you always try to hide the pain.

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@Chris Rothschild
parc, sam 16 mai
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Pas agités et pressés derrière la petite boule de poils. Ce n'est pas toi qui promène Naska, c'est Naska qui te promène. T'as besoin de te changer les idées, de prendre l'air, d'oublier. La douleur et la peine. T'as beau tout faire mais t'as l'impression qu'elle sera toujours là, à jamais. T'as parlé avec Lukas ce matin, tu lui a tout raconté, tout... pourtant, tu ne vas pas mieux. Alors t'as décidé d'embarquer Naska avec toi pour une longue balade dans un parc, parce que ce bébé là a autant besoin de se défouler que toi. Petite chienne de ta meilleure amie Meluzine qu'elle vient d'adopter. Tu vas et viens dans le parc en fin de matinée, c'est plutôt tranquille, tout le monde semble encore dormir sauf les sportifs. Naska tire tellement sur sa laisse pour aller renifler tout et rien, ça te fait du bien car toutes tes pensées son concentrées sur elle (pour pas qu'elle bouffe n'importe quoi) et pas sur... le reste. Tu relèves le nez deux secondes vers le soleil capricieux de ce matin, et c'est là que Naska décide de courir après un pigeon. Elle t'arrache la laisse des mains et toi, juste complètement paniquée, tu te mets à lui courir après. « Naska ! Naska viens ici ! » tu cris alors que le bébé chien n'en a absolument rien à foutre. Tu finis par la rattrapée, soulagée, et fais trois tours de sa laisse autour de ton poignet, là. Fatiguée par cette course, tu t'assoies dans l'herbe alors qu'elle saute sur tes genoux. Tu souris doucement, touchée par la bonne énergie communication de l'animal. T'as cependant tes lunettes de soleil et heureusement car tes cernes sont beaucoup trop marquées après la nuit blanche à pleurer que tu viens de passer. Tu regardes un peu autour de toi et caressant doucement l'adorable animale tranquillement posée sur tes cuisses. C'est là que tu le vois. Bordel de merde, t'es pas prête à ça. C'est pas l'endroit, ni le moment. Y'a rien qui va, en fait. Surtout après comment s'est terminée votre précédente conversation au spring break et tout ce qu'il s'est passé dans ta vie sentimentale depuis... Alors tu plonges le visage dans la fourrure de Naska pour te cacher. Evidemment, cette dernière décide de quitter tes jambes pour aller se coucher tranquillement sur l'herbe à ta gauche et te regarder avec ses grands yeux. La fourberie. Chris s'approche, tu sais qu'il t'a vu, son regard est sur toi. Et merde, trop tard pour fuir. Tu restes juste là assise en tailleurs dans l'herbe avec Naska à côté, penaude et interdite alors qu'il approche toujours plus.

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Oulala quelle journée tu passais, tu ne cessais de courir partout, ta voiture était parti à l'entretien et tu ne voulais pas attendre plusieurs heures assis dans un siège à attendre au garage. Tu avais quelques trucs à faire, des études et des devoirs. Mais il n'en étais rien, tu prenais ton courage à deux mains et tu étais parti de là pour rejoindre ton logement, situé à Harbor Area. Pour revenir de la ville, tu passais par un petit parc, où il n'y avait pas grand monde. Tu répère une jeune femme, un visage très familier. Oui, c'était Katalia, la jeune femme avec qui tu avais passé un peu de temps au Spring Break, une fille très sympathique et vraiment très jolie. Néanmoins, tu ne sentais pas la chose aussi agréable aujourd'hui, elle semblait se camoufler ? T'avait-elle vue ? Essayait-elle de te fuire ? En tout cas, elle en donnait une forte impression et tu passe à côté d'elle en lui adressant la parole. "Je t'ai vu, pas la peine de te camoufler, tu n'as pas envie de ma compagnie, je continue mon chemin, ne t'en fait pas pour ça." Elle avait des regrets de votre sortie au Spring Break ? Tu n'en avait pas la moindre idée. Tu continue ta marche, vexé tout de même de la chose et ne lui dit rien de plus, tu pouvais être gentil, mais il ne fallait pas en abuser ou te prendre comme ça à ignorer. Si elle je voulait pas te parler, elle n'avait qu'à simplement te saluer sans plus, mais ce n'avait pas été le cas en ce jour, loin de là même.

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parc, sam 16 mai
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Lunettes de soleil sur le nez, jean sombre, baskets et sweat noir à capuche, il n'y a pas seulement le fait que t'es pas bien pour lequel tu veux rester seule. Il y a aussi le fait que t'es dans de vieilles fringues du dimanche, des fringues de la déprime, et que tu détestes qu'on te voit dans cet état. Tu prends toujours bien soin d’apparaître dans tes tenues pointues, maquillée et coiffée à la perfection. Mais aujourd'hui c'est différent, il n'y a rien de tout ça sinon le reste de tes belles ondulations dans les cheveux que t'avais hier pour le bal et qui encadrent aujourd'hui ton visage et descendent dans ton dos. Chris s'approche et lorsqu'il passe juste à côté, t'adresse la parole. « putain Chris, tu ne vas pas te vexer pour ça je t'en prie. arrête, on dirait moi. » tu lui rétorques en soupirant doucement. Tu viens tendre une main en sa direction, espérant qu'il comprenne que tu veux profiter de son aide pour te relever et ne pas te prendre un gros vent. Lorsqu'il approche finalement, tu viens loger ta paume dans la sienne et profites de sa force pour grimper sur tes jambes chancelantes. Naska ne manque pas de lui faire la fête « j'te présente Naska. » tu lui dis en te penchant sur l'adorable animal pour la caresser. T'es là, l'air de rien à parler du chien, juste car c'est tellement plus facile de parler... de tout le reste, en fait. Et surtout de tes traits fatigués et de tes yeux encore humides à cause des larmes. T'as toujours tes lunettes de soleil, il ne doit pas voir tes cernes, tant mieux. « bon en fait, je suis désolé, je ne tiens plus debout. tu peux rester si tu veux. » tu dis doucement avec une tentative de sourire, mais tu n'y arrives pas trop. Rien ni personne ne saura te faire sourire, aujourd'hui. Tu le laisses retomber dans l'herbe grasse du parc, attendant de voir s'il t'imitera ou pas.

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C'était toi tout cracher, être vexé aussi facilement et râler pour de si bête chose. Tu ne peux pas lui en vouloir très longtemps puisque rapidement elle réagis en venant te rendre la main et tu ne sais rien faire d'autres que de craquer et te jeter vers elle pour accélérer cette main qui l'aide finalement à se relever. Tu ne souhaite même pas réagir et parler suite à tout ça. Quand à elle, elle te présente simplement le chien, près duquel tu viens te pencher pour lui adresser quelques caresses. "Coucou toi." C'est la seule phrase qui sortait de ta bouche. Quand à elle, tu ne la trouve guère dans son assiette, un peu comme au début de votre rendez-vous lors du Spring Break. Elle de laisse même tomber les fesses au sol et dans un mouvement, tu l'accompagne pour t'asseoir à ses côtés. Tu passe le bout de tes doigts sur ses joues. "Tu as pas l'air d'aller bien ma belle, qu'est-ce qui t'arrive ?" Tu n'attends pas vraiment qu'elle réponde à ta question et tu la saisis dans tes bras, la réconforter et sentir qu'il y a une présence, ça aide beaucoup et ça peut soulager énormément la personne à s'ouvrir, ce dont tu espère, car cette fille elle te plaît et tu l'apprécie pour ce qu'elle dégage de sa personne.

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@Chris Rothschild
parc, sam 16 mai
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Naska semble si contente de voir quelqu'un d'autre que toi, quelqu'un de plus positif. Tu serais presque jalouse de l'accueil qu'elle lui réserve, en fait. Puis tu te souviens qu'elle a bien raison et qu'elle a juste du en avoir marre de toi et de ton air dépité. Pas capable de tenir plus longtemps debout après cette course après une Naska fugueuse et surtout après ta nuit blanche, tu retrouves très rapidement le chemin de l'herbe fraîche où tu t'installes confortablement, les jambes tendues devant toi. Tu lui dis de faire de même s'il le souhaite et est plutôt contente lorsqu'il le fait. Ça va peut être te faire du bien de parler d'autre chose et de changer un peu les idées. T'as passé une fin de soirée horrible, t'as pas dormi de la nuit à ressasser tout ça et ce matin lorsque t'as été cherché ton portable dans votre appartement avec @Lukas O. Spritz, il était réveillé et t'as fait déballé tout ton sac... bref, t'as plus envie de penser à ça. Sauf que Chris semble décidé qu'il va en être autrement. Il voit bien que ça ne va pas (qui ne pourrait pas le voir ?) et, évidemment, te questionne. Tu mords ta lèvre inférieure pour retenir les larmes qui te montent aux yeux. Comment c'est possible de pleurer autant ? T'as l'impression que tu vas juste terminer complètement desséchée. Et puis avant même que tu n'ai le temps de dire quoi que ce soit, il t'attire doucement à lui pour une étreinte qu'il veut probablement réconfortante. Tu restes un peu figée, mal à l'aise. C'est pas contre lui, c'est avec tout le monde que ça te fait ça, t'es pas une nana tactile. Sauf avec tes proches très proches, ce qu'il n'est pas, à tes yeux. Cependant et malgré tout, parce que tu ne veux pas passer pour la reine des connasses, tu passes une main sur son dos, l'autre retenant la laisse de Naska qui s'installe à moitié sur tes jambes. Tu recules assez rapidement et, de ta main libre, viens arracher nonchalamment plusieurs brins d'herbe entre vous. « rien, tout va bien. » oui bien sur, tout le monde y croit. Et puis merde, qu'est ce que ça peut bien te faire, de lui dire la vérité ou non ? A ton plus grand malheur, c'est un fait, une vérité, avec laquelle tu vas devoir vivre à partir de maintenant. « mon copain m'a largué hier au bal... » Long soupir et paupières fermées derrière tes lunettes de soleil, juste pour supporter la peine que te provoque ces mots qui passent la barrière de tes lèvres.

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Katalia, c'était cette jeune femme très sympathique que tu avais rencontré et avec qui tu avais passer bon nombre d'heure au Spring Break. Sauf que là, vous venez de vous revoir au sein de ce parc et elle cherchait tout simplement à t'inviter, même si elle semblait raconter l'inverse. Néanmoins, tu avais accepté de venir te mettre assis à côté d'elle et tu trouve qu'elle n'a pas le moral, ça se voit clairement qu'elle est loin d'être joyeuse. C'est pour ça que tu t'intéresse à ce qui n'allait pas et elle restait braquer dans un premier temps. Tu avais pris les devants en lui faisant un petit câlin, mais elle semblait plus mal à l'aise qu'autre chose. Sauf que tu ne dois pas creuser plus longtemps sur ce terrain là pour qu'elle éclate et te dise clairement qu'elle venait d'être largué au bal, la veille. "Non ! Il a pas fait ça quand même ? ... Je suis persuadé que c'est en rapport avec Véritas.... N'est-ce pas ?" C'était fort probable que cette chose là ait en tout les cas envenimé les choses. Tu reste là à côté d'elle, sans savoir comment réagir, après tout vous n'étiez pas si proche que ça et entre vous au Spring Break, c'était rester de l'attirance sans que les choses ne dérapent. "Dis moi comment je peux t'aider ? ... Pour t remonter le moral ? Tu veux que je l'appelle ? Lui laisse un message ou quoi que ce soit ?" Elle était loin d'être dans une situation confortable et ce n'était pas le moment d'être dragueur ni de profiter de cette jeune femme en détresse pour l'instant, tu te devais d'être présent et l'aider comme tu le pouvais, avec les moyens du bord.

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En soit, t'as pas vraiment envie de parler de ça, t'as déjà passé la matinée à retourner le problème dans tous les sens avec Lukas et désormais t'es juste complètement... vidée. Mais Chris n'est pas de mauvaises intentions ni de mauvaise compagnie alors, pour une fois, oui pour une fois, tu ne vas pas te comporter en la reine des connasses que tu peux parfois être, et faire un effort. Il semble surpris, avant de te parler de Veritas. Et merde, décidément, t'es clairement fichée comme une infidèle de première alors que... merde c'était qu'un putain de film avec un ami ! Mais bon, c'est trop tard, le mal est fait et tu ne peux revenir en arrière à ce sujet là « non pas vraiment... enfin si peut être un peu... il a mal interprété une situation, il s'est monté là tête et m'a quitté au beau milieu de la soirée. » Long soupir alors que tu viens passer une main sur ton visage et effacer discrètement une larme qui vient de t'échapper de ton œil caché par tes lunettes de soleil. Il te propose de t'aider, au fond, c'est sympa, mais ce qu'il évoque te fait plisser le nez et tu laisses s’échapper une légère plainte de ta bouche. « honnêtement, si tu l'appelles ça ne va pas arranger la situation, ça va même l'empirer. » Tu ne veux même pas imaginer un Toni qui te balance violemment à la tête "c'est qui celui là ? encore un autre ?!" Cette pensée te glace le sang et te fait frissonner. Tu tentes de le cacher et venant perdre la main sur le pelage de Naska juste à côté de tes jambes. « si tu veux vraiment m'aider, j'veux bien qu'on change de sujet s'il te plait. j'ai besoin de penser à autre chose sinon je vais encore craquer et t'as pas envie de voir ça, crois moi... » tu termines en soupirant doucement, toujours incapable de retirer tes lunettes ni de lui offrir ne serait-ce que le prémisse d'un sourire.

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la jeune femme était donc dans son état de ce jour, à cause d'une peine de coeur, il n'en fallait pas plus pour la mettre dans un état comme celui-ci, c'était dommage. À côté de ça, ça semble vraiment être une fille adorable, appréciable pour la personne qu'elle est, au fond d'elle. "Ne t'en fait pas, il s'apercevra de sa connerie et il reviendra, si c'est pas le cas, c'est un con et tu mérite mieux." Tu voulais simplement l'aider et tu avais pour idée immédiate de pouvoir lui téléphoner et laisser un petit message, mais c'est vrai qu'il pourrait le prendre très mal et penser que tu es un des nombreux autres hommes avec qui elle a pu profiter. Sauf que ça avait pas été le cas, elle avait été rester sérieuse, malgré cette attirance entre vous au Spring Break. Après, si les choses sont vraiment terminées, c'est sur que tu ne t'empêcherais pas de t'en approcher quand elle aura traverser cette période, guère simple à digérer. "Tu as raison, je vais éviter, ce n'était pas une bonne idée. Désolé." La seule méthode pour toi de l'aider, à ce qu'elle venait de te dire, c'était le changement de sujet, tout ça pour lui éviter une crise et que tu n'ai pas à faire face à cette situation. "Tu veux bouger un peu un de ses jours ? Pour te changer un peu idée ? ... Sinon dis moi ta fin de Spring Break s'est passé comment ?" Tu prenais un peu plus tes aises à ses côtés. Tu aurais pu fuir face au problème, mais ce n'était pas le cas. C'est tout toi de faire face à ce genre de situation et aider les gens comme tu le peux.

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Qu'il reviendra.. tu l'espères tellement putain, mais t'as peine à y croire. Il avait été si dur, si violent dans ses propos et... tu dois arrêter d'y penser, sinon tu vas encore te mettre à pleurer. T'estimes que c'est pas la longévité d'une relation qui en fait sa force mais la puissance avec laquelle deux âmes peuvent s'accrocher. Toni avait été là dans l'un des pires moments de ta vie, lorsque les souvenirs de ton kidnapping sont revenus, il t'avait juré être toujours là et... il ne l'était plus, du tout. Et tu allais devoir vivre avec ça. Chris s'excuse avec tant de simplicité sur le fait qu'il va arrêter d'en parler et cette facilité à s'abandonner à la sympathie à ton égard te ferait presque sourire. Si seulement ton visage était capable d'afficher le prémisse d'une expression positive sur tes traits. Secoues doucement la tête de gauche à droite à sa proposition avant de prendre la parole « je dois bosser mes partiels à fond, je n'ai pas une minute pour moi. » Ta scolarité parfaite ayant prise un sérieux coup après ton absence de presque un mois entre mars et avril, lorsque t'étais rentrée chez toi en Italie. « on a connu mieux, comme activité qui change les idées, mais visiblement c'est tout ce dont je vais avoir droit... » tu railles avant de finalement soupirer. Franchement le pauvre, s'il ne regrettait pas déjà d'être venu te parler aujourd'hui, désormais ça doit être le cas. Il te questionne sur la fin de ton Spring Break au moment où Naska décide de venir lui sauter dessus. Tu tires doucement le bébé chien vers toi pour tenter de la calmer en t'excusant d'un regard. « j'ai décidé d'écourter mon séjour en partant en Italie avec mon mec... mon ex... » et merde. T'es pas bien encore du coup, vite vite vite, trouves un autre sujet « et toi ? » voilà un autre sujet de discussion. Tout pour t'éviter de retourner sur la pente de la rupture.

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Oh merde, toi qui avait ouvert ta bouche sur le chemin, tu aurais dû te taire et la laisser se cacher derrière ce fameux petit chien. Mais non, tu avais pas pris la bonne solution et elle s'était ouverte en te parlant. Tu t'es installé à ses côtés et une petite discussion s'enchaîne, elle te parle rapidement de ce qui ne va pas et malheureusement pour elle, elle se retrouve célibataire, pour une embrouille vécu avec son ex. Tu ne te sentais pas réellement à ton aise. Toi qui l'a connait que très peu et te montre présente pour elle. Tu ressens le fait d'être repoussé sans cesse et ne rien apporter de très bien dans votre conversation. Tous les sujets de conversation entre vous, pour l'instant, contenait toujours un petit bout d'histoire avec son ex copain. "Il s'est déroulé comme il avait commencé, assez simplement et bien... Sur ce, je vais te laisser finir ta pause et balade tranquillement." Tu te fais pousser par le chien et reprend rapidement pied en te mettant debout et lui adresser quelques caresses. Tu te penche pour déposer un bisous sur sa joue et finir par t'éloigner d'elle, ta présence ne semblait pas être nécessaire en ce jour. C'est simplement après quelques pas à t'éclipser que tu reviens en arrière pour lui adresser un petit mot. "Allez, je reste encore quelques minutes, après ça je retourne chercher ma voiture, tu vas déposer le chien et tu me rejoins chez moi ? Je t'invite à venir manger une pizza devant un petit film. Tu ne peux pas refuser." C'était une tentative comme une autre pour la sortir de ce cercle vicieux et tu espère qu'elle accepte tout simplement. Tu reste face à elle, petit sourire aux lèvres en attendant une réponse.