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le meilleur après le pire, deux versions, un visage (alexis)

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le meilleur après le pire, deux versions, un visage
w/ @Alexis Callaghan
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Il avait promit de passer. Et malgré tout ce qu'on pouvait reprocher Jamal à ce bon vieux Jude, il tient ses promesses. La famille, c'est sacré, il a toujours vu une importance primordial pour ses proches. Qu'il le veuille ou non. Jude fait parti de sa famille. Tout comme ses enfants. De ce fait, Monsieur Montgomery ne possède que le nom comme différence et le charme, caractéristique innée des Carreirao. Une journée de travail terminée, il n'a pas pu se rendre à l'hôpital, trop d'interventions et trop de fumée d'incendie. Alors Jamal repassa chez lui. Une douche. des vêtements propres et il fila en direction de l'énorme bâtiment médical où séjourne, malgré lui, le grand malade. Dans la voiture il se demanda une nouvelle fois comment il allait bien pouvoir trouver l'habitat de Jude, décrit de façon peu attractive par message.

" Bonjour, je viens voir Jude Montgomery. " Les quelques mots au personnel médical qui l'accueillit. Un instant de silence. Quelques papiers qui se chiffonnent. Il attend. Tapote le comptoir d'une main distraite en regardant les alentours. Saluant d'un coup de tête une infirmière qu'il croise régulièrement. Finalement on lui accorda le droit de visite pour l'emmener dans le couloir souhaité. Quelques pas suffirent pour qu'il se présente devant la porte au numéro qu'on lui a donné. Son regard se pose sur ces derniers. Les mains dans les poches, il n'ose pas. Il sait que derrière ce pan en bois il va devoir passer plusieurs sas et truc de désinfection. Il soupire. Alors qu'une silhouette féminine fait retentir le bruit de ses chaussures sur le parquet bruyant de l'hôpital, elle semble se diriger d'un pas décidé. Les yeux du Capverdien se tournent en cette direction. Il plisse les yeux. Son visage lui rappelle quelque chose. Il ne faut qu'un laps de temps très court pour qu'il replace le contexte. Assez de temps pour qu'elle se rapproche suffisamment et s'arrête devant la même porte. " On se connaît ? " Qu'il lâche. Simplement.



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w/ @Jamal Carreirao
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Une habitude. Un refrain qui se répète. J’ai déjà les cheveux accrochés en queue de cheval haute, et j’ai simplifié la tenue. Je ne mets pas de bijoux, quand je viens te voir Jude. Le personnel médical est habitué désormais aux bruits de mes talons, et à mon sourire pincé. J’n’aime pas cet endroit, j’n’aime pas l’odeur, j’n’aime pas le voir ici. Encore moins quand il est enfermé dans une prison de plastique, et qu’un simple petit virus pourrait le terrasser. Une habitude qui prend au ventre, et qui m’épuise. J’ai constamment peur pour lui. Alors, je viens quasiment tous les jours, comme pour m’assurer que rien ne lui arrive. J’serais là pour filtrer, repousser, j’serais là pour chasser les mauvaises nouvelles. Il me répète que je n’empêcherai rien, et je lui prouve le contraire. Déjà, je peux poser mes prunelles sur le type qui veut venir te voir, aux côtés duquel je me poste " On se connaît ? " D’abord, il y a la réponse mécanique, celle qui sert à gagner du temps : « Ca m’étonnerait. » Puis, la tête se met en marche. Le souvenir n’est pas lointain, et il ne lui faut pas longtemps pour surgir. Quelques clignements de cils, quelques secondes qui durent, de mon regard dans le tien. Des yeux pareils, ça reste en mémoire. Un désespoir pareil, ça s’oublie pas. La mâchoire se serre légèrement, et le menton se lève à peine. Tu n’étais pas brillante ce soir-là, Lex. Toi non plus, l’inconnu aux yeux clairs. La rage et la misère s’étaient entremêlés, les bas-fonds nous avaient cueillis. Pitoyable. Reste fière, demoiselle. Même si le regard stagne, même si tu n’as pas le choix que d’avouer par un fin sarcasme : « J’suis étonnée que tu puisses te rappeler de quoique-ce soit. » Je chargerais tes épaules, je me rendrais plus belle que je ne l’étais. Personne n’est censé voir le revers de la pièce, le regard piqué de sang et la lèvre explosée, le corps abîmé et l’âme avec. Aujourd’hui la laideur est camouflée par le maquillage, et quelques jours de repos. Elle reste tapie dans l’ombre jusqu’à la prochaine explosion. Et toi l’intrus, l’image était bien moins propre dans mon souvenir. Misérable dépendant. Les prunelles fixent la porte fermée, alors que la bouche attaque : « Tu dois te tromper d’endroit, c’est pas la réserve. » Flippée d’entendre ce que tu pourrais dire, demoiselle brandit son arme, directement. Elle mord avant de risquer la morsure. Elle est désarçonnée, la cavalière.      





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w/ @Alexis Callaghan
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La violence. Le mal. Une lèvre ouverte. Des narines abîmées. L'odeur du sang. De la sueur. Recommencer, encore et encore. Cette sensation de danger. D'une vie qui pourrait s'arrêter. D'une soirée macabre. Des souvenirs qui assaillent. " Ouaip. " La voix roque se fait entendre. Il n'était pas présentable ce jour-là. Loin d'être clean. A ce moment de sa vie où il a replongé dans les tréfonds de la nuit, dans les noirceurs de son âme. Il se souvient de cette pénombre, du choc, de la poudre blanche, de la sensation dans ses veines et son cerveau. Un souvenir qu'il aurait préféré oublier, ne jamais laisser ressurgir, jusqu'à ce que la vie lui assène un nouveau coup qui pourrait l'amener de nouveau dans cet espace où il arrive à ne plus être lui-même, à ne plus rien ressentir.

Ses yeux clairs se détournent de la brune. Se posent sur la porte. " C'est pas la réserve que je cherche. " Qu'il lâche doucement. Comme s'il a des comptes à rendre. Il inspire. Usé de savoir que même une inconnue le voit comme un junkie. Lui qui a du dealer durant sa jeunesse, lui qui est resté derrière les barreaux quelques temps, lui qui a du sortir de cette vie violente. Il secoue la tête de gauche à droite. " Tu comptes rester là où je peux entrer dans cette pièce sans que tu me toises du regard ? " Il perd patience. Inspire. Et fini par lâcher. " Je suis clean. " Parce qu'il sent ce jugement sur lui. Comme si cela est le mot magique pour le laisser entrer dans la pièce. Il a autre chose à faire. Un malade à voir. Une promesse à tenir. Allez pousses toi de là. Disparaît en fumée comme ce souvenir qu'il souhaite ne jamais voir revenir.



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w/ @Jamal Carreirao
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C’est plus facile quand ce sont les autres. C’est plus simple quand mes yeux regardent ailleurs, se posent sur une cible autre que ma propre silhouette. C’est plus simple quand c’est toi que j’écorche, plutôt que taillader ma propre peau. Toi, l’inconnu aux narines saignantes. On laisse s’échapper le sang de nos corps, pour des raisons différentes. On est pas mieux l’un que l’autre. J’te connais pas pourtant j’le sais déjà. J’l’ai vu, ce jour là, que t’étais aussi indigne que moi. Qu’on est deux mensonges, se tenant devant la même porte. « Tu cherches quoi ? » Tout est aseptisé ici, on nage dans un monde inverse à celui de notre ruelle souvenir. Tout est propre, chacun sait ce qu’il est venu faire. Même moi. Jude, c’est une excellente raison de s’réveiller le matin et de continuer comme si le monde tournait rond. Venir ici, pour éviter d’aller ailleurs. Venir ici, te retrouver. Mes prunelles te regardent, et voient, elles, que tu ne mens pas. Le corps moins abimé, le corps plus apaisé, moins en lutte. J’ai ton souvenir en tête, et j’le calque sur cette image d’aujourd’hui. Deux faces d’une même pièce. « Jusqu’à la prochaine fois. » Qu’elle assène, calmant le jugement qui se laissait lire entre les lignes. Jusqu’à la prochaine chute, le prochain échec. Je serais celle qui souffle sur les braises, qui préfère l’obscur puisqu’on la sort du bonheur à chaque fois qu’elle tente d’y mettre un pied. L’addiction, ça vous colle à la peau et ça vous lâche plus jusqu’à la fin. « Tu viens voir Jude ? » J’sais pas ce que tu fous là, et connaissant les antécédents du type qui lutte pour sa vie, j’vais pas te laisser rentrer là-dedans sans m’assurer que c’est pour les bonnes raisons. « Il est au courant ? » L’infirmière passe à côté de nous, et va pour nous ouvrir la porte et nous expliquer ce que j’connais déjà par cœur. Retient la poignée de la porte. « Pas encore. » Un semblant de sourire désolé, et l’infirmière s’éclipse, maugréant qu’il faudra venir la chercher quand on sera prêt. J’ai encore trop de questions sur le bout de la langue.    





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Il perd patience. Se mord l'intérieur de la joue. Un soupire finit par s'extirper. " Je suis venu pour quelqu'un et je te rassure, ce n'est pas toi. " Cette fois, ses yeux transperçant se fixent pour plonger dans le regard sombre. Il ne la connait pas, et ne semble pas avoir envie d'en savoir davantage sur elle. Qui es-tu pour te permettre de me poser une telle question ? Qui es-tu pour me juger sur un seul moment de ma vie ? Un fantôme. Une fumée de souvenirs. Des brides d'images. Rien ne se rapprochant d'aujourd'hui. De cette période de sa vie où il n'était rien. Ces deux instants sont incomparables. " La prochaine fois où je te croiserai peut-être. " Il hausse les épaules. Se laisse avoir dans ce jeu de jugement, comme un gamin qui se rebelle, qui répond à sa mère en crise d'adolescence. Il apprécie d'ordinaire ces nanas au caractère bien trempé, au franc parler, mais autant dire qu'avec ce passé d'une profonde noirceur, elle était en train de clairement lui péter les couilles. Il lutte entre ce démon qui lui susurre de l'envoyer chier pour pouvoir passer cette porte et cet ange qui le supplie de rester bienveillant pour avoir accès à la chambre du malade. Deux avis. Deux méthodes. Mais une seule décision.

On entame enfin le sujet. Jude. L'esprit du pompier se réveille, des schémas divers, probables qui surgissent. Okay. Un, elle sait qui est dans cette chambre. Deux, elle semble bien le connaître. Qui es-tu ? Il tente de créer un puzzle, de rassembler des pièces. Putain, il aurait du mieux écouter sa soeur quand elle lui racontait des ... Elle parlait de quoi déjà ? Il a sans doute rater une information qui aurait pu le sauver aujourd'hui. Il refuse de répondre. Un pas en avant quand l'infirmière arrive enfin. Sauvetage annulé. Elle sait y faire. Le personnel soignant qui repart presque aussi vite. Cette fois il le sait, pour entrer dans cette chambre il va devoir en découdre avec cette garde du corps bien gaulée. " Bon " Cette fois il en a marre. Il décide d'être franc et de ne surtout pas se laisser faire. " Je ne sais pas qui tu es belle demoiselle. " Un compliment, histoire d'arrondir les angles. " Je suis venu voir Jude et oui il sait que je viens parce que figure toi, il fait parti de ma famille. Alors garde du corps ou non, je te prie de me laisser passer et d'arrêter de me regarder comme si je venais de me foutre cette merde dans le corps, ce n'est pas le cas, oublies ce que tu as vu et laisse moi passer. " Directif tout en essayant de ne pas hausser la voix. Elle venait de réussir à réveiller le sanguin qui se cache. " Je me souviens très bien de ton état déplorable, pas mieux que le mien. " Qu'il finit par glisser en la toisant du regard. Ses prunelles se posant sur son visage qui ne semble n'avoir aucune contusion. Ce soir-là est-il réel ? " Je suis prêt " Qu'il dicte assez fort pour que l'infirmière l'entende, qu'elle revienne et saisisse à nouveau la poignée de la porte, non sans une remarque désobligeante envers les visiteurs qui lui fait perdre son temps si précieux.



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w/ @Jamal Carreirao
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C'est facile, c'est bas, et ça la rassure. Sortir les canines est de loin sa manière de réagir la plus aisée. Sur la défensive ; mordre pour préserver ses côtés exposés. Mordre avant de subir. Effrayer pour éviter de reculer. Ca n'est pas joli, j'en conviens, mais c'est efficace. Pour la plupart des gens. J'ai entre mes doigts, un peu d'une vérité que tu veux cacher. A moi de déterminer ce que je veux en faire ; l'exposer ou la préserver à ma seule vue. Dans ma manœuvre, voilà que je te confie la même vision entre tes mains. Ce jour-là, nous avions rendez-vous dans notre pire. Je ne sais pas si nous étions à notre place, mais, sur l'instant, c'était la seule place possible. La place où l'on se réfugie, quand l'autre côté gagne. Le côté qui n'existe pas dans cet hôpital, derrière cette porte. J'sais pas si je te préfère maintenant ou enrobé de ta noirceur. J'sais juste que le compliment glissé en douce me fait esquisser un sourire, logé aux commissures, discret mais présent. La beauté, c'est un peu tout ce qu'il me reste quand la colère prend le dessus. Tes prunelles s'attardent. Cherchent-elles les séquelles ? Les blessures masquées par le maquillage, et camouflées par le tissu. Et eux, voient-ils tes traits qui changent, qui s’abîment quand ton sang n'est plus pur ? Est-ce qu'ils le voient quand tu tombes ? Est-ce qu'ils te voient comme je te vois ? Et l'infirmière revient, Alexis qui grogne : « On ne l'est pas. » La soignante fait un pas en arrière, à peine, mais persiste et ouvre la porte, commençant à prépare de quoi assurer la sécurité de Jude. Mes prunelles s'accrochent aux tiennes. « Il fait parti de ma famille aussi. » On a pas de sang en commun, pas de famille, de titre, on a juste nos âmes qui s'entrecroisent. « Alors tu fais gaffe. Parce que j'ai bonne mémoire, et j'compte pas oublier quoique ce soit. Tu lui ramènes pas ça. Jamais. » J'sais pas qui t'es, et j'serais surement pas rassurée si j'connaissais ton nom. Vous n'êtes bons qu'à me le foutre en l'air, et j'dois tout réparer derrière. « Dit-lui que je suis la prochaine, qu'il t'expédie rapidement. » Soufflé, rapidement, pressée par la professionnelle. Ca râle encore plus fort. « C'est bon, c'est bon, il y va. » Lève les mains, et recule suffisamment pour que la porte puisse se fermer. Y a juste ce rictus, et ce truc balancé, avant que nos regards ne se coupent : « J'm'appelle Alexis ! » Un bout de présentation, alors que tu connais déjà le pire, ce qui se terre derrière le beau.




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w/ @Alexis Callaghan
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Elle s’accroche. Il ne lâche pas. Un véritable bras de fer. Sans violence, sans dégâts, sans physiques qui se croisent, qui se frappent, qui se rejoignent. Seulement des mots. Des interrogations. Des noirceurs. Des secrets. Les mots, la plus simple des armes, mais la plus difficile à manier. Tu sembles savoir l’utiliser pourtant, toi, l’inconnue. Tu frappes. Tu tacles. Tu piques. Et tu te délectes sûrement du sentiment dérangeant dans lequel tu le fais se recroqueviller. Le Jamal. Frapper. Toucher. Heurter. Chaque mot comme un coup de poing. Il encaisse. Fais au mieux pour ne pas rugir. Il encaisse. Il doit réagir. Les mots s’échappent, la tête reste haute, le sang se coagule, se propage dans les veines, la mâchoire se serre légèrement. Le silence n’est plus, le retour assène. Trop proche de la victoire, il ne pouvait pas la laisser gagner. Il est là, pour une seule personne. Et c’est l’infirmière qui sauve. Qui laisse passer un brin de soleil au travers de la noirceur des deux protagonistes. La porte s’ouvre. Les yeux s’attirent. S’observent. Se tiennent face à face. Personne ne bat en retraite. Un simple drapeau blanc qui se hisse pour le malade qui n’a rien demandé. L’argument. L’imparable. La famille. Mais ils n’avaient pas prévus. De graviter tous les deux comme des satellites autour du même être. Ils auraient pu se croiser, mais jamais sur la même orbite. Elle balance son venin. Une nouvelle fois. Un mélange d’ordre et de menace. Qu’il esquive. « Tu me prends pour un mec si con que ça alors. » Les yeux ne se détachent pas. L’infirmière qui prépare. Perd patience. Comme si elle assistait à une scène de ménage, elle écoute, attentive, s’interroge. « Tu attendras ton tour comme tout le monde. » Il n’a plus de pitié. Il a tenté d’arrondir les angles, de se montrer serein, presque amical, mais trop, c’est trop. Attaquer, toujours. Pourquoi défendre, l’attaque fonctionne mieux, alors il attaque, il rétorque. Et finalement les mains se lèvent. Sans s’en rendre compte, les lèvres se plissent en un sourire victorieux. C’est ça, la victoire. C’est appréciable. Un pas vers la porte pour pouvoir entrer, enfin, dans cet espace neutre. Au milieu de cet environnement néfaste, noir, sombre, où les déchets sont éparpillés sur le sol, où le sang est visible sur les murs, où aucune lumière n’est bonne pour nous. Il y a pourtant cette chambre. Stérile. Blanche. Parfaite. En désaccord avec nos âmes. Avec nos fantômes que l’on se traîne. Un dernier regard. Comme une confession qui se délivre. Alexis. Ce prénom qui résonne. Qui cherche une signification. Alors que l’automatisme dépasse le contrôle. « Jamal. » Simple. Réponse. Il se force à accompagner le prénom d’un « Enchanté » Est-ce vraiment le cas ? Le regard se détourne. L’attention se porte ailleurs, sur la spectatrice. « On peut y aller. » Finalement. Enfin. Avant que la tempête ne se réveille. Avant que la foudre ne s’abatte.



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(pardon pour le temps de réponse) le meilleur après le pire, deux versions, un visage (alexis) 1779901633
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