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RHYS CHARLES SHELBY
date de naissance
dix janvier mille neuf cent quatre vingt dix
lieu de naissance
birmingham
nom
Shelby
prénom(s)
Rhys, Charles est le prénom de son père
orientation sexuelle
hétérosexuel
statut amoureux
divorcé
statut social
aisé, voire très riche
travail
inspecteur dans l’unité des renseignements criminels
— Boston m’a donné un échappatoire. Je suis né à Birmingham, j’ai grandi à Glasgow jusqu’à pourvoir m’enfuir pour les Etats-Unis. C’était soit ça, soit je récupérais toute la merde que mon père m’avait laissé, et à bien y réfléchir non merci. Bientôt dix ans que j’ai posé mes valises ici et je ne m’en lasse toujours pas. Il y fait bon vivre, j’ai un travail trépidant -je ne m’ennuie jamais. J’habite près de l’océan depuis quelques années et j’ai l’impression que je pourrais contempler ce magnifique paysage toute ma vie. J’aime aussi passer du temps au bar, ça c’est une sale habitude et j’ai malheureusement du mal à l’abolir. J’essaie de me faire discret pour ne pas salir ma réputation d’inspecteur en buvant le verre de trop. Tout le monde se connaît à Boston, et ça a beau être un avantage la plupart du temps, cela peut vite devenir embarrassant si les choses tournent mal.
Au premier abord, je peux paraître assez difficile à approcher. C’est plus ou moins vrai, j’ai très souvent été considéré comme un gars sympa mais qui en impose, je ne sais pas vraiment pourquoi. Cela doit être dû à mon milieu familial et disons que personne n’osait me chercher des noises. En grandissant, j’ai laissé de côté cette carapace de gros dur mais j’ai comme l’impression que cette image me colle à la peau. Avoir été marié m’a beaucoup aidé à être plus ouvert si je puis dire. Je suis plus ou moins solitaire, bien que je sois entouré de mes plus proches amis depuis des années, et c’est pour moi le plus important : la fidélité. Concernant mon travail, j’ai toujours été très assidu et sérieux, je cache tant bien que mal les démons qui me hantent afin de ne pas éveiller de soupçons au risque d’être rétrogradé -ou pire, viré. Mon divorce m’a bouleversé et l’alcool m’a ravagé. Grosso modo hein.
Né Shelby à Birmingham en 1990, je suis issu d’une des familles mafieuses les plus puissantes du Royaume-Uni des années 20. Mon arrière grand père et ses frères avaient bâti un empire dont tout le monde se méfiait, que tout le monde connaissait et surtout que personne ne voulait emmerder. C’est ensuite mon père et ses frères qui ont repris la relève. Et comme vous vous en doutez, j’aurais dû prendre la relève avec mes frères, ça ne s’est pas passé exactement comme prévu. J’ai eu envie de cette vie là pendant des années, c’est vrai, mais les aléas de mon existence m’ont fait énormément réfléchir et c’en est pour le mieux.
J’ai un frère et une sœur, nous avons très peu d’écart tous les trois ce qui aurait pu être une bonne chose. Je n’ai pas de très bonnes relations avec ma sœur aujourd’hui, pour diverses raisons qui concernent surtout mon rôle de mari -ou plutôt d’ex mari. Concernant mon petit frère, nous étions extrêmement proches plus jeunes, inséparables je dirais même. Putain qu’est-ce qu’on en a fait des conneries je me rappelle. Et puis tout à plus ou moins basculé quand j’ai décidé de ne pas mener la vie qu’on m’avait réservé. J’avais à peine vingt ans mais j’avais compris que la mafia, c’était pas pour moi. De là, nos relations se sont dégradées, je n’ai pas eu de ses nouvelles depuis des années mais j’imagine qu’il vit toujours à Birmingham, gérant les affaires familiales.
Dans le passé, j’étais un petit voyou, encore et toujours en compagnie de mon frère. Ma sœur était la plus sage et la plus sérieuse de nous trois, on aurait presque dit que c’était elle l’aînée. Notre famille était respectée dans les rues de la ville, on avait à se soucier de rien et c’était bien. On pouvait faire ce que bon nous semblait, beaucoup de conneries, et les flics ne nous disaient rien. Je trouvais ça plaisant pendant des années, j’aurais dû aller en taule pour vols, recels, cambriolages et autres, mais c’est ça d’avoir un père qui achète tous les flics de la ville. Je ne refoulerais jamais cette vie que j’ai mené, mais ce n’est plus la vie dont j’ai envie aujourd’hui.
Ma mère s’est faite assassinée alors qu’elle allait faire ses courses, j’avais dix-huit ans. Je me rappelle de cette journée noire comme si elle s’était déroulée hier : je faisais un basket avec des potes et mon frère, nos copines de l’époque étaient là, on s’amusait comme des petits fous jusqu’à que le nom de mon père s’affiche sur l’écran de mon téléphone. Je pense ne l’avoir jamais vu aussi vulnérable de toute ma vie. Il était désemparé, chose qui ne lui arrive pas en temps normal, et pleurait en silence la mort de sa bien aimée. J’étais brisé, nous l’étions tous.
C’est après la mort de ma mère que mon frère a tourné la carte, et que je ne l’ai pas suivi. J’ai préféré affronté mon deuil tout seul, loin de tous, désireux de vengeance évidemment, mais pas d’une vengeance meurtrière et sanglante. Tout le monde était au courant de bon nombre d’ennemis autour de notre famille et le meurtre de ma mère était connecté à tout cela. A ce moment là, je me suis éloigné de cette branche de la famille qui ne me convenait pas, je voyais peu mon frère qui m’en voulait terriblement. Cependant je nouais plus avec ma petite sœur qui voulait à tout prix rester dans le droit chemin. Ma sœur et moi n’avons pas pu rester à Birmingham bien longtemps envers et contre tous, nous n’étions plus les bienvenus et c’est pourquoi nous avons fui aux États-Unis tous les deux, laissant les deux autres hommes de la famille dans une folie incontrôlable.
Notre arrivée à Boston n’a pas été des plus simples, heureusement que nous n’étions pas partis les mains vides. Nos comptes étaient remplis à ras bord et nous avions pris le temps afin de ne pas être retrouvés par les nôtres. Je vivrais certainement dans la peur jusqu’à la fin de mes jours mais il en est mieux ainsi, je n’aurais pas pu rester une seconde de plus dans cet enfer. Nous avons peu à peu construit notre vie ici, ensemble, puis j’ai rencontré Mia. Mia était le soleil de ma vie, je n’aurais jamais pu penser me passer de cette femme un jour. C’est la première personne dont j’ai été amoureux et c’était ma femme il y a encore quelques années. On était vraiment heureux, c’est vrai, mais notre amour n’a pas tenu après ses multiples fausses couches, mon addiction pour l’alcool qui avait considérablement augmenté, et les démons qui étaient encore trop présents. Après six ans de mariage, on a préféré en rester là. C’était dur, je pense que ça le sera toujours, mais c’est pour le mieux. J’espère. A cause de tout ça, ma petite sœur s’est elle aussi éloignée et j’ai comme l’impression de ne rien pouvoir y faire.
Même si j’étais un gosse à problèmes, il était facile pour moi d’obtenir de bons résultats à l’école. Finalement j’ai toujours aimé ça. Quand on est petit, on est toujours entrain de râler pour s’y rendre mais quand les résultats sont présents, c’est là qu’est toute la différence. Ce n’est pas pour autant que j’ai entrepris des études extrêmement longues mais je me suis engagé dans la police dès mon arrivée à Boston et je n’en suis jamais parti. Pourquoi la police ? Peut être pour faire table race de mon passé tumultueux avec ces derniers. Malgré mon addiction assez prononcée envers l’alcool, j’ai toujours bien fait mon travail. Je pense qu’avoir été muté aux renseignements est un des plus beaux jours de ma vie -du moins de ma carrière. J’ai gravi les échelons et j’en suis là désormais : inspecteur de la brigade criminelle. Ce n’est pas de tout repos et c’est ce qui me va le mieux.
J’ai un frère et une sœur, nous avons très peu d’écart tous les trois ce qui aurait pu être une bonne chose. Je n’ai pas de très bonnes relations avec ma sœur aujourd’hui, pour diverses raisons qui concernent surtout mon rôle de mari -ou plutôt d’ex mari. Concernant mon petit frère, nous étions extrêmement proches plus jeunes, inséparables je dirais même. Putain qu’est-ce qu’on en a fait des conneries je me rappelle. Et puis tout à plus ou moins basculé quand j’ai décidé de ne pas mener la vie qu’on m’avait réservé. J’avais à peine vingt ans mais j’avais compris que la mafia, c’était pas pour moi. De là, nos relations se sont dégradées, je n’ai pas eu de ses nouvelles depuis des années mais j’imagine qu’il vit toujours à Birmingham, gérant les affaires familiales.
Dans le passé, j’étais un petit voyou, encore et toujours en compagnie de mon frère. Ma sœur était la plus sage et la plus sérieuse de nous trois, on aurait presque dit que c’était elle l’aînée. Notre famille était respectée dans les rues de la ville, on avait à se soucier de rien et c’était bien. On pouvait faire ce que bon nous semblait, beaucoup de conneries, et les flics ne nous disaient rien. Je trouvais ça plaisant pendant des années, j’aurais dû aller en taule pour vols, recels, cambriolages et autres, mais c’est ça d’avoir un père qui achète tous les flics de la ville. Je ne refoulerais jamais cette vie que j’ai mené, mais ce n’est plus la vie dont j’ai envie aujourd’hui.
Ma mère s’est faite assassinée alors qu’elle allait faire ses courses, j’avais dix-huit ans. Je me rappelle de cette journée noire comme si elle s’était déroulée hier : je faisais un basket avec des potes et mon frère, nos copines de l’époque étaient là, on s’amusait comme des petits fous jusqu’à que le nom de mon père s’affiche sur l’écran de mon téléphone. Je pense ne l’avoir jamais vu aussi vulnérable de toute ma vie. Il était désemparé, chose qui ne lui arrive pas en temps normal, et pleurait en silence la mort de sa bien aimée. J’étais brisé, nous l’étions tous.
C’est après la mort de ma mère que mon frère a tourné la carte, et que je ne l’ai pas suivi. J’ai préféré affronté mon deuil tout seul, loin de tous, désireux de vengeance évidemment, mais pas d’une vengeance meurtrière et sanglante. Tout le monde était au courant de bon nombre d’ennemis autour de notre famille et le meurtre de ma mère était connecté à tout cela. A ce moment là, je me suis éloigné de cette branche de la famille qui ne me convenait pas, je voyais peu mon frère qui m’en voulait terriblement. Cependant je nouais plus avec ma petite sœur qui voulait à tout prix rester dans le droit chemin. Ma sœur et moi n’avons pas pu rester à Birmingham bien longtemps envers et contre tous, nous n’étions plus les bienvenus et c’est pourquoi nous avons fui aux États-Unis tous les deux, laissant les deux autres hommes de la famille dans une folie incontrôlable.
Notre arrivée à Boston n’a pas été des plus simples, heureusement que nous n’étions pas partis les mains vides. Nos comptes étaient remplis à ras bord et nous avions pris le temps afin de ne pas être retrouvés par les nôtres. Je vivrais certainement dans la peur jusqu’à la fin de mes jours mais il en est mieux ainsi, je n’aurais pas pu rester une seconde de plus dans cet enfer. Nous avons peu à peu construit notre vie ici, ensemble, puis j’ai rencontré Mia. Mia était le soleil de ma vie, je n’aurais jamais pu penser me passer de cette femme un jour. C’est la première personne dont j’ai été amoureux et c’était ma femme il y a encore quelques années. On était vraiment heureux, c’est vrai, mais notre amour n’a pas tenu après ses multiples fausses couches, mon addiction pour l’alcool qui avait considérablement augmenté, et les démons qui étaient encore trop présents. Après six ans de mariage, on a préféré en rester là. C’était dur, je pense que ça le sera toujours, mais c’est pour le mieux. J’espère. A cause de tout ça, ma petite sœur s’est elle aussi éloignée et j’ai comme l’impression de ne rien pouvoir y faire.
Même si j’étais un gosse à problèmes, il était facile pour moi d’obtenir de bons résultats à l’école. Finalement j’ai toujours aimé ça. Quand on est petit, on est toujours entrain de râler pour s’y rendre mais quand les résultats sont présents, c’est là qu’est toute la différence. Ce n’est pas pour autant que j’ai entrepris des études extrêmement longues mais je me suis engagé dans la police dès mon arrivée à Boston et je n’en suis jamais parti. Pourquoi la police ? Peut être pour faire table race de mon passé tumultueux avec ces derniers. Malgré mon addiction assez prononcée envers l’alcool, j’ai toujours bien fait mon travail. Je pense qu’avoir été muté aux renseignements est un des plus beaux jours de ma vie -du moins de ma carrière. J’ai gravi les échelons et j’en suis là désormais : inspecteur de la brigade criminelle. Ce n’est pas de tout repos et c’est ce qui me va le mieux.
pseudo blinding lights
âge bientôt vingt-cinq ans
nationalité française
forum connu par... je me rappelle plus je le connais depuis des années
ILH, j'en pense quoi ? toujours aussi joli !
autres comptes ? pas encore
avatar utilisé charlie hunnam
crédits images fanpop
nombre de mots par rp 200-500 mots
type personnage inventé
parrainage @"compte si help" (voir la liste des parrains)
code métier
nom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
âge bientôt vingt-cinq ans
nationalité française
forum connu par... je me rappelle plus je le connais depuis des années
ILH, j'en pense quoi ? toujours aussi joli !
autres comptes ? pas encore
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crédits images fanpop
nombre de mots par rp 200-500 mots
type personnage inventé
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- Code:
@"rhys shelby" » <i>(inspecteur)</i>
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☾ <span class="pris">CHARLIE HUNNAM</span> ⊹ @"Rhys Shelby"
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<!-- Rhys Shelby --><div class="grid-item masc citi want europe hetero justice"><figure><img src="https://images2.imgbox.com/62/4c/GTfOffMw_o.png" /><img src="https://data.whicdn.com/images/294229886/original.gif" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>RHYS<br />SHELBY</h2></div><div class="info"><div class="face">CHARLIE HUNNAM</div> · <div class="age">30 ans</div><div class="activity">INSPECTEUR DE POLICE</div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u10138">mon profil</a></div></div></div></div>
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