AZAZEL DE SAVOIE-AOSTE ► nico tortorella

AZAZEL DE SAVOIE-AOSTE

— Apparences trompeuses, éphémères, peux sincères. Il veut grimper les échelons, souhaite crever les étoiles pour s’y imposer par la simple force de son esprit. Beaucoup seront étonnés de cette force de convictions, cette volonté d’agir par lui-même. Oui, beaucoup ne verront en lui qu’une facette à double tranchant, parfois trop gentil, parfois trop exécrable. Pas de juste milieu. Mais la loyauté est ancrée dans ses veines et c’est pour cette raison qu’il a intégré cette confrérie. Parce que comme eux, il veut aller vers les sommets, portant le doux fardeau de l’élitisme sur ses frêles et pourtant redoutables épaules.

Inscription comme une autre. Rien de plus, rien de moins. Monsieur était autrefois à Berkeley, pourtant, ses besoins l’ont mené à Harvard pour finir ses études. Un dossier d’admission comprenant plusieurs lettres de recommandation, de la paperasse évidente. Rien de compliqué. Un résultat au SATS de 1565, laissant murmurer que le jeune de Luca est loin d’être stupide, un student’s essay portant sur l’évolution des droits des hommes dans les diverses époques jusqu’à l’épisode contemporain et enfin, un rendez-vous avec la doyenne peut orthodoxe laissant la maladresse du jeune Duc être mise en avant. Et pourtant, l’évidence même est présente étant donné, qu’aujourd’hui, Azazel foule les terres de Harvard sans remords, sans regrets. Noblesse Italienne, il n’a pas eu de mal à retrouver des compagnons de routes et donc, à se faire une place dans l’immense université qu’est Harvard.

Curieux – trop passionné – Calme – Patient – Sincère – Empathique – Changeant – Instable – Amoureux de l’amour – Polyamoureux – Loyal – Ambitieux – Sournois – Travailleur – Drôle – Maladroit – Courageux – Souriant – Mens pour couvrir ses fautes – Quelques peu tourmenté – Voyageur – Aventurier – Prend des décisions sur un coup de tête - peut se montrer très manipulateur

(1) Aîné d’une fratrie de quatre enfants. Noblesse dans le sang carmin, titre qu’il n’a pas vraiment mérité, ni même souhaité. Duc d’Italie dans toute sa splendeur, quittant les stéréotypes de ces hommes en costumes cravates, laissant libre court à ses envies parfois trop futiles. Parents qui grincent des dents en voyant ce qu’il est devenu, essayant de le remettre sur le droit chemin. (2) Gamin dont l’intelligence est parfois voilée, masqué, caché. Il se veut plus stupide qu’il ne l’est vraiment, simplement pour mieux observer, mieux mener la danse quand ça s’avère nécessaire. Pas méchant pour autant, il ne fait que poser sa patte sur l’empire du monde, avançant en calculant soigneusement chaque foulée. Il préfère qu’on le pense stupide, simplement pour mieux surprendre par la suite. Ne jamais sous-estimé la personne en face de lui, c’est son dicton favori. (3) Amoureux de l’amour, ça en est presque pathétique, presque trop drôle. Il y croit dur comme fer, à ce sentiment dépourvu de sens. Il veut aimer, parfois trop, parfois trop fort. Son cœur ne peut s’arrêter à une seule personne, parce que ce mot il ne le connait pas encore. Pas vraiment. Alors, il pense tomber amoureux, d’une, puis d’un autre. En même temps…parce que son myocarde ne peut pas aimer une seule personne, ce qui le fait souvent passer pour un homme volage… (4) Aimer l’esprit pas le corps, c’est ce qu’il est. Les hommes, les femmes, pas de différences, juste une envie de se blottir contre un corps quelconque. Pourtant, il tait cette différence, bien qu’elle ne soit pas un secret en soit. Parents qui savent exactement qui il est, mais préfèrent fermer les yeux et faire comme si ça allait lui passer. Catholiques jusqu’au bout des ongles, ils ne peuvent pas accepter cette perversion à leurs yeux. De ce fait, il essaye d’être discret, sans pour autant totalement se cacher. Parce qu’aimer est la plus belle chose qu’il soit, non ? (5) L’ange cache souvent de la noirceur, chose évidente, presque palpable. Azazel porte bien son prénom, parfois…parce que sa douceur n’a d’égale que sa sournoiserie, son cœur qui s’acharne dans sa poitrine. Trop ambitieux, trop désireux, trop possessif, trop passionné. Il pourrait bien surprendre parce cette facette qu’il cache, qu’il tait pout éviter de passer pour un monstre. (6) Fiancé depuis ses deux années de vie, il n’a jamais vraiment eu de contacts avec sa douce et tendre. Quelques lettres, il a toujours fait en sorte de ne jamais se retrouver face à elle. Peur de l’arrangement, il redoute l’instant, le moment où leurs parents décideront qu’il est temps de les unir.

pseudo CoffeTime
âge Presque la trentaine
nationalité Belge
forum connu par... le saint esprit
ILH, j'en pense quoi ? piouf, j'en pense trop de choses AZAZEL DE SAVOIE-AOSTE ► nico tortorella 4205929361

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autres comptes ? @Lux de Rosiers @Mayron Sepouski
avatar utilisé Nico Tortorella
crédits images Loudsilence avatar
nombre de mots par rp 400-1000 mots
type personnage inventé

parrainage @"compte si help" (voir la liste des parrains)
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(Invité)

Un jour, une histoire

Ça coule dans les veines comme un poison mensonger.
Ça brille dans les yeux, comme un mystère blasé.
Je prends sans l’avoir mérité,
Cette cuillère en or qu’on fou entre mes lèvres fermées.

Bonjour…c’est moi…Az…Azazel. Démon. Ou pas. Je sais pas. Peut-être. J’ai rien de différent, sauf peut-être le sang qui coule dans mes veines. Duc. Ça veut dire quoi ça déjà ? Duc… Paraît que c’est bien, que ça m’offre déjà des avantages silencieux. Comme quoi ? Des couches en or ? La bonne blague. Je veux juste respirer tu sais. Te regarder. Te comprendre. Parce que mes yeux océans, ils cherchent. Ils cherchent la vérité, peut-être, ou l’innocence. Y’a tant d’amour dans vos yeux…c’est beau. Tellement beau. Je sais pas ce que ça signifie…Azazël Gabriel Mikkel de Luca, Duc d’Italie. C’est long, trop long. Je suis fatigué…j’ai froid…je veux juste dormir et profiter de vos bras. Parce que c’est réconfortant. Tout ça, c’est nouveau pour moi…Je suis le premier, mais sûrement pas le dernier.

Une histoire, ça commence toujours comme ça.
Je pensais vivre un conte de fée.
J’étais le chevalier, t’étais en danger.
Aujourd’hui, y’a plus que les fables éphémères.
Le monde, il a rien de brillant et de fascinant.

Grandir…c’est inévitable. C’est ce qu’ils répètent, encore et encore. Moi, j’ai pas envie de grandir tu sais. C’est comme m’obliger à bouffer des choux de bruxelles, c’est impossible. J’aime courir dans la propriété, j’aime rendre folles celles qui sont censées me surveiller. Ouai, j’aime jouer avec ma petite sœur, ennuyer mon petit frère. Parce que c’est ça exister. C’est ça aimer. On aime de multiples façons et l’amour, ça fait rêver. Ils disent que je suis un grand rêveur, que je dois revenir à la réalité. Pourquoi ? Parce qu’ils ont décidés qui j’allais épouser ? Et moi là-dedans, j’ai pas mon mot à dire ? Je pense que la rébellion, elle était inévitable. J’ai pas envie de vivre avec des chaînes, mais j’ai pas envie que vous soyez déçus de moi. Vous voyez le dilemme ? Je suis pris en étaux. Parfois je respire, parfois j’étouffe. C’est violent comme sensation…alors, je me plonge dans mon enfance, je revis mes contes de fées. C’est mieux que de totalement sombrer, de regarder les années s’effacées. Je veux pas grandir…je veux pas me marier…mais je veux pas voir la déception dans vos yeux. Je suis bloqué…

Aimer, c'est rien comprendre.
Aimer, c'est compliqué.
Aimer, c'est beau, c'est passionné.
Mais en réalité...c'est quoi aimer?

Ils le savaient, moi aussi. J’ai jamais été comme les autres, pas vraiment. Ils voulaient un homme bien comme il faut, j’étais le Duc à côté de la plaque. Trop passionné parfois, trop calculateur à d’autres. Mais ils se taisent, surtout quand les journaux ont annoncé que j’avais fini la nuit avec un homme. Ils ont démenti, malgré mon affirmation. Regardez ce que je suis vraiment…J’aime les hommes, j’aime les femmes. Je veux que vous l’acceptiez…mais au fond, vous avez juste détourné les yeux comme si ça n’avait jamais existé. Dieu ne pourrait pas l’accepter…mais Dieu, il est où ? J’ai essayé de me battre, mais devant vous, j’ai abandonné la partie. C’est pour ça que vous m’avez fait quitter Berkeley…Parce que eux, ils savaient, ils acceptaient. J’aimais un homme, une femme, le cœur épris de deux êtres et de la même façon. Parce que vous savez, je peux pas aimer qu’une seule personne. A quoi bon ? Mon cœur est assez grand pour tous…ça devenait trop dangereux pour votre réputation, pour la mienne. Alors, j’ai quitté Berkeley, j’ai intégré Harvard…Pour vous, pour nous.

Aujourd’hui, y’a plus rien de vrai.
J’ai appris à changer, pour qu’ils puissent oublier.
Aujourd’hui, j’accepte de jouer le jeu, pour ne pas avoir à fuir.
Ouai, aujourd’hui, je suis un automate.

Je m’appel Azazël et je suis Duc d’Italie. Elitisme dans les veines, danger pour la communauté. Je change de facette pour mieux exister, pour mieux avancer. Je veux construire ma vie, mais avant ça, je dois apprendre à me battre. Alors, je cache mes meilleurs côtés, parce que c’est ce qu’ils veulent, ce qu’ils désirent. Je suis un ange, un démon, un ange déchu…J’ai tellement de facettes que même toi, tu pourrais pas t’en sortir. Mais je veux aimer. Je veux aimer jusqu’à en crever. Je veux avancer et ne pas me retourner. Je veux exister, moi…oui, je veux être moi.

(Invité)