déjà en train de détruire ce qui comptait le plus à tes yeux. Tu t'installes sur ton lit en serviette après la douche et pianotes sur ton téléphone pour ouvrir tes réseaux sociaux. bingo, trop facile. Ta cousine vient de poster une photo où elle se tient devant la devanture de ta maison, visiblement plus que déterminée à profiter de cette journée d'inscription au prochain bizutage pour venir encore plus te casser les pieds en venant dans ta maison. Tu te dépêches de t'habiller, petite robe printanière, sandales à talons ouvertes et une petite veste claire pour couvrir tes bras. Tu appliques du mascara et un coup de gloss mais prends bien plus de temps sur tes longueurs que tu ondules au fer à boucler. Tu admires ton reflet dans le miroir et t’imposant des mantras de courage et de force dans ta tête. Voilà c'est bon, t'es prête à aller lui faire payer ce qu'elle vient de te faire subir. Tu arrives dans ta maison et entres dans le grand hall où de nombreux futurs potentiels bizut se pressent pour la session de fin mai. Devant tout ce beau petit monde, une crinière de feu que tu reconnais à plus de vingt mètres, @Roxane Sears qui distribue des formulaires d'inscriptions. Juste devant elle, tu reconnais le profil de ta cousine et presses le pas pour arriver au niveau du duo. « salut Roxane, t'es ravissante ! » tu salues ta présidente avec un sourire avant que venir arracher des mains de Rosalia le formulaire qu'elle vient d'obtenir. Ton regard passe entre les deux filles puis tu t'adresses particulièrement à Roxane, bien fort pour que tout le monde entende. « non pas elle. elle n'a pas l'étoffe d'une pforzheimer. » Tu déchires en deux le formulaire sous les yeux de ta cousine avant de planter ton regard dans le sien « toi. avec moi, dehors. tout de suite. »


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(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia
pfo house, lun 18 mai
~~~~
Deux semaines. Un peu plus de semaine que mes jambes tapaient de nouveau le sol de Boston. Afin de ne pas rejoindre le campus de Harvard et tous les soucis qui allaient m'y attendre, j'avais loué une suite de luxe dans l'un des plus grands hôtels de la ville, rien n'était jamais assez beau pour pouvoir me satisfaire, non j'avais beaucoup changé en une année, mais mon envie de beauté, de richesse était bel et bien toujours présent. Peut être même amplifié. La perte de ma mère, la perte de Zeus, intérieurement vidée de tous sentiments, je m'étais de nouveau centré sur ma vie, mon futur, écraser pour mieux régner. Ma première apparition sur le campus de Havard quelques jours auparavant avait fait sensation, jusqu'au moment où moi même mon coeur avait battu la chamade, tambourinant bien trop rapidement et douloureusement dans mon corps. La vue de @Zeus Arnault avait été plus que déchirante. Son sourire au bras de sa meilleure amie, m'avait presque achevé. Bien trop fière, ma tête était restée bien haute, bien tenue dans mon habit de lumière que j'avais ramené d'Italie expressément. Mais les apparences et la réalité étaient deux choses bien distinctes, surtout quand on s'appelait Rosalia Borgia. Les faux semblants, les manigances, les trahisons étaient mon quotidien, ce quotidien qui me suivait jour après jours en quête d'amour, de richesse, de pouvoir, toutes ces choses qui me manquaient ou ne savaient pas me contenter. Insatiable, déterminée, je l'avais toujours été mais aujourd'hui d'autant plus. C'était pour cette raison que présentement mes pieds me menaient doucement mais surement vers le Pforzheimer house, en parfaite ancienne Eliot tout semblait me prédestiner à cette maison, classe, ambitieuse, déterminée, élitiste, j'en serais digne, et la plus fervente défenseuse. Gravissant les marches une à une avec mes talons compensés imprimés qui venaient compléter ma tenue du jour : combinaison pantalon rouge ajustée à la perfection et une veste en jean recouvrant mes épaules. Mise en valeur comme d'accoutumé, je faisais la queue pour recevoir mon dossier d'inscription pour la PFO. A peine ais je eu le dssier en main que la voix reconnaissable parmi des milliers se fit entendre dans mon dos. Glacial. Un frisson, une décharge électrique en plein coeur : @Katalia Borgia. Alors qu'elle faisait sa reine  parler à la présidente de la maison, je compris qu'elle en faisait partie également, levant les yeux au ciel devant tant de dramaturgie qui lui ressemblait bien, je me tournais vers elle, les yeux rivés sur son visage, non je ne flancherais pas, pas cette fois, pas aujourd'hui, jamais. L'écoutant me dénigrer comme à son habitude, elle m'arracha le papier des mains avant de le déchirer, biatch, qu'elle allait me le payer. Me tirant par le bras pour que nous sortions, les regards se faisaient insistant sur nous, les Borgia en spectacle acte I. Une fois arrivées toutes les deux dehors, je la dévisageais un instant de haut en bas, j'avais l'impression de me voir, les même cheveux bouclés à la perfection tombaient sur ses épaules, ses yeux aussi intenses que les miens, damn qu'on se ressemblait beaucoup trop pour que les deux puissent régner. "J'pensais pas qu'autant de passion pouvait ressortir de ton p'tit coeur Lia ! Mais j'suis ravie de te revoir , du moins de plus près ... Je n'aurais voulu te déranger pour rien au monde dans tes manigances le jour du bal ! Oui je l'avais entre aperçu de nombreuses fois durant le bal, et de loin jalouse en la voyant avec @Ottis Abatucci j'avais fini par biatcher comme à mon habitude, ramenant son copain voir la scène de ses propres yeux, avec plaisir Borgia ! Soulevant son regard en prononçant de façon bien habitué son surnom "Lia", fière de moi encore une fois, la rose épineuse que j'étais savais égratiner à la perfection toute personne voulant se mettre sur mon chemin.


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Katalia Borgia

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a bitch, walking
down the street
@Rosalia C. Borgia
pfo house, lun 18 mai
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Borgia numéro deux plante son regard assuré dans le tien et, honnêtement, tu n'en attendais pas moins d'elle. Tu la connais mieux que personne d'autre au monde. Tu la connais tellement que, lorsque tu la regardes, t'as parfois l'impression de te voir dans un miroir, et tu la détestes pour ça. Tu détestes chacun de ses traits de caractère de peste car ils sont aussi les tiens. Tu te plais à dire et à penser que ses traits sont encore plus amplifiés que les tiens. Mais parfois, oui parfois, tu te brides tellement toi même que t'as juste l'impression d'être comme elle sinon pire... Ces similitudes qui nourrissent votre haine mutuelle et son regard aussi sombre que le tien te provoque alors que Roxane se détourne pour aller vers d'autres membres de la maison. Tu viens attraper ta cousine par le bras, au début doucement puis tu finis par la lâcher car elle te suivra quoi qu'il arrive. Elle est comme toi, elle aime bien trop vos échanges animés et le fait de pouvoir surpasser l'autre par les mots. Vous traversez le grand hall de la pforzheimer house pour prendre le chemin de la terrasse extérieure. Tu sens les regards sur vous, deux bombes à retardement se frayant un passage parmi le peuple. Passage qui se créé finalement assez naturellement devant vous. Vos talons claquent sur le sol presque en rythme, imitant le son du tic tac d'une bombe sur le point d'exploser. Enfin dehors, tu te retournes pour lui faire face et avant même que tu n'ai le temps d'ouvrir la bouche, la voilà déjà en train de te piquer. Ce surnom qu'elle prononce, ce "Lia" qui n'appartient qu'à @Noah N. Armani... Elle sait que t'as mal lorsque tu l'entends, ce surnom vestige d'un autre temps et souvenir d'un bonheur abandonné et regretté. Elle prend un malin plaisir à le prononcer en insistant bien, en pleine conscience du mal que ça peut te faire. Tu rougis sous la colère et la laisse cracher son venin, s'il n'y a que ça qui peut lui faire plaisir. « j'aimerai pouvoir te dire que je suis ravie également, mais je ne le suis pas. » tu dis doucement après qu'elle ai terminé de déblatérer son pitoyable discours. Mains sur les hanches, tu regardes à gauche puis à droite, passes tes pupilles tout autour de vous alors que la terrasse est absolument vide et à la merci de vos rancœurs. « t'aurais du honnêtement » tu lui réponds sur le fait qu'elle n'ai pas voulu venir te voir au bal pour ne pas te "déranger" « ça m'aurait donné l’occasion de te présenter à tout le monde comme la menteuse et jalouse que tu es. » T'insistes bien sur le mot jalouse avant de lui offrir un très beau sourire hypocrite. Tes traits se reprennent aussitôt et tu viens siffler avec vivacité « fini de jouer, je veux que tu me dises pourquoi t'as fait ça. pas de mensonges, sinon tu vas le regretter. » C'est vrai que c'est une technique tellement efficace, Katalia... Exiger la vérité par les menaces. Pas la plus saine en soit, mais assurément une technique à la Borgia.


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(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia
pfo house, lun 18 mai
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Nos similitudes bien trop présentes auraient pu nous rapprocher dans l'enfance, nous liant comme soeurs, profitant des instants partagés l'une avec l'autre comme d'un cadeau du ciel. La vie aurait pu être tellement différente. Mais tous ces points communs, ces traits de caractère dignes des miens m'avaient rapidement donné envie de la surpasser, la dominer, l'enterrer dans le monde Borgia. Une jalousie malsaine certain dirait, j'opterais plus pour un besoin de reconaissance, un besoin incommensurrable de briller, de me faire remarquer par mes talents, par ma beauté, par ma richesse. C'était ça d'être née dans la famille Borgia, une cuillère en argent dans la bouche que mon père au vu de son manque cruel d'ambition n'avait su transformer en or.  Aujourd'hui encore je lui en voulais férocement, même si depuis un an j'avais fini par ranger une grande partie de mon amertume à son égard pour le soutenir dans l'épreuve que nous avions traversées. Cette même épreuve où @Katalia Borgia m'avait épaulé, elle avait été présente, prenant des nouvelles de temps à autre, essayant de me changer les idées quelques fois, et le jour de l'enterrement serrant ma main alors que nous avançions dans la cathédrale de Milan, cette main qui m'avait permise de continuer d'avancer, aidant inconsciemment mes pas à ne pas flancher. Le problème ? Le problème était que les escroqueries, les coups bas et les coups de poignards étaient notre quotidien, notre plus belle oeuvre, et la sincèrité dans tout cela ? Avait elle été là pour faire la jeune fille modèle, ou avait elle réellement voulu être ici, à mes côtés alors que ma vie s'effondrée. Quatre mois plus tard, nous voici ici, l'une face à l'autre, la gorge presque nouée je soutenais son regard noir dans regard intense, comme si des coups d'éclairs sortaient de chacun de nous afin qu'une finisse par flancher. Mais entre Borgia cela n'était pas prêt d'arriver. Contre attaquand avec mes armes dès le premier acte, je sentais une tension en elle lorsqu'elle entendit son surnom fétiche, un sourire franc se dessinant sur mon visage, ce sourire qui voulait dire : qui s'y frotte s'y pique, let's play babe. Avouant faussement que j'étais ravie de la retrouver, elle se plantait de nouveau devant moi alors que je regardais la foule autour qui avait fini par devenir voluptile, les personnes quittant progressivement la terrasse comme si le futur orage qui tournoyait entre elles étaient perceptibles de tous. Des bombes à retardement qui n'attendaient qu'à déblatérer leurs venins, leurs crachins, leurs reproches, comme une suite de mots qui ne pouvaient blesser, mais qui au final pouvait faire plus de dégats que l'une ou l'autre ne voudraient l'admettre. Têtues, teignes, abdiquer ne faisait pas partie de leur vocabulaire. Un sourire hypocrite se dessinant sur mon visage, à la suite de ses accusations, menteuse et jalouse, j'en riais presque laissant échapper quelques gloussements distingués d'entre mes lèvres. " Que veux-tu je pense que @Toni Caldwell, c'est bien comme cela qu'il s'appelle d'ailleurs ? dis je d'un air innocent, presque enfantin à qui on pourrait donner le bon dieu sans confession. Je marquais une petit pause, pour jugeait de sa réaction, son palpitant augmentait je le percevais, la colère ne saurait que trop être attisée, c'était tellement facile de jouer avec elle, tellement jouissif même quelques fois. Toni avait été un dégat collatéral et mon coeur bien présent malgré tout s'en voulait, mais ça ne valait presque rien face à ce qui se dessinait devant moi. Est ce qu'un jour quelque chose pourrait dissoudre cette jalousie que j'avais envers elle. "Tu sais ce cavalier que tu avais emmené au bal pour mieux alors flirter avec un autre ... Je pense qu'il avait le droit d'être au courant ! Je mimais une tête de femme offusquée par tant de non savoir vivre, tromper son mec le jour du bal, chérie clairement ça ne se faisait pas ! Surtout quand mini Borgia était de retour. Oh que non je n'aurais râté cette soirée et cette occasion pour rien au monde, bitch un jour bitch toujours. "Un jour je t'apprendrais la discrétion, tu verras ! T'as peut être tellement de chose à apprendre de moi ... Même si l'élève ne peut dépasser le maître.   " L'hôpital qui se foutait de la charité, elle avait été la première à m'achever, m'enterrer presque vivante, suffocante s'alliant à toutes celles qui avaient pris plaisir jouissif à me dénigner lorsqu'elles avaient appris pour @Zeus Arnault et moi, ce même Zeus qui l'avait rayé de sa vie par amour, c'était qui la jalouse dans l'histoire ?


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Katalia Borgia

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@Rosalia C. Borgia
pfo house, lun 18 mai
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A bien des jeux tu gagnes contre elle. Les faux semblants, le control freak, la gestion de ta colère et le visage d'ange devant grand-père. T'as tes armes et ce sont celles ci. Mais Rosalia en a sa possession une arme bien plus dévastatrice, et c'est le fait qu'elle a toujours été capable de te faire flancher avec ses attaques. T'as souvent pas su te battre à armes égales avec elle, t'as essayé, mais elle est tellement plus forte et plus entraînée que toi que tu t'es fréquemment retrouvée confrontée à un mur impénétrable. Parfois, tu te demandes si elle a vraiment un cœur. Puis tu tu te souviens de cette main agrippée à la tienne comme si sa vie en dépendait et tu réalises que oui, elle en a parfois un. Cette dualité en elle, elle est si présente qu'elle en est perturbante et assez flippante. T'as déjà entendu que tu soufflais le chaud et le froid, que t'étais littéralement insupportable avec ça mais, visiblement, ces même gens là qui pouvaient te dire n'avaient jamais fait la connaissance de mini Borgia. Lorsque tu répliques, elle rit niaisement avant de t'enfoncer un peu plus. Encore la veille, tu te serais littéralement effondrée et mise à pleurer à cause de ta peine. Mais aujourd'hui, t'as la rage, et la voir glousser comme ça devant toi te monte encore plus les nerfs. Ça fait même pas soixante douze heures que ton couple a été brisé par ses soins, comment ose t-elle... ? Tu ne te démontes pas, mains toujours sur les hanches et roules des yeux au ciel de façon théâtrale. « je vois que t'as bien fait tes recherches. t'en as pas marre d'être trop fan de moi ? » tu dis alors qu'elle te sort le prénom et nom de ton regretté amant. « le jour où tu vas commencer à te mêler de tes affaires, tu me préviendras. » Qu'elle arrête de t'inventer des vies, ça t'arrangera. Puis t'as jamais été "flirter" avec quelqu'un d'autre. Peut être qu'@Ottis Abatucci a un tout petit peu flirter avec toi et que tu n'as pas aussitôt fuit en courant... mais soit, ce n'est pas la question ici et maintenant. Tu soupires longuement lorsque tu réalises la situation. Si seulement la situation avait été différente, dès le début. Si seulement vous aviez pu vous lier et même vous associer, ça aurait probablement été vous contre le reste du monde. Elle aurait été ta meilleure amie, plutôt que ta meilleure ennemie. Le destin en a décidé autrement, probablement en connaissance que votre duo serait bien trop ravageur pour être viable pour le reste du monde... En lieu et place, vous êtes là à vous piquer et vous haïr pour des histoires de mecs. Zeus, Noah, Toni, bientôt Ottis, le jour où tu apprendras qu'ils ont déjà couchés ensemble... Au final, c'est ridicule mais c'est plus fort que vous. Vous pourriez juste tous les oublier et juste vous retrouver toute les deux. Mais ce n'est pas possible. Toi, t'es bien trop dépendante affective à ton plus grand désarroi et elle, elle bien trop compris comment faire d'un homme une arme pour grimper les marches de la haute sphère. Des choses à apprendre d'elle... « Merda Cléo, tu te fou de ma gueule ! » c'est clairement l’hôpital qui se fou de la charité. T'es as rien à foutre de ses conseils, ni de ces leçons, elle n'a rien à t'apprendre, surement pas elle. « c'est toi qui va m'apprendre quelque chose ? alors que t'es pas foutue de rester avec un mec sans le tromper ? laisse moi rire s'il te plait ! » c'est d'ailleurs ce que tu fais. Tu ris sans gènes, d'un rire franc et un peu dramatique et non pas d'un rire cristallin. « tu me fais pitié Rosalia. » elle veut jouer au jeu du petit surnom blessant ? Elle ne jouera pas sans toi. Tu la regardes de haut en bas avec ce regard hautain que t'adresses d'habitude aux plus misérables et non à elle. Tu sens bien qu'il y a des regards qui se tournent vers vous, tu prends même soin d'adresser un petit signe de la main avec un sourire à deux mecs en train de fumer dehors et vous regarder avec de grands yeux, probablement admiratifs du spectacle de ces deux reines en train de s'arracher à tour de rôle la couronne des mains. Qu'ils en prennent de la graine.


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(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia
pfo house, lun 18 mai
~~~~
Telles deux reines pour un seul trône. Notre relation s'entremêlait entre rivalité, amour, trahison, soutien furtif. Electrique, intense, seule moi pouvait survivre aux attaques de @Katalia Borgia quand elle était la dernière à pouvoir me tenir tête. Enchaîner les ruses et les attaques pour essayer de sortir vainqueur. Mais à ce jeu y avait il réellement un jour une gagnante, l'empire Borgia était depuis toujours promis à ma cousine. Oui dans les Borgia, tout le monde n'était pas née dans la bonne famille. Alors que Katalia avait joui de la motivation et ambition de son père, lui offrant un entreprise plus que fleurissante, mon père à moi presque inconsistant avait toujours préféré son confort de sa vie de famille bien rangée et sans accroc. Choix de vie que j'avais toujours considéré d'une inutilité totale, même si au fil des années, l'amour d'une famille m'avait manqué et que j'avais réussi à rattraper tout ce manque grâce aux Luxembourg, une deuxième famille bien plus précieuse de soutien que ma propre famille. Oh damn jamais je ne renierais les liens du sang, car chez les Borgia, les contradictions étaient plus que présentes. A toute personne se montrant cruelle avec ma cousine se voyait rapidement exposée à une contre attaque de mini Borgia. Kat' avait le droit de morfler, de souffrir, d'être blessée et meurtrie ... oh ça oui et elle l'avait souvent été, mais seule condition que cette souffrance soit liée à cette jalousie maladive qui m'habitait depuis bien trop longtemps. En parallèle de ma jalousie pour elle, avait toujours coexisté une admiration, une idolation, je l'avais quelques fois vu comme un modèle de vertus, un modèle à atteindre mais même à dépasser, achever, écraser.  Dualité de ma relation avec elle, toujours et encore, exacerbée même  lorsque j'avais compris que mois après mois elle continuerait à m'abandonner, me laisser sur le banc de touche même lorsque la vie nécessitait le plus sa présence, laissant mon coeur saigner violemment seule. " Ce n'était pas trop dur ! Laissé un si beau jeune homme seul à une table, c'était tout de même assez culotté ! " Je n'avais pas eu le temps de trop appréhender ce jeune homme, mais il semblait en plus des plus sympathiques, expliquant le malaise que j'avais ressenti en moi en voyant par la suite la bombe que j'avais exposé devant ses yeux. Un mal pour un bien très certainement, voir le vrai visage de Borgia première était surement la meilleure chose pour lui, pour qu'il ne continue pas à se berner d'illusions.   " Sois pas jalouse que lorsque tu as voulu bousiller mon couple ... mon amant ai préféré te reléguer à l'amie de bas étages que t'écouter. Choisis les mieux la prochaine fois. "   Se faire passer pour la victime, elle savait y faire Katalia, calimero de la famille, celle qui pouvait te faire passer pour la pire des garces alors qu'elle t'égalait sans aucunes peurs ni regrets. Elle avait été d'ailleurs la première quatre ans plus tôt à vouloir influencer ma vie sentimentale, causer ma perte avec @Zeus Arnault. Sorry darling, le combat en valait peut être la chandelle mais la défaite ne s'était pas faite attendre trop longtemps.  A l'époque mon corps s'était porté en ébullition en quelques secondes seulement, pour me transformer en ouragan prête à tout ravager sur son passage. Première fois que l'une ou l'autre nous mêlions de la vie sentimentale de sa plus grande rivale, t'avais voulu jouer Borgia, aujourd'hui en était ta défaite. Mini Borgia n'oubliait jamais, encaissée, ressassée, préparée sa vengeance et tel un glas, un retour de bâton, un coup d'échec ultime elle te l'avait asséné sans prévenir, sans détours et avec une jouissance non dissimulable. Pas foutu de rester fidèle ? Elle marquait un point, un point trop douloureux, me ramenant bien trop à mon passé avec Zeus, mais @Jayson King aussi. Oui incapable, elle avait raison, le naturel revenait toujours au galop, la tentatin était trop forte, celle la je ne l'avais pas vu venir, elle me poignardé en plein coeur, me rapellant tout ce que j'avais pu perdre cette année. Zeus, les fiançailles, le mariage, une relation paisible et presque parfaite, un avenir plus que reluisant, une place dans la société à jamais. Mais avec Zeus, c'était bien lui, sa propre personne, son regard aimant, sa présence rassurant, son humour de merde, ses attentions chaque jours, ses folies, nos souvenirs, nos moments rien qu'à nous coupés du monde, secret au monde extérieur même. Il était clairement la seule personne qui avait su me faire changer un peu, peut être pas assez, mais une première avancée déjà. " Et toi t'es pas capable de rester plus de quelques mois avec la même personne ... Les enchainant parce que tu n'es pas capable de rester seule et de les garder sur la durée surtout ! Alors je pense que tu es loin d'être un idéal de petite amie ! Et ne me parle pas de Noah ...  " Je formulais de façon totalement innocente son prénom, non pas pour l'achever encore un peu plus, juste pour lui certiier qu'un amour à l'âge de quinze ans ne comptait pas réellement. C'était des mirages de jeunesse, des histoires sans problèmes, sans soucis, utopique presque, bien loin de la vérité des couples. Elle s'y connaissait elle en relation stable où chacun devait faire des efforts, rendre son égoïsme presque vain ?! Sentant les regards se braquer sur moi, le retour à la PFO était plus tendu, la guerre entre Borgia allait de nouveau alimenter la vie du campus, je crois que le monde entier n'était pas prêt à voir s'affronter ces deux âmes aujourd'hui meurtrie, en peine, et prête à tout pour ne pas admettre la défaite. Rosalia. Désobligeante à son tour, mon regard noir la foudroyait en quelques secondes. " Ton avis m'importe peu Borgia ! Le jour où je dépendrais du regard que tu portes sur moi c'est le jour où je serais dans ma tombe, les bras en croix ... et jamais je ne te donnerais la joie d'assister à ce moment ! "  Je marquais doucement une pause avant de reprendre prise par la rage qui m'habitait. " Tu sais le même genre de jour il y a quelques mois où hypocrite tu m'as tenue la main. " dis je d'une voix blessante parce que mini Borgia blessée c'était même plus du venin qu'elle lançait s'était du la trinitrite qui explosait en plein coeur. Non j'avais pas besoin de toi Borgia ! J'avais pas besoin d'une femme qui voulait se donner bonne figure, bon genre devant les grand italiens, pas besoin de ta pitité, de ton semblant de soutien. J'aurais envie de le crier, mais j'avais juste pas besoin d'une manipulatrice comme toi dans ma vie, mais je préférais taire mes émotions qui pourraient bien trop me trahir de la dépendance que mon fort intérieur avait envers toi.


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Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : b.i.t.c.h in disguise. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
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RPS en cours : Jayson King b.i.t.c.h in disguise. 1f342 Loéva Berry b.i.t.c.h in disguise. 1f342 Ottis Heimann
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048

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@Rosalia C. Borgia
pfo house, lun 18 mai
~~~~
Dans un monde idéal, dans un monde sans rivalités et sans jalousies, vous auriez pu être les deux plus solides alliées que la terre n'ai jamais portée. Un duo de feu prêt à tout brûler sur son passage. Cependant, la réalité est toute différentes et ces jalousies ont peu à peu, avec les années, détruit tout ce qu'il y avait de bon entre vous. Sa jalousie envers ton héritage, cette façon de toujours te faire passer la première alors même que vous n'étiez pas en âge de comprendre quoi que ce soit... Toi aussi, t'es jalouse d'elle et de son art d'être si forte et indépendante. Il y a un temps, t'aurais tant aimé parler avec elle, savoir pourquoi et comment elle y arrivait. Elle t'aurait conseillé, elle t'aurait tiré vers le haut. T'aurais fait de même en retour. Mais la fierté entre vous a été plus forte que tout le reste et la détester et la jalouser pour ce qu'elle était a rapidement été beaucoup plus facile que de flancher... Alors ça a toujours été comme ça, la guerre à qui sera la meilleure, la plus belle, la plus aimée. Un coup c'était l'une, un coup c'était l'autre. Et plutôt que de vous féliciter à tour de rôle, ça n'a jamais rien fait de plus que de vous faire détester encore plus. T'es persuadée que la petite voix de la tête -qui depuis ta naissance t'as toujours susurré de faire un pas vers elle- aurait très bien pu à nouveau te conseiller d'aller vers elle aujourd'hui, surtout sachant que vous alliez être la pforzheimer house toutes les deux. Pourtant, cette fois ci, aujourd'hui, maintenant, cette voix reste silencieuse. Rosalia a été beaucoup trop loin. Elle a poussé à l’implosion de ton couple avec @Toni Caldwell avant même t'avoir adressé un bonjour. Elle a détruit l'une des rares choses qui comptait autant pour toi d'un battement de ciel avisé et appliqué. Sans une seule seconde de remord, elle a fait partir en fumée ce que ton cœur chérissait le plus. Le chagrin t'as envahis, tel un raz de marée et la seule solution que t'as trouvé, c'est juste d'oublier ce cœur qui pleure. T'as laissé entrer la colère, la rancœur et la rage pour oublier tout le reste. Première personne à en faire les frais : évidemment elle. Roules des yeux au ciel lorsque les paroles de la belle parviennent jusqu'à tes oreilles « tu sais, je ne lui en veut pas, l'amour rend aveugle. et il a du bien être aveugle pour te supporter pendant quatre ans. » elle veut te piquer au cœur, mais t'as plus de cœur. Tu te mets à son niveau, tu prends les mêmes armes et tu tentes de frapper la première et encore plus fort au sujet de @Zeus Arnault. « et aujourd'hui, après laquelle et seule des Borgia il veut se rattraper ? un indice : c'est pas toi. » petit rire narquois que tu rattrapes rapidement. Tes mots vont suffire à la blesser, tu le sais très bien, pas besoin d'en rajouter une couche non plus. Tu veux lui laisser sa chance... qu'elle prend aussitôt et te balançait à la figure que t'es pas capable de rester plus que quelques mois avec un mec. Oh la bitch ! Elle touche là où ça fait mal et le sait très bien car elle ose t'afficher un large sourire mesquin à la gueule. Piquée et blessée, tu trouves quand même de quoi lui rétorquer « bah ouais, mais tu sais, au moins je n'ai pas été voir ailleurs à la première difficulté qui se présentait... ce n'est pas toi qui va me dire le contraire. » et encooore. Aussi longtemps qu'elle continuera à t'attaquer sur ton manque de longévité, tu l’attaqueras sur son infidélité, c'est comme ça. Regard noir à ton attention, que tu lui rends sans concessions. Alors ce sera donc comme ça ? A partir de maintenant et pour toujours jusqu'à la fin de vos jours ? T'es pas prête à céder, pas prête à lui tendre la main, pas après ce qu'elle à fait au bal... La rage se mêle à la peine. Tu la connais et ses mots te font sursauter lorsqu'elle parle du vingt cinq décembre dernier. Tu penches la tête, tu regardes le sol, tu faiblis, depuis la première fois depuis le début de votre échange. « ne parle pas d'hypocrisie, c'était sincère... » voix plus douce au milieu de la tempête. Peinée, blessée, qu'elle ai pu penser ça et à l'évocation de ce souvenir douloureux. Toute la haute de Milan avait été là ce jour là. La famille, les amis, toutes les personnes en lesquelles croyait cette femme au cœur pur, ta tante. Mais la seule que tu avais vu, c'était elle. Ta cousine. La seule que t'avais regardé, que t'avais couvé, et que t'avais aimé. Il y avait ton oncle, ta mère, ton père, votre grand père, des cousins. Mais rien ni personne hormis elle ne t'avait offert ce regard de détresse pour lequel tu aurais pu retourner la terre. « le destin a été un tel connard de te... de nous la prendre. » fébrilité dans ta voix. Si Rosalia a perdue l'être le plus cher à ses yeux, t'as perdue un modèle et l'image d'une femme que t'as toujours voulu imiter. Jamais ta douleur ne sera comparable à la sienne, mais ta main qui avait tenue la sienne ne l'aurait jamais lâché si elle ne l'avait pas retiré. Quelques semaines après ce jour, t'as cru qu'un nouveau souffle plus sain était né dans votre relation, tu l'as vraiment cru. Tu l'as surtout voulu. Et tu t'es planté en beauté. Tu soupires tout doucement et relèves enfin la tête, tes yeux humides laissent place à tes éclairs dans tes pupilles. « tu ne seras pas dans la tombe de si tôt, mais compte sur moi pour faire venir l'enfer sur terre rien que pour toi. » tu siffles doucement et à travers tes lèvres. Parce qu'un souvenir de soutient partagé ensemble ne saurait effacé les vingt deux années de rancœurs, de querelles et de haine. Pas après toutes ces années, parce après ce qu'elle t'a fait.


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@Katalia Borgia
pfo house, lun 18 mai
~~~~
@Katalia Borgia , la cousine qui aurait pu devenir la sœur, cette sœur du même sang que le monde aurait pu me donner. Longtemps durant l’enfance c’était ensemble que nous partagions nos jouets, nos après midi dans le jardin de notre grand père à courir libre à travers les herbes, à cueillir les fleurs à celle qui ferait le plus beau bouquet pour sa maman. A l’époque de l’insouciance, c’était des défis gentillets que nous nous lancions, une compétition saine pour le plus grand plaisir de notre famille. Au petit soin l’une de l’autre quelques fois, chipie le lendemain, du haut de nos petites jambes, les rires et les sourires nous forgeaient une vie idéale dans la famille Borgia. Oui à cette époque tout semblait être beau, rayonner, la cuillère en argent semblait avoir tout pour devenir or massif, nous promettant cette vie de « princesse » sans couronnes qui pourrait en faire rêver plus d’une. Mais le temps à passé et les vies imaginées, transposées des Disney à une réalité souhaitée, désirée. Le monde m’avait offert les opportunités d’être né dans une bonne famille, un potentiel d’opulence, d’ambition, de caractère et de détermination. En grandissant, m’affirmant de plus en plus, je m’étais promis que rien ne pourrait m’arrêter pour rendre fière ma mère, rendre comblée ce modèle de vertu mais également cette femme courageuse, digne, humble et avec un cœur si pur. Depuis ma plus tendre enfance, en parallèle de ma rivalité avec Katalia, c’était mon amour indéniable et infini pour ma mère qui m’avait permis de franchir les étapes de ma vie. Passant de jeune femme douée à l’école à une élève modèle, majeure de sa promotion année après année. Passionnée de musique, c’était virtuose du piano et du violon que j’étais devenue.  Pleine de rêves, ces derniers étaient devenus réalité lorsque Harvard m’ouvrait enfin ses portes que quelques mois seulement après mon entrée à l’université de Cambridge. Toutes les comètes que je regardais chaque nuit semblaient parfaitement s’aligner, ma vie prenait forme jour après jour avec son lot de surprises, d’opportunités une à une saisies volontairement et sans scrupules ou presque. Les années avaient passées et ma rivalité devenue malsaine envers ma cousine avait eu l’impact de faire de moi la meilleure partie de moi, ou du moins la plus efficace, la plus tenace, la plus ambitieuse et performante. Une carapace se nouant petit à petit autour de moi, enrobant ce cœur d’un ciment bien dur à percer, séchant les larmes qui voudraient rouler le long de mes joues bien avant qu’elles ne soient sorties de mes yeux. Forte. Puissante. Résistante. Courageuse. Imbattable. Invincible. Du moins c’était la femme que j’avais toujours voulu être, mais lorsque Katalia évoqua @Zeus Arnault , une grande partie de ces qualificatifs sombraient. Oui j’avais été piqué, piqué par un homme trop bien pour moi et Kat’ le savait. Oui elle avait fini par le découvrir, elle s’était rendu compte que cet homme qui avait été au premier abord un parmi tant d’autres, avait fini par capturer ce cœur impénétrable. Et c’était en toute connaissance de cause qu’à cet instant précis, Queen Borgia assenait son coup d’une phrase douloureuse qui ferait flancher les personnes les plus invincibles. La pointe en plein cœur, je roulais les yeux au ciel. Œil pour œil, dent pour dent. Aucune trêve ne semblait être permis entre nous et ce depuis tellement d’années que je ne saurais même pas dire depuis quand les moments tendus, déchirants et brisants étaient devenus beaucoup plus nombreux que les accolades sincères et sentimentales. Il était devenu tellement plus aisé de s’entretuer que de se crier cet amour trop bien enfoui que je pouvais lui vouer. Je donnerais ma vie pour elle, mais à l’heure actuelle et par vengeance pour tout ce qu’elle m’avait fait, c’était ma vie que je donnerais pour sa perte. Sa deuxième souhaitant m’achever, je plongeais mon regard dans le sien, comme un défi, comme une promesse que je savais me relever des pires coups bas qu’elle pourrait me lancer. « Trois longues années de passion, sois pas jalouse Borgia ! Et ce malgré toutes tes manigances pour nous faire flancher. A croire que dans l’art de me détruire, tu as encore quelques talents à acquérir !  » Oui quelques fois je me sentais presque chanceuse que Katalia soit une demi experte pour me rendre la vie insupportable, car que ce soit avec Jayson ou avec Zeus, ma seule faute, mes seules faiblesses et trahisons avaient eues raison de mon bien être, de mon ambition. Car oui Mini Borgia n’avait besoin de personne pour rendre sa vie merdique, j’avais ce don pour rendre rouillé les plus belles choses qui pouvaient m’arriver. Pas moi. Non nos retrouvailles avec Zeus avaient été des plus glaciales lors du bal, d’autant plus que mon cœur s’était noué en suffocant presque lorsque je l’avais découvert si proche de Rim, m’achevant lorsque je les avais vu s’embrasser, touché coulé. Coulée dans les telles profondeurs que rien n’y personne ne pourrait totalement venir m’y sauver avant que je ne revois cet homme qui avait mon cœur à sa merci. Incapable de contre attaquer, je laissais le silence s’installer lentement, son rire narquois insupportable à mes oreilles et ma vue. Ma main se crispe légèrement dans mon dos, essayant de souffler, reprendre l’air, sortir la tête de l’eau. Ses mots se font de nouveau entendre, l’infidélité, je n’en étais pas fière, mais je ne pourrais m’en rendre innocente, par plusieurs fois j’avais pêché, le corps ayant des élans que la raison et l’être ne pourraient accepter. « Et flirter devant son mec lors du bal de fin d’année j’ai connu plus respectueux. Arrête de te faire passer pour une sainte nitouche Katalia ! Toi comme moi savons pertinemment que nous sommes les mêmes. Les sœurs que tout séparent mais inexplicablement tout rapprochent. Tu essayes juste de te faire bien voir … L’hypocrisie encore et toujours ! » Elle était mon miroir, ma plus belle vision de moi-même mais également la pire. La réciproque était vraie, mais la haine, la rancœur, la fierté, l’égo, tous ces paramètres avaient bien du mal à nous faire avouer que nous étions trop semblables. Un alter égo. La face pile et la face. Deux visages. Ange ou démon. Reine ou Sorcière. Une dualité si marquait dans notre caractère mais également dans notre relation. La part sombre s’exacerbant jour après jour laissant que très peu de place à la lumière de briller, de nous rendre belle l’une par l’autre. Les ténèbres beaucoup plus attirants que l’Eden.  Cet Eden au milieu du chaos avait eu lieu lors de l’enterrement de ma mère, à travers la tristesse, la solitude et le gouffre que je ressentais au plus profond de moi, Kat’ avait été là sa main dans la mienne. Le contact de sa main, sa force m’avait été à ne pas tomber, comme l’espoir d’avoir retrouvé cette « sœur » face à la difficulté. Oui j’aurais voulu y croire, sincèrement, férocement, j’aurais pu la garder pour moi durant des heures. A cet instant bien plus importante que mon père, elle avait été l’alliée que je n’aurais jamais espéré et pourtant elle m’avait de nouveau abandonné … Dès le lendemain ses talons s’en étaient allés, ses messages étaient devenus silencieux, une page blanche dans mes journées, vidant mon cœur un peu plus du vide abyssal qu’il vivait déjà. Impardonnable ! Inexcusable ! Irrémissible ! Ses phrases peut être sincères virevoltaient au dessus de moi, ma haine et tristesse conjuguées de ne les entendant même pas. Je la laissais se donner bonne conscience … au damn plus jamais je ne dépendrais de son soutien, de son amour, de sa force, de ses traits d’attention qui m’avaient valu de descendre dix pieds sous terre lorsqu’elle avait décidé de m’en priver du jour au lendemain tel un mirage qui n’avait jamais existé, telle une comète qui finissait par se consumer ou tel l’espoir d’une trêve entre nous qui capoté avant même d’avoir existée. Oui la trêve n’aurait pas lieu, ses yeux pleins de colère me fusillaient en parallèle de son venin qui sortait de sa bouche. Une promesse à la Borgia. Faisant mine de trembler, je lui rétorquais d’une voix pleine de défi. « J’en tremble Borgia ! » Dis-je avant de marquer une petite pause et subitement, lui crier « Bouh ! » en écarter mes doigts devant son visage telle une bombe qui éclate. « Peut être es tu devenue la reine de Harvard ou même de la PFO Katalia, mais sans concurrence j’aurais été déçue de ta part … Tu m’as toujours habituée à exceller …  Mais maintenant que je suis de retour, je compte bien retrouver ma place à Harvard, que tu le veuilles ou non ! Donc la PFO si j’ai envie de m’y inscrire crois moi que j’en serais digne ! Et le fait que tu y sois, me procure un plaisir encore plus intense … Et tu auras beau invoquer l’enfer pour qu’il vienne sur terre, j’suis prête à riposter, car tout le monde sait que ton enfer c’est moi ! » Je marquais une pause avant de reprendre de nouveau. « Et comme tu le sais si bien une Rosalia Cléopatra blessée, le cœur vide, qui n’a rien à perdre est capable de tout … T’as voulu jouer il y a quelques mois … Let’s play ! » Tout ceci n’était pas même une menace, nous on ne se menaçait pas entre Borgia, c’était une promesse, une promesse d’une revanche, que les vents allaient tourner, que l’on récolte toujours ce que l’on sème … Et les tornades Katalia et Borgia avaient souvent de faire des dégâts ! Trop de dégâts ! Personne n’en sortirait indemne, ni l’une ni l’autre, ni leur entourage, elles allaient un jour finir par causer leur perte et pourtant la tristesse, la rancœur étaient trop fortes pour s’avouer vaincue sans combattre.  


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Katalia Borgia

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@Rosalia C. Borgia
pfo house, lun 18 mai
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Un dommage collatéral de ta peine. Rosalia n'est pas la cause mais elle est en l'effet. Cependant, mettre la faute sur elle est tellement plus facile, tellement. La prendre comme unique responsable de ta rupture. Parce qu'au fond, bien au fond, tu sais très bien que ce n'est pas le cas. La seule fautive c'est toi. Rosalia a seulement mis en lumière un raz le bol et réduit à néant une patience qui ne tenait plus qu'à un fil. La patience et la confiance de Toni. Que tu as toi-même fait partir en fumée avec toutes tes petites cachotteries et tes pensées par claires envers Noah puis le fait que t'ai pas si vigoureusement que ça repoussé Ottis. Les répliques fusent, les piques, telles des bombes toujours plus puissantes en train d'exploser entre vous. Pas sur vous, non plus. Car le but n'a jamais et ne sera jamais de vous détruire complètement, juste de vous blesser, de vous écorcher vives. De s'élever plus haute en poussant bien fort sur le sol l'autre. Un schéma plus que malsain, mais le schéma Borgia. Celui que vous avez toujours connu, celui auquel vous êtes tristement habituées. L'aversion que tu lui portes est égal à l'amour. Incommensurable. La haine et la rancœur en pleine lumière, dans tes gestes, dans tes mots et dans ton regard. L'amour tellement enfuit que presque oublié. Mais il est bel et bien là, et il fait battre ton cœur très fort à chaque fois que tu la croises, que vous vous prenez la tête ou que vous vous regardez de travers. La reine des mensonges que tu es joue ici sa plus belle comédie. Sa plus belle pièce, la plus belle oeuvre de toute ta vie. Jouer l’indifférence alors que ton cœur hurle en toi l'amour que t'as pour cette brune qui partage ton sang. Ce sentiment tellement réprimandé avec les années qui prend aujourd'hui les airs d'un rêve, du souvenir lointain qui devient de plus en plus flou dans ton esprit au fil des ans. En décembre, ce souvenir et ce sentiment est de nouveau redevenu clair et vient à nouveau aujourd'hui de disparaître, cette fois pour de bon. Tu ne comprends pas ce revirement de situation. Le fait que Rosalia te déteste à nouveau et cherche à te faire du mal. T'es inconsciente du fait que ton absence de nouvelle lors qu'il a été question du chantage et du kidnapping dont t'a été victime lui a fait tant de mal. Evidemment, elle n'est pas au courant de ces événements parvenus dans ta vie. Si seulement elle savait... Alors tu craches ton venin et elle crache le sien en retour. Encore et toujours, inlassablement. Deux insatiables sur tous les points de vos vies. Tiens, encore un point commun, et pas des moindres. C'est inutile de chercher à te justifier sur le bal, sur Toni, sur Ottis, sur quoi que ce soit. Elle ne t'écoutera pas et quand bien même elle ne te croira pas. Alors tu la laisses parler, restes en silence le menton bien redressé à encaisser les coups et feindre l’indifférence. Faire comme si elle n'était pas en train de te blesser et que tu iras directement pleurer après l'avoir quitté. Ta dernière menace aux airs de promesses arrive dans la conversation alors qu'elle te laisse enfin en placer une. Après la douceur d'un instant à l'évocation de sa mère, c'est à nouveau la tempête et la haine qui vous secoue toutes les deux. Elle réplique, te joue une belle oeuvre d'art encore en faisant mine de trembler et en te criant devant le visage. Son enfer c'est elle... Elle a clairement raison et si pendant une seconde, tu hésites à faire un pas en arrière car, au fond, cette conversation te fait beaucoup de mal, tu oublies vite l'idée pour prendre le même ton et répliquer « et tu crois que tu me fais peur, Rosalia ? depuis toujours, j'ai toujours été avant toi, la préférée, la meilleure, la plus réfléchie, la plus regardée et t'as jamais pu le supporter ! alors occupe toi d'abord de ta propre petite personne et lorsque tu seras de taille, seulement là, reviens me voir ! » Elle te défi encore, et là c'est juste trop ! Elle va trop loin, elle perd complètement les pédales. Tu rougis de colère, terminé le self control, les faux semblants et les piques appliquées avec cette putain de fausse courtoisie qui fait tellement mal. Tu te redresses bien, le menton haut et siffles une dernière fois avec rage avant de tourner les talons avec fierté et quitter la pforzheimer house « C'est la guerre Borgia ! » Borgia. Pas Rosalia, ni Cléo, ni rien du tout. Bel et bien Borgia. Parce que cette guerre, tu ne pas vas la mener seulement contre elle, mais contre toi également. Contre tes démons, contre ta rage envers elle, contre ta peine de devoir encore vous déchirer. Un schéma sans fin, qui s'applique sournoisement et inlassablement. La guerre. Qui va faire plus de dégâts que jamais auparavant. Et que tu vas gagner, à n'importe quel prix.

FIN DU RP



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