I wish that I was better at the things I do.

I say that I'm careless,
not the truth
@Hanne von Holstein
cambridge, jeu 23 avr
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Les erreurs. Ce concept si facile et accessible dans lequel on peut se perdre, mais si compliqué à dompter par la suite. Les erreurs du passé qui s’immiscent dans le quotidien, dans le présent et dans les songes. Dans tes songes, Katalia. Ce jour attendu avec impatience est arrivé, le stress monte dans ton ventre à l'idée de retrouver cette amie pour qui tu ne l'est plus. T'as mal lorsque tu prends le temps de tenter de te mettre à sa place. De ce mal que pourtant tu lui as appliqué sans réfléchir il y a quatre ans (lorsque t'as coupé les ponts doucement mais surement) puis en février après que la vérité ai éclaté. Petit pull crème qui te fais froisser les sourcils lorsque tu croises ton reflet dans ton miroir, il est clair comme le drapeau blanc que tu as tenté d'agiter il y a quelques jours par message, lorsque t'étais encore en Italie. En bas, tu portes juste un jean sombre bien ajusté et des sandales à talons. Ces derniers claquent sur le bitume alors que tu rejoins la terrasse dans lequel vous devez vous voir. Le stress monte dans ton ventre. Ce genre de stress qui nous gagne seulement lorsqu'il s'agit d'un sujet qui nous touche vraiment. Tes doigts torturent une mèche à la merci d'une bourrasque de vent et ton attention est portée sur le petit écran de ton téléphone déposé sur la table. L'heure convenue ensemble s'affiche et la belle blonde, visiblement toujours d'une ponctualité à toute épreuve fait son apparition dans ton champs de vision. « Salut Hanne. » tu lui dis tout simplement alors qu'elle vient s'installer en face de toi. Tu ne te lèves pas pour la saluer car t'as perdue ce droit. « Merci beaucoup d'être venue ! » ta voix part légèrement dans les aiguës sur le dernier mot, un peu trop heureuse de la voir devant toi et sans l'envie ni la force de cacher ce sentiment. Le souhait de la prendre dans tes bras ou de retrouver sa main qui a longtemps été dans la tienne s'empare de toi. Mais tu le refoule. C'est pas le moment, ce n'est plus le moment. Tu vas devoir vivre avec ça, c'est tout. Avec le fardeau de l'abandon que tu lui as imposé et pour quoi tu donnerais tout, si seulement cela pouvait te permettre de revenir en arrière et de toutes les effacer. Ces erreurs.

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@Katalia Borgia
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Elle avait su que ce moment arriverait, mais si elle devait être honnête avec elle-même, si la jeune danoise avait pu le repousser encore un peu, elle l’aurait fait. Hanne passe une dernière fois devant son miroir, glisse une main dans la longueur blonde de ses cheveux et sort de chez elle. Loft aux dimensions outrageantes qu’elle a encore du mal à faire sien, son piano étant aujourd’hui la seule touche personnelle qu’elle y a apporté, trônant fièrement au coeur de la pièce. Dernier vestige ne lui rappelant pourtant que trop les ruines d’un homme qu’elle tente d’oublier. Elle s’engouffre dans l’ascenseur afin de rejoindre le campus. Son portable a la main, ses talons résonnant sur les couloirs d’Harvard alors qu’elle traverse l’imposant building, Hanne essaie d’occulter les réflexions qui l’assaillent. Elle n’a pas revu Katalia depuis plusieurs mois et après leurs échecs à répétition, elle a du mal à concevoir que cette fois-ci puisse être différente. Pessimiste récurent, négativité qui se veut bouclier d’une confiance trop de fois meurtrie. Elle finit par arriver à la terrasse sur laquelle les anciennes amies s’étaient données rendez-vous, ses prunelles océans se tardant pas à se poser sur la silhouette qu’elles cherchaient. Salut. Elle prend place en face de la brune, faisant s’entrechoquer les fins bracelets à son poignet alors qu’elle glisse une mèche de cheveux derrière son oreille. Elle est quelque peu décontenancée par l’attitude presque enjouée de Katalia, forçant les espoirs d’une amitié refoulée à rester loin de tout ça. De rien, c’est normal. La forteresse d’Hanne est levée, fidèle protectrice de l’étudiante et son ton reste distant, méfiant. Les murs érigés lui volent ses mots, la rendant incapable d’agir comme si de rien n’était. Même si la danoise avait été de la meilleure volonté du monde -ce qui n’était pas le cas, avouons-le-, elle ne pouvait aller plus loin que ce qu’elle était prête à supporter. Et Kat avait été assez loin dans cette direction. Alors, ce séjour en l’Italie ? Les banalités sont la seule chose qu’elle est capable d’aborder. Le reste est entre les mains de l’italienne.  

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@Hanne von Holstein
cambridge, jeu 23 avr
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Cette petite voix dans ta tête qui aime te narguer, elle est bel et bien là alors que la danoise s'installe en face de toi. Quelque peu froide et retenue, tu reconnais pourtant l'amie que t'as jamais pu oublier. Il y a quelque mois déjà, t'as tenté de retrouver une place dans son cœur, en vain, alors que ses pensées semblaient dictées par la rancœur. Alors elle te salut en retour et te rétorque que c'est normal. Ça ne l'est pas vraiment, elle aurait très bien pu refuser, ou bien ne jamais répondre à ce sms lancé comme une bouteille à la mer, ou bien réagir tout autrement. T'en sais rien et tu sauras jamais, au fond. Dommage collatéral de ta plus belle relation partie en fumée, Hanne a été la victime de ta peur et de ton mal. En toi, l'ange et le démon se battent la lumière alors que le second obtient beaucoup trop souvent la victoire. « ça été... bénéfique. » Tu te sens mieux et prête à adopter le meilleur comportement qui soit pour avancer, et pour tenter d'effacer les maux du passé. Elle te questionne sur l'Italie, question simple et de surface qui s'impose probablement pour éviter d'avoir à creuser plus en profondeur, là où ça fait mal. « tu peux m'en vouloir pour la vie entière, tu sais, je comprendrais. » soupir et main qui repousse tes longueurs dans ton dos par dessus ton épaule. Un frisson te parcourt, ce n'est pas la fraîcheur d'avril, c'est juste la mise à nue de tes pensées. « mais j'ai conscience du mal que j'ai pu te faire et si je le pouvais, je ferais les choses tellement différemment, tu ne méritais pas tout cela... » La vérité, la réalité. Les aveux. Rares sont ceux qui en ont le droit, sincères sont-ils lorsqu'ils sont prononcés. « je sais que ça a l'air de sortir de nul part des années après, mais je tenais à ce que tu le saches, Hanne. » et le serveur arrive pour votre commande avant de laisser le temps à la belle danoise de rétorquer quoi que ce soit. Tu commandes un café glacé et ne l'entends pas vraiment indiqué son choix, beaucoup trop éprise par tes pensées agitées. Il vous abandonne à votre conversation houleuse alors que t'es pupilles n'ont pas le courage de s’arrêter sur elle et se perdent sur les billes de pollen en train de tomber, juste là.

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@Katalia Borgia
cambridge, jeu 23 avr
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Entendre tout ça avait quelque chose de dérangeant, presque douloureux. Mécanisme de défense d'Hanne qui finissait toujours par lui faire croire à l'oubli des mauvaises choses. Aksel, Roxane, Katalia... Premier amour disparu, ruiné, meilleure amie grande d'une trahison qu'Hanne n'aurait jamais pu concevoir. Et enfin la jolie Kat, cette autre amie de laquelle elle s'était si vite sentie si proche. Par deux fois partie. Et Hanne était fatiguée de s'user à recoller des morceaux de relations qui ne le méritaient pas. Meurtrie par son histoire, par l'indifférence de ses parents, ses amis ont toujours été son unique famille. Et aujourd'hui, elle les perd, un à un. Trahison qu'elle peine à pardonner, bien loin d'être sa plus grande qualité. Roxane lui manque. Katalia lui manque. Mais s'ouvrir à nouveau laisse le risque d'à nouveau souffrir dans des relations au coeur desquelles elle s'engage toujours plus que l'autre, plus qu'elle ne le devrait. Mécaniquement, Hanne commande la même chose de l'italienne, chassant immédiatement les anciens souvenirs de leur amitié venant se calquer au moment présent. Comme un air de déjà vu qui ne saurait plus être. C'est tellement facile de dire ça maintenant.. L'amertume est visible, non dissimulée. Elle détourne son regard de la brune, ses pensées saccageant sa raison. Hanne campe sur ses positions, sa fierté et sa peur bloquant tout accès au lâcher prise. Elle n'aurait pourtant qu'un pas à faire, pour saisir cette main tendue vers elle. Pour renouer avec une amie qu'elle chérissait tant. Pour se retrouver une alliée dans cette guerre qu'elle menait contre elle-même. Mais son alliée, le resterait-elle ? Comment prévoir un nouveau retournement de situation ? Hanne ferme les yeux un instant avant d'abdiquer dans un soupir après ses quelques secondes de silence. On fait tous des erreurs, moi la première. Tromper Aksel de cette façon était une erreur. Peut importe la raison pour laquelle elle l'a fait, peut importe l'attraction qu'elle avait ressenti pour Ilhan ce jour-là... Elle n'aurait jamais du le faire de la sorte. Et pourtant, même si tout se tassait doucement, elle en subissait encore les conséquences. J'aimerais pouvoir repartir à zero, sincèrement. Mais le problème Kat, c'est que je sais plus comment te faire confiance. Eternel problème d'Hanne, qui n'accorde que rarement sa confiance deux fois de suite. Sa voix s'était radoucie, ne serait-ce qu'un peu. Ses paroles n'avaient pas pour but de blesser, d'accuser. Simplement de constater, bruts et sans artifices, les dommages faits. 

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@Hanne von Holstein
cambridge, jeu 23 avr
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L'amertume, la rancœur. Hanne prononce plusieurs mots, pourtant tu n'entends que ça, dans sa voix. T'aimerais tellement que les choses soient différentes, que les choses soient comme avant. Pourtant, ce n'est plus le cas et ce ne le sera plus jamais. La Katalia d'il y a quatre ans, la gamine à peine majeure a qui ont avait toujours tout offert sur un plateau d'argent avait toujours pensé que tout lui était du. L'argent, l'attention, l'amour, l'amitié. Des années après, cette gamine a grandit et a finalement bien compris que le seul moyen d'obtenir tout cela serait uniquement ses efforts. Ses efforts qu'elle n'avait pas fait à l'époque et qu'elle doit désormais faire. Hanne en tête de liste des tes regrets. Presque autant que ce départ précipité et cette fin d'histoire avec Noah. Car Hanne avait été tout, un pilier, une épaule fidèle, un sourire chaleureux, une lumière et une main pour te redresser. A cause de toi, de tes démons et de tes erreurs, elle ne veut être plus rien. Tu le comprends, au fond, mais ce n'est pas grâce à cela que c'est plus facile, cela dit. Un soupir s'échappe de ses lèvres, le silence s'installe et tes doigts pianotent sur tes cuisses sous la table, l'air un peu ailleurs mais surtout gênée. Ces histoires d'erreurs mises sur la table, un certain apaisement de ses mots bien que t'as bien conscience qu'il s'agit de tes erreurs à toi, propulsées et déposées à la lumière du jour sur cette table entre vous deux. « bien sur, je comprends... » ses mots sont durs mais ils sont vrais. Tu mérites ça et bien plus, pour tout le mal que t'as pu faire, tu le réalises plus que jamais ici et maintenant et pendant ce millième de seconde où vos pupilles blessées se croisent. Vos cafés arrivent, tu portes le tien à tes lèvres et profites de cette pause pour te remettre les idées en place « je ne te demande pas de me croire sur parole, d'accepter mes excuses ni même de me faire confiance maintenant, je sais que... » soupir alors que tu perds quelque peu tes moyens, prise par le mal et l'émotion de l'instant. Il s'agit de Hanne, merde. Hanne. Hanne qui te dit qu'elle ne peut plus te faire confiance. Et c'est tellement dur, tellement. « bref, je vais juste tacher de te prouver que j'ai changé, que j'ai bien conscience de mes tords et peut être qu'un jour, tu pourras à nouveau me faire confiance, qui sait. » Lueur d'espoir alors que le schéma se dessine en silence dans ta tête. Un souvenir du passé que tu viens à rêver être un futur. Elle et toi comme avant. Peut être un jour, si elle l'accepte.

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@Katalia Borgia
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Quand le monde ne jurait que par les apparences, déviances et nombrilisme (Hanne la première), les relations absolues, vraies, se teintaient de la couleur des utopies. Rétrospection d'une vie à la carapace bien vide. De tous ceux qu'elle avait aimé, combien étaient restés ? Les visages défilent encore sous ses paupières, souvenirs intactes qu'elle conservent, ne parvient pas à dénigrer, film en noir et blanc à la bobine usée. Roxane, Katalia, Aksel... Tous disparus. Poids d'une responsabilité qu'elle reconnaît pour l'un, et de trahison pour les autres. Sentiments et serment d'amitié bien négligeables dès que les circonstances se compliquent. Façade qui prédomine sur une loyauté qui n'a rien d'authentique. Ils étaient tous partis. Tous sauf un. Ilhan. Dernière constante à cet univers qu'elle s'évertuait à reconstruire. L'un de deux piliers que son enfance, son existence n'ait jamais porté. Les révélations de Katalia la bouleverse, lui donne un espoir qu'elle n'ose, ne peut saisir, trop amochée qu'elle est. J'aimerais bien. Qu'elles reprennent à zéro, reconstruise cet empire trop de fois démoli de l'intérieur. Mais Kat.. Elle s'arrête, cherche ses mots, hésite, inspire. Plus jamais ça. Son ton est douloureux mais empreint d'une determination réfléchie. Hanne a réfléchi. Elle commence à savoir réellement ce qu'elle veut, et ce qu'elle ne veut plus... Je sais que j'ai fait certaines choses que je n'aurais pas du faire. Pas comme ça. Mais j'avais besoin de toi, de ton amitié. Pas de tes jugements... Et elle ne fait référence qu'à février, pas au départ soudain de Katalia plusieurs années auparavant. Notion d'amitié inexistante, disparue, l'italienne ne cherche pas à comprendre, emprisonne son soutien avant de lui tourner le dos comme si elle n'était rien. Et Hanne se retrouve avec tous ces dos tournés et sa solitude comme seule réponse à son comportement. J'ai besoin de savoir que, pour une fois, je peux compter sur toi. Que.. tu partiras plus.. Facilité d'écouter les coeurs des autres plus que d'ouvrir le sien à nouveau.  Pour l'instant, je ne peux rien te promettre, mais on peut essayer.

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@Hanne von Holstein
cambridge, jeu 23 avr
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C'est comme un drapeau blanc agité par tes soins et qu'elle voit enfin. T'as si peur qu'elle te repousse et qu'elle te rejette. Pourtant elle ne le fait et ton cœur accepte avec chaleur cette lueur d'espoir. Écorchée par la vie, privée d'attention, tu réalises désormais que t'as pu compter parmi les bourreaux ayant tant blessé Hanne. Et tu détestes tellement pour ça. T'aimerais que les choses ai été différentes, tu le réalises désormais. Son sourire et sa joie te manque, son air mutin et ses traits animés par les fourberies que vous pouviez provoquer à l'époque, ensemble. Tu veux voir cette lueur se réanimer dans ses traits, tu veux être là pour le voir et le vivre. C'est égoïste, de vouloir seulement ça. Alors à cet instant, tu t'imposes une promesses silencieuse, à l'abris de l'intimité de tes propres pensées. Tu seras là pour raviver cette flamme avec elle, pour elle. L'espoir d'un avenir meilleur arrive avec ses mots alors qu'elle te demande de ne plus jamais lui faire ça... Ton cœur se resserre, tu t'en veux tellement... « promis Hanne. » Tu ne promets jamais rien, d'habitude, parce que tu ne peux pas rompre tes promesses. Mais là, c'est différent, tu pourrais jurer ici et maintenant sur ce qu'elle veut que cela n'arrivera plus. « je sais... j'ai été idiote, je n'ai pas réfléchis, je suis désolé... ça n'arrivera plus. » A partir de maintenant, ce sera la personne qu'elle est, avant tout le reste, avant toutes les paroles, tous les gestes, toutes les erreurs. « bien sur, c'est normal, t'as besoin de temps, je comprends... » Et t'attendra, le temps qu'il faudra. Aussi difficile que cela sera. Juste pour voir le jour où son sourire viendra de nouveau dans ta direction. Tu ne veux pas forcer Hanne. T'aimerais tellement la retrouver, adopter de nouveau votre belle amitié perdue. Elle te manque tellement, encore plus en ce moment où t'aimerais lui raconter tant de choses et l'écouter en retour... Mais c'est ainsi, tu ne dois plus être égoïste, tu dois penser à elle et accepter son rythme. Faire tes preuves et t'offrir sous ton meilleur jour. Tu portes de nouveau le café à tes lèvres, en bois les dernières gorgées avant de porter ton attention sur ton téléphone qui vient de vibrer sur la table. Un rappel de ton rendez-vous chez le psy, zut, c'est déjà l'heure. « je dois te laisser Hanne, je... ça m'a vraiment fait plaisir de pouvoir parler avec toi, encore merci d'être venue. » t'as bien conscience que ça a été un gros effort pour elle de venir. Ce moment et cet échange ne t'as pas laissé sans un millier de nouvelles questions dans ta tête, la première en tête de liste : est-ce que Hanne bien vraiment de te laisser sous entendre que la situation peut évoluer vers le positif ? Manifestement.

FIN DU RP

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