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Candice & Ocyllie ♠ Flashforwad

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Candice & Ocyllie.
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La brunette n’était pas un rat de bibliothèque. Elle préférait largement passer son temps dans une salle de danse à laisser ses jolies petits pétons effleurer le parquet et laisser la musique s’emparer de son corps, envahir chacun de ses muscles. Seulement, même si elle faisait des études dans le domaine des arts, il ne le fallait pas négliger les autres matières. Ocyllie passait du temps à bosser ses autres cours. Bien que déjà excellente dans toutes les matières, elle continuait de travailler encore et toujours pour rester la meilleure. Oui, notre jolie petite anglaise adorait le fait d’être complimenté et notamment en raison de ses performances autant intellectuelle qu’artistique, mais cela n’était un secret pour personne. Son cours de langue venait juste de se terminer et elle avait du temps à tuer avant de se rendre à son dernier cours de la journée, un cours de danse classique. C’était donc naturellement que la jeune femme arpentait les couloirs du campus, attirant quelques regards envieux ou simplement à cause de sa beauté – ou pas - sur son passage. Elle marchait d’un pas plus ou moins rapide. Droite comme un i, comme à son habitude. Gracieuse. Quelques mèches de cheveux s’échappant de son chignon un brin désordonné volaient et lui donnaient un air presque angélique. Elle tournait à droite, puis à gauche avant de déposer certaines de ses affaires dans son casier. Enfin elle arrivait à la bibliothèque. Silencieuse elle entrait dans la pièce, regardant tout autour d’elle pour trouver une table de libre et y déposer ses feuilles, ses cahiers, ses livres. Tout en essayant de faire le moins de bruit possible, Ocyllie se rendait dans un rayon pour emprunter un gros pavé qui avait l’air d’être une encyclopédie sur l’histoire de la danse depuis les hommes préhistoriques jusqu’à nos jours. A sa place, elle ouvrait l’ouvrage et à l’aide d’un crayon commençait à noter l’intégralité des informations qui étaient susceptibles de l’intéresser. La demoiselle avait l’air de savoir ce qu’elle cherchait. Elle n’y allait pas par quatre chemins pour rester la meilleure. Au bout d’un certain temps la belle se levait pour rejoindre l’extérieur et plus précisément le distributeur de boisson qui se trouvait non loin. Quelques pièces. Une bouteille d’eau et elle pouvait enfin se remettre à ses recherches. Juste avant de passer les portes de la bibliothèques, Ocyllie pouvait remarquer une jeune femme qui semblait terrifiée. Un rictus moqueur s’échappait des lèvres de la brunette et en passant à côté de la blonde, elle ne pouvait s’empêcher de lancer d’une voix moqueuse : « Toi, t’as la tête d’une meuf qui a vu un fantôme. » Ocyllie et son humour à la noix.
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Cela faisait plusieurs semaines que j'étais sortie de l'hôpital, une semaine, cinq jours et deux heures pour être précise. Dit comme ça on a l'impression que ça me manque mais c'est juste que la bombe, l'explosion, le coma, l'hôpital tout est encore frais dans ma mémoire et des fois, j'enviais ceux qui avaient perdu la mémoire .. Au moins il ne se souvenait pas de l'apocalypse qui avait ravagé Harvard. En même temps, je n'aurais pas voulu oublier la seule partie agréable de cette journée, le moment que j'avais passé avec mon cher et tendre xaver. Je ne voudrais l'oublier pour rien au monde même si ça signifiait repenser encore et toujours à cette maudite journée. Actuellement, je n'avais plus qu'une attelle - certes qui englobait la moitié de ma jambe - et ça me faisait du bien de ne plus avoir de béquilles, mes bras souffraient moins eux aussi. Aujourd'hui était une journée plutôt normale et relativement calme - en même temps le jour de l'explosion, ça avait aussi commencé comme ça - ce qui était plaisant. Je ne réfléchissais pas trop mais il fallait que je révise un peu si je ne voulais pas perdre le fil. Et c'est naturellement que je me dirigeais vers la bibliothèque, le lieu de prédilection lorsque l'on veut revoir ses cours. Mais là, j'ai eu comme un blocage devant la porte de celle-ci, comme si un mur invisible m'empêchait d'y rentrer. J'étais paralysée, tétanisée par ce bâtiment qui pourtant m'était familier auparavant ... Je n'avais clairement pas encore surmonté le traumatisme psychologique post bombe. Je ne pouvais pas y rentrer, je n'y arrivais pas et c'était plus fort que moi, comme si je ne me contrôlais pas. Je n'étais pas maître de mon corps et de ma raison et ça me faisait peur. Je ne pourrais pas aller réviser là-bas, ça pouvait paraître con mais c'était comme ça. J'allais donc faire demi-tour lorsque l'on m'interpella et je reconnaissais cette voix, c'était celle d'ocyllie. J'aimais bien la jeune femme et j'étais persuadée qu'elle avait un bon fond contrairement à ce qu'elle laissait croire. J'essayais de l'aider un peu et de trouver la vraie ocyllie et pour le moment ça n'avait pas forcément marché comme je l'espérais mais je ne perdais pas espoir. Ocyllie, tiens donc ! Non non je n'ai pas vu de fantôme j'allas m'en aller justement .. Je mentais mais bon je ne voulais pas encore affronter ma peur et je savais qu'ocyllie me forcerait à le faire coûte que coûte. Je me rapprocha d'elle en lui souriant pour qu'elle croit à mon mensonge et je chuchotais tout bas Gotcha ma belle .. avant de remettre une mèche de cheveux en place.

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L’explosion de la bombe avait traumatisé plus d’une personne et Ocyllie faisait partie de ceux qui faisaient encore des cauchemars la nuit en voyant le chaos tout autour d’eux. Il lui arrivait de se réveiller en sursaut à cause de la vision d’une blessure purulente, pleine de sang et où l’on pouvait voir la chair, les boyaux. Les images qui lui venaient en tête lui montraient aussi les visages des victimes. Il n’y avait rien de plus horrible que de voir les traits d’une personne en train de souffrir. La jeune femme avait tellement envie de faire pour eux, mais elle ne le pouvait pas. Ils n’étaient qu’un rêve, qu’un mirage. Elle tentait de se rassurer en se disant que tout cela n’était que du passé, mais elle ne pouvait aussi s’empêcher de penser que si un fou avait eu l’idée de le faire une première fois alors d’autres personnes pouvaient voir émerger cette idée dans leurs têtes. Elle en frissonnait à chaque fois qu’elle y pensait. Si la gamine Nicolson avait eu la chance de ne pas être blessé physiquement, elle l’était psychologiquement. Pour se changer les idées elle n’hésitait pas à se perdre corps et âme dans les études ou encore à sortir pour ne pas rester seule et laisser le blues l’envahir. Aujourd’hui elle était à la bibliothèque. Un endroit que la bombe avait détruit, mais qui était resplendissant à présent. Seule dans son coin elle se tuait à la tâche. Au bout d’un certain, prise d’une soif qu’on ne pouvait pas décrire, Ocyllie traversait la pièce pour se rendre à l’extérieur, près d’in distributeur. Etant donné l’heure tardive, elle ne pensait pas trouver quelqu’un errant dans les couloirs. Pourtant il y avait une jeune femme qu’elle connaissait plus ou moins bien. La nana avait un air blasé. Elle semblait sortir tout droit d’un film d’horreur et la petite anglaise ne se gênait pas pour le lui faire remarquer. Candice allait faire demi-tour et s’arrêtait net en entendant la voix de la danseuse. Elle venait apprendre à la brunette qu’elle était sur le point de quitter l’endroit et la réaction de la belle de Liverpool ne se faisait pas attendre : « Tu allais t’en aller ? Pourtant je ne t’ai pas vu à l’intérieur. » Bonne remarque. Ocyllie fronçait les sourcils avant de voir que son interlocutrice lui souriait tout en s’approchant d’elle avant de venir lui murmurer un petit quelque chose. ET MERDE. Elle jetait un regard noir à son interlocutrice tout en croisant ses bras sous sa poitrine. « Tu gagnes peut-être une bataille là, mais pas la guerre. » Elle haussait les épaules. Si elle venait de réussir à avoir la brunette, Candice pouvait bien se garder d’en savoir plus sur sa camarade. Oui, l’héritière Swarovski ne pensait qu’à percer le mystère de la danseuse c’est derniers temps.


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